Souvent a-t-on le choix?

Souvent a-t-on le choix. Il y a plein d’opportunités pour utiliser son temps et ses ressources. Mais on ne veut pas le faire. Trop de considérations nous en empêchent. La principale considération qui nous empêche de progresser est la question de “tous” et “chacun”. “Tous” est illusoire. Il est impossible de plaire à tous et encore moins est-il possible de les satisfaire. N’est-ce pas la principale pierre d’achoppement de tout le monde. Tout le monde? Presque.

À partir de cette prémisse il est plein de raisonnements que l’on peut faire. J’en choisis une possibilité en laissant tomber toutes les autres. N’est-ce pas ce qu’est choisir? J’affirme donc par la présente que le bien de tous n’existe pas parce que “Tous” n’existe pas. C’est nul et non avenu. Chacun existe. Ainsi rencontrons-nous des “chacun” autour de nous. Nous sommes un chacun nous même. Un chacun ne peut tout faire. N’est-ce qu’une lapalissade? Non! C’est l’infâme réalité.

Donc il suffirait que chaque chacun s’occupe de chacun qu’il croise de manière civile pour que tous se comportent de manière civile. On commence à toucher le fond du baril. Tous, en soi, n’existe pas je l’ai dit. Tous n’est-il qu’une illusion et la réalité est-elle l’ensemble des chacun en relation avec les autres chacun. La grande illusion que nous proposent les médias et les politiciens est celle de nous faire croire possible le bien de TOUS. Les stéréotypes et les généralités exposés par ceux-là ne servent qu’à manipuler chacun dans le sens de leur intérêt en les assimilant à tous.

Un choix s’offre alors, on se recueille et on choisit le besoin que l’on veut satisfaire. Choix revient donc à abandonner, temporairement, les autres besoins. Mais la plupart des gens considèrent-ils la vie comme une série de moments éternels. N’est-ce pas un aberration? Pourtant, à en écouter parler plusieurs, on peut en tirer la conclusion. Mais ce n’est pas important. Soyons donc chacun ce que nous sommes et débarrassons nous des apparences. Essayons de voir chacun comme il est. Si tous les chacun agissent ainsi, tous seront plus heureux. Mais le plus important est de le faire plus qu’hier et moins que demain.

Bertrand (@BDmoi)

La susceptibilité, l’arrogance?

En psychologie, la susceptibilité désigne la disposition à se vexer et caractérise l’individu qui s’offense facilement. Wikipédia

arrogance nom féminin Insolence méprisante ou agressive. – Le Robert

Peut-on qualifier des peuples de ce qui sont des caractéristiques personnelles? Quand on le fait c’est ne parler que d’anecdotes. Tout existe dans le monde et y a-t-il effectivement des gens de tous les genres. Quand 2 spécimens de ces types se rencontrent c’est certain que ça fait des flammèches. Ce n’est pas tellement que ça arrive qui est déraisonnable, c’est une certitude. Tout est-il dans le taux de fréquence et dans ce qu’on en fait.

Les individus, quand ça arrive ont à répondre de leur comportement. Appartient-il aux autorités locales (supérieurs, boss) d’en appeler à la raison. Mais quand c’est le boss lui-même qui en est affecté, il faut se rendre à l’évidence, on a un choix personnel à faire.

Profiter de sa notoriété, comme M. Denoncourt, et de l’opportunité qui lui est donnée de profiter d’une caméra et d’un micro et de verbaliser un fait qui s’est produit dans sa vie n’a-t-il rien d’étonnant. Tout cela relève de la normalité. Ce que je trouve anormal c’est que les médias adorent mettre en scène des anecdotes qui exacerbent les comportements individuels des gens qui sont susceptibles et des arrogants.

Les médias ne font que rapporter des anecdotes. Les journaux, la radio parlée, la télé continue (pas l’information), répandent à qui mieux mieux les anecdotes qui excitent certaines gens. N’aidant pas à calmer les traits de chacun mais à les exacerber.

M. Denoncourt a-t-il le droit de faire ce qu’il a fait à Tim Horton? Absolument. Il en tirera les conséquences, bonnes et mauvaises. Là où je m’insurge, c’est que les médias font tout pour mettre en évidence le problème mais ne le quantifie pas et ne le qualifie pas. Présente-t-on les choses sous l’angle le plus provoquant, en première page si possible?

L’atmosphère putride qui règne actuellement dans la société a-t-elle des causes réelles à la base. Diversité de langue et de culture, virus de la Covid, Action des gouvernements… Mais l’amplitude de cette puanteur n’est due qu’aux médias. IL nous assènent continuellement des stimuli d’anecdotes, toutes plus polarisantes les unes que les autres, et ne font rien pour aider le citoyen à relativiser la situation.

Comprenez-moi bien, il est des choses importantes au suprême tels: la DPJ, l’éducation, le traitement des aînés et plein d’autres dossiers. Mais ne rapporte-t-on que ce qui ne va pas. C’est comme toute cette rectitude politique à propos du genre. 0,033% des gens se qualifient eux-mêmes hors des standards de genre. Les médias en font tout un plat. Les politiciens s’égosillent pour nous convaincre de je ne sais quoi.

Peut-on discuter, sainement, des choses qui en valent la peine? Les gens raisonnables n’ont pas d’anecdotes et n’Ont pas de place pour s’exprimer. Heureusement y a-t-il les réseaux sociaux où, si on est attentif, on peut avoir des filets de pensées brutes et non propagandistes, bien entendu noyées dans un flot d’émotivité totalement arrogant qui soulève la susceptibilité de certains.

Bertrand (@BDmoi)