Mois : novembre 2020

Peu importe les dictats des gouvernements et des groupes. Le rassemblement de gens semble, de ce temps-ci, n’être que le rassemblement de la pauvreté de pensée et de la pauvreté de l’image de soi. Beaucoup se rassemblent pour des stupidités innommables. S’en prendre à l’appropriation de quelque signe que ce soit sous prétexte qu’il appartient à un groupe. IL y a des signes, porteurs d’une indicible ignominie, comme ceux de la supériorité d’un individu sur un autre, qui se doivent d’être dénoncés par la majorité, tels le voile musulman et les signes de quelques religion que ce soit.

Ne pas reconnaître le symbole est illusoire. Ces femmes qui s’en balancent participent à l’oppression des femmes par les hommes mal intentionnés. Je n’épiloguerai pas sur ces sujets. Qu’il soit dit, que les gens se déresponsabilisent en groupe. Le niveau moyen d’intelligence baisse de beaucoup. Cela est dû à la déresponsabilisation générale. S’en remettre au gouvernement pour tout, est la vraie raison de la débandade de la société. SE déresponsabiliser par la déresponsabilisation générale est stupide.

On n’a pas de colonne. On ne se tient pas debout parce que d’autres rampent. C’est malheureusement la réalité que les médias projettent. Mais, ce n’est pas la réalité. La réalité c’est que les gens, un par un, quand ils pensent, ils pensent droit. Mais ils n’ont pas assez de confiance en eux pour s’opposer aux structures que la société s’est donnée dans l’oppression de la majorité. Le phénomène est le même mais c’est l’individualité qui règne. C’est peut-être le retour du balancier mais, mausus, peut-on arrêter de le remonter

Bertrand (@BDmoi)

Les politiciens parlent-ils des deux côtés de la bouche ou font-ils preuve de d’aveuglement volontaire? Probablement les deux. Tout n’est qu’apparences. Apparences perçues et non perçues. Les perceptions, on les gère. Gérer quoi? La mémoire de poisson rouge des médias. Ceux-ci passent d’un sujet à un autre, selon l’horribilité du jour. Isabelle ne veut pas savoir, elle veut passer un message. Elle tamise les appels et fait passer ce qui fait son affaire selon l’angle qu’elle a choisi. Les politiciens le savent et écoutent les médias pour savoir ce qui va leur rebondir dans la face.

Ce n’est pas ce qui préoccupe la population qui compte, mais seulement ce qui passe dans les médias. Et que passe-t-il dans les médias? Seulement ce qui intéresse les médias. Je prends le cas d’Isabelle Maréchal mais ce pourrait être le cas de tous les commerementateurs. Nous vivons dans un monde pervers. Chacun y va de son avantage personnel. Ceux qui veulent donner l’impression de penser aux autres sont ceux qui font le plus pour diviser. Ils se saisissent de tout et de rien pour remplir des temps et des pages de médias.

La vraie vie on l’a sur les réseaux sociaux. 10% d’imbéciles qui émettent n’importe quoi, 10% de personnes raisonnables qui émettent des conseils ou des idées réconfortantes et 80% qui regardent et n’émettent pas. On a la vision du monde pas de ce qui devrait ou pourrait être. Ce qui est.

On a le choix, prendre le monde comme il est ou se laisser bercer d’illusions par les autres. On a le résultat de ce qu’on laisse passer. Faut-il s’en plaindre? Peut-être est-ce mieux que de se rouler par terre et uriner sur les tapis?

Bertrand (@BDmoi)

Je pense plutôt que le mental fait dur. Et je m’explique. Les principes ne valent plus rien. Il est un tas de choses qui ne fonctionnent pas et c’est le rôle des médias, entre autres. Leur rôle est d’informer. La moindre nouvelle qui attise les émotions a pleine page dans les médias. Alors pour ce qui est des affreuses nouvelles il va sans dire. Le moral des gens est soumis à rude épreuve. Et les médias s’en régalent. Mais à terme, j’espère qu’ils détruiront leur propre habitat, comme le font les chevreuils en surnombre.

L’apologie du journalisme, fait par les journalistes évidemment, ne fait que montrer la faiblesse de l’industrie. Et Oui, c’est une industrie, plus préoccupée par ses revenus que par ses contenus. Leur rôle étant parfaitement ignoré on laisse libre cours aux élucubrations de commèrementateurs.

Le mental a sa dureté et celle-ci est de pouvoir, quand elle en a assez, couper court aux invasions barbares. De plus en plus de gens se désintéressent des médias. C’est triste, mais le moral a plus d’importance que la morale. Les médias l’ont bien prouvé.

Bertrand (@BDmoi)

C’est qui l’Imbécile? Celui qui prend des recommandations comme des ordres? Celui qui se sert de la pandémie pour garnir son portefeuille de paye? LES COMMÈREMENTATEURS et les médias n’en ont que pour l’excitation des émotions des gens. Il n’y a qu’une chose logique à faire et c’est de se tenir à distance. En attendant que ça passe. Mais, les médias n’en ont que de nous rappeler ce qu’on faisait avant et qu’on ne devrait pas faire cette année.

Rendre Legault et Arruda responsables de la situation est carrément imbécile. Les obliger à décréter des recommandations pour les contester plus tard ne fait qu’ajouter à l’Imbécilité.

Je n’en ai pas contre ceux qui ne croient pas à l’utilité des mesures, j’en ai contre ces colporteurs de contradiction totale et confondante des esprits tournés vers leur bien-être personnel.

Ceux qui ont le pouvoir n’en usent que pour leur avantage personnel. C’est déplorable. Lisez la définition d’imbécile et vous verrez le lien. Manquer d’intelligence c’est: agir comme ils agissent et déplorer l’indifférence des gens quant à acheter leurs médias. C’est se tirer dans le pied au quintuple.

Bertrand (@BDmoi)

Tout n’étant qu’une anecdote et une anecdote prouvant tout, il est normal que la raison ait disparu de l’espace publique. L’espace publique des médias et des réseaux sociaux. Tout est maintenant prouvé par son contraire. Il suffit d’une exception pour invalider le principe. Donc il ne sert à rien d’écouter les médias. La majorité des gens vivants n’existe pas parce que 47 personnes sont mortes hier.

Les covidiots sont aussi idiots que ceux qui lisent et écoutent les médias. C’est autant une religion dans un sens comme dans l’autre. Les gens n’ont plus de boussole. Drainville qui ne fait que raconter des histoires, et tous les commèrementateurs nous abreuvant de leur auguste opinion basée sur une anecdote quelconque.

Retrouvera-t-on un semblant de raison, s’il y en a jamais eu, dans un futur rapproché? J’en doute. Le poids de l’inertie est tellement grand que la folie nous entraîne inexorablement vers plus de folie. Quand les exclus se réclament d’un code vestimentaire qui, soit disant, est réservé aux exclus?(couverture Elle Québec). On et loin d’être sains et saints.

Bertrand (@BDmoi)

SE mêler des affaires des autres? Est-ce cela le but de la vie en société? Il est presque humainement impossible de ne pas juger l’autre. Très peu de gens y arrivent effectivement. Il est une chose cependant que l’on peut faire, c’est de penser ce qu’on veut mais se la fermer. Tout un chacun se mêle d’imposer aux autres ce qu’ils s’imposent à eux. Certains appellent ça la gauchiasserie. Il est possible d’émettre son point de vue sans en imposer la mise en application. Ce que je m’essaie à faire la plupart du temps.

Il y a une marge entre la possibilité individuelle et la possibilité sociale. Juger les choses à l’aune du mieux est illusoire et jusqu’à un certain point folie pure. Il manque un élément important, l’écoute. Mais on est obligé de prendre les choses comme elles sont. Et l’humain fait partie de l’équation. Nous sommes humain et le problème de l’humain, en 2020, c’est de croire qu’il peut abattre un arbre en un seul coup de hache. Illusion très stressante et annonciatrice de désillusion totale.

Donc il est permis d’émettre, et non d’imposer, ses idées. Il est permis de donner son coup de couteau pour essayer de faire tomber l’arbre et il est possible de continuer le temps qu’on respire. C’est ça la limite de l’humain et c’est ça notre limite. Alors modérons nos attentes et agissons sereinement.

Bertrand (@BDmoi)

Si, et seulement si, vous pensez être stable émotivement, soyez sur les réseaux sociaux et soyez de la courroie de transmission de l’espoir et de la patience. Autrement faites une introspection et essayez de comprendre ce qui vous affecte.

Quand vous l’aurez trouvé, contactez les organismes d’écoute et d’aide. Ensuite, peut-être, serez vous un phare qui illumine la nuit. Aujourd’hui est une journée où l’on annonce de la neige. Si celle-ci vous affecte, fermez vos rideaux, ne sortez pas et prenez un bon livre ou un bon film.

L’important c’est de durer. Le mieux possible. Rassurez vous, c’est plus facile que d’arrêter de fumer. :-)))

Bertrand (@BDmoi)

Toute loi est discriminatoire et toutes les décisions du gouvernement sont discutables. Mais, il faut tenir compte de la réalité. La réalité c’est que les gens sont rendus égocentriques. Il n’y a plus de consensus social. Il n’y a plus de lien entre les personnes. Tous et toutes attendent un tas de choses des gouvernements. Ceux-ci, en décidant, établissent des bornes qui n’englobent jamais tout le monde. On n’entend parler que de ceux qui sont exclus. Pourtant on ne voit pas les problèmes qui sont réglés.

Cette tendance aux attentes impossibles, ne nous aide vraiment pas. Il n’y a pas de possibilité de plaire à tous, encore moins à chacun. Les médias exploitent à fond cette folie. Ils nous la projettent en pleine face. Loin d’aider à réduire la problématique, ils l’amplifient à leur profit.

C’est triste et même dégueulasse de leur part. Ce n’est pas le reflet global de la situation sociale. Il faut s’en convaincre. Regardez dehors avec vos yeux, pas avec ceux des médias. La majorité, la grande majorité des gens, vaquent à leurs occupations. Partout et en tout temps il y aura des exaltés. Pour le moment les médias leur offrent leurs projecteurs. Un jour, peut-être retomberont-ils dans le domaine de l’Information et non de la déformation sensationnaliste.

Bertrand (@BDmoi)

Critiquer les décisions du gouvernement, pour la question de la pandémie, n’avance à rien. Les gérants d’estrades critiquent pour critiquer. Ils nuisent à l’ambiance générale et augmentent le fardeau psychologique des gens. Vous exigez des décisions du gouvernement, vous supputez toutes les possibilités avant que celui-ci décide. Vous préparez le temps de la contestation. Celle-ci vous est profitable.

J’en ai tellement contre les médias, tous les médias, qui rivent le clou de la pandémie pour leur audimat. Cessez de tergiverser sur les possibilités et attendez les décisions du gouvernement. Expliquez les informations sur lesquelles le gouvernement se base.

Vous, les médias, tous, êtes responsables de la médiocrité du climat et de l’atmosphère personnel des gens. Vous instillez à grand renfort d’opinions disparates et complètement farfelues, des informations non vérifiées. On se souviendra peut-être pas de vos faits et gestes mais, l’Histoire en rendra peut-être compte.

Bertrand (@BDmoi)

Bien des gens se pensent intelligents ou se pensent drôles ou ont tout simplement l’impossibilité de ne pas montrer leur stupidité. Les décideurs décident en fonction d’une réalité perçue. Tous le monde est à même de croire ou pas à la réalité. Je leur reconnaît ce droit mais pas l’obligation de dire des âneries.

Il n’est possible de satisfaire tout le monde. Une ligne doit être tracée. On la trace et les gens, d’une façon ou d’une autre, vont faire ce qu’ils veulent. L’atmosphère est suffisamment empoisonnée. Fermez vos gueules et faites ce que vous pensez devoir faire.

On se verra peut-être en 2021, si vous passez le temps des fêtes.

Bertrand (@BDmoi)