Les gros deviennent plus gros!

Les gros deviennent plus gros, les riches plus riches et tout le tralala. Mais c’est mathématique. Pourquoi? Parce que lorsqu’on dispose de liquidités on dispose de la capacité d’acquérir plus de liquidités. C’est absolument logique. C’est la logique du capitalisme. Mais, il y a un mais, il y aura retour du fouet . Le marché va s’amoindrir. Les gouvernements, qui s’endettent à la vitesse grand V, ne pourront soutenir leur appui à la population.

Les gens, dans leur stupidité extrême, vont chez les marchands de proximité pour se renseigner sur les marchandises qu’ils veulent se procurer. Puis ils vont sur Amazone et achètent au prix le plus bas. Logique au point de vue personnel mais totalement irresponsable socialement. On verra où ça va mener. Une offre de plus en plus réduite chez les commerçants et éventuellement une standardisation effrénée de l’offre chez Amazone.

Le temps des fêtes et de la pandémie est peut-être le temps de réfléchir un peu à la suite des choses.

Bertrand (@BDmoi)

L’avancement technologique?

L’avancement technologique a-t-il amené la régression sociologique? Mon point est celui-ci: il fut un temps où les gens vivaient avec eux-mêmes sauf lorsqu’ils étaient groupés à deux ou plus. Ils vivaient au rythme du temps. Avec les technologies tout s’est accéléré. La production, les communications et même les télécommunications. Donc on ne vit plus à son propre rythme mais au rythme que les autres nous imposent. Tous nos moyens technologiques nous ont amenés à aller plus vite.

Cette vitesse accélérée affecte notre pensée. On ne réfléchit plus, on réagit. La fonction de réfléchir est disparue chez beaucoup. On opine sur une inspiration et souvent on fait le contraire. C’est un déni à la réalité objective. Ce qui se passe est uniquement dû à l’accélération des perceptions du monde extérieur. J’en suis persuadé.

L’un des principaux effets de cette accélération c’est le manque de sommeil. Hyperstimulés on a de la difficulté à dormir et autant le temps que la profondeur du sommeil en sont affectés. Personnellement je dors de 8 à 10 heures par jour et je m’en porte très bien. Mais je n’écoute pas district 31 et je ne peux parler des émissions de fin de soirée. Grand bien m’en fasse. Alors c’est mon point de vue que je vous offre ce matin.

Bertrand (@BDmoi)

Si tolérer c’est reconnaître chacun?

Pouvez-vous reconnaître chacun pour ce qu’il est? Peut-être, si on est excessivement tolérant. La moyenne des ours est capable d’être tolérant collectivement, en terme de groupe. Mais de là à apprécier chacun c’est insoutenable. Les pires à tolérer sont les intolérants. Ceux qui veulent et exigent d’être reconnus pour leur différence. Quelle qu’elle soit.

Qu’un individu se pense différent sur quoi que ce soit, est la normalité. Que l’on se plie à toutes les différences indifféremment est impossible. La rectitude politique qui est en passe d’être exigée dans notre société est tellement absurde. Mettre le fardeau de chacun sur les épaules de tous est d’une stupidité sans nom.

Alors, on fait quoi? On s’assoit sur le bord du trottoir et on braille?

Bertrand (@BDmoi)

La pensée par critère unique.

Le manque de synthèse des informations est en train de nous tuer socialement. Il faut se rendre compte que, sur un critère, il existe une division terrible. Mais jamais on ne fait la somme de la situation selon tous les critères. À force de présenter les opposants à une cause ou à l’autre, jamais on ne relativise l’état global des choses.

À toute action il y a réaction. Il y aura toujours des opposants. Il faut réagir maintenant. Il faut prendre la situation dans son ensemble et réagir au marasme global des informations dans les médias. Se remettre à faire la part des choses. Tout n’est pas d.égale importance.

Bonne réflexion et c’est maintenant le moment de faire une synthèse personnelle de l’état de notre situation.

Bertrand (@BDmoi)

L’épuration du passé?

Si on épure tout le passé de l’humanité, en fonction de la bienpensance d’aujourd’hui, on ne peut plus parler de rien. Ni musique, ni histoire, ni politique, ni religion, ni humanité, non rien ne trouve grâce à tous. Plein d’autres sujets sont dorénavant tabous selon cet angle.

La folie furieuse s’est emparée des médias. Ce sont eux qui vocifèrent les récriminations de quelques-uns. Ils n’ont de cesse de parler d’anecdote et de monter en épingle le moindre souffle de mécontentement. Sera-ce le dernier écrit de ma part? Y aura-t-il un sujet duquel je pourrai épiloguer?

Au train où vont les choses, il y aura non seulement un grand confinement aux fêtes mais également un Bye bye absolument silencieux.

Bertrand (@BDmoi)

Liberté de parole est-il?

Liberté de parole est-il obligation de la laisser circuler dans les moyens de télécommunications? A-t-on eu raison de couper la conférence de presse de Trump, alors qu’il ânonne des faussetés maintes fois répétées. Notre société n’a plus de principes soutenus par une majorité. Tout est rendu du cas par cas. La personnalité de qui fait quoi est plus importante que qui fait quoi.

Après on se demande pourquoi les jeunes n’ont plus de sentiment de sécurité ni de sentiment d’avenir espéré. Il y a explosion du fatalisme et de l’anxiété. Il n’y a plus de cadre dans lequel on peut opérer en toute sécurité. Quand l’homme le plus important (pour la majorité des gens) peut dire impunément n’importe quoi et son contraire, il faut qu’il y ait des conséquences.

On me lapidera ou quoi que ce soit mais, il faut dire que le laisser aller de la population, globale, est anéantissant de la sécurité des autres. Plus rien n’a le support. Quand on dit il faut un village pour éduquer un enfant, c’est à cet effet qu’il faut réfléchir. Quand un village déserte les enfants, ceux-ci sombrent dans l’anxiété et l’insécurité.

Bertrand (@BDmoi)

Un mal pour un bien?

Un mal pour un bien la longueur du décompte des élections aux USA? Est-ce que la durée du décompte aura permis aux ardeurs de s’estomper? Des deux côtés? L’exubérance que l’on craignait ne semble pas se démontrer. Bien que l’on s’attendait à tous les esclandres de Trump, ses partisans semblent plus raisonnables que lui.

Le temps des discours est terminé. Il y aura des actions à poser et c’est là qu’on verra si le peuple est un peuple ou non. Mes pires crainte sont du passé. On verra la suite dans les prochains numéros.

Bertrand (@BDmoi)