L’inacceptable est inacceptable

Inacceptable est déjà inacceptable. Inacceptable demande une riposte immédiate et prompte. De la force nécessaire pour faire modifier le comportement.

Inacceptable ne se répond pas. IL S’AGIT. Il n’y a parole à dire contre l’inacceptable.

Alors avant de dire que quelque chose est inacceptable, soyez outré et ne tolérez pas l’inacceptable.

Bertrand (@BDmoi)

 

L’enflure verbale et les politiciens

L’enflure verbale. Un mal qui atteint de plus en plus de gens mais particulièrement les politiciens. C’est désolant. On ne peut dire rien qui ne soit déformé dans l’émission du message et encore moins dans la réception. Un mot, particulièrement est galvaudé à qui mieux mieux. Il s’adit du mot “raciste”. Il y en a bien d’autres mais prenons celui-ci pour illustrer le propos.

Tout et son contraire, que l’on peut imaginer, est taxé de racisme. On peut, calmement, énoncer toutes les nuances de toutes les positions. Tout d’abord le racisme est dans l’œil de celui qui qui l’énonce. On peut très bien énoncer notre point de vue, qui peut être différent, sans être raciste. Mais on n’a plus le droit de dire quoi que ce soit, sans se faire houspiller par quelqu’un qui a un avis (opinion) différent.

J’en ai soupé des “Charlies” qui n’en sont pas. Ou bien vous êtes pour la liberté d’expression ou bien vous vous offusquez des dires d’un autre. Mais vous ne pouvez être les deux. Ne vous demandez pas ce que vous pensez. Demandez-vous ce que vous faites et alors vous aurez votre réponse. La vôtre, votre vérité. Si vous n’êtes pas fier de vous, c’est votre problème. Ce n’est pas à l’autre de changer d’attitude mais à vous.

ALors, selon nos lois, on a la liberté d’expression. Je m’excuse mais la liberté d’expression se manifeste par une acceptation des dires des autres. Pas par des vociférations que vous avez le droit à la liberté d’expression. Acceptation n’est pas partage mais bien acceptation. On accueille l’autre et on peut lui répondre avec des arguments. Pas des jugements téméraires de ce qu’il a dit.

Assainir l’ambiance est mon but. Mais, je m’attends, à une opprobre de quelques-uns, qui n’auront pas lu ce que j’ai écrit.

Bertrand (@BDmoi)

 

Il faut savoir garder sa bonne humeur

Beaucoup, même beaucoup beaucoup, n’existent que par le regard des autres. c’est tellement faux que les gens sont malheureux et que l’image que les autres renvoient d’eux, les trouble.

Il faut savoir garder sa bonne humeur.Celle-ci , parfois, vient naturellement. D’autre fois il faut un travail de réflexion pour y arriver. Dans notre tête, l’image que l’on se fait d’une personne, change-t-elle la personne? En quoi que ce soit? Non! Ce n,est que la communication de cette image à l’autre qui peut avoir une quelconque influence. Et encore pas nécessairement dans le sens que l’on voudrait bien.

ALors, on est maître de l’image que l’on renvoie. Il appartient à nous de changer l’atmosphère, en essayant de projeter l’image que l’on voudrait que l’autre arbore à nos yeux. C’est un peu alambiqué mais c’est la réalité. Transformer l’atmosphère en gérant l’image que l’on renvoie des autres.

Il faut savoir garder sa bonne humeur et le monde en sera changé. Tout le monde!

Bertrand (@BDmoi)

 

Pourquoi les gens sont déçus?

Pourquoi les gens sont déçus? Pourquoi utiliser le mot “LES”. Parce que c’est ce qu’on entend presque exclusivement. Médias et politiciens ne font que ressasser ce qui ne passe pas. Bien souvent ils en sont la cause. Alors où est-ce que je veux en venir?

Tout d’abord mettons un principe sur la table. Un être humain, quel qu’il soit, ne bougera que pour aller chercher un avantage ou éviter un inconvénient. Est-ce vrai? Fondamentalement, Oui! Mais il y a une arnaque. Que l’avantage ou l’inconvénient soit réel n’est absolument pas important. Tout ce qui compte, c’est qu’il soit perçu par l’humain en question.

Cela nous amène donc à une première constatation. Si l’Humain bouge pour éviter un inconvénient? Il sera déçu d’avoir eu à bouger contre sa volonté de demeurer inerte. La loi de l’inertie prévaut entièrement dans toute la Réalité autant physique qu’humaine.

Donc s’il bouge pour aller chercher un avantage, faut-il que l’avantage soit là? Pas nécessairement. Souvent on prend des vessies pour des lanternes. S’attendre à un résultat positif se traduit immédiatement par des attentes. La première cause de déception est justement les attentes. Donc les chances pour être déçus sont immense parce que notre monde est un monde d’apparences. Du moins, le monde humain.

Alors, en conséquence, amusons-nous et faisons en sorte de nous faire plaisir en faisant plaisir aux autres. Vivons notre vie au lieu de viser ce qui n’est pas.

Bertrand (@BDmoi)

 

Réponse

L’inertie est inexacte. Les libéraux n’ont que l’économie, supposément, en tête. Ils tripatouillent dans les conditions sociales en niant la réalité civile. Toutes les nuances existent. Ils se doivent de représenter toutes les nuances et trouver une synthèse qui puisse, réalistement, unir les citoyens.

La notion de citoyen n,existe pas pour le gouvernement Couillard. Par conséquent, la notion de politicien n’existe pas non plus. La Politique, avec un grand P, est l’art du possible.

Couillard et sa gang ne sont pas des artistes mais des techniciens de scène.

Bertrand (@bdmoi)

 

À l’ombudsman de Radio-Canada

J’écris ce texte et suis encore dans l’expectative de l’envoyer. Tout dans la vie procède de l’intention réelle quand il est question de relations humaines. Je tergiverse encore, à savoir si mon intention réelle est de me défouler ou de rendre service à M. Blanchet, aux EX, à RDI et à Radio-Canada.

Vous investissez beaucoup dans le succès de l’émission. Vous en augmentez la diffusion. Le mandat qui est dévolue à votre organisme, compensé par l’argent des citoyens, consiste à informer et à éduquer la population. C,est du moins ce que j’en retiens.

Je veux vraiment participer à améliorer le concept. Mais il ne peut, en aucun temps, survivre à des démonstrations répétées du genre que je déplore. J’ai abandonné l’émission l’an passé pour des raisons de discourtoisie de certaines personnes.

Traiter, ne serait-ce qu’une partie de l’auditoire, de Ti-Coune B.S. intellectuel assis sur Twitter avec WordPress, me semble péjoratif et dénigrant. Je suis un nobody, sur le B.S, j’utilise WordPress et j’aime converser avec les gens. Je N’utilise pas de quolibets et je parviens, à l’occasion, à avoir de magnifiques conversations avec des gens qui ne partagent pas mon opinion.

Vous êtes au début d’une nouvelle saison. Il est de bon ton de faire remarquer les points qui méritent une amélioration. Le respect des gens, est de mise, dans un organisme d’état. Toutes les gens, de toutes les provenances.

Alors je ne veux pas de rétractations ou autre. Je veux une émission qui nuance les propos et qui explique TOUS les avenants et les aboutissants d’une question.

La réalité est composée de différentes nuances, selon différentes personnes. Vos EX sont payés grassement, ce n’est pas l’important, pour profiter d’une tribune qui n’est pas donnée à beaucoup. C’est un privilège immense dans notre société où la notoriété est plus valorisée que la pertinence.

Alors en conséquence, j’attends, le respect de tous les citoyens, de toutes les origines et que l’utilisation de stéréotypes cesse dans cette émission.

Bien à Vous

Bertrand Dugré (@BDmoi)

bertdugre@videotron.ca

1250 ch de l’Église #12

St-Polycarpe,   QC

J0P 1X0

 

De la liberté d’expression

Il y a tant à dire. Mais si peu écoutent. La liberté d’expression, d’après moi, tire sa légitimité du fait que de percevoir l’ensemble des perceptions individuelles ne peut se faire que dans la transmission de chacun des points de vue de la population. Le seul moyen que nous avons est la communication via le langage.

La liberté d’expression devrait être la liberté de transmission de vision et non la liberté de vocifération de nos jugements de la vision des autres. En clair, dites-moi ce que vous voyez , c’est votre droit et même votre devoir. Vous n,avez pas à me dire ce que vous en pensez. Surtout pas à qualifier ma vision de connarde ou autre.

Argumenter, nuancer sa vision, et pas obstiner ou ergoter sur la vision de l’autre, est l’outil à privilégier. Cela demande donc, volonté de partager et temps passé à communiquer. Aujourd’hui beaucoup n’en ont que faire. On vocifère des jugements à l’emporte pièce et on passe à d’autres frustrations. Résultat: frustration et incompréhension généralisées.

Nos politiciens en tirent avidement parti. Alors faut-il se surprendre que l’atmosphère sociale soit à déféquer. Je le dis et je le pense, il est dommage qu’un outil aussi fantastique que Twitter soit-il si mal utilisé. Il n’est point nécessaire de faire une super analyse de textes pour en voir le mauvais usage de cet outil de communication.

Certains blâment le format d’utilisation. C’est qu’ils veulent tout mettre dans un tweet. La conversation est la seule façon de communiquer efficacement les nuances. Les blocs Légo, permettent une représentation grossière des choses, mais la pâte à modeler se rapproche beaucoup plus de la réalité. Un Tweet est un bloc légo. Il faut un ensemble pour représenter une partie de la réalité.

Amusons-nous et communiquons. L’avenir de l’Humanité est en jeu.

Bertrand (@BDmoi)

 

Les politiciens Fiou!

Les politiciens qui choisissent leur camp. Ha ha ha Comment pourrait-il en être autrement. Ils font ce qu’Ils veulent. Pas ce pour quoi ils ont été élus. Ils ne représentent personne d,autres qu’eux. J’en ai soupé d’entendre les chefs politiques parler “des”. “Les” n’existent pas. Il y a pluralité de pensées et d’opinions. Ils ont la tâche inhérente de nuancer leurs propos.

Tout ce que j’entends des politiciens est “Je pense”, “Je crois”, “Je veux”…et tant d’autre choses personnelles. Vous êtes supposés (supposés) être le mode de synthèse des différentes tendances dans la population. Loin de synthétiser et de montrer toutes les nuances, vous ne faites que vous opposer, par partisanerie, et par dogmatisme.

Mesdames et Messieurs, les politiciens, un par un vous avez peut-être de l’allure, mais, en gang, vous en manquez grandement.

Je ne fais pas comme Régis Labeaume et traiter les gens de crétinisme. Mais je n’en suis pas loin de le penser.

Bertrand (@BDmoi)

 

Mon credo et mon code de vie

Je viens de me faire dire que j’étais un prédicateur et un sauveur des âmes. C’est peut-être vrai, et j’en serais honoré. Mais je ne suis que moi. Heureux, serein et aimant vivre tout simplement. La façon dont les autres me voient ne m’appartient pas.

Il est certain que j’aime communiquer, parler avec les autres et calmer les tensions. Mes intentions sont les miennes et ne peuvent qu’être interprétées par les autres. Aussi puis-je vous assurer que mes intentions sont pures et ne visent qu’à améliorer le monde autour de moi.

Mais mon code de vie est celui-ci. J’essaie d’être le meilleur que je puisse être et ce, dans la meilleure disposition que je puisse vivre. Je fais mon possible. Et je peux beaucoup. Simplement en essayant de répandre ma vision de la réalité, puis-je espérer que celle-ci prévale?

Alors ne prenez pas ombrage de mes propos. Mais, essayez de compare votre réalité à la mienne. Peut-être ainsi l’humanité atteindra-t-elle la joie de connaître enfin la Réalité?

Bertrand (@BDmoi)

 

 

Solliciter des appels pour faire passer un message?

Solliciter des appels pour faire passer un message? À quoi sert d’avoir une émission de ligne ouverte? Pour faire passer le temps au cas où les invités n’auraient rien à dire? Que la discussion ne lèverait pas? Passer un message déjà rédigé? Les commentaires qui passent sur les ondes semblent aligner à une idée préconçue que l’on veut faire passer.

J’en prends exemple sur l’émission de Catherine du 15 août 2017 sur les réseaux sociaux. Êtes-vous accrocs aux réseaux sociaux? J’ai communiqué tôt pour exprimer que les réseaux sociaux ne sont qu’un outil pour utiliser son temps. Beaucoup de gens sont obnubilés par l’outil. J’aurais pu faire part que l’utilisation du temps, dans notre société, est comme l’utilisation de l’argent. On le dilapide sans se demander quelles sont les priorités pour satisfaire ses BESOINS.

Cela aurait eu une influence sur la conversation. Mais celle-ci n’a déviée, malgré les efforts d’auditeurs, de la ligne directrice. Je passe des heures sur Twitter, à la recherche de discussions. Conversations agréables avec les gens. C’est comme à la pêche, je suis très patient. J’ai du temps à revendre.

Je fais part de ma déception, non pas par frustration, mais par réalisation que les médias nous traitent mal. Comme les médecins qui font attendre les patients pendant des heures. Je ne sais quels sont les objectifs qui sous-tendent des émissions à succès comme Isabelle. J’en viens à penser que le seul objectif est la cote d’écoute. Le seul et unique. Comme on ne peut marcher et mâcher de la gomme au Québec, il est illusoire de penser qu’on peut élever le débat des choses visibles au premier regard.

La désillusion des gens, leur recherche avide de conversation alors que l’offre est presque inexistante. Mon cas n’est sûrement pas unique. La radio, comme Twitter, sont des outils fantastiques pour élever le niveau de discussion des gens. Mais on s’en sert si mal, que ce n’est pas surprenant que des gens comme Trump accèdent au pouvoir suprême de la possession de l’arme atomique.

Je vois déjà les réactions. Il est fou raide. Partir d’une émission sur les réseaux sociaux pour arriver à Trump. C’est ce qui manque cruellement sur les ondes et dans les médias. Juxtaposer des faits pour essayer d’en extraire une synthèse qui nous aide à modifier ce qui ne va pas. Actuellement, il n’y a que “Ah ça m’a fait du bien d’en parler” qui marche. Peut-on prendre l’auditeur pour ce qu’il est? Une personne entière qui est à l’affût de son environnement pour éviter le mal et essayer de promouvoir le bien?

Vous êtes payés, certains grassement, pour utiliser un outil qui a une importance incommensurable sur la population. Peut-être une réalisation du fait serait-elle à propos?

Cordialement

Bertrand (@BDmoi)