C’est la danse des canards.

C’est la danse des canards qui me donne le cafard car elle est symptomatique de ce qui ne tourne pas rond dans notre société. Elle démontre, par l’insouciance des conducteurs, que les fautifs, les véritables, ne sont pas punis et que ce n’est que le résultat qui compte, par chance ou par malchance. L’histoire de la dame sur l’autoroute et du camionneur sur la route numérotée montre que le résultat compte et non pas l’intention ou les actes comme tels.

Un accident est un accident. Mais la cause d’un accident ne peut être uniquement basée sur le résultat. Dans un cas, 2 motocycliste roulaient à haute vitesse sans rouler à une vitesse qu’ils maîtrisaient selon la distance qu’ils voyaient. Dans l’autre est-ce le fait que la personne a croisé une ligne médiane double. Ne pas prendre en considération les conditions fait que le même peine s’est trouvée donnée aux 2 accidentés.

Il faut responsabiliser les gens qui causent un événement mais aussi responsabiliser ceux qui conduisent sans prudence élémentaire. Il faut donc le retour de la responsabilité dans les accidents. Bien souvent, n’y a-t-il que deux intervenants pour causer un accident. De fait, y a-t-il peu d’accidents mais des gens qui sont inconséquents.

Bertrand (@BDmoi)

Ne faut-il dire que ce dont on a la certitude.

Doit on dire que ce dont on a la certitude? Peut-on parler de ce qu’on s’interroge sans devoir se prosterner devant L’autel de la Vérité? Les gens agissent de manière stupide. Quand on pose une question ou qu’on s’interroge sur quelque chose, ils présument que l’on connaît la réponse ou qu’on pose une affirmation. Les gens ne savent plus discuter et entrer en communication. Faut-il qu’ils débattent et exigent des preuves. Les gens ne sont pas stupides mais ils agissent en stupide. Là est le problème.

Peut-on mettre plus la réalité de l’avant plutôt que la VÉRITÉ. La vérité est personnelle et comprend les connaissances et les croyances de l’Individu. La Réalité, elle, est, c’est tout. Ce qu’on sait et ce qu’on ne sait pas, tout. Les croyances ne font pas partie intégrale de la réalité. Elles ne sont qu’imagination de l’humain. Jusqu’à preuve du contraire c’est la seule façon de communiquer ce qui se passe dans notre tête.

Nous avons accéléré de manière démentielle la vitesse des communications. Le monde binaire dans lequel nous évoluons socialement, actuellement, est faux et polarisant. Rien n’est vrai ou faux. Tout est question de perception individuelle. Faut-il nuancer ce que l’on voit et ce qu’On entend, même ce qu’on perçoit avec nos sens.

J’en appelle donc à votre sens des nuances et vous demande de bien vouloir vous servir des capacités de la langue et du cerveau. Tout ceci pour l’avancement de la civilisation et l’amélioration du civisme dans les communications. Ayez le contrôle de vos émotions et servez vous de votre raison. Ainsi la civilisation fera-t-elle un bond, celui que nous espérons depuis les philosophes grecs anciens. Ce que nous faisons à reculons depuis ce temps.

Bertrand (@BDmoi)

Le problème du Québec?

Le problème du Québec ne réside-t-il pas dans sa position géographique? Le problème du Canada c’est que la séparation québécoise signifierait la fin de l’entente de Charlottetown, la fin du Canada. Le Canada n’est plus un pays viable, c’est mon opinion. Pourquoi? Parce qu’il est morcelé. La Colombie Britannique n’a plus rien de canadien, tant au niveau de la population que de la conviction. L’ouest est d’une majorité conservatrice. Le Québec n’a pas signé la Constitution et les maritimes sont perçues comme des empêcheurs de prospérité. Reste l’Ontario qui se considère comme le CANADA. L’Ontario représente 40% de la population du Canada et 40% du PIB du Canada. L’Ontario se targue de décider qui va gouverner mais n’est-ce qu’avec l’appui du Québec.

D’après moi c’est à la fois la force et le drame du Canada. Que les deux plus grandes provinces, en terme de population, divisent par leur dynamisme la disparité des extrêmes limites. IL faut absolument refaire une constitution qui tienne compte de la situation et ne donne pas un pouvoir extrême à la plus petite province du pays.

Pour recréer le pays en fonction du troisième millénaire, il faut absolument s’adapter au dynamisme régional. La représentation doit être équitable et le fondement de la Constitution doit être laïque et avenant pour les citoyens du pays au complet par la diversité et la solidarité.

En conséquence, j’estime, que le Québec n’a pas de problème en soi mais a-t-il un gros problème de confrontation avec un gouvernement central hors de proportion des citoyens qu’il représente. 64% de la population réside dans 2 provinces. Ils ne représentent que 20% du pouvoir dans la constitution. IL faut absolument en prendre conscience et s’entendre pour une constitution qui soit juste et que l’on puisse modifier, par référendum, à une période déterminée.

Je ne suis pas impliqué parce que je vais mourir avant que ça arrive. Mais au sort de mes enfants et mes petits enfants je pense en ces temps. J’ai bientôt 70 ans et voici en cet instant la somme de mes pensées en ce qui concerne un futur mal débuté. Division et polarisation font que le pays est condamné. Le fédéral ne sert à rien pour le citoyen. Il faut absolument reconnaître la souveraineté de chacune des provinces et mettre le poids du changement sur les citoyens et non pas les élus politiques.

Bertrand (@BDmoi)

Quand on ajoute un qualificatif?

Quand on ajoute un qualificatif aux chiffres, on peut dire ce que l’on veut de la réalité. Tout est dans le jugement que l’auteur veut suggérer à la personne qui reçoit les chiffres. Il faut une solide connaissance de la langue, des statistiques et de la réalité pour pouvoir extirper le peu d’information qui vient avec les chiffres. Peu de gens en sont capables. Ces gens ne lisent pas les titres provoquants et déformant l’information.

J’ai soif d’une information de qualité professionnelle. Avoir les vraies informations sous une forme brute, accélérerait la discussion et diminuerait les débats. Qu’il y ait de la forme linguistique autour, j’en suis. Mais donnez l’information brute. Les médias avec des titres accrocheurs tirent le peu de ressources qu’ils ont d’une horde de personnes accros à leurs jasette.

Les gens cherchent de l’information et l’internet rend tout disponible, le réel comme l’Inventé. Le rôle des médias est de rétablir les faits vérifiés, pas de mettre de la fioriture autour de chiffres alambiqués pour refléter une opinion donnée.

Je viens de contribuer 25$ à La Presse. Je n’aime pas la façon dont ils traitent L’information. Je les exhorte à devenir un média du 3ième millénaire. Un média qui offre de l’Information brute et des opinions de lecteurs qui font part de toutes les discussions. Les médias, La Presse dans ce cas-ci, gagneraient en respectabilité et en succès financier.

C’est mon opinion, et je la partage. Faites-en ce que vous voulez, c’est votre privilège. Mais qu’on se le dise, faire des reportages ampoulés, truffés de qualificatif qui provoquent de l’esbrouffe, c’est une des causes majeures de l’État du moral de la société. J’en tiens les politiciens et les médias d’entretenir une joute et pas de répandre les informations concernant la RÉALITÉ. Celle-ci est. Ni belle, ni laide. Tous les jugements qu’on en fait sont personnels. Malheureusement dans les faits n’y a-t-il que propagation d’un point de vue et non pas de la vision.

Bertrand (@BDmoi)

Toutes les stratégies ne valent pas la vie.

Toutes les stratégies ne valent pas la vie. Il faut vivre sa vie. Pas l’imaginer ou la planifier. Pour cela faut-il utiliser son imagination et saisir les opportunités qui nous sont présentées. Mais, il arrive qu’à une occasion, nous tombons sur une idée, qui mérite toute notre action. C’est là qu’entre en jeu la planification et le cycle administratif. https://bdmoi.mdugre.info/le-cycle-administratif-et-le-bonheur/ article que j’ai écrit il y a longtemps mais qui a mal été interprété.

Le temps nous est compté. DE la naissance à la mort est-il sans fin ou presque. Vivre est tellement loin pour certains. Aussi la seule option que nous avons c’est de nous servir de nos perceptions et de notre imagination pour vivre pleinement. Le temps? Il y en a tellement qu’on le perd indolemment. J’écris souvent à ce sujet soit: comment on perd notre temps en ne vivant pas.

Quand on est éveillé on s’occupe longuement sur des sources de satisfaction qui sont personnelles. Mais le but de l’occupation doit être d’aider ceux qui sont dans le besoin immédiat. Je suis convaincu de ça. La source du bonheur dans la vie, réside dans le bonheur que l’on produit. Nous en tirons une grande satisfaction que personne ne peut nous enlever.

La vie est donc simple tout en étant compliquée. La simplicité est dans les action, la complexité est dans l’indécision et par conséquent l’inaction. Pour se servir de toute l’imagination dont nous sommes douées, faut-il montrer aux enfants comment décider. Carpe diem? Saisir le moment? Décider de sauter dans ce que nous offre notre imagination.

Bertrand (@BDmoi)

De la réelle liberté d’expression.

Il faut vraiment être con, pour se servir de la liberté d’expression pour traiter un autre individu de con. J’ai écrit ceci en janvier 2020: https://bdmoi.mdugre.info/la-liberte-dexpression/

Comment civiliser la liberté d’expression? La notion de civisme se développe au niveau des enfants. Il faut les éduquer à penser en terme de nous plutôt qu’en terme de moi. La dérive de la civilisation actuelle vers la Charte des droits individuels a largement concouru à faire que les obligations envers les autres, qui viennent avec le civisme, disparaissent comme une peau de chagrin.

La réelle liberté d’expression, en société, serait de permettre l’expression d’aide et de support à l’autre qui ne dispose pas de notre talent ou notre perspicacité. Rechercher le bien de chacun par l’apport de tous est la voie à privilégier. J’en entend des hordes dire que c’est du prêchi prêcha de bisounours. Peut-être ont-ils raison de le dire, parce que c’est loin, bien loin, de la situation actuelle, ou chacun tire la couverte, toujours plus petite, de son bord.

En étant attentionné à aider son voisin dans sa quête du bonheur, nous faisons que d’autres sont attentionnés à notre quête de notre bonheur. Mais advient le syndrome de la saucisse Hygrade: plus les gens en mangent plus elles sont fraîches, moins les gens en mangent moins elles sont fraîches. Nous sommes dans la phase descendante du civisme qui mène à ce qu’on vit actuellement, le populisme et la démagogie.

La seule façon de partir une remontée de l’esprit de groupe à partir de la situation actuelle est de civiliser les propos des gens. Et cela commence par nos propres propos. Ce sera une tâche ardue. Possible, mais ardue. La vitesse de communication a dépassé la vitesse de réflexion. L’électron est plus vite que le son et le son plus vite que le neurone. Le rythme démentiel des communications infligé à la population est tel que plus personne ne trouve du temps autre que pour gagner ou dépenser de l’argent. La richesse de la diversité réside dans les échanges de pensées entre les individus. N’a-t-on de temps que pour le consacrer à l’argent, le faire fructifier, optimaliser son usage, faire le plus avec le moins…

Les enfants nous voient aller et répliquent les comportements biaisés des adultes. Est-ce pourquoi l’école et l’instruction sont si négligées? Je ne suis pas loin de le penser. La pente sera extrêmement dure à remonter. Nous “scrapons” des générations, l’une après l’autre. Assoyez vous un instant, respirez profondément et faites baisser votre rythme cardiaque et essayez de voir le monde avec des yeux neufs, ceux d’un jeune de 16 ans, qui se rebelle contre ce qu’il voit et ce qu’il entend. L’avenir est sombre, tout n’est que problème insoluble parce que dépend de la communauté qui n’existe plus.

Des millions d’heures sont investies par des bénévoles dans les organismes à but non lucratifs. Ce sont ces organisations qui soutiennent un tissu social de plus en plus ténu. Bien des heures sont passées à revendiquer ci et ça. Celles qui agissent vraiment sont celles consacrées au bien d’individus plus mal en point les uns que les autres. Voilà en gros ce qui soutient le principe de la liberté d’expression. Pas la liberté de consommation mais bien la liberté d’aide et de compréhension. Dans notre folie de consommation nous avons oublié d’inclure ce paramètre dans nos usages. Ainsi sommes nous passé de la satisfaction d’une vie communautaire ordonnée à une société de consommation effrénée.

Pour moi la vie est simple, communiquer et s’entraider en société ou thésauriser en des lacs d’argent pour je ne sais quel usage mais profiter de toujours en amasser aux dépends des autres. L’individualisme à outrance a vaincu le catholicisme à outrance. Peut-on aller chercher la joie de vivre que l’on avait sous la férule de pression sociale de la religion et ajouter la réalisation personnelle de l’individu dans une société saine et productive? Je ne sais pas. Mais je m’y essaie. Plus les gens verront plus ils changeront mais pour le moment ce n’est pas la situation privilégiée.

Bertrand (@BDmoi)

Je ne suis pas fan de Fitzgibbon mais…

Je ne suis pas fan de Fitzgibbon mais il faut s’attarder à son argumentation. A-t-on le droit de tout dire ce qu’on veut de ce qu’a dit quelqu’un. Mais le traiter de tous les noms montre votre manque de discernement. Ne montrez vous que vous jugez sans même explorer la réalité derrière ses dires. La façon dont il le dit peut être source d’émotion mais, dans les affaires publiques, il faut plus de raison.

L’électricité, sujet de bien des discussions. Sommes-nous mal foutus en terme de gestion? Mettre tous les œufs dans le même panier, celui de Fitzgibbon, n’est pas une bonne chose. Mais, voyons lucidement le dossier de l’Électricité. Vendre l’électricité à rabais, parce qu’elle est propre et abondante, fait de nous des producteurs d’Énergie renouvelable, c’est un fait. Mais, utiliser le potentiel d’énergie aujourd’hui, au détriment de la Nature? Je n’en suis pas sûr. Que le projet de Mme Brochu n’ait pas été retenu, c’est la vie. Mais risquer l’avenir de nos enfants, par opportunité au présent?

IL faut s’interroger sur le juste prix de l’électricité. J’en suis et je suis conscient que j’ai une auto électrique. DE tous les âges, l’énergie a été la base des guerres. Que ce soit l’esclavage, le pétrole ou l’électricité. On n’a qu’à regarder ce qui se passe en Ukraine. Mais, il y a un mais, tout risquer sur la base d’un seul actif est agir à courte vue. Non seulement disposons-nous d’une ressource formidable mais en plus nous disposons d’une ressource mondiale d’eau potable. Dilapider l’une et l’autre pour des fins où nous ne sommes pas outillés pour les réaliser avec les ressources disponibles, est folie.

Fitzgibbon a raison de prôner l’économie d’énergie, la hausse du prix de l’électricité et l’attrait pour les investisseurs étrangers. Mais tout doit se faire à l’intérieur de nos possibilités. Nous avons harnaché bien des rivières dans le sud et dans le nord. Nous sommes aux prises avec une crise du logement dans la province, désolé ce n’est pas un pays actuellement. Il faut se parler raisonnablement du futur et de nos ressources pour nous y préparer. Ce n’est pas en parlant des lave-vaisselle à minuit qu’on y arrivera.

Il faut un grand forum, où les québécois, décideront du futur de nos enfants. Fitzgibbon et Legault ne sont pas les bons intervenants pour le moment. Ils le seraient s’ils nous fournissaient l’occasion d’en discuter sereinement et objectivement. L’électricité est un enjeu majeur de notre société et ce, pour longtemps. Il faut prendre un moment pour vraiment décider et non pas risquer.

Bertrand (@BDmoi)

Je peux m’exprimer c’est ma pensée.

Bien des gens dépensent, bien de l’argent. Peu de gens pensent à faire une évaluation de leur condition de vie et de finance. Dans le processus administratif on met, à la fin du processus, l’étape de l’évaluation des résultats. Moi, je la place en premier. Avant de définir un objectif, il faut identifier nos insatisfactions, et nos satisfactions, nos talents et nos impuissances, nos possessions et nos manques. Ainsi pourrons nous définir un objectif qualifié, quantifié et déterminé dans le temps. J’ai écrit ceci en 2017: https://bdmoi.mdugre.info/le-cycle-administratif-et-le-bonheur/

C’est la base. Mais la réalité doit commencer par une vue réaliste de sa situation. Voilà pourquoi il est si difficile de réussir. On commence avec une idée de ce qu’on veut et on dépense argent et énergie pour le mettre en branle. Anciennement, on disait qu’il fallait 68 idées de départ pour 1 succès commercial après 5 ans. Cela ne s’est probablement pas amélioré.

Aussi, la raison invoquée, bien souvent, pour l’échec était celle d’un manque de bonne administration. La vie, comme la finance, doit être envisagée en fonction de ses besoins identifiés, de ses ressources et de la situation désirée. Sachez lire ce qui est écrit et oubliez tout ce qu’on vous a dit. Puisez en vous vos besoins, pas vos désirs matériels, et ensuite définissez un objectif qui VOUS rendra heureux.

Je vous souhaite de ne pas passer par 15 ans d’idées suicidaires, comme moi, pour y arriver. C’est la grâce que je vous souhaite.

Bertrand (@BDmoi)

Faut-il se sentir coupable de son bonheur?

Je crois que la pitié vient de ce qu’On se sente coupable d’être heureux. Bien des gens ont pitié des autres, pas moi. Je suis heureux et je n’ai plus pitié des gens. Je croyais sincèrement que je ne méritais pas ce que j’avais réalisé. Aussi avais je pitié des autres qui en bavaient. Puis j’ai enseigné au niveau collégial. Et j’ai assimilé une réalité plus réelle. Et oui? Nous ne sommes pas pareils. Nous sommes égaux en droit des humains mais pas vis à vis de la Nature.

Il est vrai que bien des gens ont pitié pour se sentir plus haut que la personne considérée. Mais je crois sincèrement que la plupart du temps, la pitié est un sentiment de culpabilité pour reconnaître la chance qu’on a eu de se rendre où l’On est. Aussi, dans l’enseignement, alors que je faisais mes heures de disponibilité, je recevais des étudiants qui me demandaient où je les voyais dans le futur? Je répondais invariablement, où as-tu été le plus satisfait? La réponse me jetait à terre, presque à chaque fois; je ne sais pas. Que leurs résultats scolaires soient bons ou mauvais, je leur répondais toujours la même chose: fais des choses, trouve ce que tu fais bien et que tu aimes. Ainsi te découvriras-tu et tu pourras devenir meilleur dans ce que tu es.

C’est simple mais c’est en se connaissant, par les actions commises, qu’on se réalise soi-même. Bien des gens ont arrêté de chercher après avoir trouvé le premier emploi. Aussi ont-ils ce qu’ils méritent. On est récompensé à la mesure des efforts qu’On a déployés. J’en suis convaincu. Mais, nous ne sommes pas tous équipés pour fournir les efforts que demandent la vie. Aussi ne faut-il pas avoir pitié des gens, il faut les comprendre et les assister dans les efforts qu’ils ont entrepris. Pas les conseiller, les aider à fournir l’effort pour surmonter la tâche à la vitesse qu’ils peuvent le faire.

C’est je crois faire bon usage de l’empathie. La sympathie brise plus de vies qu’elle n’en sauve. La sympathie est le sentiment inspiré par la pitié. L’empathie est le sentiment exprimé par la compréhension de l’état de la personne concernée et mène à l’action. Il y a définitivement trop de beaux parleurs et un manque cruel de faiseurs. Je vous souhaite d’être une bougie qui met le feu au derrière plutôt qu’un .éteignoir qui laisse par terre.

Bertrand (@BDmoi)

Je suis de centre et je le reste.

Je suis de centre, oui bien de centre, et je le reste. Être de centre est trouver normal que la société répartisse une partie de la récolte entre les citoyens qui ne sont pas tous dans les mêmes conditions et qui n’ont pas choisi d’exister. Mais c’est aussi croire que le rôle des gouvernements n’est pas de régir les comportements des gens. Nous donnons trop de pouvoir à ces êtres plus infatués que raisonnables.

Des changements majeurs doivent être opérés dans notre société. C’est une évidence que la polarisation extrême sur certains sujets (presque tous) démontre abondamment. Le gros bon sens n’est pas commun. Il faut se le dire à l’ombre des médias et de chroniqueurs qui ont des agendas bien personnels.

Il faut modifier la constitution, les deux, et abolir le lien avec les divinités. Par dessus-tout, il faut abolir la charte des droits de l’homme, telle qu’inscrite dans la constitution. L’enlever de la constitution serait encore plus opportun.

Je reconnais à un gouvernement le devoir d’investiguer les lois, de les discuter et même de les voter. Mais, elles se doivent d’être avalisées, trimestriellement, par un référendum populaire.

Je ne reconnais pas au gouvernement de jouer dans l’assiette au beurre au gré de sa fantaisie. Je suis pour des ministères indépendants, financés par les utilisateurs et dont le conseil d’administration est élu par la population.

Bien des choses doivent changer. Faudrait-il faire un pays? Il semble que changer la situation actuelle est au-dessus des choses possibles. S’il faut changer de pays, peut-on le faire sans choisir son orientation mais bien sa constitution. Que le pays devienne de droite, de gauche ou de centre, sera déterminé par la population à l’égide de la Constitution.

Se donner une constitution du 3ième millénaire est impérieux si on veut cesser le déclin de notre société. C’est mon avis et je pense qu’il est centré.

Bertrand (@BDmoi)