30% de diplômé fait que 70% ne le sont pas.

Ouais pis? Les vaches se promènent allègrement dans les champs. Quand on engage des diplômes on n’engage pas nécessairement des gens dotés de jugement. Ce n’est pas tout à fait vrai. Ce qui est vrai c’est qu’on ne veut pas de gens dotés d’initiative. On veut des gens qui vont faire ce que l’On ne les a pas formés à faire, de la façon qu’on leur aurait montrée, si on y avait pensé nous mêmes. Autrement dit on veut des personnes dotées de perceptions extra-sensorielles.

L’initiative, c’est faire quelque chose qui sort de l’ordinaire, de la façon qu’on pense devoir la faire, sans qu’on nous l’ait demandé. C’est tout l’envers du diplôme. Mais, on engage des diplômes. Faut-il se surprendre que les choses fonctionnent de la façon qu’elles fonctionnent.

Je suis diplômé et j’en ai contre le fait qu’On n’apprend rien à l’Université. On apprend des recettes toutes faites pour des occasions qui se reproduiront rarement. On apprend qu’il faut communiquer mais on ne sait pas ce qu’est communiquer. N’apprend-on que des recettes toutes faites. On n’apprend pas qu’évaluer une personne, c’est la regarder droit dans les yeux, lui dire ce que l’on attend d’elle, ce que l’On a remarqué de ses actes et ensuite se faire regarder dans les yeux et se faire dire ce que l’employé pense de nous.

Quand les gens sont engagés, on les fait parler de leur passé. Pas grand chose à apprendre d’autre que le fait qu’il a respiré pour se rendre jusque là. Mais qu’en a-t-il tiré pour le futur? Que veut-il de la vie? Pourquoi travailler? Toutes des questions qui ne se posent pas parce que c’est gênant d’avoir une personne gênée devant nous.

Pendant ce temps les vaches gambadent allègrement dans les champs et les gens sont gênés d’être montrés du doigt parce qu’ils n’on rien fait pour diriger les vaches dans un enclos. Tout le monde les pointent du doigt. Les vaches et les gens qui n’ont rien fait. Mais, dans la même situation, vous auriez fait pareil parce que vous avez peur de ce que l’On dirait de vous si le résultat n’est pas absolument parfait pour tout le monde.

Rassurez vous car c’est absolument ce que l’On dit de ceux qui prennent des initiatives. Tout le monde aurait fait autrement mais, personne ne bouge. Les médias ont-ils le beau jeu? Parler après le fait et trouver des solutions à des problèmes que d’autres ont affrontés.

Dans notre monde d’experts en tout et de médias culpabilisants, on ne bouge plus. Se demander ce que les autres pensent de vous? Cela mène à l’immobilisme.

Bertrand (@BDmoi)

Choisir? Ne voit-on que ce qu’on perd?

Choisir est une chose qui n’existe plus. On saute sur une occasion sans penser à toutes les opportunités. Si au moins on faisait des choix, mais non! On saute sur ce qu’on pense être une occasion sans réfléchir si c’est vraiment opportun. Un tiens, est tout ce qui existe. Il n’y a plus la possibilité de 2 tu l’auras. Satisfaction immédiate ou mécontentement généralisé. Il y a de moins en moins choisir et de plus en plus se goinfrer.

Où est-ce que je veux en venir? À ceci. Il n’est plus le temps. La perspective est disparue. Choisir demande un travail de voir les opportunités possibles, prendre le temps d’élaguer selon les besoins que l’on a identifiés. Élaguer veut dire laisser tomber des opportunités. C’est certain. Ne voit-on que ce qu’on n’a pas ou plus. Laisser tomber des choses que l’On possède déjà demande une certaine désinvolture. Les gens veulent tirer le maximum de ce qu’ils possèdent. Il ne veulent pas tirer le maximum de la vie. Bien des gens sont possédés par les choses et accumulent les tracas. La peur de perdre quelque chose est étrange.

Ici, les gens appellent tracas des choses inutiles qui traînent. Et j’aime beaucoup cette expression. IL faut jeter les tracas et laisser les autres s’encombrer d’Objets qui prennent de l’espace et du temps. Il n’y a pas la simplicité volontaire. IL y a la satisfaction qui dure dans le temps. Avoir ce que l’On a besoin, en matériel et en satisfaction est sans prix, littéralement. Faire perdurer ce sentiment dans le temps devient facile avec la pratique. Mais, au début, n’est-ce qu’essais et erreurs. Peut-être que oui, peut-être que non. Tout dépend du sérieux et de l’ouverture d’esprit que nous voulons bien accorder à l’exercice.

Choix: décision qui fait que notre vie est agréable ou pas. Choisir=vivre, ne pas choisir= exister.

Bertrand (@BDmoi)

Peu de gens m’ont vraiment fait du mal.

N’est-ce qu’à moi que je dois d’avoir eu mal. J’ai 68 ans et j’ai eu une vie, puis une autre, puis une autre… Suis-je dans la dernière? S’il m’arrive un accident? Oui! Mais s’il m’arrive une maladie grave? Non! Je vivrai alors une autre vie.

En attendant, j’ai réalisé plusieurs choses au cours de mes vies. J’en réalise encore. Mais, la plus importante chose dont j’ai pris connaissance c’est que le mal dont j’ai souffert n’est pas dû aux autres mais à moi. Il est dû au fait que j’ai des oreilles et je crois ce qu’on dit. Croire que l’autre a raison est le début du problème. Ne pas croire ce qu’on pense est la source du problème. Agir en fonction de ce que les autres font? Le problème. S’attendre à ce que les autres nous comprennent? Folie et déception assurées. Donc…

J’écoute beaucoup les lignes ouvertes et parfois je participe. Les médias trouvent leur avantage à présenter le côté sombre des choses. Quand on veut relativiser les choses c’est fou comme c’est pas possible. Les gens parlent en général et ont la foutue phrase qui sert à tout: “C’est pas tout le monde qui”. C’est jamais tout le monde qui fait quoi que ce soit.

Regardez VOTRE situation et calculez. Faites vos choix et agissez. Les autres s’occupent de leurs affaires. Faites le vous aussi. Personne, ou rarement, y a-t-il quelqu’un qui se lève le matin pour vous haïr et vous mettre les bâtons dans les roues. Alors ne le faites pas pour eux. Prendre les choses comme elles sont? Pas facile? C’est plutôt facile quand on le fait. C’est impossible quand on ne le fait pas. La DIFFICULTÉ? Choisir. Cela implique de regarder les possibilités et de ne garder que l’essentiel.

Alors si vous vous plaignez, sachez de quoi et choisissez. Ensuite? Personne n’a tout ce qu’il voudrait. Au moins pouvez-vous avoir ce dont vous avez besoin?

Bertrand (@BDmoi)

À quoi servent les politiciens.

Les politiciens sont les boucs-émissaires parfaits. Il sont incompétents en tout, sauf à se faire élire, ils ont toutes les solutions en campagne électorale et n’ont pas le temps nécessaire de les réaliser (4 ans) et faire bouger la machine. En conséquence ils sont tout désignés pour qu’on les harcèle continuellement. Ont-ils un pouvoir? Oui! Celui de faire passer la volonté de la machine, ou du moins sa promesse, dans la population. Marguerite Blais, très bien intentionnée d’ailleurs, l’a fait abondamment. Je ne prends son exemple que pour illustrer la pénible réalité.

À maintes reprises ai-je soumis l’idée du rôle des élus. Dont un texte qui titre: https://bdmoi.mdugre.info/du-role-des-gouvernements/ et qui montre que les élus doivent être limité dans leur rôle et ne pas avoir à distribuer d’argent.

Cela implique des tonnes de changements structuraux et de tradition politique. En parler fait figure de bisounours. À quoi bon en parler? Ça ne se réalisera jamais. Qui sait ce qui se réalisera ou pas avec le temps? On a 2 choix possibles. Le statu quo ou essayer de changer le cours des choses. J’aime bien essayer d’Imaginer une amélioration pour le bien de mes enfants et mes petits-enfants. Ça me donne le goût de vivre et d’avancer. Vous êtes libres de ne pas dépenser d’énergie et d’endurer votre sort, le temps que vous existez.

Ce qui m’intéresse c’est de faire que l’On tire le meilleur de chacun dans la société. On n’en est pas là, j’en conviens. Mais brailler sa vie, n’avance à rien. Je cherche des personnes imaginatives, mais, surtout, en vie. Peut-être peut-on faire surgir une ou deux idées qui vont prendre 100 ans à se réaliser, un peu, tel la fin de l’esclavage aux États-Unis.

Peu me chaut que vous lisiez ou pas. Si vous êtes rendu ici vous avez lu. Non! Ce qui m’intéresse c’est ce que vous tirerez de votre lecture. Un Bah! ou un “Et si”. Vous avez droit à votre réaction. Mais Ne dites jamais que nous vivons dans le meilleur des mondes….. possibles.

Bertrand (@BDmoi)

Normer à outrance.

Normer à outrance, basé sur le principe de l’égalité de chacun, est la stupidité où notre société est rendue. La liberté? C’est la possibilité d’être différent. La normalisation c’est la censure de la liberté.

Décider ce qui est bon ou pas pour l’ensemble est une hérésie dans laquelle nous sombrons actuellement. Le gouvernements sont élus pour réglementer les modalités d’échanges entre les citoyens. Le gouvernement ne peut décider de ce que chaque citoyen fait de SA VIE. Se doit-il de limiter les effets sur les autres membres de la société.

La dérive actuelle, poussée par des médias de journalistes déjantés, à l’égo démesuré, qui sont imbus de leur importante notoriété, nous pousse dans une réalité liberticide.

Généraliser et standardiser tout est la folie où nous sommes rendus. Il y a un choc de civilisations qui est en cours. La nôtre, supposément le résultat de la civilisation de la liberté, de la démocratie et de l’ouverture, est sous le couperet de la tendance à l’autocratie des gouvernements.

Décider pour les autres? On en est rendus là. Tout ce que je veux, c’est vous éveiller et vous laisser décider ce que vous voulez. Dormez ou agissez? Libre à vous.

Bertrand (@BDmoi)

Abandon et effort.

Bien des gens parlent d’abandon et disent qu’il faut faire un effort. Mon chat m’a prouvé le contraire. La vie n’est ni abandon ni effort. La vie est la vie et on se doit de vivre la vie à la minute près. Il est mort ce matin. Je l’ai fait mourir. Pas parce qu’il était vieux (15 ans), pas parce que je ne l’aimais pas mais parce que le cancer le grugeait. Ce matin fut le premier jour où je l’ai entendu se plaindre car il était transporté dans une cage. Se sentir pris était grave.

La vétérinaire n’a pas eu à chercher longtemps pourquoi depuis quelque temps mon chat était malade presque toutes les nuits. La masse, au creux de son ventre était palpable et grosse.

En aucun temps ne s’est-il plaint, et toujours a-t-il été un chat fier, la queue bien haute. Il n’a pas fait d’effort ni abandonné d’être un chat. C’est une magnifique leçon de vie et de stabilité que m’a donnée mon chat.

Bien des politiciens devraient en prendre de la graine. Dans le monde, le bien de tous n’existe pas. La sécurité de tous existe moins encore. Mais il existe la liberté de chacun. Les gouvernements, tous, l’ont faux. La liberté de chacun est la seule liberté qui existe. Le seul TOUS qui existe est la vénalité des gens. L’ÉCONOMIE est la pire similitude qui rejoint presque tout le monde. Du moins, tout le monde l’acceptent-ils? On laisse les gouvernements piétiner nos libertés sous le couvert de la sécurité économique.

Invoquer des mesures extraordinaires parce qu’un pont est bloqué???? De la folie pure. Pendant que des citoyens demandent à être entendus. plutôt que de communiquer avec eux, on s’engonce dans notre pouvoir de gouvernement. Gouvernement supposé détenir un pouvoir par mandat des citoyens. Là est l’essence de toute la folie.

J’ai toujours laissé mon chat libre d’aller et venir dans la maison. Jamais n’est-il sorti dehors. Il avait tout ce dont il avait besoin pour vivre sauf la liberté. Mais c’était un chat. Qui a donné à des gens le pouvoir de nous empêcher d’aller dehors. C’est certain que dehors l’insécurité règne mais n’est-ce pas la vie?

Il y aura toujours des gens pour avoir peur de ci ou ça. Les politiciens jouent sur ces peurs pour nous manipuler. Un jour on aura peut-être un cancer. Faut-il attendre ce moment pour comprendre que la vie c’est beaucoup plus qu’exister?

Bertrand (@BDmoi)

Enquête sur des allégations de peureux.

Il y a une enquête actuellement sur la pertinence d’une loi de mesures exceptionnelles. L’enquête Rouleau est en cours. https://www.tvanouvelles.ca/2022/11/24/larmee-des-donneurs-de-lecons

Le point qui m’interroge grandement c’est celui-ci: Où et comment peut-on manifester notre désaccord avec le gouvernement? SI, le fait d’être en désaccord, est un acte séditieux alors je suis coupable, bien des fois. Je n’ai pas participé au convoi, je ne connais personne qui y a participé, je n’ai pas envoyé d’argent… Autrement dit j’ai approuvé le fait que des citoyens réagissent.

Ce que j’ai surtout apprécié (mettre une valeur sur une action ou non action) c’est la terreur des politiciens. C’est leur réaction effrayée qui a mis le feu aux poudres. Ils n’ont cherché à communiquer avec qui que ce soit. Les politiciens, Trudeau en tête, se sont retranchés dans un mutisme effarent. Ils ont supposé le pire mais c’est eux qui l’ont provoqué.

Dans leur infini égo, les politiciens se croient gouvernants alors qu’Ils sont représentants. Le droit de TOUS n’existe pas. N’y a-t-il que le droit de chacun. Obliger tous, à quoi que ce soit, pour quelque raison que ce soit, ne fait pas et n’a jamais fait partie du mandat donné aux gouvernements. Même en temps de guerre. Mais, froisser la susceptibilité de quelque politicien ne fait pas partie des raisons suprêmes d’invoquer une loi massue.

Certains se réclament de la démocratie et de l’état de droit, mais, ils en font fi à leur guise. Cessez la mascarade et venez-en au point. Ce fut une période de peur des politiciens face à des gens, certains bruyants, qui réclamaient d’être entendus, et ce, dans la légalité. Ce qu’on leur a refusé. Ceci a conduit à cela et des individus en ont payé le prix fort. Certains en paient encore.

Bertrand (@BDmoi)

À quoi servent les évaluations?

Les évaluations, que ce soit au niveau scolaire ou au niveau travail, devraient avoir le même objectif, mais, ils ont le même objectif. Le problème c’est que ce ne sont pas les bons qui sont en vigueur. Plutôt que de chercher ce qui fonctionne et comment l’améliorer on ne fait que mettre l’emphase sur ce qui ne va pas. Évaluation=négatif.

Pourtant c’est le meilleur moment pour justement évaluer ce qui marche et ce qui n’est pas satisfaisant. Réexpliquer ce qui n’est pas satisfaisant fait partie du mandat de l’évaluateur. C’est d’une évidence telle que ce n’est pas envisagé encore moins fait.

Prenons le cas des infirmières. Plus de la moitié n’ont pas réussi l’examen de passage basé sur une note de 55%. Le problème n’est probablement pas dû au contingent de personnes qui ont subi l’examen. Le problème est-il dans l’enseignement de la matière ou le libellé de l’examen. Probablement les deux. J’ai enseigné au CEGEP en comptabilité. La première année j’ai planté l’évaluation faite par les étudiants. Pourquoi? Parce que j’ai enseigné avec un vocabulaire courant et évalué avec un vocabulaire technique. Erreur vous dites? J’ai appris ma leçon et fait refaire l’examen. Avec du vocabulaire courant. Résultat: moyenne de 85%.

On scrappe des étudiants à une vitesse vertigineuse par manque de connaissances en évaluation. Autant dans l’enseignement que dans le travail. L’Évaluation n’est la dernière étape du processus, non! L’évaluation est une étape et il faut passer à la suivante, correction des connaissances ou comportements inadéquats. Cette étape est oubliée de tous, sauf des bons professeurs. Ensuite faut-il procéder à une deuxième évaluation dite de félicitation ou de rejet. Il y a eu adéquation: félicitation. Il n’y a pas eu correction? Dehors.

C’est simple, c’est logique, c’est évident. IL faut revoir notre façon de voir l’évaluation et son processus. En cette période de pénurie (sic) de main-d’œuvre, on fout aux poubelles une quantité innombrable de personnes intelligentes et disponibles à apprendre. Mais en voulant aller au résultat immédiatement, sans passer par un processus raisonnable, pourrissons-nous la vie de quantité de personnes.

Bertrand (@BDmoi)

Je me sens comme un enfant.

Je me sens comme un enfant qui regarde deux parents qui pensent qu’ils ont chacun raison sur la façon de m’élever mais qui ont tort dans leur façon de m’aimer. Ne pensent-ils qu’à eux. Étant donné que la garde partagée est impossible à vivre, faut-il se consoler qu’on vit sur la même planète et que quoiqu’il arrive on continuera à pouvoir se promener d’un côté ou l’autre.

SE pourrait-il qu’une séparation, à terme puisse bien se passer? On ne fait que parler de l’Instant et des troubles de la séparation du couple. Mais les enfants là-dedans? On s’en fout carrément. Faire traîner les choses n’avantage personne. Peut-on réaliser que la Terre ne s’entrouvrira pas et que les avions continueront à voler?

Il faut absolument ne pas suivre l’exemple des américains. Supposément, nous sommes un peuple évolué. 2 nations qui vivent communément. Le mot-clé? Supposément. Les citoyens en ont la réputation mais les politiciens n’en donnent pas l’Image.

Tant de choses se passent dans le monde, le Qatar, la COP27, les chicanes fédéral-provinciales en santé et l’incapacité des médias de traiter de plusieurs sujets en informant plutôt qu’en propageant. Il faut de plus en plus prendre conscience que le monde existe et qu’on peut changer les choses.

Se laisser bullshitter et galvauder par la politique. IL faut que ça cesse. S’en fout-on? On dirait que l’on est tellement habitués que c’est la normalité et n’est-ce que ce que nous passerons à nos enfants.

Bertrand (@BDmoi)

Sommes nous excessifs?

La réponse est, définitivement, oui! On n’a aucune idée de ce qui se passe parce qu’On réagit épidermiquement sur l’instant. Cette excessivité, sur les réseaux sociaux, est tellement nocive. Ne prenons qu’un seul exemple, celui de ME TOO.

Il y a une énorme différence entre comment on interprète un geste et une accusation. Les réseaux sociaux, surtout twitter avec sa limite de 280 caractères, ne font pas dans la dentelle.

Le monde des nuances et des principes est mort. Le premier principe auquel je pense est celui-ci: on est innocenté tant qu’on n’est pas reconnu coupable devant une cour de justice.

Les jugements à l’emporte-pièce fusent à droite, à gauche, en avant en arrière, en haut et en bas. Tous émettent et très peu écoutent d’autres opinions. On est pris dans la fameuse chambre d’échos.

Il va falloir se modérer et modérer les sacrés médias, qui font leurs choux gras de toutes ces escalades de mauvais goût. On parle de “cancel culture” culture absolue de la censure. Qui en est responsable? Nous qui suivons le dictat.

J’ai écrit 1400 textes que j’ai émis sur Twitter. J’ai posé un tas de questions et émis bien des fruits de mon imagination. Je n’ai de meilleur endroit pour émettre. En faudrait-il un? Absolument. Mais on n’est pas rendu là. Le problème n’est malheureusement pas le médium mais les gens sur le médium. Y a-t-il moyen d’améliorer? Je l’espère, et vous?

Bertrand (@BDmoi)