Sommes-nous faits comme des rats?

La planète est-elle devenue trop petite? N’y a-t-il aucune sortie de secours? L’expérience de la fin prévue en 1968 par John Calhoun est-elle en train de se réaliser? voir l’article suivant qui résume assez bien l’expérience: https://sciencepost.fr/il-y-a-un-demi-siecle-une-theorie-sur-les-rats-predisait-leffondrement-de-la-civilisation-humaine/

Les tribulations qui ont cours dans les différents pays industrialisés sont elles les conséquences d’une surpopulation mondiale où la famine gagne du terrain et nous rapproche de l’expérience des rats. Dans l’expérience de Calhoun, l’eau et la nourriture étaient plus que satisfaisante en quantité. Mais, la surpopulation, a engendré des mâles super agressifs et cannibales. S’ensuivit une dégradation graduelle et, semble-t-il, permanente de la civilisation.

Aujourd’hui on assiste au phénomène des incels (voir l’article de Radio-Canada: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1149349/celibataires-involontaires-incels-fifth-estate

Serait-ce la première manifestation des mâles super-agressifs? Le taux de reproduction des pays industrialisés a diminué grandement. L’immigration exacerbée par la famine des pays autres et l’explosion démographique qui s’y produit, bien qu’illogique est la conséquence. Les conflits régionaux essaiment et deviennent des guerres racistes et non plus de pouvoir mais essentiellement territoriales. Israël en serait-il le prototype?

Je suis à la fin de ma vie, je n’ai pas peur de mourir. La survie de l’humanité me préoccupe cependant. Je suis bipolaire, je le sais. Suis-je fou? Suis-je dans le délire psychotique ou suis dans un lucidité extrême? J’en suis rendu à douter de mes yeux et de mes télécommunications. Est-ce une surreprésentation des problèmes dans les médias ou une réalité en train de se produire, sous nos yeux? Je n’aurai pas de réponses avant ma mort. Mais mes enfants, eux, auront-ils une voie de sortie? Je ne suis pas angoissé. Ai-je fait le maximum que je pouvais et, sincèrement, je le crois. L’avenir sera. Sommes nous dépassés le point de non retour? Est-ce que ce sera l’extinction de la race humaine, telle qu’on l’a connue? Que sera sera.

Bertrand @BDmoi)

Journée du CANADA

Le premier juillet, date anniversaire de la naissance du Canada tel qu’il est reconnu aujourd’hui, il vous faut lire cet article de Wikipedia qui fait se poser un tas de questions. Du moins, moi, je m’en pose. https://fr.wikipedia.org/wiki/Conf%C3%A9d%C3%A9ration_canadienne

Il est bien fait mais laisse beaucoup d’interrogation. Pourquoi a-t-on défait le Canada uni (haut canada et bas canada)? Probablement un des effets de la guerre de 1812. Bien d’autres questions se posent. Mais laissons l’histoire de côté et essayons de réécrire l’article en fonction de ce qui se passe aujourd’hui.

Nous existons, le Canada, aujourd’hui en opposition aux États-Unis d’Amérique. Les Français n’étant pas anglo-saxons se sont opposés aux américains et les Loyalistes Anglais aussi. C’est ça la vraie histoire du Canada. Tout vient de là. Résistance à l’invasion des Américains qui rejetaient le Royaume-Uni et la couronne d’Angleterre. Vues sous cet angle bien des choses s’éclairent.

Lisez le texte de Wikipedia, prenez un bon café ou un bon verre, et demandez-vous ce que sera le Canada de demain, pour vos enfants. Loin d’un motif de discorde, j’y vois poindre une nouvelle réalité. Mais ce sera l’idée d’un autre article. Faisons le constat que la confédération actuelle, qui n’en est pas une de fait, doit impérativement se renouveler. Les maritimes sont à hue, la Colombie-Britannique est à dia, l’Alberta se débat, le Canada c’est l’Ontario et finalement, le Québec se cherche.

Le fédéralisme se meurt parce qu’il ne sert à rien aux citoyens canadiens. N’est-il qu’une convention internationale. Du moins c’est ce qu’On observe. Ce n’est de fait qu’une convention de redistribution d’argent.

Où cela peut-il mener? À une grande crise de société. Elle est due depuis longtemps et n’a pas été effleurée par Trudeau (père et fils). Tout au plus est-elle exacerbée. Le Canada a dépensé des sommes faramineuses (ce n’est pas grave, la majorité est due à des canadiens) pour maintenir la vapeur à l’intérieur. Mais le couvercle va sauter. Quand? Bientôt j’espère.

L’Ontario et le Québec vont s’unir financièrement dans le respect des 2 nations comme au début. Il y aura les Maritimes, la Colombie, l’Alberta et, je ne sais ce qui arrivera de la Saskatchewan et du Manitoba. Le Nord? Il fait trop froid, il sera abandonné aux autochtones. (ce sera la folie furieuse des nations pour envahir ces territoires riches en matières premières.

Un portrait futuriste exagéré? Peut-être. Mais vous, qu’en pensez-vous réellement?

Bertrand (@BDmoi)

Séduction de “quand” par rapport à l’horreur de “SI”

Séduction de “quand” par rapport à l’horreur de “SI” OU LE FUTUR QUI REMPLACE LE CONDITIONNEL. Tout est là et tout est dans tout. Commencer une phrase par SI est très anxiogène. Tout est possible et la peur de tout en est le résultat. On ne sait comment réagir parce qu’On ne voit pas l’ensemble de la situation. On réagit hypothétiquement à ce qui n’est pas arrivé. En remplaçant “SI” par “QUAND” on déplace déjà le problème dans le temps. On en sort du présent et on va vers le futur. Et je m’explique.

Si j’étais dans cette situation, je ne sais ce que je ferais. Vous n’avez pas à faire car vous n’êtes pas actuellement dans cette situation. Mais vous en subissez tous les effets anxiogènes. En utilisant “quand” arrivera tel événement dédramatise déjà la situation parce que c’est dans un futur qui nous permet d’envisager une solution et de nous préparer. Lorsqu’on utilise quand on va préciser les causes et les aboutissants, on réfléchira et on prendra une décision. Ainsi serons-nous prêts. Déjà on a plus de pouvoir sur ce qui nous arrivera. Prévoir n’est pas supposition imaginée dans l’irréalité mais voir d’avance ce qui PEUT arriver. On élimine bien des irréalités en agissant ainsi.

Alors on peut deviser un plan A, un plan B… Cela nous rassure et nous prépare au pire. Mais avec si tout est conditionnel à un ensemble de facteurs, bien souvent plus imaginés que réels. La différence est subtile mais bien actuelle. L’état d’esprit que le si amène est bien différent de celui de quand. On déplace l’urgence du problème et on minimise les attentes. On est donc moins déçu et plus préparé parce que l’On a prévu et décidé d’une série d’actions possibles et réfléchies.

Abandonner le si et adopter le quand m’a sorti de l’anxiété et de la dépression. Ce n’est pas que ça mais je suis persuadé que ma paix intérieure vient en partie de là. Alors, essayez pour voir si ça marche pour vous. Soyez conscient que vous n’envisagez pas une possibilité mais que vous prévoyez un événement futur. L’urgence n’est pas là. Voilà toute la différence.

Bertrand (@BDmoi)

Est-ce suffisance, arrogance ou existence.

Est-ce arrogance, suffisance ou existence? Quand on est bien et conforme à qui on est, malgré l’opinion des autres, on peut passer pour arrogant, ou suffisant. Cependant n’est-ce que le prix à payer pour exister réellement et personnellement.

J’ai écrit plus de 1600 articles que j’ai émis sur Twitter. Bien des gens me considèrent suffisant ou arrogant. C’est leur problème. Le mien? J’essaie d’être totalement honnête, réfléchi et franc. Je ne réussis pas tout le temps mais j’essaie. Aussi, parfois, le prix à payer est élevé. Mais je suis riche d’une immense fortune en ce sens. J’ai 69 ans et appris à être moi, quoi que veuillent les autres que je sois.

Je suis tellement bien avec moi que j’accepte les autres comme ils agissent. Je suis persuadé que la plupart des gens sont extrêmement malhonnête avec eux-mêmes. Ne font-ils qu’essayer de projeter l’image qu’ils pensent que les autres veulent avoir d’eux. C’est alambiqué mais la réalité, je crois. Est-ce pourquoi les gens sont anxieux et ont peur de mourir? Mourir sans avoir réussi à tenir leur rôle véritable et regrettant de ne pas avoir été eux-mêmes à de multiples occasions?

Bertrand (@BDmoi)

Twitter n’est pas.

Twitter n’est pas ce qu’il POURRAIT être et ne le sera jamais. . La faute à qui donc? La faute à Napoléon? Non! La faute à une bande de cons. Twitter ne représente que 25% de la population, ou à peu près. Mais est-ce assez pour juger de l’état de la société? Statistiquement oui, si on tient compte que la majorité silencieuse n’est pas sur Twitter, ce qui va de soi. Les médias s’attaquent à tout ce qui leur fait de la concurrence. Les journalistes reçoivent des tas de réponses qui leurs sont défavorables et favorables. N’est-ce que le résultat de la faible perception qu’ont ceux, la majorité, qui ne les lisent pas.

Est-ce la même chose de Twitter et des réseaux sociaux? J’ai tendance à le croire. Utiliser son jugement est quelque chose que semble faire 80% de la population. Cependant on dirait, qu’au niveau de l’information, 60% de la population dort au gaz, ce qui représenterait la majorité silencieuse. 40% semblent éveillés mais la moitié sont tombés dans le déni de la réalité. Essaient-ils de vivre dans un monde idéal, projeté par les médias, et sont décontenancés des résultats. Le reste, 20%, sont à divers degrés, conscients de vivre la vie réelle. Ceci est bien mon interprétation personnelle.

À l’image des médias, retenons-nous et ne parlons nous que des 80% qui ne sont pas intéressés à la réalité? Personnellement, j’aime à croire que c’est parti du bon côté. Que ça va aller en s’améliorant, avec le temps. Je ne le verrai pas mais suis-je plein d’espoir ou de désespoir. Il y aura une crise, une vraie, planétaire, et elle sera terrible. Quand? Je n’en ai pas la moindre idée. On passera au-travers, c’est presque certain. À moins que l’humanité ne disparaisse, il y aura avancement de la civilisation.

Twitter et les réseaux sociaux seront peut-être à la base de cette relance. J’en doute mais après les temps durs, je crois qu’il y aura assouplissement de la manière de vivre collectivement. La réalité sera un jour, la réalité pour tous ceux qui auront survécu. On reviendra aux contacts humains civilisés et le bon voisinage réapparaîtra. Être soi sans pressuriser l’autre d’être comme soi? Ça viendra avec l’extinction des religions. qui font tout pour diviser les gens. Donc j’envoie des messages de paix et de bonheur possible, à tous ceux qui y aspirent, et le fait de se réunir sur les réseaux sociaux y participera probablement, au détriment de la simple lecture de nouvelles ahurissantes et déprimantes.

Bertrand (@BDmoi)

Différence entre inclusion et exclusion?

Il y a une extrême différence entre inclusion et exclusion. La société peut exclure mais ne peut inclure. C’est une réalité individuelle. Une personne peut exclure une autre personne de ses relations, elle peut aussi décider de l’inclure, mais n’est-ce qu’un personne. On peut empêcher l’exclusion dans un groupe ou une équipe par une loi. Mais ne peut-on forcer l’inclusion de qui ne veut pas ou ne peut pas s’inclure. Là le bât tue. Il brise la nuque de la société.

Beaucoup individualise ce qui appartient à la société et socialise ce qui est individuel. Tout est dans la Nature. IL y en a pour tous les goûts. En est-ce des gens comme des légumes (pourquoi cet exemple? pourquoi pas?) La plupart des gens aiment bien certains légumes et détestent d’autres. Pour quelles raisons? Autant de raisons sur chaque légume que de gens pour s’exprimer et juger.

Ceci étant dit revenons à l’exclusion et l’inclusion. On peut, individuellement, aimer ou ne pas aimer une personne. Aimer est pris dans un sens large ici. Mais la majorité des gens sont insipides pour la majorité des gens. Aussi partent-ils du principe que tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Ainsi la paix sociale a droit de cité ici. C’est différent dans nos relations interpersonnelles. On doit passer du général au spécifique.

Peut-on inclure ou ne pas inclure dans nos relations personnelles. Il semblerait, selon certains, et je suis de ceux-ci, que chacun peut choisir avec qui frayer. Le faire est une chose , le dire ouvertement en est une autre. C’est là qu’intervient la folie de l’Inclusion et de l’exclusion. On peut dire ce que l’on veut et ce n’est pas l’affaire des autres. Ainsi va la liberté d’expression. Mais tout a une limite.

Là où le bât tue c’est au niveau individuel. Chercher l’inclusion est un problème majeur chez ceux qui se sentent, pour une raison ou une autre, exclus. Ne le sont-ils que parce qu’ils ne participent pas et attendent qu’On leur demande de participer. Est inclus un participant et est exclus quelqu’un qui ne participe pas sans son consentement. Il y a des choses, et des gens, qui s’intègrent et d’autres pas. Peut-on imaginer une équipe de football qui représente, statistiquement, la grandeur dans la société. des individus moyens avec quelques grands et un super grand et des petits et un nain. Ridicule? Mais c’est l’essence du wokisme. Ce la implique NÉCESSAIREMENT l’obligation de résultat. A-t-on l’obligation de moyens pris pour la sélection mais, le résultat, doit être cohérent avec le but de l’organisation. Tout doit, quantitativement, ressembler à la dispersion individuelle dans la société. Établissements de quotas et d’exclusion de la majorité des candidats? Folie.

On ne choisit pas d’inclure des éléments productifs mais, des apparences sociales. Peut-on se surprendre de l’inefficience? Le critère n’est pas la compétence mais les apparences que l’on donne à l’extérieur de l’organisation. On a beau crier à compétence égale mais, n’y a-t-il que les apparences qui comptent quand la société se permet de juger des choses qu’elle ne connaît pas. On a beaucoup de commèrementateurs, des gens qui s’expriment sur tout et n’importe quand, selon l’actualité qu’ils décident de mettre de l’avant. Des coachs de galerie qui savent comment s’est terminé la partie, après la partie. Le monde en est plein.

À ceux qui m’opposent que j’ai écrit plein d’articles sur internet, je leur dirais: vous avez raison. Faut-il regarder le lien commun qui sous-tend mes écrits? On est puissant et on est maître de l’utilisation de notre pouvoir ou pas. Encore faut-il en être conscient. Là est le but de mes écrits. Conscientiser les gens sur le pouvoir dont Ils disposent. N’est-on exclus que si l’on se sent impuissant et inclus quand on démontre une puissance quelconque. L’atermoiement n’amène pas l’inclusion ni l’exclusion. Celle-ci est de fait mais tout ce qui compte c’est qu’on se désintéresse de qui se plaint constamment et surtout de la même chose. Le film “Rudy” a coûté 22millions de $ et raconte une histoire du rêve américain. Ce n’est qu’un film. Pour un Rudy, qui a joué 3 minutes, il y a des milliers qui ont trimé toute leur vie contre la réalité.

Je vous avise par écrit, ce que l’on veut on peux, est faux. Quand on SAIT ce qu’On veut et POURQUOI on le veut, alors on peut si cela CORRESPOND À UN BESOIN. Un besoin est irrépressible. C’est cela qui donnera l’Énergie nécessaire pour atteindre le but. Un désir n’est qu’une vue de l’esprit facile et n’amène aucun sursaut d’énergie pour affronter la tâche.

Ruminez ça un peu et on s’en reparle. Demander à soi est plus facile que d’exiger des autres. Mais plus exigeant de soi.

Bertrand (@BDmoi)

La demande qui provoque l’offre ou le contraire?

Ni l’Un ni l’autre. L’équilibre se cherche. N’est-ce que le vide qui provoque l’Offre et l’offre qui crée la demande? J’ai tendance à le croire. En 1976 on m’a enseigné que le besoin était déterminé par l’absence de quelque chose d’utile. C’était la définition à mon cours de Marketing à l’Université. Non seulement l’ai-je apprise mais, je l’ai maintenu ma définition tout ce temps.

L’offre dépend de nos connaissances et de nos réalisations. La demande elle dépend des conditions et des opportunités qui sont offertes par les offrants. Théoriquement, le Marketing Social avait pour but de satisfaire les besoins au moindre coût possible pour une utilisation optimale des ressources disponibles. Ainsi on a développé un ensemble de techniques pour identifier les manques et rendre conscients les consommateurs pour développer les produits qui combleront les besoins. Alléluia!

Le Marketing Social est mort de sa belle mort au profit des techniques de Marketing pour engraisser les poches du capital financier. Les succès DES RÉSEAUX SOCIAUX, dans leur ensemble, démontre amplement le vide d’information et de communication qui existent sur la planète. La somme de temps et d’énergie dépensée en ce sens est énorme et même incalculable. C’est un besoin essentiel, autant que de se protéger des éléments, mais moins mortel.

Quand la planète le réalisera, peut-être deviendrons-nous un embryon naissant de la possibilité de l’Humanité. Actuellement nous sommes un embryon, je ne sais à quel stade du développement, et j’ai très peur que nous avortions. Bien des raisons concourent en ce sens. Il faut trouver ce qui manque pour que le développement continue.

Vous cherchez quoi offrir? Voilà la suggestion la meilleure que je puisse vous faire de l’immense manque de quelque chose de nécessaire sur LA TERRE DES HOMMES.

Bertrand (@BDmoi)

Nous avons survécu et prospéré.

Nous avons survécu et prospéré, mais, est-ce la fin qui s’annonce? Nous avons survécu à l’ennemi commun et prospéré malgré les conditions climatiques. N’est-ce que ce qui nous a unit, les uns contre les autres, à se réchauffer des rigueurs du climat et produire des enfants. N’est-ce qu’ainsi que nous avons survécu. La technologie issue du génie de nos aïeux a vaincu les affres du climat. Fini le temps où les sursauts du climat décidaient de la mobilité ou des affaires des individus. Il a fallu près de 300 ans pour parvenir à vaincre le géant de la Nature. L’hiver rigoureux et ses chaleurs humides de l’été. Nous sommes rendus là et insensibilisés les uns des autres.

Les civilisations qui se sont battues contre les éléments ont survécu et celles qui sont choyées par les éléments ont stagnées. Beaucoup veulent émigrer au nord, n’en cherchez pas la raison. Nous avons vaincu le climat mais la partie n’est pas jouée. Le temps dira si nous savons évoluer dans notre philosophie ou pas. Depuis les grecs et les romains la civilisation et la philosophie personnelle n’ont pas beaucoup évolué. N’est-ce qu’un constat que je fais. Nous sommes toujours à la recherche du bonheur, dont Sénèque semble le précurseur, et duquel les plus grands philosophes ont fait état.

Avons-nous atteint le paroxysme de la civilisation? En sommes-nous près ou au contraire est-ce la crise qui nous permettra de reprendre notre marche vers un futur prometteur? L’humain est petit, l’Humanité est nombreuse, mais sera-t-elle grande un jour? Y aura-t-il du nouveau sous le soleil ou s’éteindra-t-il sur une planète morte? Je serai mort serein car j’ai trouvé le bonheur personnellement et je n’ai pas crainte de la mort. La crainte de la mort est, d’après moi le plus grand obstacle au bonheur. Ai-je raison? Ai-Je tort? Un jour la réalité sera.

Qualité de vie ou qualité de mort?

Qualité de vie ou qualité de mort, parfois, on peut se le demander. Un choix personnel est personnel. Dépend-il de la personne, des opportunités qui lui sont offertes et des moyens dont elle dispose personnellement. Toutes les discussions et les élucubrations de tous et chacun n’ont pas lieu d’être mais, elles sont. Là est le problème. On substitue notre situation à celle de la personne concernée pour décider, oui! décider, de ce qu’ELLE devrait faire. La société est inexistante. Y a-t-il des moyens offerts sporadiquement pour une certaine quantité de personnes. La réalité, chacun agit en fonction de sa vison de sa réalité.

Alors cessez de dire quoi faire dans un monde idéal. Il ne l’est pas. Taire son opinion permet aux autres de s’entendre eux-mêmes. Hier j’ai eu une entrevue avec une psychiatre. Homme ou femme ne fait pas de différence. A-t-on dû fonctionner à son rythme. Mon verdict est fait, je ne traiterai pas avec elle, et je me fous complètement de son opinion personnelle et professionnelle. J’en ai le droit et j’en assume les conséquences.

J’ai ma qualité de vie qui compte depuis que je n’ai plus envie de mourir. Je ne me fie à personne pour décider de ce que je dois vivre ou pas. Le système demande que je sois évalué parce que mon psy, que j’ai eu depuis 32 ans, prend sa retraite. Je fais partie de la société et j’Obéis aux demandes du système. Mais, là s’arrête mon obéissance. Je ne reconnais à personne le droit de discuter de mes choix. Alors, à bon entendeur, salut et soyez heureux et prospères par vous mêmes comme moi je le suis.

Bertrand (@BDmoi)

Chercher la paix ou le repos.

L’immigration se doit d’être sélective. On ne peut accueillir la misère du monde. Faut-il accueillir ceux qui fuient la guerre et aspirent au repos. Nous sommes en paix relative dans notre société. Comparativement au désordre qui existe dans d’autres parties du monde. C’est triste mais nous ne pouvons accueillir tout le monde. Il faut en réalité dire oui à la portion congrue et dire non à la multitude. La façon de le faire, choisie par notre gouvernement, est de niaiser l’Immigrant. On le fait poireauter indument pour ne pas avoir à lui dire non mais espérer qu’un autre lui dise oui.

Est-ce ce qui expliquerait le marasme bureaucratique auquel se heurtent tant d’immigrants potentiels? Faut-il y voir une complot démoniaque? Faut-il y voir incompétence crasse? En ce qui concerne les services aux citoyens, le fédéral fait vraiment pauvre figure. Essaie-t-il de tout côté de solutionner par plus d’argent. Mais, l’argent ne sert à rien quand le résultat ne compte pas.

Les immigrants qui suivent la procédure se heurtent à des gens qui ignorent la notion humaine et ne se conforment qu’à des formulaires. Je sais, je n’ai pas l’expérience de ces procédures. Mais la réalité est ce qu’elle est. Des gens, se font niaiser pendant des années pour assurer l’emploi de quelques fonctionnaires. Cela fait plus pour nuire à la réputation du pays que tous les dollars ne peuvent combler.

Supposément, le Canada est un pays où règne la paix et l’amitié. La réalité? Le Canada est un gros lot où les gens s’inscrivent à une loterie. Les agents d’immigration en font leur bénéfice.

Bertrand (@BDmoi)