Ceux qui soumettent leur bonheur.

Ceux qui soumettent leur bonheur à l’agissement des autres sont condamnés à être malheureux. Notre bonheur nous appartient. Le bonheur est dans les conditions présentes autour de moi. Parler aux autres, les aider, les accepter nous appartient. Mais c’est tout.

La guerre entre les individus est omniprésente. Les divisions sont la pire démonstration de ce fait. L’Ukraine est sous le choc d’un individu que l’On dit intelligent, mais déséquilibré. A-T-il réellement le pouvoir nucléaire entre les mains? Y a-t-il des gens raisonnables pour arrêter le signal? Tout ça est très hypothétique et nous n’avons aucun pouvoir. Si les nouvelles sont pires que vos appréhensions, laissez tomber les nouvelles.

IL nous faut devenir des plantes qui tirent leur substance de l’environnement immédiat et qui répandent doucement leur odeur. Avoir cette image en tête, quand on est terriblement préoccupé par l’état du monde? Difficile mais, salutaire.

Je suis sympathique et même empathique aux autres. Mais j’essaie de me recentrer sur moi. L’équilibre est entre ses bras. Faire autour de soi ce qui est possible d’aménager. Je fais du bénévolat, je fais la livraison de la pharmacie ce qui me procure une occupation du corps et des pensées. C’est la grâce que je vous souhaite de pouvoir vous recentrer et accepter la limite de votre pouvoir tout en ne vous préoccupant pas de celui des autres sur vous.

Bertrand (@BDmoi)

La sagesse?

Se rapproche-t-on de la sagesse ou s’en éloigne-t-on? Est-on à la moitié du verre ou au début ou à la fin? Tout est complexe. Est-on à acquérir plus de sagesse ou au contraire perdons-nous celle acquise depuis les philosophes grecs. Doit-on passer par une phase de folie sociale et individuelle pour passer à un niveau supérieur par possibilité d’extinction?

Je me pose sérieusement la question. La réalité? Les ressources sont limitées, le système de santé nous le montre inévitablement. On sait ce qui doit être fait mais on ne peut s’y résoudre. Le temps est inélastique. On perd du temps à s’obstiner dans nos comportements de questionnement et de remise en questions perpétuelle sur les mêmes sujets qui sont pourtant reconnus depuis la nuit des temps: d’où venons-nous, où allons-nous, pourquoi existe-t-on?

Ne suffirait-il pas de lâcher le morceau et vivre la vie selon les enseignements du passé, dont la pollution éhontée que l’on a produite? On n’a pas procédé rapidement pour progresser. L’énergie du passé, des plantes, des animaux et du temps, a été dépensée en un siècle. Dans l’échelle du temps c’est peu et c’est beaucoup. Tout ça pour quoi? Se poser tant de questions qu’on n’a pas le temps d’y réfléchir. Il faut absolument décélérer. Pas stopper brusquement, on se ramasserait dans le pare-brise, la tête fracassée.

Donc, vous avez un pouvoir et il vous est acquis. Ralentir vos exigences. Se laisser aller sur l’erre d’aller. Peu de gens n’ont pas cette possibilité. Tous ou presque, peuvent, dans leur comportement, laisser tomber un tas de principes idiots comme plus, trop, moins et essayer de revenir à assez.

Le bonheur n’est pas affaire de consommation. Tant de gens malheureux le prouvent. Le bonheur n’est pas affaire d’excitation, tant de prescription d’antidépresseurs le prouvent en combattant les crises d’anxiété et de désespoir. Toutes les images de bonheur se produisent dans un atmosphère de calme et de sérénité. L’exaltation de l’amour fou ne dure qu’un temps et c’est bien. On ne peut vivre exalté pendant longtemps car le coeur ne résisterait pas. Rechercher l’exaltation mène à la séparation. La preuve? Taux de séparation aux alentours de 70% autant dans les couples sexuées qu’homosexuels.

L’humain est un être social. Combattre cette réalité est dommageable. On se sert de la guerre pour unir les nations mais en fait on divise l’humanité ce qui fait que celle-ci se perd. On semble ne pas avoir compris encore. Est-on en chemin pour le savoir ou pour l’oublier?

Bertrand (@BDmoi)

Une loi massue doit être une affaire de conscience.

Voter selon la ligne de parti est une incongruité qui devrait être bannie dans le processus de la loi des mesures d’urgence. C’est une nécessité qui doit être une affaire de conscience personnelle. La loi la plus puissante, comme la loi qui déclare un état de guerre, doit être votée par les députés. Pas par l’exécutif d’un parti.

Je suis complètement abasourdi par le résultat du vote au parlement canadien. Deux chefs de parti ont décidé, Trudeau et Singh. C’est aberrant. Les canadiens n’existent que sous la volonté de personnes qui ont le pouvoir entre leurs mains. Les camionneurs, et les organisateurs, ont gagné. Ils ont prouvé que la liberté de parole et de manifester n’existent plus. Il n’y a que la possibilité de ne pas faire de vagues qui existe.

Démonstration évidente faite à Ottawa. Merci à la pandémie pour l’avoir fait réaliser ou désolé mais c’est ça. 185 à 151 votes pour la loi. On est mal foutu et ça transparaît. Le pire? C’est que ça passe comme une lettre à l’anthrax à la poste.

Bertrand (@BDmoi)

Est-ce la fin ou le début?

En toute chose on dit souvent que la fin signifie le début d’une autre chose. Il se passe toujours quelque chose après un autre jour. Est-ce la continuité ou la nouveauté? Le monde change jour près jour mais le passé demeure. Certains disent on doit savoir d’où l’On vient pour savoir où l’On va. Ils ont tort. On se doit de savoir où l’On est. Mais quand on est perdu on fait quoi? Ensuite on doit savoir où l’On veut être. Mais quand on ne sait pas la direction on fait quoi?

Toutes ces questions ont une seule et unique réponse. On ne sait pas. On se laisse aller et on tourne pour essayer de trouver quelques signes que l’on reconnaît. La Terre étant ronde, toute direction est bonne. On aboutira quelque part et si on le fait assez longtemps, dans exactement la même direction, on aboutira à la même place. Est-ce pour ça qu’on a la théorie du pendule? Rien de nouveau sous le soleil? On s’éloigne d’où on était et rendu à mi-course on se rapproche d’où l’on a été?

La Terre est ronde dans tous les sens. En changeant continuellement de direction on erre souvent, perdu. En changeant une fois de direction on peut aboutir encore une fois à la même place mais juste un peu différente. Est-ce ce qui se produit dans le parcours de l’Humanité? La résistance au changement crée la continuité du passé et de la direction. L’appel au changement attire les aventuriers. Mais ceux-ci sont peu suivis. Cela prend un temps énorme pour que certains suivent les traces. Mais nous agissons comme un homme seul alors que nous sommes l’humanité? Non! Nous raisonnons chacun comme si on était seul. Là est le problème majeur.

Y a-t-il une seule place où l’on puisse se rencontrer et se parler honnêtement? Non! Tant que cette place n’existera pas, il n’y aura pas moyen de faire le point et choisir sa destination. La solution est donc de s’asseoir, se reposer et observer le monde pour y trouver des indices à suivre collectivement. Partir un mouvement se fera quand on s’arrêtera. C’est paradoxal mais évident. Est-ce que ça se fera avant que le soleil englobe la Terre?

Bertrand (@BDmoi)

Propagande vous dites?

Tout ce qui nous parvient de la part des moyens de télécommunications n’est que propagande. Peu de gens y ont accès direct. Nulle part y a-t-il place à la discussion. Les assemblées législatives sont partisanes, les gens qui ont les moyens de s’offrir les réseaux ne font que propager leur point d’intérêt, les gens sur les réseaux sociaux bien que minoritaires sont polarisés selon deux axes.

Nous étions supposés assister à l’âge d’or de la communication. L’information devait être à la portée de tous. Mais l’inverse se passe, tout n’est que question d’apparences que l’on projette selon notre convenance. C’est comme la fameuse voiture volante des Jetson en 1950. Où est-elle en 2022? La crise de l’énergie, les changements climatiques remettent tout en question et que dire de la pandémie?

Vraiment, la désinformation règne autant dans les médias que dans les réseaux sociaux. Savoir existe très peu. Croire est la norme générale. L’Opinion domine et la réflexion se meurt faute de matière première, des faits réels et complets.

Les gouvernements surréagissent tout en parlant de modération, les manifestants ont presque obéi aux injonctions de taire le bruit, mais dans une foule il y a toujours des hurluberlus, la balance est difficile à juger.

Il appartient à chacun de faire son idée. Pour ça il faut être extrêmement judicieux dans les faits et dans les propositions qu’on nous fait. Il n’y a pas d’information véritable et objective, nulle part. Il faut soupeser chaque information avec l’intérêt personnel de celui qui nous transmet l’information. C’est un travail ardu et il faut élaguer les émotions. Mais facile à dire…

Bertrand (@BDmoi)

Socialement? On l’a échappé solide.

Socialement on l’a échappé solide. Dans quel sens? Dans bien des sens. Ceci est un jugement personnel, mais est-ce la réalité? Les gens sont inadaptés et demandent aux gouvernements de s’adapter à eux. À trop concentrer notre attention sur le veau d’or, l’argent, on a perdu le message de l’humanité. Ceux qui ont fait avancer l’esprit humain sont morts. La plupart dans la pauvreté. Même la grande majorité n’ont-ils été connus qu’après leur mort.

Ceux qui sont connus aujourd’hui le sont par les médias de télécommunications. Pas pour leurs réalisations mais ils ont simplement une certaine notoriété. Associer un nom à un acte est de plus en plus difficile car les gens sont de plus en plus confus.

Les gens, un par un, quand on parle avec eux, ont un semblant de logique. La logique est qu’ils sont ignorants de bien des choses. L’indifférence, l’ensommeillement du cerveau, sont répandus collectivement. Avoir entendu parler de quelque chose, sans savoir quoi exactement, est rendu la norme. Avant? On en savait peut-être moins, mais, ce qu’on savait, on le savait. Maintenant tout n’est que sensation, influence et notoriété. Les gens veulent être connus et les groupes reconnus. C’est la norme.

Se contenter d’être soi est révolutionnaire, c’est être nombriliste ou encore pire être tête de mule. On en a beaucoup faux. Tout? Peut-être pas, mais, beaucoup.

Bertrand (@BDmoi)

Qu’en est-il des symboles?

Un drapeau nazi et un drapeau confédéré et un drapeau des patriotes font-ils une manifestation de milliers de personnes? N’est-ce pas la représentation de notre société empreinte de diversité? J’ai beaucoup de difficulté à cerner la pensée de Trudeau. Bien des fois il a dit: “Il n’y a pas de place au Canada pour…”. Le Canada est un vaste pays et il y aurait beaucoup de place pour la diversité et la différence selon lui. Différence veut dire pas pareil. Mais tous ceux qui ne pensent pas comme lui sont des racistes et des misogynes.

Est-ce le signe d’une maladie mentale ou d’une maladie philosophique? Les Canadiens sont divisés et beaucoup ne savent quoi penser. Bien de nos divisions sont exprimées par la cassure des politiciens qui recherchent le pouvoir et imposent leur vue. C’est le cas de bien des politiciens qui ont vu les avantages de la propagande. Celle-ci, organisée et galvanisée autour de symboles que l’on pousse toujours à l’extrême.

La concentration des systèmes de communication en quelques réseaux bien structurés mais opposés en est une cause que je commence à détester. L’argent achète tout et son contraire. J’ai écrit ce texte en 2019: https://bdmoi.mdugre.info/de-lusage-des-symboles/

Les symboles divisent parce que signifient tant de choses à tant de personnes différentes. Je n’utilise pas les émojis parce qu’ils sont inconnus dans leur signification qui n’est pas standardisée. Mais beaucoup les utilisent sans savoir. Nous avons les symboles des mots pour représenter des concepts. Malgré des dictionnaires plus épais que la Bible, on ne parvient pas à s’entendre sur le sens des mots qui sont supposés être le plus standard dans la population d’une même langue.

L’utilisation des symboles doit devenir ce qu’ils sont réellement, des pixels dans une image complexe de la société. Une image est composée de milliers si ce n’est de millions de pixels. Mettre l’emphase sur un point nous fait perdre de vue l’Image globale. Quand on regarde l’Image globale, elle fait un certain sens. Pas parfaitement mais fait du sens. Quand on ne voit qu’un pixel, on peut imaginer n’importe quoi.

Les politiciens et les médias, de concert, nous dépeignent ce qu’ils veulent qu’On voit à partir d’un pixel. Y a-t-il une image cohérente ou tout n’est-il qu’un écran brouillé où il manque une signification quelconque? Il semble que le signal de la société ne se rend pas à l’écran.

Bertrand (@BDmoi)

Par définition incompétence.

Par définition incompétence est un mot qui procède du jugement du comportement d’une autre personne. En partant on doit se méfier. Qui est la personne qui juge? Qui est la personne jugée? Et sur quel ou quels critères est-elle jugée? De plus quel est l’intérêt avoué de la personne qui juge et aussi quel peut être son intérêt caché?

Un mot qui suscite tant de questions peut-il être utilisé dans un commentaire quelconque? Il y a actuellement surutilisation du mot incompétence et aussi une certaine réalité. Personne n’est compétent dans la situation de la COvid19. Le virus a frappé dur et rapidement, il a muté rapidement et par vagues. Les médecins ont gagné en compétence avec le temps et les armes qui leur ont été données.

Donc juger les autres, dans la réalité de ce monde, qui n’est pas idéal, comme le font les commèrementateurs est absolument dangereux pour l’esprit des gens. Toujours rabrouer les personnes pour ce qu’elles auraient dû faire mais dont on n’avait pas les ressources. Ils ont beau parler et distiller leur venin, les pires incompétents ce sont eux. Incompétents par rapport à leur devoir d’information. Je sais ce ne sont que des chroniqueurs mais ils occupent tout l’espace de l’information.

Je les juge donc, les profiteurs de tribunes publiques, incompétents dans ce qu’ils sont de faire de l’information. Ils ne sont pas plus compétents que moi pour donner leur opinion. Tout le monde le fait. Je ne sais, à part les cotes d’écoute, ce qui motive leurs actions mais une chose est certaine ce n’est pas d’améliorer le sentiment de pouvoir des gens. Le dénigrement a toute a place et la façon qu’ils ont de toujours comparer à ce qui devrait être dans un monde idéal est déterminant de l’atmosphère général. Le moral est bas chez ceux qui suivent les médias. Pourquoi? Parce que les gérants d’estrade des médias jugent des actes des gens, pris à décider, d’incompétence et de jouer au yo-yo.

On navigue au jugé dans les gouvernements. Rien n’est prévisible. Je ne dis pas qu’ils sont parfaits, je dis qu’ils sont humains. Personne n’a voulu être élu pour gérer la pandémie. C’est ça la réalité et les commèrementateurs arrivent avec leurs sabots après le fait. Ils jugent des autres mais leur intérêt c’est quoi? Pas votre bien c’est certain.

Bertrand (@BDmoi)

S’en prendre aux autres?

S’en prendre aux autres pour ce qu’ils n’ont pas fait est souvent se penser supérieur. Mais il est une chose certaine: personne ne peut penser à tout ce que nous avons pensé. Mais peut-on juger que la personne a pensé ou pas? Question bien difficile.

Peut-on juger? A-t-elle pensé ou pas? Penser: activité consciente et organisée de l’esprit. Personnellement, je crois que les gens pensent, réfléchissent, peu. Ils réagissent beaucoup selon des réflexes, conditionnés ou pas, et ne pensent que lorsque quelque chose d’inhabituel se passe sous leurs yeux. Les médias nous ont proposé tant d’horreur que les gens réagissent presque d’un haussement d’épaule.

Le mot que les gens utilisent beaucoup est “normal”. Je déteste ce mot car il banalise tout. Il rend l’horrible acceptable. Donc peut-on s’en prendre aux autres? Je ne crois pas. Est-on supérieur parce que l’On pense? Je ne crois pas. Il est une question de perception du temps qui passe. Bien des gens sont absolument obnubilé par le temps. Ils n’ont le temps de rien. Surtout pas de penser. Ils s’activent rapidement ou se reposent vidés. Les gens courent après le temps.

Je suis à la retraite, malgré moi, depuis 32 ans. J’ai perdu bien du temps à désespérer de vivre (15 ans) Mais, j’ai survécu. Aujourd’hui j’ai tout mon temps. Je le possède entièrement. Je le souhaite à tous mais je sais que ce n’est pas possible. Je ne suis pas riche, mais, je n’ai pas de dettes, j’ai ce dont j’ai besoin (un toit chaud sur la tête et à manger dans mon assiette) et le plus important je suis occupé dans la nuit et le jour (écriture, bénévolat, petit travail à temps partiel). Aujourd’hui c’est mon anniversaire, j’ai 68 ans.

J’ai appris qu’il ne faut pas s’en prendre aux gens mais les comprendre. J’ai appris que donner des conseils ne donne rien si on en espère un résultat. Il faut répondre aux questions que l’on nous pose. Alors, les gens écoutent-ils un peu et il y a peut-être lieu à discussion et à penser. Autant pour l’autre que pour soi. Répondre avec des réponses toutes faites n’aide en rien la personne. Mais écouter la question et répondre selon ses expériences a des chances de se rendre dans la conscience de l’individu.

Soyons plus ouverts et essayons de répondre à des questions plutôt qu’à juger les autres. C’est tout ce qu’on peut faire pour essayer de rétablir un peu d’humanité dans ce monde anormal.

Bertrand (@BDmoi)

De tous temps l’armée a été l’arme des tyrans.

Si Trudeau fait appel à l’armée, ce sera la preuve par 4 que le gouvernement est tyrannique. Le pouvoir qui utilise le pouvoir contre les citoyens. Plein de chose sauraient été possible. Mais on veut démontrer la puissance du pouvoir. Il est possible de discuter, mais non, HIC et NUNC(ici et maintenant) il n’est pire décision que celle de prendre les mesures d’urgence. Il n’y a pas crise il y a manifestations pacifiques, bruyantes mais pacifiques.

N’est pire tyran que celui qui a peur à son pouvoir. Dans la tempête, le capitaine perd le nord. Ce n’est pas la tempête parfaite. mais les mouvements du capitaine créent le débalancement du bateau. Il y aura schisme du Canada. La structure du bateau ne tiendra pas parce que le capitaine ne respecte même pas ses propres lois. Il était une fois le père et le fils qui sont tellement unis dans le pouvoir qu’ils vont à l’extrême que lui décide de prendre.

Si le Canada est en crise, il est la risée du Monde. Il y a de vraies crises dans le monde et pendant ce temps? On se gratte le nombril. Tout ça à cause d,un hurluberlu qui a les nerfs en boule.

Bertrand (@BDmoi)