Peut-on combattre les actes de violence?

Peut-on identifier les actes violents et non ceux qui les posent. Je veux dire par là que l’on lutte contre les actes violents. Peu importe la couleur, la race, le sexe, ou la religion qui qualifient ceux qui commettent des actes de violence. La violence est à proscrire. Peu importe la victime l’acte est répréhensible au plus haut point.

Nier la liberté ou l’égalité de la personne en face de nous devrait nous amener à perdre nos droits à la même intensité que l’on a nié les droits de l’autre. Certains vont dire que c’est œil pour œil et dent pour dent. Pourtant, ce qui semble être le cas à courte vue, ne l’est pas. C’est basé sur la nature de l’offense faite à l’autre, la nature juridique et non physique. Nier les droits d’une personne est terrible de conséquences. C’est ce que nous devons à tout prix affirmer.

Nier les droits n’est pas nier tous les droits d’un être humain. N’est-ce pas ce qu’était le bannissement de la tribu? Ne pas faire partie de la communauté voilà le châtiment. Comment? De manière civilisée? Il faut croire à la réhabilitation, j’en suis, mais dans le cas de récidivistes, qui, deux fois, par leur comportement ont nié les droits d’une autre personne, spécifique, il faut les incarcérer à vie. Ça c’est mettre du sérieux dans la proposition. Pas dans les conditions de détentions actuelles, non, mais dans des conditions qui nient leurs droits à eux. Pas d’exemption religieuse ou autre. Pas de droit de communication ou de parole. Pas de pardon. En cas de viol (ce qui inclut la violence physique) ou de meurtre il faut que cela se fasse avec sérieux.

Je sais, c’est coûteux, oui mais on est sérieux ou on ne l’est pas. Personnellement, je serais presque prêt à envisager la déportation sur un radeau au milieu de l’océan, on appellerait ça le jugement final. Mais, aujourd’hui, trop de moyens existent pour récupérer les criminels.

Bertrand (@BDmoi)

S’il y avait un système?

S’il y avait un système peut-être y gagnerions nous? Mais il n’y en a pas. Il n’y a que des groupes, plus ou moins gros, de un à plusieurs milliers, ou des individus complètement déconnectés des autres qui agissent aléatoirement selon leurs intérêts propres. Hier j’ai écrit https://t.co/FeT8FziOQf les valeurs dégringolent. Je crois que celles-ci ont perdu tout droit de cité.

Si, il y avait un système il y aurait des règles claires et logiques, elles seraient appliquées de façon raisonnable par des gens responsables. Prenons le système de justice (remarquer le petit j). Un système a un but sinon ce n’est pas un système. Quel est le but du système de justice? Pour plusieurs le but du système est de faire respecter la loi. D’après moi, rien n’est plus faux. La justice assoit le pouvoir de celui qui en est le dépositaire. En aucun temps le système de justice prône-t-il l’Égalité des citoyens mais bien la déchéance de qui a contrevenu à la loi. On cherche un coupable et on le fait payer. Pour la moindre infraction à la loi. Pas de relativisation pas de jugement simplement a-t-il contrevenu à la lettre de la loi.

D’après moi JUSTICE est justice. Selon les valeurs prônées par le système, quels actes contreviennent aux valeurs et à quelle intensité? Les valeurs sont à la base. Mais dans notre monde de gens irresponsables de l’autorité gouvernementale il y a plus une question de performance de donner des infractions ou des jugements, que de rendre justice aux intervenants dans une situation précise. Un exemple, et ce n’est qu’un exemple est 3750$ d’amende pour un clou dans un pneu. https://www.journaldemontreal.com/2021/11/28/une-amende-de-3750-pour-un-clou-dans-un-pneu

Lisez l’article jusqu’au bout: Le Bureau du taxi de Montréal a pour sa part indiqué que son rôle « se limite à faire appliquer la loi et ses règlements ».

L’affaire est dite, rendez votre verdict.

Bertrand (@BDmoi)

Les principes augmentent les valeurs dégringolent!

Beaucoup de gens agissent et justifient leur gestes par des principes qui, pris isolément, peuvent avoir un semblant de raison. Les valeurs humaines pendant ce temps, sont élaguées des raisonnements. Ce qui justifie le bien ou le mal repose souvent sur un principe valable en temps général mais pas dans l’occasion présente. Ne dit-on pas, avec justesse, l’enfer est pavé de bonnes intentions. Ce qui est bon pour soi, peut ne pas l’être pour l’autre. Surtout quand on connaît son vécu.

Les valeurs sont des attitudes qui se transportent dans les gestes, les paroles, les sentiments que l’on éprouve pour les autres humains, ou vivants ou encore la Nature. Les principes sont les règles qui dirigent nos actes. Le principe c’est comment on agit alors que la valeur c’est pourquoi on agit.

La pandémie, mais c’était commencé bien avant, a accéléré la dégringolade des valeurs dans nos société occidentales. J’ai plein de théories, dont je vous fais grâce, en ce qui concerne les causes. Cependant l’égocentrisme qui repose sur la consommation et l’argent a changé notre société. Les longs hivers rudes et isolants ont forgé des gens qui s’entraidaient et qui étaient prévenant dans les temps de production et qui fraternisaient dans les temps de grand froid et de neige abondante. Je semble idéaliser ce temps. Au contraire, mais les gens de ce temps vivaient au rythme de la Nature. Les valeurs québécoises ont été forgées dans ce creuset rude et qui ne pardonnait pas.

Aujourd’hui des gens se font prendre dans une tempête de neige avec des souliers fins et des vestons dans leur auto sur la voie publique avec, en hiver, très peu d’essence dans le réservoir. Vous voulez savoir ce qui a changé au Québec? En voilà l’illustration. Prévenance et prévoyance ont disparu, Et ce n’est que la pointe d’un gigantesque iceberg à la dérive.

Donc cessez de chercher des poux à l’extérieur. Regardez vous et demandez vous quelles sont vos valeurs. Laissez faire vos principes ils ne sont que des outils dont il faut une certaine pratique pour les maîtriser, mais, surtout savoir choisir lequel utiliser.

Bertrand (@BDmoi)

Et si la leçon était?

Les 3 enquêtes sur les événements des CHSLD, événements déplorables parmi tous, nous mettent en face du problème. Savoir ce qui s’est passé est important mais, là n’est pas la leçon, ni chercher un coupable la raison. La leçon est l’idéologie effrénée qui règne dans le milieu gouvernemental. La centralisation des décisions et l’orientation des CHSLD est à l’opposé du bien-être des personnes. Personnes en CHSLD, toutes les personnes. Bénéficiaires comme le personnel.

Décider pour les autres semble la maladie du siècle. J’ai raison et vous avez tort. M. Barrette en est l’illustration parfaite. Il est de bonne foi mais L’approche centralisatrice et orientée du haut vers le bas est invivable, au temps ordinaire, encore plus en temps de crise.

Il faut que les personnes aient le pouvoir sur leur vie. Ce sont elles qui voient les besoins, les ressources nécessaires et l’écart entre le possible et l’idéal. Les politiciens y vont de grands principes mais qui ne sont pas applicables.

Il faut décentraliser les services et accepter la contrepartie, celle-ci étant une perte de standardisation. Il y aura différence d’un établissement à l’autre et ce sera la conséquence de la décentralisation. Est-on prêt à vivre avec ça? On verra.

Personnellement, je vois un gros obstacle à la solution. Cet obstacle est non seulement de taille mais absolument immuable, dans les conditions actuelles. Ce sont les centrales syndicales. Tout ce qu’elles veulent c’est la standardisation de tout. Leur structure est à l’image du gouvernement. On voit, avec le cas des CPE jusqu’où l’idéologie prime sur le bien des services rendus à la population. Ce sera une grosse lutte et finalement les 6000 décès des CHSLD n’auront servi à rien. Je suis prêt à gager là-dessus.

Bertrand (@BDmoi)

Les lacunes du système d’information du gouvernement.

L’horreur n’est pas du côté des politiciens, je crois. Elle est plutôt du côté du système d’information et plus particulièrement des informateurs. Un des axiomes en gestion est que tout système cherche à se préserver. Mais le pire du système d’information du gouvernement est que celui-ci est unidirectionnel, du haut vers le bas. Donc la pire lacune du système d’information est celle-ci.

La deuxième lacune c’est que l’information est colligée et digérée par une horde de fonctionnaires qui ne sont responsables de donner aucun service à la clientèle. Ils sont loin du terrain d’action.

Ensuite ces mêmes fonctionnaires cherchent à justifier leur emploi. Presque jamais ne vont-ils faire transparaître les problèmes aux niveaux plus bas. Tous les chiffres, présentés de la bonne façon, cherchent à démontrer leur bonne gestion.

Finalement, le gouvernement investit des sommes faramineuses en informatique pour peu de résultats. L’information en temps réel est difficile à suivre. Pour cela il faut des circuits courts et peu de points de transformation. Seuls des experts en base de données peuvent extraire des informations utiles et réelles.

Donc on voit que la culture gouvernementale est orientée vers un temps passé et n’est plus apte à remplir les besoins d’information. Il faut absolument redonner la marge de manœuvre aux exécutants sur la ligne de feu. La hiérarchie du pouvoir d’agir ne doit plus être de haut en bas mais en bas. Il doit y avoir deux systèmes d’information. Un pour ce qui est des finances, qui remplacerait le système actuel assez facilement, et un autre basé sur le système de la vérificatrice générale qui vérifierait si les politiques déclarées se traduisent en résultats sur le terrain. Donc des inspections aléatoires et périodiques, pour que les politiciens soient au courant de ce qui se passe dans leur comté et dans la province.

Ce serait l’idéal, mais avec la structure de personnel actuelle du gouvernement ce serait presque suicidaire de la part d’un gouvernement de le réaliser. L’orientation de définition de tâche des centrales syndicales les en empêche et l’opposition serait absolument farouche.

La pandémie a démontré que les politiciens sont tenus à l’écart de ce qui se passe et que leurs décisions ne sont que garocher l’argent par les fenêtres. Il leur faut définir les priorités et informer la base de celles-ci. Mais il faut redonner à la base le pouvoir de réaliser les ambitions exprimées. Enter les deux il devrait y avoir deux petites, très petite structures. Une pour la gestion financière (allocation de budget et contrôle des dépenses) et une pour la vérification des résultats sur le terrain. Ces deux structures se doivent d’être indépendantes et sous la responsabilité directe du ministre.

Il y aura donc loin de la coupe aux lèvres en ce qui a trait au système d’information du gouvernement. Parce qu’il passe par une restructuration complète du système. Ce qui demande énormément d’énergie et de puissance pour chambouler la routine du système.

Bertrand (@BDmoi)

La plupart du temps.

La plupart du temps, l’erreur dans la communication vient du récepteur, pas souvent, de l’émetteur. Il est une pauvreté exécrable de vocabulaire dans la population, c’est vrai. Les gens ne cherchent pas à se perfectionner. Peu de gens ont lu le dictionnaire. Je l’ai fait 6 ou 7 fois de A à Z. Il est évident que je n’ai pas tout retenu. J’ai passé par-dessus bien des noms qui désignent les vivants selon les classifications humaines. Mais quand j’entends un mot nouveau je cherche à en savoir l’origine.

Les mots sont la représentation d’une partie de la Réalité universelle ou humaine. L’invention des mots est sans aucun doute la plus grande invention de l’humain. Il est infiniment triste que si peu exercent le potentiel de l’outil. Mais le pire c’est souvent que la personne en face n’est absolument pas disponible à écouter et même entendre ce que vous dites.

“LE” moyen pour améliorer ses capacités de communication, ne serait-il pas de vouloir vivre? Vivre c’est d’abord échanger avec son environnement. Échanger air, nourriture et surtout échanger avec notre environnement humain. Mais nous vivons dans une brume personnelle. Il faut absolument transcender cet état de léthargie. Être présent devant l’autre augmente des milliers de % l’efficacité de l’échange.

Donc si vous ne voulez pas échanger passez votre chemin. Ne vous arrêtez pas. Mais, si vous arrêtez, soyez présent. La plupart des problèmes de santé mentale des gens vient du fait de ne pas être compris. Le pire c’est qu’ils pourraient être compris si on les écoutait. Mais peu les entendent et beaucoup moins cherchent à les écouter. S’arrêter pour écouter est de beaucoup plus facile que de se laisser pousser une moustache. Toute la physionomie humaine change quand il y a communication réelle.

Bertrand @BDmoi)

La politique et les médias.

La politique n’est pas seulement l’art du possible (Gambetta). Il est des moments où elle devient l’art de rendre possible ce qui est nécessaire. – Jacques Chirac

Nous avons réussi à passer au-travers de ce qui est une tragédie pour notre génération. Comment rendre possible le nécessaire quand on ne peut même pas établir et travailler à nos priorités quand tout va bien? Le gouvernement, comme tous les gouvernements, se sont faits avoir les culottes à Terre. La planète entière n’était pas prête.

Il faut faire un mea culpa et une véritable enquête sur les tenants et aboutissants de la crise des CHSLD. L’acharnement médiatique sur les ratés, remplit un de leurs mandats. Mais le fait de ne traiter que d’un sujet à la fois, est dommageable à la politique en général. Que le gouvernement essaie, je dis bien essaie, de travailler à rendre possible le nécessaire , passe complètement sous le radar. Le téléobjectif, complètement partial, est fixé à plein sur un seul sujet par jour. Toujours sous l’angle le moins favorable. L’opposition tape allègrement sur le clou pour paraître dans les médias.

Nous avons construit un monde invivable collectivement. Dans ce contexte on ne peut attirer les gens qui voudraient travailler au nécessaire. Ce n’est pas une question de rémunération. C’est une question de traitement inconsidéré des politiciens par la population et les médias. Je n’excuse pas les gestes qui ont été posés, mais, je les crois avoir été posés de bonne foi. Tomber à bras raccourcis sur le gouvernement, après le fait, ne ramènera pas les morts. On doit leur rendre hommage en travaillant à rendre possible un traitement digne des citoyens, jeunes et vieux, hommes et femmes…

Bertrand (@BDmoi)

L’emploi de TOUT et de TOUS

L’emploi des mots “TOUT” et “TOUS” devrait nous alerter plus que l’emploi du mot en “N”. IL est très rare qu’il soit tout ou tous. Mais cela laisse un arrière-goût d’amalgame ou de racisme. Dire que tout islamiste est musulman semble un fait. Mais dire que les musulmans sont islamistes relève de l’irréalité. La distinction n’est pas dans le dictionnaire mais dans l’esprit des gens qui utilisent indifféremment les mots.

Beaucoup de personnes pèchent par ignorance des termes. Mais, la plupart du temps, la signification réelle est sous-jacente. C’est comme dire je ne suis pas raciste mais… Tout ça est dénominateur d’ignorance.

D’après moi, peu de gens ont des réflexions. Ils ont des opinions basées sur ce qu’ils ont entendu ou lu dans les médias. L’emploi des mots tout et tous résument le résumé du titre qui chapeaute l’article ou la nouvelle, qui bien souvent dit le contraire du titre. Les stéréotypes ont la vie faciles dans beaucoup de médias.

Donc, quand vous voyez ou entendez ces mots, ayez un tintement de cloche dans votre cerveau. Il faut absolument évaluer la pertinence de ces mots. Ils sont utilisés à outrance et perturbent la cohésion dans la société. Ce ne sont pas les mots qui sont le problème mais ils sont le symptôme du problème.

Bertrand (@BDmoi)

la liberté n’a-t-elle que des droits?

Il faut mettre un frein mais où? La lecture en absolu de chaque droit inscrit dans la charte est une erreur monumentale. Il y a nécessairement un ordre de priorité entre les droits inscrits. Il n’y a qu’un droit absolu c’est celui de l’Égalité des gens. Pas le droit de ne pas être différent mais dans le traitement des gens. Il y a aussi les droits à la santé et à l’éducation qui doivent être hautement priorisés. Mais il y a des droits qui se doivent d’être purement personnels. Le droit à l’Opinion et à la croyance en sont. La liberté de pensée est certaine mais pas d’imposer celle-ci par la force ou autrement.

Mon point principal est qu’Il y a des droits fondamentaux desquels les autres découlent. La folie de prendre chaque droit en absolu nous a amené la dérive actuelle de la société. La liberté d’émotion n’existe pas. Que je me sente ceci ou cela n’appartient pas à l’autre mais simplement à moi. L’autre peut le respecter ou pas. L’Obligation de respect n’existe pas.

Le terrain des émotions, sur lequel on se tient actuellement, est extrêmement friable. Ce n’est pas ainsi que l’On bâtit des civilisations solides. Alors mettons les kleenex de côté et regardons sainement ce que devraient être des relations harmonieuses et possibles entre les gens. Je ne peux reconnaître quelqu’un si je ne le connais pas. C’est simple, c’est direct. Alors pourquoi chercher à ce que cela se fasse?

Bertrand (@BDmoi)

Jeux de mots ou déformation de sens?

Les gens qui pensent savoir tout ne savent qu’une partie de la réalité. Et cette partie est très petite. Ainsi, de dire que le vaccin n’empêche pas la transmission est vrai. Mais ce n’est pas la réalité. La réalité c’est que le vaccin empêche avec un grande efficacité, les complications à la suite de l’infection. Ceci n’est que deux aspects de la réalité des vaccins. Il y a des dizaines d’aspects à considérer pour englober la réalité et le pire, c’est qu’on ne les connaît pas tous. Donc jouer sur les mots est préjudiciable au bien de tous et chacun.

On prend les dire des autres au pied de la lettre. C’est déplorable. Les autorités, dans le contexte de la pandémie ont toujours réitéré qu’ils ne savaient pas tout et qu’ils y allaient du principe de précaution. Elles ont pris des décisions. Pour le bien de tous selon leur mandat. Mais ce n’est pas possible. Il y a eu urgence au départ, effectivement. Mais il a bien fallu se rendre compte de certaines choses.

L’état d’urgence sanitaire était nécessaire mais ne l’est plus, et ce , depuis longtemps. Depuis que le nombre de décès et d’hospitalisation a dramatiquement baissé au Québec on ne cesse de rapporter les statistiques depuis le début de la pandémie. Il y a eu hécatombe au début, surtout dans les CHSLD. C’est un fait. Mais il faut gérer en fonction de la réalité d’aujourd’hui.

Tout n’est-il que présentation et angle de vision. On nous présente les choses on ne nous les met pas froidement sous les yeux. Je crois que le début de la pandémie a montré un gouvernement sincère et dépassé par les événements. Mais qu’il a étiré inutilement la sauce en ce qui concerne l’urgence sanitaire.

Il faut offrir le vaccin à qui le veut et respecter la démocratie. La liberté c’est la liberté. On a le choix des moyens, respectons les choix. J’ai le passeport vaccinal mais je le trouve utilisé de façon stupide et abusive. Il n’est d’aucune utilité et ne fait que diviser les gens selon un critère purement arbitraire. Qui n’a de fondement complet dans la réalité.

L’utilisation abusive, ce n’est pas un jeu de mots, des mesures d’urgence sanitaire peut coûter très cher à la société et c’est déjà le cas. Aussi faut-il retomber sur nos pattes et vivre la vie qu’il nous est donnée de vivre.

Bertrand (@BDmoi)