Veut-on retenir des gens insatisfaits?

HUm!!! Une mausus de bonne question. J’ai fait l’expérience de mener du monde. J’ai eu à m’occuper du rayon de la chaussure et j’en ai fait mon laboratoire. J’ai eu, à plusieurs occasions, des insatisfaits dans mon équipe. Un à la fois. J’ai essayé de les intéresser mais, pour différentes raisons, est-ce que ça a été reçu en vain. J’ai décidé, et c’est le bon terme, de les élaguer.

Les résultats ont été fantastiques. L’atmosphère du rayon s’est trouvée de beaucoup améliorée, chacun s’entraidant et se surpassant amicalement. J’ai trouvé des nouvelles ou nouveaux employé(e)s mais force m’est donnée de dire, qu’à chaque fois, il a fallu essayer 2 ou 3 nouveaux pour qu’un s’intègre à l’équipe. Cela dans les années 80. Est-ce toujours le cas aujourd’hui? J’en ai bien peur.

Mon équipe, à format réduit, performait au maximum. Quand on intègre une nouvelle personne, il faut choisir une personne qui s’intégrera au groupe et non une personne qui ralentira le groupe. Pour répondre à ma question posée au début, je suis d’avis que dès qu’on se trouve devant une personne insatisfaite, il faut prendre action et s’interroger mutuellement sur la raison de l’insatisfaction. Prendre son temps pour la remplacer est une erreur que beaucoup font. Prendre son temps pour lui trouver un remplacement n’est pas du temps perdu. Tout comme entretenir une chaîne de production requiert de l’arrêter temporairement, il faut maintenir le moral de l’équipe et élaguer les perturbateurs est profitable.

Il faut s’en convaincre et mettre l’effort sur choisir les personnes et non pas les essayer. C’est plus exigeant mais tellement plus profitable. Tout réside-t-il dans la mesure des mesures?

Bertrand (@BDmoi)

Ceux qui votent avec leur argent.

Ceux qui votent avec leur argent n’en ont jamais assez. Ils en ont trop. L’argent n’est pas une pierre que l’on jette dans une urne. C’est un outil créé par l’homme pour permettre l’épanouissement, du transfert d’un individu à l’autre, des talents particuliers de chacun. C’est ce qui a mené à la création de tout l’univers humain. Ce qui est jugé bien et ce qui est jugé mal.

C’est un outil avec lequel, il est possible tant de choses, dont l’épanouissement de l’Individu. Avec la liberté d’expression il demande une certaine responsabilité. La liberté d’expression se doit de respecter les lois relatives à la diffamation et autres. Mais l’argent demande d’abord d’être responsable de son utilisation vis à vis de soi-même. Dans notre société, il y a suffisamment de richesse pour que les individus puissent satisfaire leurs besoins. Mais nous n’y sommes pas préparés. Non pas à l’argent mais à l’identification de qui on est et de ce qu’on a besoin, chacun. Il y a une hiérarchie des besoins, mais celle-ci n’est pas rigide. Les gens se promènent allègrement d’un niveau à l’autre et c’est là que la publicité des médias agit.

Voter avec son travail est aussi vrai que voter avec son argent. Pourtant, on n’en parle pas. On parle de l’argent ad nauseam dans tous le sens, sauf comment s’en servir, bien entendu. Je ne suis pas pour la simplicité volontaire, restreinte. Mais je suis pour la satisfaction ordonnée des besoins. Dire aux autres qu’on ne les aime pas, pour X raison, n’est pas répondre à un besoin. C’est ne pas savoir quoi faire de notre argent du fait qu’on en a trop.

Nous nous devons de revoir notre rapport avec l’argent. Son infâme répartition dans la société démontre qu’on n’a pas le don de s’en servir à bon escient. Voter non pas pour l’argent mais pour les gens. En temps de pénurie de main d’œuvre n’est-il pas besoin de revoir nos priorités sociales et individuelles?

Bertrand (@BDmoi)

En avoir ras-le-bol mais ne pas abandonner.

C’est certain que parfois on en a ras-le bol. Il est une chose de se délester temporairement et une autre d’abandonner. Pour bien des gens suspendre n’existe pas et c’est bien dommage. C’est tout ou rien. Je vais vous conter un fait que j’ai vécu et qui prouve mon point.

Il était une fois un gars qui avait des dépressions à répétition. Quand il était en dépression il s’occupait, le temps qu’il était éveillé, à essayer de trouver une manière statistique pour gagner à la loterie Banco de Loto-Québec. Objectif que les gens autour de lui ont transformé en but ultime de ma vie. Il n’ont pas compris la phrase suivante, que j’ai pourtant répétée ad nauseam: s’il existe un moyen, je vais le trouver. J’ai passé 10 ans de dépressions en essayant de trouver le moyen. J’ai réussi, grâce aux données de 20 ans de loterie de Loto-Québec, à simuler de jouer pendant 20 ans grâce à mes élucubrations. Résultat: sur 20 ans j’ai réussi à trouver une manière où j’ai 95% des chances de récupérer tout l’argent que j’ai misé, supposément. Vue des autres? J’ai échoué.

Mon point de vue personnel? J’ai traversé 10 ans de dépression et pendant ce temps j’ai passé les idées suicidaires. On a essayé une kyrielle de médicaments et mon psy et moi avons trouvé la bonne combinaison de bons médicaments au bon dosage. L’occupation m’a sauvé la vie, pratiquement.

Conclusion? Ai-je abandonné mon projet de gagner? Non! Il est en suspend car je n’ai pas d’idée sur comment l’améliorer. Mais, si j’ai une brillante idée, j’ai tout le travail de sauvegardé pour continuer l’effort. Je n’ai pas trouvé le moyen de gagner mais j’ai trouvé le moyen de ne pas perdre. Aujourd’hui je ne souffre plus de dépression, j’ai une vie active et me fous complètement de l’avis que les autres ont de moi. Je suis un survivant et les autres n’en ont que faire. Alors, pourquoi s’en faire avec ce que les autres pensent?

Bertrand (@BDmoi)

Nuancer c’est important.

Nuancer c’est important et ne peut se faire sans juxtaposer sa propre pensée à celle des autres. C’est un exercice qui demande de l’énergie, du temps et surtout de l’Ouverture d’esprit. Un des grands obstacles aux nuances est l’apposition d’étiquettes pour désigner des gens.

Sur twitter les nuances, en 280 caractères, existent très peu. C’est pourquoi l’humour y circule très mal. Donc pour que les nuances se transmettent et la pensée des intervenants se synchronise, même si les positions sont opposées, on doit faire et lire plusieurs tweets entre les individus. Mais, il y a un gros mais. Les gens ne savent pas utiliser twitter pour ses possibilités. Beaucoup le considèrent comme un désert où crier sa peine.

Donc sachez que le fil que vous entretenez sur twitter chez vos abonnés, reflète l’image qu’ils ont de vous. Les médias ne cessent de parler des mauvais commentaire sur les réseaux sociaux. J’émets, presque quotidiennement, sur twitter et en plus je soumets des textes qui se veulent un départ à la réflexion. Je n’ai pas de commentaires haineux. Pourtant mes textes sont lus j’en ai la confirmation.

Donc les nuances sont importantes et on doit fournir l’effort nécessaire pour être compris. Mais, si comme certains très actifs, votre but sur twitter est de pourrir la vie des autres et manifester votre philosophie du pire, vous avez le droit. J’adresse cependant ce texte, à ceux qui ne sont là que pour voir ce qui se passe. Et si vous participiez à faire que ceux-ci, qui regardent ce qui se passe sur twitter, voient du beau et du nuancé?

Bertrand (@BDmoi)

Mettre les politiciens sur un piédestal?

Il ne faut pas mettre les politiciens ou qui que ce soit sur un piédestal. Les gens sont humains donc faillibles. On se doit donc de voir les gens tels qu’ils sont. Tout ça pour trois raisons fondamentales:

  • Élever une personne nous fait l’idéaliser et nous déprécie.
  • personne n’est d’une blancheur absolue dans son passé
  • Cela ne peut amener qu’à la déception

Il ne faut pas oublier que les apparences sont souvent trompeuses. Dans un sens, comme dans l’autre.

Dans notre système, on élit une personne pour les 4 ou 5 prochaines années. On ne connaît pas l’avenir. Aussi doit-on être plus conscient qu’on va vivre avec notre choix, peu importe les événements. Dans notre système on a aussi plusieurs partis politiques qui dévient de l’objectif de choisir les bonnes personnes. Finalement les candidats essaient bien souvent de soutenir l’image du chef de parti.

L’argument ne tient pas quand on dit que 64% des gens n’ont pas voté pour une personne. Mais combien n’ont pas voté pour la personne qui a remporté leur vote? Combien auraient voté pour un autre candidat s’il n’avait pas eu tel chef ou tel parti d’accolé à lui?

Peut-être que de mettre toute l’emphase sur la personne qui se présente comme député et la rendre responsable de ses votes en assemblée nous amènerait plus de succès dans le monde politique.

Voir les gens comme ils sont et les choisir est une tâche énorme en soi. Leur affubler des images de parti ou du chef de parti, mine le gouvernement. Les réseaux sociaux, tel qu’ils sont utilisés, mènent à la polarisation d’opinions des gens. En apparence. Les médias en font leurs choux gras. Aussi, un par un, sommes-nous incompris, totalement, dans nos votes. Les supposés experts peuvent disserter ad nauseam les résultats des élections, la réalité elle demeure, les politiciens ne sont que des humains faillibles, nous et les experts, les premiers.

Il n’existe aucun droit à la vérité

Il faut appeler un chat, un chat. La vérité n’est pas un droit acquis. Tant qu’il n’y aura pas une charte des devoirs, de civisme ou personnels, il n’y aura pas de droit à la vérité, de droit à ne pas entendre, de droit à la chasteté auditive… Il est rendu absurde le taux de désapprobation dans notre société. Celui qui ne considère pas sacré peut sacrer sans le faire. Celui qui a des idées farfelues peut les réaliser mais il devra accepter les reproches qui lui seront faits.

La liberté demande beaucoup de tolérance de la part des autres qui voient un individu utiliser sa liberté. Ne faudrait-il pas une charte de la Tolérance? Auparavant, dans ma tendre jeunesse, y avait-il l’étiquette et les règles de savoir-vivre en société (civisme). On a mis en veilleuse, en même temps que la religion catholique, ces principes de vie. Est-ce un bien, est-ce un mal? Je ne saurais dire. Mais une chose est certaine il faudrait enseigner la tolérance. C’est une condition sine qua non pour que la liberté puisse s’exprimer.

L’épisode des camionneurs à Ottawa en est une illustration évidente. Ils n’ont, apparemment, commis aucun acte illégal. La police les aurait verbalisés si ça avait été le cas, hum! On les a expulsés alors qu’ils ne faisaient qu’utiliser les moyens conventionnels pour exprimer leur désaccord. Que les citoyens d’Ottawa aient été excédés par les bruits nocturnes, ou diurnes, est certain. Que la police n’ait pas agi n’est pas normal.

La tolérance ne sera que lorsque les forces de l’ordre feront respecter les lois. N’agissant pas contre les déviants, les citoyens peuvent désespérer de la police. La tolérance individuelle sera quand on aura le civisme individuel. Un ira avec l’autre. Mais comment l’enseigner, quand les enseignants ne le respecte même pas. Quadrature du cercle?

Bertrand (@BDmoi)

Ça prend un être humain intelligent et responsable.

Je ne fais pas de sexisme, je suis entièrement égal. Un homme ou une femme ne fait pas de différence. L’homme ou la femme fait la différence. Dans ce monde il n’est de racisme ou de sexisme qui vaille. Je n’entrerai pas dans le genrisme parce que cette différence est interne et ne s’exprime que par des artifices de mode qui sont souvent très ambigües.

Que ce soit un choix en politique, en entreprise ou en relation personnelle, il faut aller au cœur du sujet, et c’est le cas de le dire. Mais c’est quoi aller au coeur du sujet? Il faut partir d’une page blanche. Les apparences extérieures ne nous renseignent aucunement sur la personne elle-même. C’est un fatras de stéréotypes émis et reçus les uns les autres sans commune signification. Ce qui est émis par un peut, et est souvent, reçu avec une signification bien différente de celle émise.

Partir d’une page blanche veut dire avoir une idée neutre de la personne. C’est simple mais c’est excessivement difficile. On est handicapés par nos préjugés personnels. Alors toutes les modes, tous les styles et tous les artifices dont on se maquille devraient nous alerter. Ce que l’On trouve beau ou laid, ce que l’on trouve agréable ou désagréable, dépend de nous pas de celui qui l’a émis. On peut être sur la même longueur d’onde ou venir de planètes différentes, l’apparence extérieure n’est pas représentative de l’intérieur.

On peut avoir un bonne ou une mauvaise première impression. Personnellement, j’essaie de la contourner. C’est à la fois pour me protéger et protéger la personne impliquée. J’essaie d’avoir suffisamment de faits avant d’évaluer une personne. Entendre ses dires et aussi vérifier ses actes. Il faut un certain temps pour accumuler suffisamment de matériel pour commencer à voir la personne sous son vrai jour.

Je suis très ouvert pour montrer ce que je suis vraiment, mais très peu de gens le prennent aisément. C’est à la fois mon point fort et mon point faible. Mais il faut être fait fort pour accepter le rejet. Être soi veut dire ne pas plaire à tout le monde. Aussi tout le monde ne peuvent nous plaire. La vie est trop courte aussi faut-il savoir choisir les personnes publiques ou professionnelles ou personnelles que nous acceptons.

La sociabilité est une chose essentielle, mais encore peut-on choisir avec qui on interagit.

Bertrand (@BDmoi)

Se préoccuper de l’avenir?

Une maladie qui affecte bien du monde. Voici la définition de préoccuper par Le Robert

préoccuper verbe transitif

  • 1.Inquiéter fortement. Ce problème me préoccupe depuis longtemps.
    • Mots de sens similaire : tourmenter tracasser
  • 2.Occuper exclusivement (l’esprit, l’attention).
    • Mots de sens similaire :absorber obséder

J’en ajoute une troisième définition: s’occuper avant le fait ou la nécessité.

Tout d’abord l’utilisation du mot préoccuper signifie que nos pensées actuelles ne sont pas liées à la situation actuelle. De là ma définition personnelle. On s’occupe avant le temps. Mais ce n’est pas prévenir car prévenir implique que l’on agit en fonction d’une réalité prévue. Donc la préoccupation est une activité purement cérébrale et nous empêche de vivre et de jouir du présent (ce qui nous est offert actuellement).

Voilà en gros pourquoi je pense que c’est une maladie et même mortelle pour certains. En effet certains sont morts avant le temps de mourir vraiment. Combien? D’après moi, beaucoup. Une majorité? Je ne saurais dire. Mais quand je jase avec les gens, souvent me sens-je comme un réveille-matin. Les articles que je publie, presque quotidiennement, ne sont que des éléments de départ à des réflexions que je veux qu’elles portent à l’action.

Il faut dépasser la réflexion pour en venir à l’action qui nous replace dans l’instant présent. Si on est dans l’instant présent, on n’est pas préoccupé. Tout n’est-il que dosage? Oui! 5% préoccupation, 10% réflexion, 80% action, 5% vérification des résultats. Si vous occuper 8 heures par jour à cela vous serez entièrement heureux et mieux encore en bonne santé physique et mentale.

8 heures au travail, 8 heures de repos, réflexion et action, 8 heures de sommeil.

Une routine de vie qui nous éloigne de la routine, qui nous tient éveillé et en vie. C’est la grâce que je vous souhaite.

Bertrand (@BDmoi)

Le niveau de l’enseignement ne baisse pas.

Ce sont nos attentes, face au système d’éducation, qui sont stratosphériques de plus en plus. Nous ne méritons pas un système d’éducation spatial. Il faut revenir sur Terre. L’éducation sera une priorité sociétale quand les individus en feront une priorité personnelle. Actuellement on ne priorise pas l’Éducation mais les dollars. ON dit aux jeunes, parents et autorités, que l’éducation est primordiale pour avoir un emploi payant. Mais la vie c’est s’ouvrir à la réalité et pour ça il faut apprendre.

Apprendre bien des choses, mais d’abord à communiquer. On n’apprend des autres que si on peut communiquer, mettre en commun. Mais encore n’est-ce pas assez. L’ignorance se communique mieux que le savoir. Le savoir demande des preuves alors que l’ignorance demande de croire, faire un acte de foi. Actuellement, on propage beaucoup d’ignorance dans le système d’éducation. On déforme les étudiants. C’est ce qui a toujours été dans le système. Voilà pourquoi je dis que les niveau de l’enseignement ne baisse pas. Il a toujours été bas. L’organisation même du système prédispose au bas niveau d’enseignement. La taille des classes, l’immobilité du lieu d’apprentissage et tout l’argent qu’on investit dans le béton est disproportionné au rôle élevé de l’éducation.

La centralisation des décisions en éducation prédispose à ce système. Cela permet à une clique d’Individus de contrôler ce qui se passe dans le réseau. Le remède possible est composé de plusieurs éléments:

  • Décentralisation des méthodes d’enseignement
  • Décentralisation des décisions pédagogiques
  • Diminution des classes par éducateur
  • Mobilité des sites d’apprentissages
  • Supervision des résultats obtenus par les éducateurs
  • Sélection des éducateurs selon leurs valeurs
  • Bien d’autres détails mais il faut que ce soit vraiment une priorité des parents et des autorités.

Il faut se rendre à l’évidence. 50% d’analphabétisme et polarisation des citoyens selon les croyances sont les conséquences du système actuel. Il n’est que la continuation du passé. Pour un futur différent, il faut des actions pour changer le système. Mais pour cela il faut sacrifier bien des usages du passé. Sommes-nous prêts à le faire?

Bertrand (@BDmoi)

Adorer le veau d’or version 2022

Tout ramener à l’argent équivaut à adorer le veau d’or. Je ne suis pas de la simplicité volontaire. Je veux bien satisfaire mes besoins. J’ai un grand avantage sur bien du monde. Je n’avais pas de dettes. Aussi, lorsque je rêvais de changer mon automobile à essence pour une automobile entièrement électrique j’ai longuement hésité. Pourquoi m’a dit mon fils? C’est un luxe que je m’accorderais. Que veux-tu changer en changeant d’auto? Je fais du bénévolat et j’aide les personnes âgées, elles ont beaucoup de difficulté à sortir de mon automobile. En outre j’aimerais me sentir partie du changement d’orientation des gens en guise d’utilisation de pétrole.

J’ai donc fait, pour me gâter, l’acquisition d’un véhicule électrique. J’en suis très heureux. Il remplit mes attentes et plus. Mais, ce faisant j’ai pris une grosse décision financière. J’avais prévu louer le véhicule pour 4 ans. Ce qui ne me serait pas revenu si cher. Mais, après calcul, ai-je abandonné la location pour l’achat. J’ai emprunté sur ma marge de crédit 10000$ pour diminuer mes paiements bi-hebdomadaires. J’ai pris 10000$ dans mon CELI pour la même raison. Je vais donc me priver d’autres luxe pour une période d’un an pour rembourser ma marge de crédit. Tout ça parce que je n’ai pas de respect pour l’argent. L’horrible inflation que l’on subit n’est ainsi que parce qu’on ne sait pas utiliser l’argent.

L’argent n’est pas adorable. C’est un outil que l’On doit utiliser pour satisfaire nos besoins. Les besoins sont personnels mais dans le fond, quand on sait faire les choix et poser les actions, ils ne sont pas si nombreux. Mais Le dieu consommation active nos sensations humaines. On veut tout et tout de suite.

Tout ça pour vous dire, sachez faire la différence entre un besoin et un désir. Un besoin prédispose à faire des sacrifices pour être satisfait. C’est une joie réelle. Un désir ne satisfait que sur l’instant de l’acquisition. On passe à un autre désir presque immédiatement. Désir=veau d’or. Besoin satisfait=bonheur.

L’argent est fait pour acquérir ce dont on a BESOIN. Pas pour être adoré.

Bertrand (@BDmoi)