Le monde n’est pas fou.

Quoi que vous pensiez, le monde n’est pas fou. La réalité est que la majorité des personnes sont à un certain point raisonnables. Mais, quand il est question d’argent, le cerveau débranche. Ils deviennent des zombies à la recherche insensée d’argent dont ils n’auront que faire. Non seulement ne sauront ils que le dépenser mais, en plus ils surchargeront leur résidence avec des objets qui ne leur serviront pas.

Le malheur n’est pas qu’ils existent, non! Le malheur est qu’ils n’ont de cesse de s’exprimer pour partager leur folie. Ai-je dit folie? Je ne sais plus quoi croire. Twitter, maintenant X, est la meilleure preuve de ce que j’avance. L’argent est l’entropie de la civilisation qui essaie de s’améliorer.

Je combats cette entropie depuis 1630 textes. ET je continuerai tant que je le pourrai. X me le permettra-t-il? J’espère que oui mais, il a déjà grandement hypothéqué ma portée. Triste, mais, je ne m’avoue pas vaincu.

Bertrand (@BDmoi)

C’est les vacances…

C’est les vacances et ça signifie quoi? Pour la majorité des gens, il y a toutes sortes de significations. Que ce soit temps gagné ou temps perdu. Pour les gens à la retraite aussi. Il n’appartient qu’à nous de se considérer en vacances ou pas. Pour les maniaques de la performance c’est un repos bien mérité pour les indolents, enfin le temps de ne rien faire, bien des gens considèrent ne rien faire durant les vacances. Mais, les voyageurs profitent de ce temps.

Les vacances sont aussi le temps de réaliser qu’On perd notre temps le reste de l’année. Je suis à la retraite et je ne prends pas de vacance. Je continue à livrer de la pharmacie et à faire du bénévolat. Mais, c’est le temps des vacances et le bénévolat est plus rare. Ce temps de relaxe me fait apprécier le reste de l’année où je suis occupé à faire ce que j’aime.

Le temps des vacances peut être un moment de révélation suprême ou au contraire (ce qui est le même dans les faits) de désolation pour le temps perdu le reste de l’année. Mais pour la grande majorité des gens, y compris bien des gens à la retraite, est-ce le temps de ne pas penser, mais, dépenser.

J’ai souvent écrit “je suis riche de tout ce que je peux me passer” mais, dois-je à la réalité de penser que “je suis riche de tout ce que mon temps me permet d’amasser”. C’est ça que ça veut dire “prendre le temps”. Il n’y a que du temps, celui de la naissance à la mort. On le divise en toutes sortes de façons mais le temps est intemporel, il s’écoule. On est libre, comme dans un ruisseau, d’étancher sa soif de vivre ou pas. N’est-il pas curieux que l’On n’entende que ceux qui pleurent qu’ils n’ont pas le temps. Ceux qui sont occupés n’ont pas le temps de se plaindre? Non! Il y a ceux qui manquent de temps parce qu’Ils amassent et ne prennent pas le temps de jouir de leurs possessions pour en amasser plus, et ceux qui ne prennent pas le temps qui leur est donné pour saisir les opportunités.

Tout cela c’est la base de ma philosophie du “ASSEZ”. Ni trop, ni trop peu, sont agréables. Aussi faut-il utiliser le temps pour acquérir et jouir des bienfaits que le temps nous apporte. Tout est dans le dosage. Le temps des vacances, bien utilisées, nous permet à la fois de faire un retour sur l’année et une projection de nos besoins pour l’année à venir.

Bonnes vacances!

Bertrand (@BDmoi)

La nuit, un intermède salutaire?

La nuit un intermède salutaire, ou une intermission entre deux périodes malheureuses? On dit la nuit porte conseil. C’est faux et c’est vrai. La nuit est une période de temps propice en ce sens que c’est un temps où l’On permet au cerveau de faire un certain ménage dans nos émotions de la journée.

J’ai réalisé que le temps de sommeil est une nécessité quand j’ai eu mon premier CPAP. Je suis passé de nuits de 4 heures à 8 ou 10 heures de sommeil chaque soir. Et ce d’Un jour à l’autre. J’ai atteint un niveau de calme et d’acceptation inconnu jusqu’à quelques mois après l’acquisition du CPAP. Vous dire que ça m’a changé? Non! Ça a changé comment je voyais la vie et comment je prenais les occasions d’exceller. Je semble faire l’apologie du CPAP ici. Ce n’est pas mon objectif. IL faut savoir qu’un monde de bien-être existe.

SI, et je dis bien si, la vie est un combat pour vous? IL n’y a pas lieu d’être. Cherchez ce qui perturbe vos nuits. IL y a des gens qui sont très bien et très affables sans sommeil long. Représentent-ils 5% de la population. Mais en faites-vous partie? Je ne crois pas.

J’ai résolu mon problème d’apnée du sommeil avec le CPAP. Mais je n’ai trouvé la paix et le bonheur qu’en éliminant mes soirées. Plus de violence ou de nouvelles déprimantes à la TV. Je m’endors sur la TV en écoutant le baseball, à faible volume au cas où elle partirait et que Rodger s’exclamerait, et la télé se ferme automatiquement après 30 minutes. Je me couche donc vers 6 heures du soir et je me réveille aux alentours de 2 heures du matin. Vous dire comment je suis bien reposé? C’est incroyable.

La nuit? Vous le savez je réfléchis et j’écris. Ça me permet de décanter les émotions de la veille et de trouver des solutions aux problèmes auxquels je m’attaque. Ceux qui me suivent savent que je m’attaque à plein de sujets et que j’exprime mes pensées de façon claire et soutenue.

J’espère, par le présent texte, vous inspirer à essayer quelque chose de nouveau pour votre bien-être. Il faut un peu de temps pour en éprouver les effets, mais s’essayer c’est vivre en voulant le meilleur. Je suis à la retraite mais, ça peut s’appliquer à tous. Effet secondaire, on accepte mieux les autres et on se découvre soi. C’est la grâce que je vous souhaite.

Bertrand (@BDmoi)

Toutes ces mises en garde.

Toutes ces mises en garde, de tous les intervenants “éveillés”, tous ces beaux principes, révèlent 2 choses. La proportion de crédules irréfléchis augmente et le sentiment de pouvoir personnel diminue. Est-ce directement proportionnel? Je ne saurais dire. Mais l’abandon de postes de responsabilité par des individus compétents démontre qu’on est en plein déclin de civilisation.

La décadence? On est en plein dedans. Il y a bien des irréductibles mais, ils observent sagement à l’extérieur. Peu s’expriment, beaucoup se désolent. Il y a eu une période de grande noirceur dans l’humanité, on l’a appelée le Moyen-Âge. Puis vint la Renaissance, le moyen-âge ayant duré 1000 ans et la Renaissance environ 200 ans, pour aboutir à ce qu’on appelle les temps modernes.

Où en sommes nous rendus? Je ne sais pas. Mais, j’aimerais savoir ce qui se passera dans les prochaines années (20-50 ans). Comment qualifier une période de l’humanité où la technologie prendra de plus en plus de place et l’humanité perdra de plus en plus ce qui a amené la technologie, soient la science et l’imagination. Ce sera entre le film “idiocratie” et le livre “Le meilleur des mondes”. Mais dans quelle proportion?

J’appelle, depuis des lustres, les gens à réfléchir et à utiliser leur pouvoir personnel pour identifier leurs besoins propres et chercher à les satisfaire. J’ai écrit près de 1700 textes qui, d’une façon ou d’une autre, font l’état de la situation et proposent des voies de changement. Changer pour changer n’avance à rien. La preuve? Elle se fait depuis les années 50. Le troisième millénaire verra-t-il l’effondrement de l’humanité? Plusieurs le croient. Je ne suis pas de ceux-là. C’est certain que, s’il y a usage de l’arme atomique, l’humanité disparaîtra pour longtemps. Mais, j’ai encore confiance un petit peu. J’ai le sentiment d’avoir vécu la meilleure partie de la civilisation pour un bon bout de temps. Combien?

Bertrand (@BDmoi)

Il y a tant de beauté dans le monde.

Il est tant de beauté dans le monde et pourtant il en part tous les jours. Sinead O’Connor, avec qui je sentais un lien, à cause de la maladie, a chanté de magnifiques chansons. “Nothing compares to you” a propulsé sa popularité. Ses chansons étaient animées d’une âme, qui rayonnait de l’intérieur. Elle a été controversée mais toujours honnête. On doit lui reconnaître ça.

La parité, voulue par certains, empêchée par tous, ou presque, n’arrivera que lorsqu’on acceptera l’autre comme il, ou elle, est. Avec ses forces, ses faiblesses et ses sensibilités. Ne pas s’émouvoir de l’autre et le laisser exister. Pour cela il faudra l’Inverse aussi.

Ne pas chercher à être reconnu. Chercher à être reconnu est une plaie de la société moderne, de la médiatisation de tout et de rien. Il faut être fait fort pour passer par-dessus l’idée que l’On a que les autres ont de nous. Être bipolaire nous amène dans des sentiments exacerbés. Mais on peut s’en sortir, j’en suis la preuve vivante. J’ai bien failli ne jamais vivre mes soixante ans. Mais, à 69 ans ai-je acquis une force terrifiante, celle de ne plus me préoccuper de l’opinion des autres. J’ai affronté l’adversité, et je l’ai vaincue. Comment ce serait beaucoup trop long à expliquer. Qu’il suffise de dire que j’ai eu la chance de rencontrer un artiste psychiatre et de respecter les engagements que j’ai pris avec lui. Ensemble, on a essayé une quarantaine de médicaments, avec finalement un succès qui dure depuis 10 ans. DR Pilon, je vous suis reconnaissant de m’avoir aidé durant ces quelques 30 ans qu’ont duré notre cheminement commun . Il a pris une retraite bien méritée. Je suis orphelin de psychiatre mais absolument bien pourvu pour le restant de mes jours. Il m’a fallu 7 psychiatres pour trouver le DR Pilon.

Heureusement car je n’ai plus la patience d’en trouver un autre. J’ai eu récemment une rencontre avec une stupide psychiatre qui était plus intéressée à ses tabarn.. de formulaires qu’à reconnaître ma spécificité. Je hais les psychiatres, en groupe. Ils nous traitent comme des enfants et nous font sentir tout croche parmi l’insignifiance de la majorité qui n’a conscience d’exister. N’est-ce que parce que nous sommes torturés de questions que nous sommes vivants, en attendant de mourir. Je soupçonne que Sinead n’a pas eu la patience d’attendre.

Je suis un individu très patient. Beaucoup peuvent vous le confirmer. Mais parfois, vous êtes très difficiles à tolérer. Pensez-y et vivez en laissant les autres vivre.

Bertrand (@BDmoi)

Apprendre à vivre le temps.

Apprendre à vivre le temps, il faut commencer à se poser sérieusement la question. Qui peut enseigner à prendre le temps de vivre? Peu de gens en ont assez d’expérience pour le faire? Faux! Beaucoup de gens en ont l’expérience et on les stationne dans des mouroirs. Mais il est une réalité dans ce fait c’est que peu de personnes en ont la connaissance et encore moins l’honnêteté de reconnaître qu’ils ont perdu leur vie.

Jugement dur? Oui! D’abord jugement. Qui est-on pour juger de la validité d’une vie? Et deuxièmement qui est-on pour dire qu’on a connaissance d’une vie? La seule vie que je connaisse est la mienne. Avoir l’outrecuidance de juger d’une vie quelconque, même si ce n’est que la vie professionnelle d’une personne, est un gravissime péché. Mais… L’article de J-F Lisée sur Ginette Reno dans LE DEVOIR est un bienfait. Il nous fait relativiser le but d’une vie et l’apport que nous pouvons avoir autour de nous, indépendamment de ce que les autres peuvent juger de ce qu’est le succès.

Je pourrais enseigner aux jeunes que le succès d’une vie réside dans ce qu’on a essayé et aimé. Il réside aussi dans ce qu’on a fait quand on a détesté quelque chose. Le succès d’une vie, estimé par la personne qui juge, ne peut se faire que par la personne elle-même.

Il est un urgent besoin d’enseignants du temps de vie. Le rythme de la vie actuelle est tellement rapide que l’on en est rendu à l’instantanéité et de l’évanescence des émotions. Une est remplacée par une autre immédiatement sans avoir l’occasion d’en tirer les leçons. Les stimuli arrivent tellement rapidement que c’en est hypnotisant. On ne vit plus on existe en réaction.

Ce texte est écrit pour dénoncer l’usage de la technologie dans les salles d’enseignement. Rien, mais rien ne vaut la présence réelle d’un humain. Il faut ajouter, ponctuellement, l’apprentissage de l’utilisation de la technologie pour permettre à ajouter à la compréhension du message. La technologie, telle qu’utiliser actuellement, ne sert qu’à accélérer le rythme et en aucun temps ne sert-elle à s’apercevoir que la quantité n’a pas d’importance, il faut se préoccuper de la qualité des rapports humains. Plus on augmente la quantité, plus on éloigne de la qualité. C’est un constat très personnel.

Bertrand (@BDmoi)

Le temps de l’affirmation est terminé.

Le temps de l’affirmation est terminé nous sommes rendus dans l’univers de la négation absolue. Il fut un temps où s’affirmer était signe de courage. Aujourd’hui nous sommes rendus au moment où il faut se conformer à la négation de ce que l’On est et où on doit nier ne pas être de ceux qu’il est communément admis qu’Ils ne sont pas parfaits. Compliqué vous dites?

Ce soir je me suis fait réveiller en soirée par une annulation de rendez-vous pour demain matin. Ça arrive, ce n’est pas grave. Le drame c’est que je suis allé voir sur TWITTER ou x à une heure où normalement je dors. Horreur! de 9heures à 10 heures du soir, j’ai lu tout ce que je pouvais voir sur mon fil. Je me suis toujours fait un point d’honneur de suivre une diversité de gens. Les bots ont envahis les messages le soir. Ils se RT et se répondent sans arrêt. Le réseau assène des coups de butoir pour imprégner un atmosphère de légitimité des pires théories qui amènent à la division des gens. L’idée générale c’est que le moindre défaut, du moindre humain, ne peut être toléré et est un tache sur l’humanité entière qui dépérit.

Affirmer sa différence d’opinion? Oh que non! Et les gens osent parler d’un isolement grandissant des individus. le consensus social est devenu un dogme des politiciens et des médias. On est rendu, socialement, à dire qu’il faut dire comme l’autre pour ne pas qu’il pense qu’On pense autrement mais, on pense autrement. Alors mieux vaut ne pas faire voir qu’on pense et encore mieux, ne pas penser. HYPOCRISIE totale des simples d’esprits qui suivent le mouvement. Il est maintenant admis que de ne pas nier que l’On affirme quelque chose est cacher ses turpitudes personnelles.

Nous sommes vraiment mal foutus, pas à cause des réseaux sociaux mais à cause de notre non-usage des réseaux sociaux. S’horrifier de ce qui y circule est facile. En décrier le fait est passer pour un hurluberlu. Le PROBLÈME n’est pas la machine. C’est un outil inanimé. Ces temps bénis, pour l’Intelligence artificielle, qui permettent de faire semblant d’une certaine conformité à la majorité amènent un déclin des manifestations de l’intelligence humaine. L’Imagination et le questionnement de celle-ci (imagination) sont tellement hors-norme. Toute interrogation est vue comme négation du courant principal. Le fameux “si vous n’êtes pas avec nous, vous êtes contre nous” règne en maître. Le monde virtuel est divisé en 2 pôles. Le monde réel est divisé en 3. Les deux extrêmes qui se répandent et se répondent et la masse éberluée dans le milieu qui ne sait ce qui se passe.(Ne pas oublier que la majorité des gens ne sont pas sur les réseaux sociaux).

Peut-être l’ai-je tout faux mais c’est ce que j’affirme avec passion. Mieux vaut être sourd que d’entendre ça mais, je ne suis pas sourd et je crois que j’ai une certaine intelligence. Faire appel aux hauts sentiments humains n’est pas populaire. Que voulez-vous? Il y en a que l’anonymat n’effraie pas.

Bertrand (@BDmoi)

L’entropie et l’argent.

L’argent et l’entropie de l’âme. Plus il y a d’argent en jeu plus il y a entropie des valeurs humaines. L’entropie du bon sens et de l’humanité augmente avec la somme d’argent. En clair, il n’y a jamais eu autant de faiblesses humaines dans la société, quelle qu’elle soit sur Terre, qu’en relation directe avec l’argent qui ne circule pas. L’argent désorganise les gens. L’inflation c’est la vitesse à laquelle, les lacs d’argent (lieux où l’argent s’accumule, les riches et les organisations) aspirent l’argent en circulation.

Les lacs d’argent sont les moteurs de l’entropie de l’âme. Plus on injecte d’argent dans le système, plus il cherche à se concentrer dans certains endroits qui disposent déjà de quantités énormes d’argent. Le dicton: l’argent appelle l’argent, est d’une réalité dévastatrice.

La vie c’est chercher à satisfaire ses besoins affectifs et physiques. Les besoins physiques sont limités. Manger, boire, dormir et avoir un toit qui protège des éléments est assez limité, pour la plupart des gens. Transférer les besoins affectifs (sécurité, sociabilité et reconnaissance des autres et de soi) en quantité d’argent à sa disposition détourne l’individu moyen en destructeur de son environnement et exerce un effet d’insatisfaction généralisé.

Depuis longtemps j’appuie sur la notion que la vie c’est satisfaire ses besoins. Besoins, n’étant pas désirs. Tout comme l’amour n’est pas le sexe. On dit que la priorité un de la société c’est l’ÉDUCATION. Rien, mais rien n’est plus faux. L’argent détruit tout et l’éducation en écope en premier. N’instruit-on les jeunes à consommer et à faire le maximum d’argent. Là est toute l’horreur de nos actions.

S’arrêter et y penser? Tout l’argent qu’on perdrait. C’est un enfer sur Terre et rien ne m’horrifie autant que le comportement des gens face à l’argent quand la seule chose qui soit comptée c’est le temps de vie.

Bertrand (@BDmoi)

On a voulu me convertir.

On a voulu me convertir. Moi, une tête de pioche. Ceux qui me suivent et qui me lisent savent que mes pensées sont profondément ancrées. Elles ne sont pas fortuites et rarement sont-elles temporaires. Un prêtre, tellement obnubilé par ses convictions, a essayé de me convertir à un certain miracle. Tout au long m’a-t-il parlé de “Dieu le Père” et qu’on doit passer par le fils pour rejoindre le père. En aucun temps n’a-t-il essayé d’écouter et savoir ce que je croyais, moi, partir de ma croyance et tirer des lignes conductrices pour nous rapprocher dans nos idées. Je suis ce qu’On pourrait appeler un panthéiste, un individu qui pense (et non croire) que l’Univers est éternel. L’idée de rapprocher Dieu de l’Univers ne peut entrer en accord avec ses dogmes. Pourtant je suis ouvert d’esprit.

J’utilise cette occasion pour parler directement aux souverainistes, indépendantistes, fédéralistes et autres qui essaient, par violence verbale, de répandre leur idéal en ne sachant pas à qui ils s’adressent. Ne perdez pas votre temps à houspiller ceux qui croient à l’Option inverse. Écoutez les. Je n’ai pas dit “tolérez-les” mais bien, écoutez les. Souffrez de ne pas être d’accord et cherchez les points de rencontre.

Tout le temps que vous consacrez à cette rencontre ne vaut rien si vous ne faites qu’imposer votre point de vue sans essayer de partager celui de l’autre. Cette attitude ne fera pas que l’autre essaiera de partager le vôtre. Il y a tellement de points où l’on peut être d’accord mais, ne s’intéresse-t-on qu’à gagner notre point en assénant notre poing sur la gueule de l’autre. Douleur pour tous.

Les choses vont de la manière qu’elles vont parce que nous agissons de la manière que nous agissons. Si nous ne changeons pas nos façons d’être, les choses ne changeront pas. Logique? Tellement que c’en est ridicule de voir aller les gens.

Je ne me pense aucunement supérieur dans mes pensées. Je crois sincèrement qu’elles sont réfléchies. Mais, je doute particulièrement de la profondeur de ce que les gens adoptent, à gauche et à droite, de ce qu’ils perçoivent du monde sans s’interroger sur la probabilité du fait. En clair, les gens, en majorité, régurgitent ce qu’on a imprimé dans leur vie. Peu se sont posés la question est-ce que cela peut être réel. On aime ou on n’aime pas. Cela laisse peu de place à la discussion.

Trouver des points de rencontre est le but de la sociabilité et non pas l’Épaisseur du porte-monnaie. Notre société l’a tout faux et c’est pourquoi vous jugez que les choses vont mal. Vous perdez votre temps à essayer de convertir l’autre à vos idées. Cherchez à comprendre l’autre, ainsi il y aura un début de communication quelque part.

Partagez mes idées ou pas ce n’est pas important. Je n’essaie pas de vous convertir. J’essaie simplement de rendre le monde plus accueillant pour le monde. Cela commence par un beau bonjour! et des oreilles et un cerveau ouvert. Le coeur viendra bien assez vite.

Bertrand (@BDmoi)

Pourquoi toute cette propagande du désastre?

Pourquoi toute cette propagande du désastre? Les médias, oui! les sempiternels médias n’ont de cesse de nous harceler et nous assommer de nouvelles horribles et émotives. Tout ça pour essayer d’émoustiller les lecteurs ou auditeurs afin de susciter un élan de générosité envers leurs goussets. Soit pas don ou par sondages. Peu importe que j’écoute ou pas, que je lise ou pas, je répondrai toujours à quelque sondage que je reçoive, que je ne regarde plus les médias. Je prends mes informations sur internet où je sais que tout circule. Le vrai comme le faux.

J’ai une grande soif d’information mais ce n’est pas dans les médias que j’y trouverai de quoi l’Étancher. C’est dommage, je suis prêt à payer mais, pas pour me faire emplir de propagande et de publicité trompeuse.

Bertrand (@BDmoi)