J’en ai contre le meilleur…

J’en ai contre le meilleur car il tue l’humanité. Qu’il suffise de dire que la mode de rectitude politique est le pendant de la recherche du meilleur. On ne peut plus rien dire, c’est l’uniformité il n’y a que le meilleur qui a droit de cité. La concentration de pensée en résulte et bien des gens sont ignorés même s’ils sont plein d’humanité. On célèbre supposément la diversité mais on est en train de l’étouffer.

Dans notre monde déjanté, les babines ont toute la place mais les gestes sont rares. Tous peuvent s’exprimer même sans avoir pensé. C’est dans notre société un problème majeur. On est à l’enfance des réseaux sociaux. Ils peuvent nous faire prendre conscience du poids des mots. Pour l’instant il est bien des maux qui surnagent sur les réseaux.

Il n’est de meilleur dans un monde de 8 milliards d’individus. Ce qui existe c’est une mode passagère, pour une apparence à la saveur du jour. Avec le mondialisme cette saveur se mesure en notoriété. C’est triste parce qu’on délaisse la personne d’à côté. Je n’ai rien contre Céline Dion, elle plaît à bien du monde. Mais tous ses millions, je ne suis pas jaloux je m’en fout. Tant de gens de talents, n’ont pas n’ont pas de public, parce qu’ils ne sont pas connus.

La mondialisation, la spécialisation, font de ce monde un monde de personnes déjantées. Il n’y a de synthèse dans un monde spécialisé. C’est pourquoi, il ne faut pas célébrer la diversité, mais l’embrasser à bras ouvert, pas parce qu’on est obligé, mais, parce qu’elle nous est offerte en toute gratuité. Faire la synthèse de la diversité nous amène à nous approcher de la réalité et nous aide à retrouver un peu de sanité.

Bertrand (@BDmoi)

Et si le concept d’idéal…

Et si le concept d’idéal n’existait pas, qu’est-ce que ça changerait? En premier lieu les extrêmes disparaîtraient. On ne pourrait dire l’idéal serait, le meilleur serait … Peut-être se contenterait-on de la diversité qui est la normalité.

On ne pourrait aussi dire: vous devez, vous vous devez et plein d’autres choses. En effet on prendrait, peut-être, les gens comme ils sont et ne pas les culpabiliser pour ce qu’ils ne sont pas.

Il y a plein de choses à dire mais le concept existe. C’est triste parce que ça ne fait que blesser ceux qui y aspirent. Bien que sur Terre, l’idéal n’est qu’un concept qui dépend de la mode du temps. Pas de la réalité de l’humain.

Bertrand (@BDmoi)

Faut-il être crétin?

Faut-il être crétin pour se défaire d’un soldat qui crie qu’il manque de munitions pendant le combat? Un article de journal: https://t.co/iBHW4tFn34

a fait état de ce fait. On reproche l’attitude d’une personne qui a totalement raison. Les lanceurs d’alerte n’ont pas droit à l’écoute. Les membres de la hiérarchie se sont couverts les fesses. Ils ont espérés que leur maladresse passerait sous le tapis. On est imbécile de penser, dans cette pandémie, que les gens qui ont choisi de changer de vie ne sont là que pour encaisser leur chèque de paie.

Les gens qui ont choisi d’aider leur prochain ne sont pas là pour l’argent. C’est sûr qu’il en faut, ce n’est pas du bénévolat. Mais ils sont motivés. Il faut pour les patrons se rendre compte du changement de situation. Il faut cesser d’écouter la machine car elle est d’abord là pour se protéger. Des hordes de gens sont morts dans cette machine inhumaine. Quand l’humain y pénètre c’est pour la changer et participer au changement.

Les patrons ne veulent pas de gens qui prennent des initiatives, ils veulent des bras qui n’ont pas de cerveaux. C’est triste mais on a vu exactement l’opposé se présenter au combat. Ce ne sont pas des robots mais des gens motivés. Donc il faut les encourager et les soutenir. Mais la machine est lourde, et les boss sans imagination. Ils préfèrent garder les traditions et se défaire des soldats. Je suis dur, je sais, mais c’est la réalité que j’ai vu en des temps meilleurs, et l’Horreur perdure avec les meilleurs intentions exprimées où bien souvent on reste les bras croisés.

Bertrand (@BDmoi)

Où est le sac de papier?

Où est le sac de papier? Quand on souffre d’anxiété, qu’on est tout essoufflé et que les yeux exorbités sortent de la tête, il est souvent recommandé de souffler dans un sac de papier. Reprendre son souffle quand on est hyperventilé est de première nécessité. On aurait pensé que la pause arrivée à cause de la covid aurait réussi à nous permettre de penser.

Mais au contraire, ça n’a fait qu’augmenter notre anxiété. C’est triste, infiniment triste que le temps qui nous est donné soit gaspillé par des gens entêtés. Plutôt que s’asseoir et revoir le futur, à l’aide de l’urbanisme du futur, on s’entête à promouvoir les idées du passé pour dépenser en infrastructures.

Je suis d’accord pour relancer l’économie, et faire de l’emploi une certaine priorité. Mais prenons 5 minutes pour penser. On a été arrêté pendant quelques mois, qu’est-ce que ça donnerait de prendre du temps pour réfléchir? Je crois que l’on se doit de profiter de l’occasion, de reprendre son souffle et de penser à nos prochaines actions.

Je ne sais si je suis le seul à le penser. Mais, qu’il suffise de dire que l’argent dépensé vient des poches de nos enfants et nos petits-enfants. C’est ce que j’en pense, et vous?

Bertrand (@BDmoi)

Hier aux nouvelles…

Hier, aux nouvelles de Radio-Canada, il y avait un homme distingué, noir, qui s’exprimait devant un micro. Il a dit quelque chose d’absolument vrai, que je dis depuis des lustres, à preuve cet article de 2017: http://bdmoi.mdugre.info/la-vraie-vie/

Nous avons été élevés dans la propagande des films américains, là où le héros passe près de mourir mais revient se frotter au méchant et finit par gagner. Ce n’est pas la vraie vie. La vraie vie est faite de joies et de malheurs, de bien et de mal, un n’étant pas la conséquence de l’autre mais la succession de faits et d’événements, plus ou moins liés, et notre interprétation des résultats.

Ce que j’ai beaucoup de difficultés, et encore de plus en plus, c’est de voir les gens se désespérer pour les autres. Moi aussi? Non! je parle d’observation. Les gens quand on parle avec eux vont bien, personnellement. Mais ils ne croient pas leurs yeux et leurs oreilles. Ils croient les médias qui ne leur présentent qu’une image glauque du monde.

La réalité? La Terre tourne autour du soleil, qui n’est qu’un infime point dans la galaxie et … Nous, nous sommes 1 parmi 8 milliards sur Terre. Et nous ne sommes qu’une espèce sur des millions. On retombe sur Terre un peu? Dans la vraie vie, il n’y en a qu’une qui compte et c’est la vôtre. Vous n’êtes pas le héros des autres. Il faut être charitable, oui! Mais, il n’est pas dans le film que tous doivent s’occuper du sort de tous.

Je fais cet article non pas pour vous dire quoi penser mais, bien pour vous dire: hey! vous êtes en vie, là, maintenant. Ce n’est pas un film c’est la réalité. Vous faites votre réalité.

Bertrand (@BDmoi)

Bullying pas juste dans les cours d’école.

Le bullying n’existe pas seulement dans les cours d’école, il a libre cours au ministère du revenu. Un article du journal de Montréal du 25 août 2020, https://t.co/azxTFBCYNr m’a ramené quelques expériences avec eux.J’ai eu de bonnes expériences personnelles en quelques occasions. Mais j’en ai eu d’horribles avec des gens mal intentionnés.

Une entre autres où un homme a eu à choisir entre sa femme et son argent. Je vous le dis tout de suite, sa femme, qu’il aime profondément, lui a coûté 80000$ et il a vendu son commerce. Nous sommes allé défendre son cas au directeur à Laval. Un avocat est entré dans le bureau et j’ai repris mon argumentaire pour la xième fois. (étape 1 du bullying faire bien des étapes pour tanner les gens) L’avocat est allé voir un collègue et celui-ci a hoché de la tête. L’avocat est revenu avec un offre de baisser la facture de 15000$ J’avais donc prouvé mon point mais, on devait accepter tout de suite et signer une entente de non divulgation si on acceptait l’entente.

Là est tout le poids de cette organisation. On va prendre toutes les procédures pour vous écoeurer et ça prendra le temps qu’il faudra. C’est ça la réalité fiscale au Québec.

Le midi, avant de prendre sa décision, mon ami(client gratuit), nous sommes au restaurant et il me demande: que ferais-tu? Je lui ai répondu par une question. Aimes-tu mieux ta femme ou ton argent? Il me demande pourquoi. Je lui dis penses-tu que ta femme a les nerfs pour passer de 3 à 5 ans en guerre avec les avocats du ministre du revenu? (J’emploie à dessein le terme ministre)

Il me dit:Non! Puis nous avons mangé (un peu) Nous sommes retournés au bureau et là il a accepté les termes de l’avocat. Pas du directeur, pas de la vérificatrice, mais de l’avocat. Il a choisi sa femme. J’ai vu peu d’hommes aussi droits et honnêtes dans ma vie. Mais lui, dans mon estime remporte la palme.

Il est triste que l’on n’ait pas de moyens de forcer les fonctionnaires à faire leur job. Mais, pour ce qui est des vérificateurs d’impôt c’est une joie pour eux de rentrer au travail. Ils se drapent d’une cape de probité alors qu’ils sont payés pour écraser les pauvres. Les riches s’en tirent majoritairement parce qu’ils paient abondamment pour avoir un rempart contre ces bullies. Ceux qui écopent sont d’abord et avant tout les petits qui se font plumer leurs économies durement gagnées par des gens sans logique des affaires et surtout qui utilisent des stéréotypes pour juger des cas particuliers. Quand tous les signes tendent à prouver la conformité des chiffres ils inventent des formules alambiquées pour valider leur évaluation farfelue.

C’est triste, infiniment triste mais c’est malheureusement ça. Je ne dis pas que ce sont tous des bullies qui vérifient, mais, une fois le compte établi le bullying commence. Ce n’est pas un combat de boxe, mais, un match de sumo.

Bertrand (@BDmoi)

Dans ce monde…

Dans ce monde où chacun se déresponsabilise et met sur le gouvernement la suite des choses qui leur arrivent, il est impossible de gouverner. Prendre des décisions pour le bien de la majorité est possible mais faire en sorte que chacun en sorte gagnant est folie pure. Du moins, de penser que c’est possible.

Les gouvernants, dans l’affaire de la covid19, ont pensé au mieux pour la collectivité, le banc de poissons,ceux en frange du banc, ont été gobés par le virus. Je ne leur jette pas des fleurs mais je ne leur jette pas des pierres non plus. Ils ont protégé leurs arrières et les gens étaient bien contents. Ça a marché mais les gens sont mécontents. Ce n’est pas vrai. Hier j’ai patienté 1 heure devant le dollarama. Il est passé des tas de gens. Tous, je dis bien tous ont mis leur masque pour entrer. Personne, mais personne n’a fait d’esclandre. Le monde est le monde. Et les gens sont les gens.

Là où le bât blesse, c’est ceux qui manifestent. Les médias n’en ont que pour eux. Donc, nous n’avons pas un regard agile sur le monde qui nous entoure. Il faut absolument que les choses changent. Le marasme dans lequel nous sommes plongés, dans une, sinon la, société la plus privilégiée au monde, est une résultante de cela.

Les choses, en général, vont bien. Nous avons de la nourriture, nous avons un toit et bien d’autres bienfaits. Si, vous êtes atteints par la grisaille et les malheurs des médias, laissez-les tomber. C’est impératif pour votre santé mentale.Si vous êtes sur les médias sociaux et que l’ambiance de ceux-ci vous atteint, vous avez le choix. Retirez-vous ou participez à rendre l’ambiance agréable.Dans la deuxième éventualité, vous vous sentirez mieux et vous occuperez votre temps à rendre le monde meilleur.

Bertrand (@BDmoi)

La recherche du mieux nous immobilise!

La recherche du mieux nous empêche d’avancer. C’est une terrible constatation. Mais, elle me semble réelle. Tous les avis de tout le monde sont différents. On élit des personnes pour prendre des décisions. Ces personnes prennent des décisions. On se met à juger les décisions des élus sous la loupe de ce qu’on croit meilleur et même le meilleur. Tout ce qu’on peut espérer c’est qu’ils ne créent pas plus de dommages qu’il y en a déjà.

Qu’il y ait moins de résultat que si, dans votre cas, votre solution serait meilleur, il peut ne faire de doute. Mais, l’est-ce dans la réalité collective? Avec les moyens dont nous disposons? Au moment où on se parle? Avec les ressources disponibles? Et tout et tout?

Il nous faut vraiment nous unir pour essayer d’améliorer les situations, à tous les points de vue. Améliorer est tout ce qui est possible. Parfaire ne l’est pas en ce monde.

En conséquence, cessons de déclamer ce qui est le mieux et essayons de réaliser le possible. On peut émettre des opinions avant la décision. Mais, celle-ci prise il faut tout mettre en oeuvre pour essayer d’en faire un résultat acceptable. Acceptable veut dire amélioration. Si on ne se satisfait que du meilleur, alors, on n’a rien.

Un dernier mot: la vie est risquée. Rien ne nous assure quoi que ce soit. C’est ça qui est ça.

Bertrand (@BDmoi)

L’humilité!!!

Le mot humilité est généralement considéré comme un trait de caractère d’un individu qui se voit de façon réaliste. L’humilité s’oppose à toutes les visions déformées qui peuvent être perçues de soi-même, visions qui peuvent relever de la pathologie à partir d’une certaine intensité. Wikipédia Que ce soit en estime exagérée ou en mésestime exagérée(ajouté par Bertrand).

Pourquoi estime et mésestime sont féminins? Pourquoi les gens, lorsqu’ils parlent d’humilité c’est toujours pour souligner un problème de l’image de soi chez le correspondant? Ce n’est qu’un jugement que l’on fait du comportement d’un individu que nous ne connaissons pas ou si peu. Dans notre société de politiquement correct et de tout le monde est égal il faut absolument s’aligner sur ce que les autres disent. Quoiqu’ils disent. J’ai en moi l’esprit d’un enfant de 2 ans qui dit: pourquoi le monsieur il est gros? je le vois gros je ne le dis pas maigre. Il ne faut pas insulter les gens, j’en suis. Je ne lui dirai pas qu’il est gros s’il ne me le demande pas ou s’il affirme qu’il est maigre.

L’humilité pour certains, c’est la diplomatie et ne pas sortir la tête du rang. Je sais que je ne sais pas tout, je sais aussi que je n’ai pas peur de dire des âneries, si je les pense ou si je les imagine. Beaucoup réagissent au quart de tour et refusent de discuter. Là je grimpe sur mes ergots. Refuser de discuter c’est refuser de communiquer. Pourquoi dire quelque chose si vous n’êtes pas prêt à expliquer ce que vous voulez dire. Bien souvent, pour ne pas dire la majorité du temps, on dit maladroitement ce qu’on dit. On ne dit pas ce qu’on veut dire. Mais c’est dit. Il est possible de nuancer et même réparer nos dires, mais pour cela il faut communiquer.

L’incapacité naturelle d’utiliser les mots est un grand handicap dans notre civilisation. Cela se retrouve autant chez les gens instruits que chez les gens qui n’ont pas eu cette chance.

Donc il existe des gens qui ont plus d’aisance à communiquer que d’autres. Certains le sont ainsi, d’autres se croient ainsi. La réalité? On ne peut présumer ni juger de rien. J’ai écrit 733 textes depuis 2017. Certains écrits j’en suis fier, certains écrits je ne regrette pas parce que je les ai faits honnêtement, mais ils ne sont pas à la hauteur et la majorité sont potables, sans plus.

J’ai le droit de m’exprimer et le fait que je le fais n’indique pas que je crois avoir la vérité infuse. Je ne crois pas au concept de vérité. Bien souvent mes affirmation sont des doutes ou des questions déguisées ou des étonnements. Mais ça, ça ne paraît pas dans l’écrit. Donc jugez de ce que j’écris et faites moi part de vos réactions. On peut avoir à partir de ça de magnifiques conversations qui, j’espère, ne se transformeront pas en débat. Converser c’est nuancer, débattre c’est vouloir gagner.

Bertrand (@BDmoi)

Collectivité de fous!!

Nous sommes une collectivité et non pas une société. J’ai écrit un texte à la base de ce sujet:

http://bdmoi.mdugre.info/wp-admin/post.php?post=566&action=edit

Mais maintenant j’aimerais utiliser des anecdotes à ce sujet. Il existe une quantité faramineuse d’extrêmes qui ont droit de cité dans notre collectivité. Tous les extrêmes et toutes les insignifiances ont libre cours. Le bien de l’un, poussé à l’extrême, pousse l’autre à se sentir agressé par lui. Ça n’en finit plus. Chacun a une opinion absolue sur tout et rien n’est assez. La réalité est telle que plus personne ne s’écoute et pire, personne ne discute mais tous vocifèrent à pleins poumons leur vérité.

La vérité n’existe qu’une personne à la fois. La Réalité, elle, est la même pour tous mais personne ne la voit totalement. En quoi suis-je différent? En ceci. Je ne fais qu’exprimer mon POINT DE VUE. Je décris ce que je vois pas ce que je pense, pas ce que je veux, pas ce que je voudrais. Mon poste de vue préféré est Twitter. J’y passe tout mon temps libre et, étant retraité, j’en ai beaucoup. J’observe et je prends des notes. J’écris bien des choses que je pense mais n’en ai-je pas le droit? Et vous avez le droit de les lire ou pas. Je déplore le fait que la plupart ne commente pas, en bien ou en mal. C’est triste parce que lorsque ça arrive cela donne lieu à des conversations agréables pour tous. Mais c’est ça.

Alors, lisez ou ne lisez pas, commentez ou ne commentez pas, ce qui sera sera. En attendant les gens courent comme des poules pas de tête et je me demande sincèrement s’ils ont conscience d’être dans la vraie vie. Ne pas savoir qu’on est en vie est un signe de folie (déconnexion de la réalité). Former une société est peut-être le futur? Le virus nous en donnera-t-il l’occasion?

Bertrand (@BDmoi)