Le prix d’une vraie démocratie.

Le prix d’une vraie démocratie est élevé. Il faut voter souvent et longtemps. Les choses vont vite et nos institutions sont sclérosées. Le gouvernement est impliqué dans un tas de domaines de façon centralisée. C’est une grave erreur d’organisation. D’après moi, il faut morceler le gouvernement, tel qu’on le connaît aujourd’hui. Qu’on le veuille ou pas nous sommes dans le monde de l’électronique et non plus dans le domaine des chevaux et des cochers.

Il faut refaire le modèle en le rendant plus rapide et plus efficace. Mais cela veut dire qu’on doit déléguer l’orientation des enjeux en dehors des mains des politiciens actuels. Facile à dire mais, ça n’arrivera pas. Parce que pour cela il faut leur enlever du pouvoir. Il faut créer des Hydro-Québec autonomes. Hydro n’appartient pas au ministre des Finances. Elle appartient aux Québécois et à personne d’autres. Il leur appartient de choisir leur conseil d’administration et l’orientation à donner pour le futur. Cela demande donc une campagne électorale d’Hydro. Ainsi en est-il des ministères de l’Éducation, de la Santé et des Transports. Je ne ferai pas l’ensemble du gouvernement mais vous voyez le portrait, j’espère. Centrer la mission de l’Organisme sur l’objet de sa raison d’être. Pas sur la politique et surtout pas le jeu politique.

Il faut morceler les ministères et les rendre autonomes au point de vue du financement. Comment? Le principe d’utilisateurs payeurs. Et c’est là que le bât blesse et tue la bête. Non seulement les citoyens doivent voter à répétition et choisir leur avenir morceau par morceau mais encore doivent-ils payer pour. C’est absolument impossible dans le mode actuel. Trop de choses entrent en concurrence. Mais par où prendre le problème? Par le revenu minimum garanti. Rendre le citoyen responsable de son autonomie. Ça ferait grincer des dents et pleurer bien du monde.

Les gens, à partir du revenu mensuel de base établi, pourraient choisir ce qu’ils veulent. D’où le principe d’utilisateurs payeurs. Le coût serait celui nécessaire au service divisé par les utilisateurs. Facile à dire, mais imaginez le bouleversement au niveau des mœurs. Inégalités, vous dites? Liberté, diront les autres. Mais comment orchestrer tout ça? Par une refonte totale de la constitution et de l’organisation du pays. Premièrement faut-il être autonome. Ce que nous ne sommes pas. Deuxièmement faut-il une certaine cohérence sociale, ce que nous n’avons pas actuellement. Troisièmement faut-il des gens intéressés à la fonction publique dans le sens noble du terme. Aussi y a-t-il beaucoup de prérequis individuels nécessaires.

Donc, quand on entre dans le domaine du possible, il y n’y a pas beaucoup de limites à l’imagination en autant qu’on morcelle chaque aspect. Ce qui implique que le gouvernemaman actuel, qui dirige la vie de chacun, disparaisse. La Nature a horreur du vide, la nature humaine n’y échappe malheureusement pas. Plein de possibilités s’offrent à nous mais, il n’y a aucun espace pour en discuter SAINEMENT. Il nous faut absolument, comme point de départ, concevoir un lieu social comparable à l’agora de la Grèce Antique.

UN lieu technologique où tous les citoyens peuvent s’exprimer et échanger. Les réseaux sociaux ne sont pas cet endroit. À cause des avatars, des bots et des influences indues qui empêchent les échanges. Les algorithmes créent des chambres d’écho desquelles on ne sort pas. Non, je ne sais comment on pourrait arranger les choses. Tout d’abord faudrait-il une clé électronique citoyenne unique, qui permette une entrée à la fois, pas plus et pas moins. Bien des choses pourraient en découler d’où un revenu minimum du citoyen.

Je semble délirer mais ce n’est pas du délire, c’est du brain storming à la base. IL manque bien des morceaux, mais en partant de quelques concepts établis, est-il possible d’entrevoir un monde pour le futur de l’humanité. Rassurez vous je ne suis pas ne période d’élucubrations mais bien d’imagination contrôlée.

Une vraie démocratie doit débuter sur une base solide soit: des citoyens libres et autonomes, qui prennent le temps de s’intéresser à la chose publique. Nous en sommes loin et pour combien de temps encore? Le temps fera son œuvre. Mais une chose est certaine, ce ne peut être qu’un effort collectif et non pas le fruit du hasard.

Bertrand (@BDmoi)

Des gens d’expérience sans relations?

Exiger des gens d’expérience qui n’ont pas de relations d’affaires est une stupidité que les médias encouragent. Une personne qui a réussi en affaires est une personne qui a un important réseau de contacts. C’est une conséquence. Personne ne réussit seul.

S’attendre à de la compétence de la part de politiciens ne vient pas sans passé. Les gens des médias sont particulièrement stupides ou mal intentionnés. Fitzgibbon est un homme d’affaires. Il brasse des affaires. Il est connu pour brasser des affaires, et on veut en profiter.

Il est permis de questionner ses gestes. Ses conflits d’intérêts sont NÉCESSAIREMENT nombreux. Peut-on lui donner le bénéfice du doute et juger honnêtement de ce qui est. Présumer qu’il y a préférence quand il n’y a que connaissance est stupide et irréaliste. J’utilise des mots durs pour une pratique absolument dévergondée des médias. Je ne nommerai personne de peur d’en oublier.

Si vous êtes si pur et si connaissant, lancez vous en politique. En attendant je ne paierai pas un sou pour vous encourager dans votre pratique sale.

Bertrand (@BDmoi)

P.S. Je ne connais personne dans l’entourage de Fitzgibbon ou de la CAQ mais, ai-je un peu de gros bon sens. Du moins je crois.

Perdre son temps.

Ne savez vous que vous avez perdu votre temps qu’après l’avoir perdu. Avant de le perdre? Le perdez vous sans le savoir? Qu’est-ce que perdre son temps? À quoi sert le temps? Faites vous un budget de temps.

Bien souvent on a conscience de perdre son temps que par le fait qu’on s’ennuie et que le temps passe lentement mais les semaines vite. Mais il faut prendre conscience du temps qu’il nous est imparti. Bien des gens aspirent à la retraite pour ne rien faire, se lever tard et jouir de la vie. Cela résulte bien souvent à attendre la mort plutôt qu’à vivre.

qu’est-ce que perdre: perdre est ne plus avoir en sa possession. Le temps ne se possède pas il s’utilise. Avons nous une ressource de temps infinie? Non! Ceci étant établi passons à la vie. Plus souvent qu’autrement les gens passent le temps. Ou plutôt le laissent-ils passer? On ne perd pas de temps, on ne l’utilise pas, c’est tout.

Je dors entre 8 et 10 heures par jour mais j’ai l’énergie pour le reste du temps. Je passe beaucoup de temps sur twitter? 5 à 6 heures par jour. (incluant le déjeuner que je prends devant l’écran:-)))

Mais j’ai beaucoup de temps devant moi pour apprécier l’état du monde. L’état du monde et le mien? Est-ce une manie de contrôle? Peut-être! Mais je suis bipolaire et bien depuis une dizaine d’années. Médicaments et connaissance de mon environnement m’y aident considérablement. Ceux qui me suivent savent que j’écris beaucoup. Tout ça mis ensemble je n’ai pas l’impression de perdre mon temps. Peut-être d’autres ont l’impression de perdre leur temps avec moi mais c’est leur problème. Je sème à tout vent et j’échange avec les gens qui veulent échanger. De quoi? De la vie!

Je suis heureux de la vie que je mène, oui je la mène et ce n’est pas elle ou les autres qui me mènent. Du moins est-ce ma perception et mon appréciation? La vie c’est vivre, pas exister.

Bertrand (@BDmoi)

P.S. Je crois vivre dans le monde réel et non la fiction des télécommunications.

Tant qu’on vit il est possible de vivre et changer de vie.

Tant qu’on vit il est possible de vivre et changer de vie. Mais les gens en sont-ils conscients???? Je ne pense pas. J’ai à l’occasion fait l’exercice suivant: qu’est-ce que ça changerait si j’avais 100000$ sur la table en ce moment? Le résultat? J’ai fait des choix de vie et j’en suis très heureux aujourd’hui.

Le dernier en date est celui qui suit. J’ai réalisé que je voulais, pas voudrais, une auto électrique. J’y ai pensé un bout de temps, j’ai envisagé ce qui changerait et ce que ça changerait. Puis j’en ai parlé avec mon fils qui m’a dit: qu’est-ce qui t’en empêche? J’ai fait des recherches sur internet pendant 1 mois puis je me suis décidé sur une démarche, que j’ai suivie. J’ai maintenant une auto électrique et des paiements sur 5 ans. Et j’en suis très heureux. En 5 mois j’ai 16000 km de fait. J’adore ma voiture et je vis continuellement grâce à elle. Je fais de l’accompagnement bénévole de personnes âgées chez le médecin et pour les commissions.

Il faut prendre conscience de son pouvoir. On n’a pas besoin d’être un super héros. Au pire avons-nous besoin de PRENDRE le temps de se poser des questions. Il est nécessaire de vivre et non pas d’exister. Mais, bien des gens se contentent d’exister. On a le choix mais pour cela il faut s’interroger. 100000 choses peuvent nous empêcher de faire quelque chose. N’est-il besoin que d’une pour nous le permettre.

Chaque choix amène son lot de réactions et de problèmes. La perfection n’existe pas. Mais vivre est la seule opportunité qui reste. Exister? Très peu pour moi. Et Vous?

Bertrand (@BDmoi)

N’y a-t-il que des individus?

N’y a-t-il que des individus et pas des institutions ou des gouvernements ou des médias, ou des groupements???? C’est ça l’infâme Réalité. Nous sommes chacun responsables, d’abord et avant tout, des aléas de la société. Celle-ci est le résultat de la synergie qui existe entre les individus. Chacun réclame son dû. Rien n’est dû à personne. Ainsi est la Réalité.

Il faut saisir le taureau par les cornes, dit-on? Où sont les cornes de la société? Je ne le sais pas. Et vous?

Nous avons à subir les contrecoups de la forte dénatalité. Parallèlement nous jouissons d’une avancé incroyable du niveau de vie. Est-il évident, qu’avec les moyens de télécommunications qui existent actuellement, le phénomène mondial soit l’émigration vers les pays riches.

Jaloux de leurs richesses, ceux-ci tentent de mettre un terme à ce raz-de-marée humain. Ça n’arrivera pas. Comment chacun réagira à ce qui se passe autour de lui orientera le futur de la société. On doit prendre conscience et être cohérents dans nos réactions. Plus de raison est nécessaire et moins d’épiderme.

En sommes-nous loin? Encore là je ne sais pas. Tout ce que je sais c’est que les gens répètent le VACARME incessant des gouvernements, des institutions, des médias, des groupements…

Bertrand (@BDmoi)

L’inclusion est affaire d’accueil.

L’inclusion est affaire d’accueil, cela dépend donc de celui qui accueille et non de celui qui est accueilli. Mais ce n’est pas la totalité de l’affaire. Il faut être 2 pour danser le tango, dit-on. Mais encore faut-il savoir le danser? Nous avons notre part à faire et les invités aussi.

C’est un vaste sujet. Mais pas trop vaste pour insister sur un fait nécessaire à la bonne entente. De chaque côté y a-t-il des exemples de mauvaise foi. Aussi, ne pouvant changer la nature de certains humains, faut-il essayer de quantifier un peu. La vue, par les médias, est absolument infâme. Ne parle-t-on que de ce qui ne va pas. Il y a en réalité des immigrants qui ne veulent ou ne savent s’intégrer. C’est certain. Il y a des gens d’ici qui ne veulent pas des immigrants. Bien sûr. Mais, sont-ils si nombreux ou ne sont-ils que ceux dont on parle parce qu’ils sont vocaux. Toutes les organisations, je dis bien toutes, qui parlent contre les uns ou les autres, ont des agendas définis et ne cherchent-elles que la notoriété et les mauvais sentiments générés par leurs revendications excessives.

En réalité, la plupart des gens, d’un côté comme de l’autre, ne cherchent que la coexistence pacifique et veulent mener une vie tranquille, le mieux possible. La grande incompréhension existe quand on catégorise les gens. Faut-il se surpasser et prendre les gens pour ce qu’ils sont, dans la vie et pas selon les catégories qu’on n’arrête pas de faire dans les médias.

Soyons humains et voyons les autres comme nous voulons être vus et non selon ce qu’on nous juge dans notre catégorie. Faut-il vivre la vie réelle et pas celle qu’on nous rapporte idiotement.

Bertrand (@BDmoi)

Parler d’idéal n’est pas vouloir l’atteindre.

Parler d’idéal n’est pas vouloir l’atteindre. Mais, peut-on parler de possible qui existe. La route vers l’idéal n’est pas pavée, elle n’est même pas tracée. N’est-ce que le sentier du possible que l’on peut emprunter. Le temps de voyage d’une vie est trop court pour atteindre l’idéal. Car c’est une fantasmagorie personnelle qui ne repose sur aucune réalité. Tout au plus pouvons-nous envisager des places possibles et dont on perçoit les contours, même si on n’y est pas rendu.

Actuellement, une vague d’idéalisme forcené déferle sur le monde. Chacun énonce les conditions idéales pour lui. IL les annonce comme étant des vérités immuables et certains le rejoignent dans son délire. Il n’y a plus la discussion pour investiguer le possible, non, il n’y a que l’idéal ou rien. On ne parle des principes, qu’un à la fois. Mais en société, il y a plusieurs principes qui doivent être envisagés en même temps et coordonnés à la réalité physique, économique, géographique, sociale…

Naviguer dans le monde réel ne se fait pas à coups de “plus jamais”, “c’est assez” ou “faites des lois”. Naviguer dans le monde réel se fait en essayant de comprendre où l’on est et choisir un futur plus acceptable, si on n’est pas satisfait de sa situation.

On m’a demandé, sur twitter, que serait le titre de mon autobiographie? J’ai répondu: “Si seulement on réalisait le possible”. C’est ce que j’ai essayé de faire toute ma vie. Parfois j’ai réussi, parfois j’ai échoué. Globalement je suis satisfait d’où je suis. Parce que j’ai essayé et fait ce que je croyais possible. L’idéal? C’est pour ceux qui ne font rien. En suis-je convaincu. Les politiciens nagent dans l’idéal, est-ce pourquoi les choses n’évoluent pas dans le bon sens?

Bertrand (@BDmoi)

Une loi qui illégalise des armes illégales?

Une loi qui illégalise des armes illégales? Est-ce qu’on appelle abattre un arbre déjà abattu? C’est l’impression que j’ai. Rendre illégales des armes possédées légalement est inutile au point de vue pratique. Tout au plus fait-il gagner des votes auprès des émotifs qui pensent que le monde réagit aux politiciens. Ceux-ci sont dans le bas de la crédibilité des citoyens.

Nous sommes dans un monde où les émotions surpassent abominablement la raison. Prendre les moyens pour que les armes illégales diminuent ne sera jamais accompli par une loi mais par les actions contre les trafiquants et les utilisateurs d’armes illégales. Empêcher les gens d’avoir des armes ne résoudra en rien le problème.

N’avons nous autant de problèmes sociétaux que parce que l’on se décharge de tout ce qui concerne la responsabilité citoyenne. Problèmes de pénurie de travailleurs, de diplômés d’école, de travailleurs de la Santé….

Il faut cesser de demander aux autres de faire pour nous. IL faut réveiller les gens et constater que l’on régresse en civilisation au fur et à mesure que la déresponsabilisation personnelle augmente. Y a-t-il des gens qui le voient, le disent mais les gens endormis ronflent tellement que les gouvernemamans les écoutent et les dorlottent.

Bertrand (BDmoi)

P.S: Je n’ai pas et ne veux pas avoir d’arme. Tout au plus est-ce que je veux la paix et le bonheur de tous les gens de bonne volonté.

IL y a beaucoup plus d’intellectuels que Legault et les démagogues pensent.

IL y a beaucoup plus d’intellectuels que Legault et les démagogues pensent et c’est tant mieux. Les mots ont un sens pour certains. Les concepts ne sont pas vagues et élastiques pour plusieurs. Si être pragmatique et terre-à-terre et être obnubilé par l’argent, est la normalité alors je suis anormal et heureux de l’être. Mais il y a beaucoup d’autres moi. J’irais jusqu’à dire de plus en plus.

Il y a beaucoup plus de gens qui réfléchissent et pensent à demain et aux enfants, que l’on croit. Mais font-ils majoritairement partie de la majorité silencieuse. Pas si silencieuse quand on les écoute mais pas démonstratives.

Là où il y a de l’homme, il y a de l’hommerie. C’est un mal reconnu. Aussi n’y a-t-il pas de système parfait. Bien des choses sont tordues dans notre système politique de représentation démographique et géographique. Legault, dans son infinie sagesse (sic), n’a pas mis le pansement sur le bon bobo. Il faut une réforme du mode électoral, c’est vrai mais, encore plus important. faut-il ajuster le rôle de député (élu).

Dans mon esprit, un député est le représentant des citoyens à l’Assemblée Nationale. Il est là pour que le gouvernement prenne les décisions et agisse selon les intérêts des citoyens. Il n’est pas là pour gérer les citoyens. Dans notre système hérité de la tradition, ce n’est pas le cas. Ils régissent les actions de citoyens. En 2022 ce n’est plus ce qu’on attend d’eux. On attend d’eux qu’ils respectent les droits des citoyens, tous les citoyens. Droits impliquent que les citoyens sont libres de choisir leur voie et qu’ils doivent en assumer les conséquences.

Nous avons des gouvernemamans qui empêchent les humains d’être des adultes accomplis. Qu’ils informent? J’en suis. Mais, qu’ils imposent une voie je n’en suis plus.

Tout part du départ et celui-ci est le rôle de l’élu. Comment le choisir en découle. Peut-être ne suis-je qu’un intellectuel? Mais, je pense et je suis.

Bertrand (@BDmoi)

La condescendance.

Qu’est ce que la condescendance? Qui est condescendant et pourquoi l’est-il parfois?

condescendant: qui paraît hautain, méprisant.

Certains, parce qu’on s’exprime très précisément, et qu’on nuance les dires, nous trouve condescendants. Ça m’est arrivé souvent et cela à mon corps défendant. Encore aujourd’hui est-ce arrivé. Mais je dois dire que j’ai demandé à la personne de se calmer, ses émotions prenant le dessus sur sa lecture des mots.

On juge quelqu’un de condescendant. Qu’il le soit ou pas. Le problème est le jugement. S’attarde-t-on alors à toutes sortes de suppositions, plutôt qu’à ce qui est exprimé. Une personne a le droit d’être émotive et de le manifester. Mais l’autre a droit de lui dire de se calmer.

Les hommes et les femmes sont différents. Les hommes et les hommes sont différents. Les femmes et les femmes sont différentes. Tout le monde est différent. N’avons nous pour communiquer que les mots. Il n’y a pas jouer sur les mots. Il n’y a que jouer AVEC les mots.

Bien des problèmes interpersonnels sont uniquement dus au fait que l’usage des mots n’est pas le même pour tout le monde. Dans notre monde où les émotions ont la préséance sur la raison et l’analyse, où les gens ont un coffre à outil (dictionnaire) limité, est-il surprenant qu’il y ait plein de malentendus.

Comprenez ce que j’ai écrit. Pas ce que vous avez voulu lire. Ainsi est-ce le point de départ d’une belle et bonne conversation. Mais, les gens veulent aller droit au but. Donc ne prennent pas le temps de discuter. Est-il surprenant que la société soit polarisée? Je ne suis pas surpris. Et vous?

Bertrand (@BDmoi)