Je me fous de la société.

Je me fous de la société. Je me préoccupe des individus. Il ne faut pas se méprendre, la société n’est que l’agglomérat des individus. Nous sommes morcelés à outrance ou pas assez. Les groupuscules ont toute la place car il y a divisions des vues et agglomération temporaire sur un sujet dans chaque groupe. Autrement dit les gens se regroupent différemment d’un point de vue à l’autre. Nous sommes donc trop divisés pour faire une communauté et pas assez forts pour se tenir debout face aux courants.

Quand on parle, un à un, avec des personnes elles sont assez cohérentes dans leurs idées. Mais dès qu’elles se rassemblent elles perdent leur cohérence pour adopter l’idées du groupe où elles s’agglutinent. Notre société est mal foutue. Nous n’avons pas un but commun, une vision commune, un appétit de demain pour nos enfants. N’en sommes nous qu’à considérer l’instantanéité et la comptabilité de l’argent. Nous avons des comptables au pouvoir, Nous avons eu des médecins et le système de santé est à terre. Maintenant c’est la société qui est à terre.

Pas besoin d’avoir des avocats, le système de justice est à terre. Donc il nous faut vraiment se parler pour changer les choses. Mais où y a-t-il un endroit pour se parler? Nulle part! Les gens ne se parlent pas sur les réseaux sociaux. Ils viennent déverser le fiel dont ils ont horreur mais ils remplissent ceux-ci de fiel. À qui la faute? À personne et à tout le monde, à la grandeur de l’Internet.

Bertrand (@BDmoi)

L’argent? Cause primaire de toutes les oppositions personnelles?

L’argent? Cause primaire de toutes les oppositions personnelles? Chacun ou presque n’a jamais assez d’argent. C’est une vérité de la Palice. C’est un mal répandu et non-nécessaire mais reconnu de tous. Le problème avec l’argent c’est qu’il se comptabilise, se voit et se discute facilement. L’argent est une valeur empirique, très prisée dans notre monde qui manque de civilisation. Elle a l’avantage de participer au désir de simplicité de l’humanité.

Chacun tire la couverte de son bord. Pourtant on n’a de cesse de gaspiller l’argent que l’On a. L’argent n’est rien tant qu’on ne sait quoi construire avec. On trouve toujours l’argent dont on a besoin pour construire quelque chose. Mais on n’en a jamais assez pour thésauriser. Le problème n’est pas l’argent. L’argent a été inventé pour faciliter l’échange de talents différents chez les gens. Il a permis l’explosion des talents humains du cerveau et des mains. N’eut été d’une modalité d’échange, qu’aurait été le parcours de l’Humanité?

Les travers reliés à l’argent ne sont que l’expression de l’émotivité et de l’Impulsivité des gens. Pourquoi? Parce que c’est ce que nous voyons autour de nous. Et ce dès le jeune âge. Nous avons beau prononcer des principes idéaux, mais les gens reproduisent ce qu’Ils perçoivent. Pour comprendre les agissements des gens il faut connaître leurs perceptions et non leurs conditions apparentes à nos yeux. Cette petite phrase implique un tas de choses mais, la principale est celle-ci: il faut, pour comprendre les gens, se fier à nos oreilles et non à nos yeux. C’est alors que l’on voit combien les gens sont peu rationnels.

La rationalité serait d’utiliser l’argent pour répondre à nos besoins personnels. Mais les gens semblent imiter ce qu’ils voient. Monkey see monkey do. Plutôt que de se demander ce dont ils ont un besoin personnel, ils modulent ceux-ci selon les modes observées. Erreur? Monstrueuse. L’incompréhension et la déception règnent dans la société. Personne ne se reconnaîtra dans ce portrait et ce n’est que la confirmation de la dichotomie entre la pensée et les actes.

Il faut regarder honnêtement nos comportements et s’avouer que l’On est très impulsif et émotifs dans nos actions autant comportementales que financières.

Un petit retour sur ses actions passées semble être la voie à suivre. Je le fais régulièrement et je m’en porte très bien.

Bertrand (@BDmoi)

Une société qui fuit la réalité.

Une société qui fuit la réalité ça donne une société absolument divisée. Toutes les élucubrations individuelles ont droit de cité et la désinformation prime. Les gens rêvent à l’idéal, et celui-ci est rarement de ce monde. Rien n’est absolument blanc et rien, est absolument noir. Y a-t-il un côté plus ou moins sombre en tout ou presque.

Comme pour les médicaments, souvent les effets secondaires arrivent avant les effets bénéfiques. Prenez la technologie comme exemple, la guerre et la porno sont beaucoup les moteurs d’avancements technologiques qui, une fois diffusés, apportent des bienfaits à l’humanité. Mais, la guerre et la porno, perdurent et accusent une grande partie des dépenses des gouvernements et des gens.

J’ose espérer que les réseaux sociaux apporteront plus de bien dans le futur. Le taux de pénétration des réseaux sociaux est encore bas. On parle de 20% à 25% de la population. Avec le temps, y aura-t-il démocratisation? Avec l’intelligence artificielle pour agir comme interprète des gens? On verra.

La réalité n’est jamais celle prévue. Il faut trouver moyen de se rapprocher d’une réalité espérée. Mais ça, ce ne sont pas les baby boomers qui y arriveront.

Bertrand (@BDmoi) (un babyboomer désolé)

Essentiel, nécessaire, désirable, possible, inadéquat, dangereux, inacceptable

Ce sont des mots et les gens les utilisent mal. Ce ne sont pas spécifiquement ces mots que les gens utilisent mal mais, ceci est un exemple. Il n’y a pas de synonyme parfait. Chaque mot est là pour énoncer une nuance. Dans le cas précis que j’ai présenté, ce sont des termes utilisés pour évaluer les caractéristiques d’une situation, d’une action ou d’un résultat. Bien souvent, au lieu d’utiliser ces mots on substitue le mot “normal” pour signifier notre pensée. La normalité n’existe qu’en statistique et pas en communication.

J’ai écrit ce texte en 2019 et il résume ce que je pense du mot normal. https://bdmoi.mdugre.info/il-y-a-normal-et-normale/

Beaucoup de mésentente est due à l’utilisation imprécise des mots. Aussi aujourd’hui, dans notre société, toute parole, ou presque est poussée à l’extrême. Les préjugés abondent parce qu’on n’exprime, en faits, que les extrêmes. N’est-ce dû qu’à la vitesse que nous communiquons? Je ne suis pas loin de le penser. Tout va trop vite. Le mot clé est “TROP”. Les gens en général n’ont plus conscience qu’ils n’ont plus le temps d’assimiler la quantité d’informations et de stimuli qui les touchent.

Le cerveau travaille très dur pour essayer de rapiécer dans un tout les éléments disparates qui l’ont agressé durant la journée. DE plus beaucoup surstimulent celui-là et diminuent leurs heures de sommeil. Est-ce une des raisons de la morosité qui règne dans la société.

La pandémie a ralenti bien du monde. Bien des gens ont fait un retour sur leur vie et ont changé bien des choses. En est-ce, ça, la véritable conséquence de la pandémie? Cette réaction est-elle désirable, appropriée et même nécessaire? Il faut, avec la montée de l’intelligence artificielle, s’interroger sur notre rythme de vie. J’ose dire que l’humain, devra être en contact très serré avec la réalité. On commence déjà à parler de la singularité technologique, moment où l’intelligence artificielle va faire exploser l’innovation. L’humain devra guider cette innovation. Pour cela il devra être au sommet de ses capacités. Le temps s’écoulera plus lentement ou plus vite. ON évoluera ou on régressera. Mais il y aura changement.

J’espère sincèrement que nous avons atteint le niveau de civilisation nécessaire pour absorber le choc. Deviendrons-nous comme dans le film “IDIOCRACY” ou des humains évolués comme dans le monde d’Asimov. Revenir au rythme de vie des années 50 amènerait probablement, selon mon idée, un regain d’échanges entre les gens et ferait disparaître les incompréhensions. Mais pour cela il est nécessaire de refaire contact avec notre coffre à outils, les mots.

Bertrand (@BDmoi)

De visionnaires à bâtisseurs puis à commerçants.

De visionnaires, nous sommes passés à bâtisseurs puis à commerçants. Nous avons défriché et développé la terre au Québec. L’époque des coureurs des bois a laissé la place à des agriculteurs qui ont peuplé la province. Mais avec la venue de l’industrialisation, on a débarqué en ville. Là se sont développées des idées. Nous avons eu des visionnaires, surtout lors de la Révolution Tranquille. C’est alors que de la terre, qui avait grand besoin d’Énergie électrique, nous avons bâti un réseau Hydro-Électrique. On a même essayé le nucléaire. Mais les inconvénients surpassent les avantages et maintenant allons-nous dans la production écoresponsable plus en profondeur.

Le point où je veux en venir est celui-ci: nous avons développé Hydro-Québec, d’abord et avant tout pour nos besoins propres. Nous avons deux ressources importantes: l’eau et l’électricité. Elles doivent servir d’abord et avant tout à nos besoins. Mais on a des commerçants au pouvoir. C’est comme si on mangeait du baloney pour servir du steak aux clients qui paient trop peu pour leur usage. Ce n’est pas une question de prix c’est une question de priorité. L’obsession des jobs payants de Legault nous fait perdre de vue l’essentiel. C’est d’abord et avant tout nous que l’On doit servir.

En eau et en électricité, il faut d’abord considérer nos propres besoins. Ne pas faire comme Duplessis et vendre le fer 1 cent la tonne. Il ne faut pas sacrifier la valeur de nos biens par excès de valorisation immédiate de nos ressources. Je ne dis pas qu’il ne faut pas en vendre, je dis qu’il faut les vendre et pas les donner. Le transfert en emploi payants est fallacieux. Disposant des ressources les capitalistes viendront si cela fait leur affaire et si ils en ont besoin. Peu importe le prix.

Donc vendons nos surplus, s’il en est, et ne les dilapidons pas. L’eau qui coule à côté des barrages n’est pas perdue, elle est nécessaire à la vie. Tout harnacher n’est pas adéquat. Il faut explorer tous les domaines pour profiter de nos forces. Nous avons des visionnaires, nous avons des bâtisseurs, et nous avons de commerçants. Mais il ne faut pas oublier une chose essentielle, les commerçants ne produisent rien. Ils rendent accessible et ils se doivent d’en charger le prix. Les producteurs fixent les prix de base. On doit agir en nuances et moduler le prix en fonction de l’utilité, peu importe la compétition. Sears a essayé de se battre sur les prix, et il a perdu. Ceux qui misent sur la qualité et la juste récompense, ont survécu. La masse recherche les prix. Mais c’est de la poudre aux yeux. Il nous faut prendre acte que nous sommes en pénurie d’employés. Créer de la richesse, je suis d’accord pour qu’on l’augmente. Mais pas au point de dilapider nos richesses collectives pour rien.

Je ne sais ce que vous en pensez. Mais, mon expérience de commerçant me démontre que jouer sur le prix est beaucoup, beaucoup moins rentable que jouer sur la QUALITÉ.

Bertrand (@BDmoi)

En ai-je contre les syndicats? Non!

En ai-je contre les syndicats? Non! J’en ai contre les centrales syndicales, toutes. Qu’elles existent pour offrir des services en soutien aux syndicats d’unité syndicale, j’en suis. Mais qu’elles fassent de la politique active et qu’elles négocient sur la place publique quand ça fait leur affaire et le décrie quand c’est à leur désavantage, me fait hurler. J’accuse les centrales syndicales de combattre la démocratie à l’intérieur des syndicats. Leur pouvoir est immense et les sommes recueillies auprès des membres sont dilapidées en action politique.

Où il y a de l’Homme il y a de l’hommerie. Les centrales syndicales fourmillent de spécialistes de la désinformation. SE fendent ils en quatre pour mousser l’augmentation des salaires pour augmenter la force de leur pouvoir. Mais quand on parle aux gens dans les entreprises et dans le gouvernement, ils cherchent à améliorer leurs conditions au travail et pas leurs conditions de travail. Mais ce n’est pas à l’avantage de la centrale syndicale qui elle, mesure son influence sur les moyens financiers dont elle dispose.

QU’il y ait une association de syndicats pour développer des services aux syndicats, je suis absolument partant. Mais là s’arrête le mandat. Il y a beaucoup de changements à apporter pour atteindre un certain état de fait. Sommes nous passé le point de changement possible? Je le crois. Mais, ça ne m’empêche pas de le souligner.

Bertrand (@BDmoi)

On est très mal informé et très mal foutu.

On est très mal informé et très mal foutu. Pourquoi? Parce que nous sommes inconscients. Pour qu’une bonne nouvelle fasse surface dans les médias, il faut que ce soit un fait extraordinaire. Bien souvent, n’est-ce qu’une découverte qui prendra des années à remplir une partie de ses promesses. Les promesses sont toujours des rêves dans un monde idéal, donc créent des attentes qui sont finalement déçues dans le temps présent.

Mais pour ce qui est du reste des propos des médias, n’est-ce que des anecdotes ponctuelles qui sont généralisées à outrance. Elles fourmillent et envahissent tout l’ambiance social. On ne parle que de ce qui ne va pas, presque exclusivement.

Et nous, nous nous laissons faire sans protestation. Les médias sont rendus de organes de propagande et divisent les gens pour que l’équilibre riches-pauvres demeure. La classe moyenne rétrécit comme une peau de chagrin. Les politiciens ne représentent plus les citoyens et c’est absolument criant. Ils mènent des luttes personnelles sur un ou deux points qui les interpellent.

La situation est tellement grave que je crois qu’elle ne peut se corriger. J’aimerais tellement être confondu. Essayez vous mais j’ai besoin de bons arguments et pas des principes surannés.

Bertrand (@BDmoi)

Quand le mieux est l’ennemi du bien le mal survient.

Quand le mieux est l’ennemi du bien le mal survient. Il faut bien saisir le concept illuminé ici.

Souvent, ne pas avoir le mieux, nous empêche de faire quelque chose. Bien des gens se contentent de rêver du mieux, selon eux, et se passent de ce qui serait bien et satisfaisant. Aussi rêvent ils d’un avenir meilleur mais ne font pas d’action pour aller chercher ce qui est disponible. Donc on a un vide, un besoin insatisfait. C’est je crois le moteur de bien des récriminations et de bien des déprimes sociales.

Il n’y a qu’à regarder les médias et saisir l’ambiance de certains sur les réseaux sociaux pour s’en rendre compte. Globalement, les gens, pris un par un, sont quand même assez fonctionnels. Mais le taux d’agressivité, qui ne cesse de monter dans les échanges interpersonnels sur la route ou dans les activités quotidiennes, est tel que chacun a son histoire de choses qui l’horripilent et le fait sortir de ses gonds.

Cette frustration grandit et s’accumule. On cherche un responsable de cet état et ce n’est pas de notre faute souvent. C’est ainsi que le mal progresse et la pression monte lentement. La Nature, même humaine, a horreur du vide. Aussi l’accumulation de frustrations fait place à une montée irrépressible de pression interne et d’insatisfaction. Les gens ne sont pas en colère, ils sont frustrés. Les signes comportementaux sont les mêmes mais la source est différente et l’intention n’est pas malicieuse.

Je reviens souvent sur l’introspection et la recherche personnelle des BESOINS insatisfaits et pas les désirs. Mais aussi faut-il CHOISIR les besoins (1 ou 2, pas trois) à prioriser immédiatement. Ceci fait saisir l’opportunité qui nous satisferait, selon nos ressources (monétaires, temps, énergie, profondeur du besoin…)

On ne peut CHANGER les autres, c’est une réalité. La seule place où nous avons un pouvoir, c’est sur nous. Alors cessons de nous battre contre les moulins à vent et prenons nous en main pour satisfaire ce dont nous avons besoin personnellement.

Alors bonne chance dans vos démarches. Et n’oubliez pas que les résultats sont rarement instantanés mais qu’il arrive que ce soit le cas.

Bertrand (@BDmoi)

J’ai beaucoup de compassion mais aucune pitié.

J’ai beaucoup de compassion (humanité) mais pas de pitié (sentiment d’infériorité de l’Individu en question). Je ressens la détresse de certaines personnes, j’en suis peiné. Mais je n’ai aucune pitié. Chacun tient les rennes de son destin. Qu’il les tiennent ou qu’il les laisse aller c’est sa liberté. Je suis un fervent croyant de la liberté personnelle. Bien des gens disent danser aussi vite qu’ils peuvent. Pourquoi? Il est un ensemble d’opportunités qui s’offrent aussitôt dit. Arrêter, ralentir, ou autre retourner à sa table et reprendre son souffle… Mais les gens ne se reconnaissent pas le pouvoir de tout revoir et reprendre selon leur situation. Notre société offre tous les services en ce sens.

Prendre en pitié est exactement le pire service que l’on peut rendre à quelqu’un. Écouter, suggérer, laisser le choix à la personne, est une attitude raisonnable dans les circonstances. Mais il faut respecter la volonté, ou la résignation, de la personne. Ne pas décider pour elle. L’idéologie woke actuelle n’aide pas. Elle tranche sur la liberté individuelle, décrète ce qui est permis de penser et culpabilise ceux qui agissent autrement, même partiellement.

Ces gens qui imposent une règle quelconque, idéale, sont remplis de pitié, au point d’haïr les gens qui diffèrent. La rigidité de leur pensée est telle que l’on ne peut les appuyer. Avoir pitié de quelqu’un et le haïr revient au même. On ne respecte pas sa liberté d’action et de pensée. Assumer sa liberté n’est pas un concept populaire. Avons-nous perdu toutes notions relatives à ce mot, assumer.

Je peux paraître froid, mais, n’est-ce que votre vision. Je suis un humain chaleureux mais respectueux de la liberté de l’autre. Et vous, décidez-vous pour les autres? Ou cherchez-vous à les écouter et respecter leur décision?

Bertrand (@BDmoi)

Qu’est-ce qu’on veut vraiment passer à nos enfants?

C’est une question qui se pose rarement. On la prend à l’envers, point par point, item par item, on se pose la question veut on de ceci ou cela pour nos enfants? Mais quand nous demandons nous que veut on transmettre à nos enfants?

Transmettre la cuisson des bines est bien mais, est-ce bien essentiel? On passe notre vie à être déçu de LA JEUNESSE. C’est une expression tellement consacrée. Mais que leur montre-t-on? Pas ce qu’on leur dit, ce qu’On leur montre. C’est affreux. Mettez vous dans la peau d’un jeune de 16 ans pour une minute. Regardez ce qu’on leur émet comme données et comme exemples. Demandez vous ceci: si vous veniez d’une autre planète qu’en penseriez vous?

On ne fait que parler de nouveau ou de problème. Peut-on comprendre que beaucoup de jeunes se détournent des médias et des traditions. Si vous ne comprenez pas, je suis désolé pour vous mais c’est une grande partie de la nouvelle réalité.

Consciemment, beaucoup de personnes disent vouloir le bien pour les jeunes. Mais, inconsciemment montrent l’inverse de ce qu’ils désirent passer aux autres générations. Je n’épiloguerai pas. Ce n’est pas nécessaire. Un examen de conscience est nécessaire pour chacun de nous. Puissions nous nous rendre compte, que peu importe ce qu’on pense et ce qu’on dit, ce que les autres voient de nous, c’est ce qu’On fait.

Bertrand (@BDmoi)