Quand l’oxygène aura un prix!

Un titre qui fait rire? Une prédiction pas si lointaine? Remplacez l’oxygène par l’eau et vous verrez que l’on est déjà là. Comique? Pensez aux sommes développées pour l’aide à l’approvisionnement d’eau des pays du Tiers-Monde, des États unis et même des autochtones du Canada. On est riche en eau ici, que l’on entend dire, et pourtant la rareté de son approvisionnement pour certains citoyens est dramatique.

Alors parler que l’oxygène deviendrait une commodité pour la population est peut-être pas si tirée par les cheveux. Trump qui se retirerait de l’accord de Paris sur le climat, peut avoir de multiples effets. Démotivation de l’électricité dans les transports? Démotivation de transfert dans les énergies renouvelables? Autres effets pervers qui feraient que des citoyens doivent acheter de l’oxygène pour survivre?

Mais l’avenir est déjà là pour certains. Qui n’a pas vu quelqu’un déambuler avec une lunette nasale pour lui insuffler de l’oxygène en permanence. Je ne sais combien de personnes ça représente mais, il y en a beaucoup. Est-ce que ça prendra autant d’importance que le marché de l’eau en bouteille a pris?

Quand c’est rendu que les pharmacies font des “doorbusters” dans leurs circulaires avec des caisses d’eau en spécial, c’est le cas de le dire, c’est spécial. Est-ce que ça en viendra ainsi avec l’oxygène? Je ne saurais dire mais, je l’appréhende.

Quand respirer deviendra économique.

Bertrand (@BDmoi)

 

Le MUR? oui le mur.

Il y en a pour dire que la constitution et les droits de l’homme bâtissent un mur autour de la personne. Supposément pour le protéger des attaques de l’extérieur. Il semblerait que ce serait une bonne analogie. J’en conviens volontiers.

Mais ce mur joue aussi dans l’autre sens, car il devrait protéger chacun des autres de l’intrusion d’une personne dans leurs croyances. C’est cette dualité qui n’est pas comprise par certaines personnes convaincues d’avoir la Vérité.

Voilà comment devrait être réfléchie le droit à la différence. Pour quelque différence que ce soit. Mais ce n’est pas ce que l’on enseigne. On ne fait que démontrer la protection des droits d’un individu et non la protection des droits des individus.

Ainsi, tel un essaim, chacun devrait être protéger par sa paroi et ce dans les 2 sens. L’image est explicite en elle-même. L’individu, ainsi entouré peut évoluer selon ses convictions.

Mais comment s’unir? En sortant de notre bulle et en tolérant ceux qui en sont sortis. C’est plus difficile à imager mais en sortant de son îlot, la protection contre les autres est soumise aux jeux de groupes. On peut empêcher quiconque de venir dans sa bulle, mais un coup sorti il faut se tenir par soi-même. C’est pour ça que l’insecte ne sort-il que lorsqu’il est adulte. Ce que l’on devrait faire nous aussi?

Bertrand (@BDmoi)

 

À part l’écologie pourquoi un véhicule électrique?

Il y a une multitude de raisons pour acheter une voiture électrique. Hybride ou totalement électrique signifie une grande économie d’utilisation ici, au Québec. Sans compter notre grande disponibilité d’électricité qui coule inutilement de nos barrages, des éoliennes qui tournent à vide, et toutes les affres de gestion des grandes fluctuations de consommation électrique.

L’autonomie fait peur à beaucoup. C’est un faux problème pour beaucoup de ceux-ci. Mais regardons l’investissement en 2 temps, à l’achat et à l’utilisation.

Les coûts d’achats demandent un investissement majeur. En location, on parle du simple au double. Cela devient une dépense fixe, quand on ne peut se payer l’achat simple. L’achat d’une voiture électrique, aujourd’hui, est très dispendieux et la poussée des gouvernements, malgré les subsides, crée une demande pour une industrie qui ne veut pas changer. Plus de gens en mangent parce qu’elles sont plus fraîches et elles sont plus fraîches parce que plus de gens en mangent. Ça va bien quand on parle de saucisses mais des automobiles demandent plus de ressources que de fabriquer des saucisses.

Si j’avais le capital, j’achèterais une voiture électrique. Sur un horizon de 5 ans cela représenterait la très grande partie du coût d’avoir une voiture. Mais la deuxième partie des coûts d’une automobile sont les coûts d’utilisation. Et là, il semble l’avis de tous les experts, que les coûts d’utilisation sont très, très minimes. Même les freins coûtent beaucoup moins cher à entretenir grâce à la récupération d’énergie. Doublons le prix de l’électricité au Québec et ça serait encore très minime. Mais là n’est pas la question qui d’après moi est la plus importante. Équilibrer la demande d’électricité sur une période de 24 heures par jour, ferait diminuer les coûts globaux. Il y aurait bien la période froide de l’hiver mais l’avantage d’une consommation stable ou à peu près, viendrait amortir les coûts d’immobilisation.

D’après moi le plus gros avantage serait la non-exportation de nos $ en $ américains, pour le pétrole. Imaginez la somme d’argent économisée en exportation et transférée en moindre coût local. Argent qui ne sortirait plus de la province et créerait des emplois ici. De plus, tout l’argent net économisé et réinvesti dans l’économie d’ici.

En clair, indépendamment de l’écologie, de la finance et de la possibilité de production, le problème au Québec est d’avoir eu Bourrassa qui a prévu toute les possibilités d’utilisation de l’électricité et qui nous a placé dans le dilemme à savoir profiter de l’avenir, disponible immédiatement ou continuer les habitudes du passé qui sont maintenant la norme.

Ce n’est donc pas seulement un problème de raison mais un problème de résistance au changement. Changement qui à terme amènera une meilleure utilisation de nos ressources mais aussi un grand moteur d’exportation. Tout ce qui nous manque ce sont les ressources pour investir dans la solution québécoise, produire nos composantes électroniques et nos automobiles. Mais ça n’arrivera pas. Pourquoi? On a beau rêver et voir le trajet, personne ne fera le premier pas. J’ai 100$ à investir. Y en a-t-il d’autres de disponibles?

Bertrand (@BDmoi)

 

À quoi nuisent les partis politiques?

Existe-t-il une telle chose que la personnalité d’un parti politique? Je ne crois pas. Ce qui existe c’est un exécutif qui décide de ce qui sera discuté et dans quelles conditions les discussions auront lieu. Si c’était vrai ce serait déjà une intrusion dans une véritable démocratie.

Les exécutifs préparent soigneusement les sujets de discussion et les interventions des partisans (partis sans leur cerveau). Les techniques de manipulation de masse et les organisations de partisans qui monopolisent les interventions(micros) sont de longue tradition, dans tous les partis. Mais aussi dans les syndicats, mais ça c’est une autre affaire.

Les exécutifs partisans ont tous, dans chacun des partis, un objectif commun, prendre le pouvoir. C’est leur seul objectif. Ils feront tout ce qu’ils peuvent pour produire un programme électoral pour se distinguer tout en ayant l’air de vouloir le bien commun. C’est ainsi que l’on est réduit à parler de l’économie, la sacro-sainte économie, alors que les gouvernements n’ont que le pouvoir de ne pas nuire à l’économie, ce qu’ils ne peuvent s’empêcher de faire.

Donc prendre le pouvoir pour avoir l’air d’améliorer ce qui irait mieux s’ils ne s’en occupaient pas. C’est tiré par les cheveux? Pas tant que ça. On n’a qu’à voir où ont investi les gouvernements et les résultats que ça donne.

Il faut absolument enlever l’influence de quelques personnes, les exécutifs et les financiers, sur la politique. Pour cela ma solution est de changer la constitution. Abolir les partis politiques. Il faut revoir notre gouvernement, son rôle, sa constitution et son mode de fonctionnement. Il faut le réduire à une dimension humaine. Le pouvoir des partis au gouvernement est trop étendu et trop profond. Où il y a de l’homme, il y a de l’hommerie. Il y en aura toujours, mais on peut diminuer l’effet de cela. En limitant le rôle du gouvernement à l’établissement de lois pour réguler les relations entre les citoyens et les gens. Il faut leur enlever tout le volet économique des mains, pour qu’ils ne soient pas tentés d’intervenir dans ce qui ne les regarde pas.

Mais ce n’est pas demain la veille parce que les gouvernements sont élus, minoritairement, mais majoritairement, par les conditions actuelles. Les changeront-ils, voyons donc. Les oppositions ne sont même pas capables de s’unir pour y arriver. Ah! elles en parlent publiquement, mais de fait n’ont de cesse d’être élue pour accéder au pouvoir et à l’assiette au beurre, une fois élus.

Quadrature du cercle? Non. Encore plus difficile à résoudre. Peut-on espérer mieux? C’est la grâce que je nous souhaite, espérer. Pour ce qui est de la réalisation de cet espoir? Il faudra attendre la fin du pouvoir des baby-boomers pour que la vision arrête d’être du passé pour passer à la réalisation d’un autre futur.

Bertrand (@BDmoi)

 

Le nihilisme et le multiculturalisme?

Mieux vaut rien que d’offusquer qui que ce soit. Plutôt que de promouvoir le vivre ensemble et la naissance d’une citoyenneté rassembleuse on applique la cacophonie de la différence exclusive. Notre individualisme est si répandu que la société n’est plus une union de personnes avec les mêmes valeurs mais un amas de personnes jalouses de leur différence et de la promotion de celle-ci.

Tout cela mène à rien. Oui parce que ça promeut l’immobilisme, la consécration du statu quo. Plutôt que d’avoir des forces qui portent à adopter un comportement commun, on cultive sa différence, on l’impose même comme un droit et cela oppose les gens. C’est la domination du passé qui perdure et l’obscurantisme face à l’innovation et au vivre ensemble.

Donc on est passé, au Québec, en 50 ans, de l’obscurantisme religieux à la vivacité de la laïcité et ses divergences, et maintenant changer d’obscurantisme religieux pour passer à d’autres. La période bénie où l’on a vu exploser le Québec, le Québec inc. et toutes les réalisations qui ont mis Montréal sur la map, comme on dit, alors que le futur unissait les forces vives, se voit maintenant bloqué par les non. Non au changement, non à l’innovation, règlements interdisant ci et ça. C’est le retour du balancier.

Les tensions de la masse ont été remplacées ou  plutôt surpassées, par les tensions individuelles. Tout mouvement rassembleur vers quelque chose de neuf, se heurte à l’immobilisme outrancier de tous les gouvernements. Le mot d’ordre est de ne pas permettre la contestation. LÀ où la volonté du plus grand nombre prévalait, on a maintenant la dictature de l’individu. Et les individus sont tous différents à la base. On regarde ce qui divise au lieu de ce qui unit.

Il est certain qu’il arrivera un autre retour du balancier. Que la jeunesse finira par représenter la force dirigeante des politiciens et que l’on retournera à la vie commune. Mais c’est fou tout ce qu’on aura perdu de temps à cause d’une génération qui est passée du “NOUS” au “JE” et qui prend tout son temps pour laisser la place aux jeunes. J’ai 63 ans et j’ai connu le passage du temps. Je suis demeuré ancré dans l’ambiance de l’innovation. Et vous?

Bertrand (@BDmoi)

 

Aspirer au changement mais ne pas vouloir faire le premier pas?

Les gens me font pleurer. Beaucoup, mais beaucoup, aspirent à un meilleur sort ou venir. On veut, presque tous, du changement? Ce n’est pas vrai. On souhaiterait du changement, on ne le veut pas. Voilà le drame. Quelle en est la cause principale?

On n’ose faire un pas, si minime soit-il. On voit un résultat désiré, on sait quelle direction prendre mais on n’ose pas, ou en tout cas, on ne fait pas. Prenons l’exemple donné par Québec Solidaire. Ils refusent de faire le premier pas pour amener le changement de système électoral.

On dit souvent: la fortune sourit aux audacieux. On dit aussi:tout vient à point à qui sait attendre. Contradictoire?  Non! Car il y a quelque chose qui doit venir entre les deux et c’est: plante ta graine et arrose la.

Oser un pas, s’assurer de l’avoir bien fait et reprendre son équilibre. Voilà la démarche raisonnable.

Pour en revenir à QS il y a eu de longs palabres pour en arriver à ne pas bouger. Supposément, il y a entente entre les partis d’opposition, qui représentent 65% de l’électorat, pour changer le système électoral. Mais on ne fera pas la première démarche, qui est de s’unir pour changer le parti au pouvoir.

Non. On ne va faire un pas qui nous rapproche de nos désirs que si nous avons la garantie que, si nous continuons, nous avancerons seulement à la destination que l’on recherche. C’est enfantin et irréaliste. Mais personne ne peut en vouloir à QS, car il n’existe que dans nos esprits. Ce qui existe est un groupe de personnes qui, prisent isolément ont certaines volontés et des limitations.

Le jeu des partis politiques est de faire croire à la représentativité des personnes à l’intérieur du parti. Mais, de fait, il y a des factions. Les régions affirment que Montréal a monopolisé les micros. Manque de démocratie? Je ne peux savoir, je n’étais pas là. Mais j’ose affirmer que c’est ce que fait tout parti politique. Manipuler l’information.

Donc, on ne bouge pas parce que la garantie du résultat n’est pas certaine. Mais ça fait l’affaire de qui, le statu quo? Ne pas faire le premier pas, planter sa graine, ne permet au temps de réaliser son œuvre.

Bertrand (@BDmoi)

 

Le digital augmente-t-il l’intolérance?

L’intolérance est en progression grand V. La moindre différence est montée en épingle et se fait traiter de phobie de quoi que ce soit. Cette montée de l’intolérance, pour moi homme de 63 ans, succéderait à la venue du digital par rapport à l’analogique.

Auparavant, il était environ 8 heures moins vingt-cinq, ou à peu près moins quart. Aujourd’hui il est 7hre23 très précisément. C’est juste si on ne donne pas les secondes. Il ne fait plus dans les 70 mais 23degrés précisément. Cette précision, est devenue répandue. Les jeunes qui n’ont pas connu l’analogique ne savent pas approximer comme on le faisait dans le temps. Me voilà à parler de dans le temps.

Mais aujourd’hui, le fait d’avoir un ennemi commun n’est plus une raison valable de faire front commun. On a beau avoir, supposément, un objectif commun, un adversaire commun, mais ce n’est pas assez précis pour s’affilier. Québec Solidaire ne peut s’associer au diable du PQ parce qu’ils sont différents sur d’autres points. Tout le monde désire un changement de système électoral, sauf les libéraux qui en profitent, mais on ergote sur les détails qui n’ont aucun lien avec l’objectif, qui, une fois atteint, n’oblige pas à la continuation de l’alliance.

On est à l’air du tout ou rien. Il faut être totalement en accord et faire que la fin soit totale sinon on ne peut s’allier. Les libéraux en font leur gorge chaude. Il leur suffit de trouver ce que ne veut pas les différentes faction pour que sa base indéfectible leur assure le pouvoir à long terme. Pourquoi? Parce qu’ils ont duré longtemps. Tout simplement. Le multipartisme aboutit à l’immobilité. Il faudra un tsunami de corruption pour, peut-être, avoir raison de leur domination.

Mais nul ne peut aspirer à les désarçonner car il leur s’agit de trouver la pomme de discorde dans la multitude pour la mettre de l’avant et perdurer au pouvoir. Il fut un temps où c’était la peur du référendum, mais maintenant le multiculturalisme, l’exclusion et l’inclusion, permet de diviser un plus grand nombre d’électeurs.

Longue vie aux libéraux, adieu les changements, qui ont fait l’ADN des libéraux.

Bertrand (@BDmoi)

Un objectif commun vs un objectif en commun?

Beaucoup ne comprennent pas la différence de ces deux choses, un objectif commun et un objectif en commun. La politique Québécoise nous expose pourtant spécifiquement la différence.

Beaucoup de Québécois ont le même en commun. Celui de gagner à la loterie et de vivre facilement ainsi. Mais les Québécois ont très peu d’objectifs communs. Ils veulent conserver la SAQ, Loto-Québec et Hydro-Québec. Les Québécois ne semblent pas capables de s’unir pur une idée novatrice, quelle qu’elle soit. On s’unit contre une idée, assez facilement. Il suffit de trouver un argument contre et on est contre. Mais pour être pour quelque chose il faut qu’il y ait consensus global sur l’ensemble de la chose. Autrement dit on ne peut être d’accord sur rien d’autre que l’on est en désaccord sur un point, qui n’a même pas besoin d’être le même.

Devant l’impossibilité d’avoir un objectif commun, le parti Libéral sort gagnant, à tous les coups, parce qu’il vise ce que les québécois ont en commun, ce que d’aucun appelle une économie florissante. Chacun a l’objectif d’améliorer son sort, bien souvent aux dépens des autres.

Voilà la recette pour un parti majoritaire au pouvoir avec une minorité de 34 % du vote.

Bertrand (@BDmoi)

 

Le multipartisme et la partisanerie?

Le multipartisme, phénomène RELATIVEMENT nouveau, ici, dans ce système bipartite hérité des Anglais, est vraiment rendu dépassé. L’exclusivité inhérente de l’exercice du pouvoir, objectif de chacun des partis, crée une situation absolument intolérable, que l’on ne peut tolérer. Le schisme des partis, selon différents critères, empêche l’union de partis qui ont une différence avec l’autre. Ce qui est la nature même du multipartisme, avoir des différences. En gros, la division des gens en partis, est devenue une incongruité dans un monde où, supposément, on est plus éduqué, plus informés et tout le reste.

Le résultat d’une élection c’est que l’on donne une exclusivité, pour un temps donné, du pouvoir. Théoriquement pouvoir législatif, mais pratiquement le pouvoir total pour une période donnée. Le gouvernement est maintenant impliqué dans toutes sortes de décisions et le fait qu’un parti minoritaire, 34% des votes, soit un gouvernement majoritaire dans les faits est aberrant.

Il faut, mais nous n’aurons pas, une refonte du système qui nous amène dans le monde de 2017. Québec Solidaire est passé à côté de l’occasion. Mathématiquement et logiquement, leur position est indéfendable. Quand j’entends Gabriel Nadeau Dubois, fort de sa position de porte parole, dire qu’ils sont prêts à gouverner, on vois bien qu’il est encore dans la logique du parti qui mène le gouvernement. La plupart des membres désirent vraiment un changement, mais, la logique des exécutifs, de tous les partis, est de prendre le pouvoir pour faire que les choses demeurent comme celles qui nous ont amenées au pouvoir.

Donc si on veut une coalition de partis pour que cette coalition soit représentative de la masse des électeurs, au moins 50%, il faudrait coalition des partis pour se faire élire en vue de changer le système pour permettre les coalitions. Qu’est-ce qui arrive en premier, l’œuf ou la poule. Dans ce cas-ci il n’y a qu’une seule possibilité. Un coalition de partis pour créer un gouvernement de coalition qui va changer le système d’élection pour en arriver à une coalition. Mais l’opportunité n’existe pas.

Pour sortir du multipartisme, il y a une possibilité mais , elle est tellement anti-partis, que pas un , encore moins, une coalition de partis ne se créera pour en décider. Il faudrait la naissance d’un système où la responsabilité des élus soit réduite à des dimensions humaines et où, effectivement le système se gère de façon démocratique.

Le temps n’est pas encore venu. QS nous en a donné une idée précise en fin de semaine. Car on ne sait combien ont voté pour ou contre, toutes les données sont cachées et on n’a qu’à prendre la parole des organisateurs pour le croire. Nadeau Dubois dit qu’il croit que les membres n’ont pas confiance dans l’exécutif du PQ? C’est donc la preuve par 4 que l’on ne veut pas changer le système puisque ce sont les exécutifs qui mènent. Une autre gifle à la démocratie. Je ne crois pas voir la sortie de ce système avant ma mort. Tellement désolant. Plus les politiciens arrivent au sommet, plus ils sont pareils. Ils veulent accéder au pouvoir. C’est tout.

Bertrand (@BDmoi)

 

Et si on refaisait le calendrier de fêtes?

Fête de Dollard. fête de la reine, fêtes des patriotes… pourquoi faire division? Il faudrait retourner au laïcisme de l’État. Revoir le calendrier des jours fériés. Si, en changeant le régime politique, on changeait aussi les jours fériés en journées du citoyen?

Que ce serait une journée pour faire des référendums d’initiative populaires (RIP)? Cela pourrait se faire par internet. Jour où l’on consacrerait les lois adoptées par le gouvernement dans le mois précédent? Où l’On orienterait le gouvernement sur la volonté du peuple. On pourrait par exemple dédier le premier lundi du mois à cet exercice et par le fait même ce serait la journée fériée du citoyen.

Il nous faut une augmentation de démocratie. Il nous faut une augmentation d’informations aux citoyens. Il nous faut une augmentation d’implication des citoyens dans la chose publique.

Cela ne peut survenir sans changement dans la constitution. Comment y arriver? Par une coalition? Par un changement de pays? Par une changement de parti politique c’est certain. Le parti au pouvoir ne changera jamais les conditions qui l’ont mené au pouvoir. C’est une vérité. Alors il faut innover.

Bertrand (@BDmoi)