Les fous rendent la technologie folle.

Bertrand dépeint notre monde comme un asile où tous, des médias aux politiciens, participent à une folie collective. Il critique la technologie qui propage l’insignifiance et la réaction impulsive, évoquant une surstimulation et un manque de repos qui détériorent l’humanité. Il se sent isolé, témoignant d’une époque révolue où l’action consciente prévalait sur les automatismes sociaux, se désolant de l’érosion de l’espérance de vie et la perte d’humanité.

Les fous c’est nous qui lisons les médias des fous qui essaient de rendre fous les politiciens qui sont issus d’un monde de fous. Ça m’a fait du bien de le dire, mais encore suis-je assez fou pour essayer de le démontrer.

J’aimerais bien savoir à qui profite toute cette folie. La technologie que l’on a développée ne sert qu’à répliquer, en quantité illimitée et à une vitesse ahurissante des choses qui n’ont plus le temps d’exister. Elles ne font que passer, sans approfondissement sans amortissement des coûts et sans vraie compréhension des effets de L’accélération d’un temps, qui lui ne bouge pas.

Tout n’est rendu qu’impulsion fugitive, irréfléchie dans sa nature et ses effets à court et à long terme. On attribue à des outils des vertus humaines dont ils ne sont dotés que par la main d’un être tellement spécialisé qu’il n’est qu’il n’a plus conscience de la réalité qui l’entoure.

Je me sens très isolé, à part quelques personnes, qui contestent mes dires. Eux au moins réagissent. Agir est le pouvoir humain dont nous disposons. Mais encore faut-il que l’âme et non les habitudes et les conventions dictent le monotone déroulement de folie.

La maison des fous d’Astérix, c’est nous. Dans tous les domaines de communication publique. Le wokisme apparent n’est rien face à la folie qui règne dans les cerveaux des gens surstimulés et sous reposés. L’usage inadéq1uat des médicaments par les gens les rend inhumains et influençables.

Cela commence à produire des effets qui n’avaient jamais été remarqués auparavant, l’espérance de vie diminue d’année en année. J’ai, je dois le dire, vécu l’âge d’Or de l’Humanité. C’est le cœur léger que je quitte ce que les humains sont devenus. Ils ne vivent plus, ils existent dans la folie d’un monde déjanté.

Bertrand (@BDmoi)

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