Le Virus disparaîtra-t-il?

Au début de la pandémie j’ai écrit ceci: http://bdmoi.mdugre.info/quossa-donne-ou-la-lecon-de-la-pandemie/ , où en suis-je rendu?

Le Virus disparaîtra-t-il? La réponse évidente à cette question est: non. Un gros non! Ceci étant posé voici ce que ça implique.

  • Il est détectable donc il existe.
  • Il se propage, donc il se transmet d’une personne à une autre.
  • Il se reproduit dans une cellule hôte, est-ce signe qu’il est vivant?
  • Le vaccin protège la personne vaccinée de souffrir des symptômes graves de la maladie.
  • Nous sommes près de 8 milliards sur la Terre et on parle de millions de vaccinés. Donc ça va être long en titi.
  • Il y a des millions de faits inconnus sur le virus.

En conséquence, on est pris pour vivre avec pendant un bon bout de temps. Combien? On s’en fout. Qu’est-ce qui nous empêche de vivre, si on n’en meurt pas? Là est une question épineuse. Plein de gens s’empêchent de vivre pour une myriade de raisons. Il suffit d’écouter les lignes ouvertes et de lire les réseaux sociaux pour le constater.

Donc, les gouvernemamans répandent plein de choses pour garder le contrôle sur quoi, au juste? Il semblerait que ce soit pour préserver le système de santé. Là est le gros du bobo.Le système pue et n’en peut plus. Les gens à l’intérieur sont asphyxiés et manquent d’air. Il faut refaire le système de A à Z. Le moment d’une crise est-il le moment pour le faire? Y a-t-il un moment pour le faire? Y a-t-il un meilleur moment pour le faire? La réponse est évidemment en a-t-on le choix?

À partir du moment où l’on est conscient du problème, il faut réaliser que le problème ne s’effacera pas de lui-même. Le virus est là pour un bon, bon bout de temps. Peut-être des centaines d’années? C’est un virus parmi d’autres qui sont tout aussi virulents. Le système ne suffisait pas avant la pandémie. Il faut cesser de tout mettre sur le dos de la pandémie et mettre toute l’énergie à refaire le système de santé.

Cela implique nécessairement qu’il y aura des laissés-pour-compte. C’est ça la vie dans un monde qui n’est pas idéal. Tous les beaux principes woke n’avancent à rien. Faudrait-il que l’heure de la réalité ait sonné? Je crois que oui.

Bertrand (@BDmoi)

Confondre point de vue et opinion?

Les gens partagent beaucoup d’opinions. Ils les lancent comme on lance un caillou sur l’eau, pour voir combien de fois il va rebondir. Les opinions sont plus ou moins réfléchies. Personnellement, j’essaie d’avoir peu d’opinions mais beaucoup de points de vue. Quelle est la différence? Elle est majeure. Une opinion peut nous être transmise par les autres. Un point de vue, on le voit par nos sens.

Aujourd’hui, existe un prêt-à-penser. Quand on a confiance en quelqu’un, on peut prendre pour notre opinion ce qu’il nous dit.Bien souvent on enregistre et on opine, on dit oui avec la tête. Sans vraiment y penser.

Avoir un point de vue passe par les sens. On est sur le haut de la montagne et on apprécie ce qu’on voit. Cela a toutes les chances d’être réfléchi. Là est la différence majeure. Un point de vue peut s’exprimer, peut se définir, peut être nuancé à l’aide de détails. Une opinion est souvent absolue, n’a pas de mouvement, est statique.

Selon moi, on doit reprendre ses opinions, souvent, pour voir sur quels points de vue elles s’appuient. Approfondir nos opinions. Pour en faire de nouveaux points de vue. Visions partagés avec d’autres ou pas.

Avoir des points de vue amène à pouvoir discuter. Avoir des opinions amènent à débattre, amener l’autre à son opinion.

Quand vous vous ennuyez, essayez de faire le ménage dans votre cerveau, Ça occupe et permet de nettoyer bien de choses avec lesquelles vous n’agréez pas, finalement, qui ne correspondent pas à ce que perçoivent vos sens.

Bertrand (@BDmoi)

La vie est risque

La vie est risque. Rien, mais rien n’est garanti. Même si tu ne sème pas il y aura des résultats que tu n’aurais pas voulu. La vie n’est pas compliquée. Les humains sont compliqués. Respirer, penser, boire, manger, dormir et ne pas se faire bouffer ou tuer. C’est tout ce que la vie demande. Le reste est inventé par les vivants.

Toute la vie est risque. Tout peut arriver et, bien souvent, arrive. Que l’on s’y soit attendu ou pas. Les médias et les gens qui n’ont de cesse de dire: ceci risque de… J’ai maintenant une réponse toute faite, en laquelle je crois énormément et celle-ci est “OUAIS,PIS”. Arrivera ce qui arrivera. Si c’est désagréable, ce qui risque d’arriver, je fais ce que je peux faire pour l’éviter et basta.

Ce n’est pas être fataliste, c’est être très réaliste. Les gens n’en ont que pour imaginer toutes sortes de choses possibles. Alors ne les vivez pas de grâce. Soyez vivants et occupez vous de ce qui est. Il y a tellement de choses qui pourraient être. Alors respirons, pensons, buvons, mangeons et dormons la vie n’a pas de durée absolument déterminée. Il y a les probabilités et nul ne sait ce qui va lui arriver.

Donc en conséquence vivez votre vie et foutez la paix aux autres qui ne pensent pas comme vous. La vie n’est pas avoir raison. La vie c’est avoir sa raison et pas beaucoup semblent le vouloir.

Bertrand (@BDmoi)

Écrire des sornettes?

Certains se demandent pourquoi j’écris? Qu’à cela ne tienne je vais vous répondre. La principale raison est celle-ci: je veux agir comme une sonnette de réveil. J’agis, j’ai écrit plus de 1000 textes. Ai-je un effet? Je m’en fous. Pourquoi? Parce que j’ai le droit de m’exprimer et vous avez le droit d’en faire ce que vous voulez. Alors est-ce que j’écris des sornettes (propos frivoles), c’est à vous de juger.

Juger de la personne est stupide. Juger de ses actes est déjà plus raisonnable. Mais ne pas juger est mieux. IL ne faut pas regarder le doigt qui montre mais ce qu’il montre. Bien des personnes ne sont pas éveillées. Elles somnolent lentement et détestent être secouées.

Je veux bien être une petite sonnette, qui résonne et qui raisonne. Ai-Je absolument raison? Dans ce que j’écris? Je n’en ai pas l’outrecuidance. Mais j’ai le droit de dire, honnêtement, ce que je vois et ce que j’en pense. J’aimerais énormément avoir des discussions sur ce qu’on agrée ou pas sur mes écrits. Mais les gens ne répondent pas. Est-ce qu’ils lisent? Quelques-uns, oui? La plupart ne lisent pas et c’est ainsi. Donc j’écris et je sème à tout vent. Tout ce que je peux espérer c’est que quelques fleurs poussent sur le bord du sentier parcouru par certaines gens.

Écrire est pour moi une occupation très satisfaisante. Alors vous êtes conviés à discuter des sujets que je dépose. Twitter serait tellement plus beau si les gens échangeaient sur des sujets et non sur des émotions.

Bertrand (@BDmoi)

Éducation ou formation?

L’éducation est étymologiquement « guidée hors de » (du latin educere), c’est-à-dire développer, faire produire. Il signifie maintenant plus couramment l’apprentissage et le développement des facultés intellectuelles, morales et physiques, les moyens et les résultats de cette activité de développement.
Éducation — Wikipédia

C’est quoi une formation ?Façonner quelqu’un, quelque chose : Dieu a formé l’homme à son image. Concevoir quelque chose par l’esprit : Former un projet, un vœu. Donner une forme matérielle à quelque chose par l’écrit ou la parole : Apprendre à former ses lettres.
Définitions : former – Dictionnaire de français Larousse

La simple définition des deux termes montre bien le sens de mon article. On n’éduque pas les enfants on les forme ou plutôt on les déforme. Alors que l’éducation est supposée partir des talents de l’enfant, de sa personnalité et de son énergie, on forme les enfants aux besoins demandés par la société, mais celle-ci n’existe plus.

On a remplacé la société (Le terme société, en sciences sociales, désigne un ensemble d’individus qui partagent des normes, des comportements et une culture, et qui interagissent en coopération pour former un groupe ou une communauté. Wikipédia) par l’argent. Tous les échanges de nos personnes se résument toujours à l’argent. J’utilise “tous” et “toujours” à escient. On ne parle que de l’inhumanité de nos institutions. Pourtant, dit-on, on dépense des sommes faramineuses. Ces sommes sont artificielles. Elles n’ont en aucune commune mesure avec la valeur de la vie humaine.

Un ministère de l’Éducation? Non, un mini, très ministère de la formation. Il faut en sortir mais, on n’en sortira pas. La machine est beaucoup trop grosse elle n’a de but réel que d’assurer sa survie. Il faut absolument défaire la structure à gros coups de hache. IL faut éduquer les enfants, pas les enrégimenter dans une société de production et consommation.

J’ai établi mon point, à vous d’en faire votre substance et de me dire ce que je ne vois pas ou que je vois trop. L’enfant vient très loin dans les priorités de notre société qui se gausse d’en faire le fer de lance. Que ce soit l’éducation, la DPJ ou la justice, l’enfant passe toujours en dernier et c’est l’argent qui mène la danse.

Bertrand (@BDmoi)

Se mêler des affaires des autres.

Bien des gens me disent que je fais la morale. Que je me mêle des affaires des autres. Permettez-moi d’éclaircir certains concepts. J’ai mes opinions, basées sur mes observations et ma synthèse de la situation. Peut-il en être autrement? Je juge des actes des gens, pas des gens eux-mêmes.

Ceci étant dit, j’ai le droit d’exprimer, calmement et selon les moyens qui me sont permis. J’émets donc mes opinions. Elles ne sont pas faites nommément et concernent rarement des groupes de gens. Si des gens se reconnaissent dans mes écrits, c’est leur problème. Cela dit sans méchanceté. C’est effectivement leur problème parce qu’ils se reconnaissent par leurs agissements.

J’émets des pensées et j’émets des jugements sur des actes. Pas sur les personnes. Pourquoi est-ce que je le fais? Parce que j’ai vécu des choses et que celle-ci m’ont fait évoluer dans un sens. Je veux discuter avec les gens. Mais ceux-ci n’en prennent pas le temps. J’ai une soif inextinguible de discussion. C’est ma nature. J’aimerais qu’on me montre ce que je ne vois pas. Je ne le vois pas c’est tout. Ce n’est pas de la mauvaise volonté et surtout pas le fait de ne pas regarder.

Alors ceux qui pensent que je les vise personnellement, soyez rassurés, je ne vous connais pas. Je ne vise personne en particulier. Je n’ai pas l’outrecuidance de penser que je sais tout et que je vous connais. Je sais ce que j’ai vécu et j’en ai tiré des principes.

J’explique la base de ma pensée. Ce qui ne me définit pas. Les gens (beaucoup, beaucoup) n’ont de cesse de qualifier les autres de toutes sortes de noms. Pendant ce temps ils n’exposent pas leur point de vue et ne font que décharger un flot d’émotion.

Alors j’ai du plaisir à semer. Je le fais honnêtement et sans espérer de résultat. J’en suis à mon 1001 ième article et je n’ai pas l’intention d’arrêter. Alors soyez assurés que je ne veux faire déféquer personne. Quand on le fait faire, les gens le font presque assurément mais sur vous.

Bertrand (@BDmoi)

Mon millième article.

J’ai écrit bien des choses en 4 ans. Toutes honnêtes mais, pas nécessairement bonnes. J’ai beaucoup écrit sur des sujets comme le bonheur, la santé, le bénévolat et bien d’autres. Il y en a un qui revient souvent par la bande et c’est le cas, et oui le cas des médias. Ceux-ci n’ont de cesse de tirer à boulets rouges contre les réseaux sociaux. Il y a détérioration de la situation financière des médias. Plutôt que prendre de l’espace et du temps pour vilipender les réseaux sociaux, utilisez vos ressources pour donner de l’information. Répandre les dires des politiciens n’est que propagande, pas information.

L’information sur la COVID19 est totalement incompréhensible. Voici un exemple. Je ne comprends pas pourquoi, une fois vacciné 2 fois, je devrais avoir peur de celui qui ne veut pas se faire vacciner. Je comprends que la transmission implique la reproduction du virus et que celui-ci en se reproduisant mute. Ouais pis? Il n’y aura jamais empêchement de transmission de virus, donc jamais empêchement de mutation. Ouais pis! Pis il faut vivre dans le temps que l’on vit. Avec ses pour et ses contre.

La mentalité instaurée par les médias est complètement contraire à la Réalité. Celle-ci du “plus jamais”, du “Un de produit est un de trop” (mettez l’incident de votre choix), de “dans un monde idéal”, et mon favori la publication d’anecdotes qui déforment la réalité. L’utilisation du mot “normal”, du mot “risque” et du conditionnel dans les articles, cela déforme la réalité et instaure toutes sortes de mauvaises conceptions chez les gens.

Dans le monde tout existe. Pourquoi ne pas publier ce qui unit plutôt que ce qui divise? Si vous n’êtes pas partie de la solution? Vous êtes partie du problème. On aura beau me dire que les gens heureux n’ont pas d’histoire alors publier des fictions de la réalité (exceptions rarissimes) qui tendent à supporter votre idée, n’est pas information. Les médias périclitent, les gens en ont assez des commèrementateurs et tendent à s’éloigner.

Donc mon avis aux médias, j’écris sur Twitter et je n’ai pas de Troll qui m’exaspère. Est-ce que ça dépend de ce que je ne suis pas lu ou est-ce que ça dépend de ce que j’écris? Je n’en ai aucune idée. L’important? J’écris pour émettre ma perception de la réalité et pour voir si elle correspond un peu avec la vision des autres. En attendant je suis occupé et je mets de l’ordre dans mes pensées, tout en occupant agréablement, pour moi, mon temps.

Un gros merci à ceux qui lisent,un très gros bravo à ceux qui en ont tiré quelque chose d’utile, et je continue tranquillement, le temps que je vivrai.

J’aimerais remercier mon fils, Mathieu, qui m’a donné les outils pour réaliser mon blogue.

Bertrand (@BDmoi)

Tout n’est-il que perceptions?

Il y a perceptions avec ses sens, et celle que l’on a du monde. Wikipédia explique ainsi:

La philosophie de la perception est une branche de la philosophie de l’esprit et de la philosophie de la connaissance qui tente de comprendre la nature des expériences perceptives et la façon dont elles se rapportent aux croyances ou à la connaissance du monde. Wikipédia

Les expériences sont, pour une personne saine, réelles quand elle passent par les sens. Elles ne sont pas complètes parce que nos sens sont filtrés par un ensemble de facteurs. Un gros filtre qui est très important est notre perception du monde. Notre idée qu’on se fait du monde. Mais le monde n’est pas perceptible par nos sens. Il est trop vaste.

D’où tirons-nous notre perception du monde? De nos interactions avec les autres. Mais ces interactions, avec qui ont-elles lieu? Pour la plupart des gens elles ont cours avec leur famille? J’aimerais savoir mais je n’en suis pas certain. La pandémie a beaucoup ralenti le flot des interactions in vivo. Les gens se sont-ils retournés vers les télécommunications? Je ne sais pas. Mais ce que je sais par contre c’est que les gens n’ont pas beaucoup plus que les communications des médias et des réseaux sociaux.

Les perceptions sont donc minimes et le cerveau interprète ce qu’il reçoit et invente ce qui lui manque comme information. On appelle ça maintenant avoir une théorie plutôt qu’une opinion. Mais les gens ne sont pas rendus là. Il y a donc invasion du prêt-à-penser et les gens n’ont même plus de perceptions de ce qui se passe vraiment.

J’espère sincèrement me tromper, mais l’avenir me semble trouble en ce qui concerne l’avancement de la civilité. On en voit la diminution de plus en plus souvent et de plus en plus près de nous.

Bertrand (@BDmoi)

Une belle journée d’été.

Dans un été il y a très peu de belles journées, ni trop chaude, ni trop froide, ni trop humide. Parfaite, quoi. Hier en fut une. Nous avons pu nous réunir à 15 personnes sous le grand arbre à l’ombre de ses feuilles. Un premier acte de libération du terrible virus. Réunion à 15 et pas de masque. Les gens étaient sourire. Et oui, on l’a vu, pas que dans les yeux.

Mais, il y a un mais. Combien de personnes est-ce que ça prend pour détruire une certaine ambiance de calme et de beauté? La réponse, une. Mais, il y a un autre mais, plusieurs personnes ont réussi à ramener un beau climat, doucement, sans affrontement. Une réunion qui devait durer une heure et demie a duré trois heures et plus. Quand on se donne le temps, tout est possible. Le gros problème, qui a été identifié rapidement, est le mot “maintenant”.

Ne peut-on pas profiter du temps présent sans exiger que les problèmes, il y en a toujours, soient réglés maintenant. Le monde n’est pas idéal, on le sait. Pourquoi ne pas faire avec? Améliorer les choses est la clé. Les affrontements n’amènent que des délais car le temps que l’on accuse et que l’autre se défende, le temps passe.

La beauté de l’affaire? C’est qu’après la réunion il y a eu 5 personnes qui ont parlé pendant des heures et le ton n’est pas monté une seule fois. Belle journée d’été. En prime, noyau de personnes qui vont passer d’autres belles journées d’été. Avec le temps, petit noyau deviendra grand? Lentement, sera demain ce que sera. En attendant? Une petite sangria et une belle journée d’été.

Bertrand (BDmoi)

Dans toutes les guerres.

Toutes les guerres sont dues à la division. Sur un ensemble de points. Mais l’esprit humain est ainsi fait. Les gens, un par un, ont des opinions. Elles sont différentes dans leur expression. Mais sont-elles tellement différentes dans le fond? Le problème n’est pas d’avoir des opinions différentes, non, le problème c’est de les considérer comme une certitude. Chaque point de chaque opinion est considéré comme un dogme. Dont on ne peut discuter de la vérité.

Une chose me turlupine depuis longtemps. Quand on jase, un par un, il est facile d’en arriver à un consensus soit, celui qu’on ne sait pas tout. Un peu plus de discussion et on pourra être d’accord pour dire que, finalement, on ne sait pas grand chose. D’où vient cette attitude de croire que notre opinion est une réalité? Je n’en sais rien.

J’aime discuter avec les gens, mais, c’est une chose qui arrive rarement. Les gens débattent, ils veulent gagner , que leur opinion prévale. C’est extrêmement dommage. Tant de possibilités offertes de s’accorder sont perdues. On peut être d’accord pour s’entendre sur les données et différer de leurs conséquences.

La guerre contre le virus fait beaucoup de dommages collatéraux. Tous les gens braqués sur une idée. Que l’autre prenne le vaccin ou pas ne change rien pour soi. Il fait ce en quoi il croit et c’est bien comme ça. Toute cette diatribe sur la pertinence du vaccin ou pas est enfantine et vouée à l’échec. Ne peut-on pas faire pour soi, comme on le veut, et que les autres fassent ce qu’ils veulent, pour eux. Les gens s’opposent comme des élans en période de rut mais, il n’y a pas de récompense au bout. Seulement bien des choses de dérangées et des plaies à raccommoder.

Est-il possible que ça change? Je le crois et l’espère fermement quand la proportion de personnes âgées au delà de 60 ans changera. Je serai mort d’ici là mais j’ai espoir pour les générations montantes.

Bertrand (@BDmoi)