Cessez toute la publicité et commencez l’Information

Les médias cherchent à regagner la faveur du public. J’ai la recette pour eux. Mais, ils ne l’accepteront pas et surtout serait-il pour eux de faire constat d’échec et de propagande. La liberté d’expression est supposée être le fondement de la liberté de presse (dans le sens large). Mais celle-là (la liberté d’expression) est une déclinaison du fait que tout être a droit à la recherche du bonheur. N’est-ce pas une élucubration mais ce qu’on ne cesse de dire dans les médias. Quand le plaisir de l’heure c’est de voir l’autre se casser le cou (Félix Leclerc), faut-il se surprendre que ce qui circule le plus soit les horreurs que chacun s’inflige ou inflige à l’autre.

Le monde, les gens, les individus sont à la recherche du bonheur. Ont-ils une soif inextinguible de faits et d’informations qui les pousse à regarder dans le monde pour se prouver qu’ils sont heureux dans leur pauvre condition d’être humain. Quand on se regarde on se désole, quand on se compare on se console (serait-ce dû à Talleyrand). Nous avons tendance à regarder dans le passé des signes de moments où on a été heureux. Mais, naturellement cela retourne à ce qui nous a rendu la plupart du temps malheureux. Aussi cherchons nous à savoir si nous sommes heureux ou malheureux actuellement. Rien de mieux pour se rassurer que de voir ce qui arrive de pire ailleurs.

JE SUIS HEUREUX et je ne me sens pas coupable de l’être mais méritant. Pourquoi? J’ai écrit 1735 textes qui disent en substance que la vie existe sur Terre et qu’elle n’est pas si pire parce qu’On y vit encore et que tant qu’Il y a de la vie il y a de l’espoir. Mais, comme je l’ai souvent écrit, l’espoir n’est permis qu’après qu’On a semé des graines dans le sol et qu’on les ait arrosées régulièrement.

AVIS aux médias et aux récepteurs de médias: désabonnez-vous et abandonnez les médias. Recherchez ce qui informe sur la réalité des choses, tirez-en vos conclusions et agissez conformément à vos décisions. Il y a beaucoup trop d’opinions qui circulent et on manque cruellement d’information. L’information est la base du savoir et de la raison. Dans notre monde d’émotions faut-il dépasser les perceptions?

Bertrand (@BDmoi)

Ne sommes nous pas des plantes mais des humains.

Nous avons des capacités d’adaptation qui sont formidables et hors de la possibilité de tous les autres vivants. Oui! TOUS! Mais les utilisons-nous suffisamment? Les utilisons-nous adéquatement? Agissons-nous en être intelligents? Bien qu’au sommet de la capacité d’adaptation immédiate aux conditions de la Nature et de la vie, pourquoi nous disons-nous: nous ne sommes qu’humains (en tablant sur nos faiblesses plutôt que sur nos forces).

Plein d’opportunités existent dans l’univers et celui-ci nous entoure. Nous avons, à portée de bras, tout un monde de possibilités. Mais nous ne choisissons que celles qui plaisent à notre satisfaction immédiate de nos désirs puérils. L’intelligence est un outil extraordinaire et puissant mais la paresse est un frein absolument puissant. Trouver un sens à la vie est une tâche qui rebute à beaucoup de gens. Se laissent-ils bercer d’illusions par des profiteurs et des manipulateurs.

SE CONNAÎTRE est le point de départ de donner un sens à sa vie. Nous laissons nous endormir par des gens qui ne se connaissent pas et qui affirment des choses et des principes qu’Ils ne respectent pas eux-mêmes. EN conclusion, faut-il penser que la malhonnêteté individuelle et tellement répandue que nos pouvoirs sont utilisés pour détruire plutôt que construire. Sommes nous vivants ou acteurs de l’entropie? Question bête et méchante, mais, je me la pose sérieusement.

Bertrand (@BDmoi)

La formule Rand?

Qui pour s’attaquer à la formule Rand?

La formule Rand est un élément du droit du travail canadien en vertu duquel les travailleurs faisant l’objet de contrats obtenus par négociation collective doivent verser des cotisations syndicales, qu’ils soient syndiqués ou non.

Rendre les syndicats responsables de collecter et justifier L’action du syndicat. Les centrales syndicales ne représentent personne. C’est le syndicat local qui représente le syndiqué. L’affiliation, de fait, est nulle pour le syndiqué. L’obligation de retenir la portion syndicale, sur le chèque de paie est donc abusive. Avons-nous le droit à l’association? Oui? En avons-nous l’Obligation? Je ne crois pas. L’association à une centrale syndicale n’est logique que dans le sens où l’On en reçoit des services.

Les centrales syndicales font plus dans la politique que dans les services aux syndiqués. Aussi faudrait-il les responsabiliser, avec tous les moyens financiers qui existent aujourd’hui, et exiger qu’Ils récoltent leur émoluments et justifient la hauteur de ceux-ci.

C’est grave ce que je dis, mais, ce qui arrive au mouvement syndical l’est aussi.

Bertrand (@BDmoi)

Interdire la liberté d’expression à cause de ceux qui ne peuvent la tolérer?

De tous temps y a-t-il eu opposition d’un quidam face aux dires de quelqu’un. Parfois est-ce allé en cour et cela a été jugé dans un sens ou dans l’autre. Mais le bien public et du publique était tenu en compte. Aujourd’hui, la liberté d’expression subit un affront terrible car, peu importe l’intention démontrée à répétition par l’auteur, ne juge-t-on que sur la base de lois désuètes et infantilisantes. Cacher ce sein que je ne saurais voir de Molière est revenu. Nier la réalité pour l’adapter à la vision d’une seule personne est une stupidité ou L’inclusion totale de tous nous mène.

Désolé si cela vous choque, mais, je le pense et j’ai le droit de le dire. Nous sommes dans une société où la Charte des Droits est suprême. Il est un droit garanti par la charte qui ne devrait pas y être, parce qu’il divise les gens et accorde le droit d’outrepasser l’esprit de la Charte, soit de permettre à chacun la liberté d’opinion. La Religion est une chose personnelle. Notre tradition l’a tout faux. Faut-il en venir à assimiler le prosélytisme des organisations religieuses à un affront à la liberté de chacun? J’en suis. Et Vous?

Jouer sur les mots, tel Charcaoui, pour utiliser la couverture de la religion pour cacher ses intentions belliqueuses est signe de deux choses: son intelligence et notre stupidité légale.

Je suis pour une liberté d’expression comme l’a voulu les initiateurs de la Charte, soit la poursuite du bonheur de CHACUN en société épanouie.

Bertrand (@BDmoi)

Sommes nous un tout?

Sommes nous un tout, indépendamment de la catégorie où l’on nous place suite à un tweet? Bien des gens s’offusquent de la réaction d’un quidam qui ne connaît de nous que les 240 derniers caractères que nous avons exprimés. Le stupide là-dedans c’est que l’on s’offusque et que l’On bloque ledit quidam. Chacun de nous, avons nous un vaste panorama de la réalité. IL n’est pas exact en tous points mais l’image globale semble faire du sens.

Dans notre monde social où l’opinion règne en maître et la discussion est le parent pauvre de la communication, il est difficile d’apprécier le point de vue de l’autre. Je pars du principe que chacun a son point de vue, sa situation. Aussi ne voit-il les choses sous le même angle que moi. Les gens plutôt que d’essayer de se déplacer et voir ce que l’autre aperçoit, tire ardemment sur l’autre pour qu’Il adopte son point de vue. C’est ce que je déplore dans le débat, qui est absolument valorisé et qui amène la polarisation.

La vie est courte et longue. Courte quand on s’enfarge dans chaque embûche du chemin et longue quand on prend le temps d’apprécier la vue du panorama. Bien des gens sont campés sur des positions inflexible parce qu’ils refusent de relever la tête et d’apprécier le chemin parcouru et essayer d’apercevoir une partie du chemin qui reste à faire.

Occasionnellement, relever la tête, permet de faire l’état de la situation globale, l’Inventaire des possibilités ou opportunités qui nous sont disponibles, et mettons nous de l’Ordre dans nos idées. La discussion avec une autre personne permet ceci. Mais, nous sommes tellement pressés de gagner notre ciel que nous passons outre les moments de vie sur Terre.

Chaque personne est un immense filtre où passent quelques fragments de réalité. Avons nous un meilleur contact avec la réalité quand on voit l’ensemble de ce qui passe dans les filtres et non pas qu’On se déchire pour savoir quel filtre est le plus adéquat?

Serait-ce ça le philtre d’amour qui manque sur Terre pour accéder un jour au ciel?

Bertrand (@BDmoi)

Que vous le vouliez ou non!

La réalité est la réalité, prenons l’exemple des communications publicitaires ou politiques. Une chose, réelle ou non, est perçue comme réelle en autant qu’on la répète assez souvent. Les médias et les politiciens l’ont compris depuis longtemps. Ils vous harcèlent de messages tous plus faux les uns que les autres et vous les répétez. Vous vous les répétez. Ce qui en fait une vérité alors que ce n’est pas la réalité. La vérité peut elle être fausse? Tout le temps. Les gens ne sont plus capable d’assumer la réalité. Ils préfèrent vivre au pays des licornes. Les croyances ont remplacé les connaissances.

L’union médiatique fait la stupidité du peuple. Sa propagande, orchestrée ou pas, est tellement efficace, qu’ils se croient eux-mêmes utiles et nécessaires.

En réalité nous ne sommes pas un groupe, et de moins en moins. Nous sommes des êtres isolés dans un océan de dogmes répétés inlassablement par les faiseurs d’Opinion. Ne pouvons nous que répéter ces dogmes, sans trouver les arguments pour les soutenir. Nous ne sommes pas en démocratie, les 4 dernières années l’Ont prouvées. Trop tard, semble-t-il, les gens se rendront compte que leur prétendue sécurité est importante et que la vie n’est pas un long fleuve tranquille.

La vie, c’est vivre le moment en projetant nos besoins et les moyens de les satisfaire. La publicité? Simplement un truc que le plus riche peut se payer pour nous enfoncer sa solution dans la tête et vider nos poches. LE PRINCIPE DE BASE en communication s’appelle en acronyme, AIDA:

  • A pour attirer l’attention du récepteur (tous les moyens sont bons)
  • I pour éveiller l’intérêt. La répétition est nécessaire pour ancrer le concept.
  • D pour éveiller le désir de la solution proposée. Proposer des avantages fabuleux que la solution apporte aux problèmes ressentis (bien souvent insufflés par la publicité elle-même)
  • A pour passer à l’action immédiatement. (prix réduits, promotion, nouveau et amélioré…) Plein d’astuces pour profiter de l’impulsion créée par le désir.

Est-il nécessaire de vous expliquer tout cela? OUI! C’est tellement ancré dans votre formation psychologique, que vous n’en avez plus conscience. Vous le savez mais vous dites que ce n’est pas vous qui allez tomber dans le panneau. Le nouveau mouvement de la vente en ligne, de la livraison rapide et de la commande sur un clic de souris, est ignoble d’efficacité et de malheur. Les gens agissent de plus en plus sur impulsions. Le raisonnement est induit par les télécommunications qui nous submergent.

Je vis très bien avec un minimum de revenu garanti. Je ne le dis pas pour vous écœurer mais bien pour affirmer que c’est possible. Le tout, pour vivre, est de connaître ses propres besoins et trouver une façon de les satisfaire dans la réalité de tous les jours. C’est l’ouvrage d’une vie mais on essaie de tous les moyens possibles de nous en distraire et de nous dire ce qui ferait notre bonheur SI…

Le temps de vie ne sert qu’à se connaître soi-même et apprendre à reconnaître nos besoins personnels. Ensuite on prends le temps d’Identifier les opportunités et on doit en choisir quelques-unes. Choisir un autre mot qui a perdu son sens. Mais, on a tout notre temps pour y revenir.

Bertrand (@BDmoi)

Le drame d’être réveillé à 2 heures le matin

C’est d’être plus éveillé que quantité de gens. La plupart des gens qui ne dorment pas la nuit veulent dormir. Ils sortent les tracas non résolus et s’en font au point de ne pas dormir d’un sommeil réparateur. L’utilisation de somnifères et d’anti anxiété fait des ravages. Le rythme de vie des gens est tout simplement dément. Plutôt que d’utiliser son temps pour chercher à satisfaire ses besoins, on se sert d’une montre et de l’avis du voisin pour décider de ce qui est bon pour nous. Nous sommes riches d’argent mais pauvre de connaissance de ce qui est important.

Au Canada, au Québec, à St-Polycarpe, ce qui est important pour Bertrand Dugré c’est:

  • Avoir un endroit chaud et sec pour survivre aux saisons.
  • Manger suffisamment pour AVOIR DE L’ÉNERGIE POUR vivre paisiblement.
  • Vivre ses 70 ans dans l’harmonie de mes journées.
  • Occuper son temps à aider qui le demande.

Pour la plupart des gens, n’est-ce que survivre. Mais, moi, je sais que je vis et que j’attends la mort le plus loin possible, parce que je suis relativement bien. Les gens que je connais, qui ont choisi de vivre la nuit, sont plus reposés et calmes que la plupart des individus qui courent à hue et à dia, pour je ne sais d’autre RAISON QUE DE JUSTIFIER QU’ILS SONT EN VIE. Toute cette course à l’argent, au pouvoir, et même au bonheur est vaine.

Les personnes qui ne dorment pas la nuit, et qui voudraient dormir, regrettent sincèrement de ne pas dormir. Mais n’est-ce que remords de buveurs invétérés? Je ne saurais dire pour un mais, pour beaucoup c’est le cas. L’indécision, l’inaction durant les heures d’éveil amènent un pourrissement de la situation, aggravé par la soif de voir pire que sa situation. S’accrochent-ils aux médias pour trouver soulagement à leurs tourments.

Le bonheur ne s’atteint pas en courant, mais en stabilisant sa situation. Être où l’On se doit d’être et présent au moment où l’On est rendu. Personnellement, j’ai l’impression d’y être. Plein d’événements de santé se produisent en ce moment. J’ai 70 ans et je les surmonte en connaissance de mon âge.

La morale de l’histoire, ce n’est pas d’être réveillé à 2 heures du matin qui est la cause du drame, c’est d’être inactif dans les heures qui devraient être actives afin de solutionner la satisfaction de nos besoins. En se comparant aux autres n’arrivent-on qu’à identifier des désirs mais, pendant ce temps, les besoins sont criants.

Bertrand (@BDmoi)

Toute la réalité n’est pas dans le public ou le privé

Le public, le privé, est une discussion farfelue. Finalement tout est privé. Ne devrait-on pas appeler LA RAMQ la régie de l’ASSURANCE maladie. Ce n’est pas la job du gouvernement de donner les soins mais de voir à ce que les soins soient donnés. Là est le grand mystère de la foi. Ce sont des gens qui donnent des soins. Pas des politiciens, pas des administrateurs, pas des dirigeants et encore moins des rêveurs.

La sacrée prémisse que TOUS ont droit aux mêmes soins, partout, est extra-terrestre. Ce ne sont pas les conditions de la réalité. On demeure où on demeure, pour les raisons qu’on y demeure et on doit assumer la décision prise avec ces raisons. Chaque maillon de la chaîne de santé est privé mais, le gouvernement se mêle de l’organisation. Il ne devrait que légiférer sur les conditions et payer pour la réalisation.

Chaque hôpital est une entreprise à part entière pour le bien-être des citoyens sous son égide. Comparer le soin individuel accordé dans 2 hôpitaux différents est illusoire et manifestement une cause de mauvaise gestion. Il est temps de responsabiliser la tâche de chacun dans le domaine.

DE mes observations, Chaque individu sur la ligne de feu directe, donnent un rendement possible de donner dans un environnement totalement déshumanisé. Les gestionnaires n’ont aucune influence sur les soins donnés, autre que de nuire aux praticiens.

IL faut faire un choix: donner le même soin partout au Québec (impossible) ou donner des soins à chaque citoyen du Québec (en fonction de sa localisation). Personnellement, je vis en région et j’en assume la tranquillité et les risques inhérents.

Je mourrai c’est évident, il ne dépend pas de l’hôpital que je vive ou pas. Il appartient à l’Hôpital de donner les services possibles dans la région et à moi d’en tirer profit. On ne peut sauver tout le monde. Faut-il enfin prendre conscience que tous et chacun doit mourir. Un de mort n’est pas un de trop. N’est-ce qu’un ensemble de circonstances qui coïncident.

Il faut faire de notre mieux pour offrir les meilleurs services possibles dans les circonstances. Les gens vieillissent et ont peur de mourir. Aussi ne vivent-ils que pour ne pas mourir. Je vis ma vie, au maximum que je peux, aussi est-ce moins qu’il y a dix ans. Mais je vis au maximum en attendant de mourir. Toutes les dispositions et les frais ont été payés depuis des lustres. Ça ne m’a pas empêché de vivre.

Donc commençons chacun à assumer la réalité de notre vie et la réalité du contrat social auquel on accepte de vivre au Québec. Cessons de nous mêler de la vie des autres et que les politiciens réalisent qu’ils sont élus pour représenter la volonté et la responsabilité de chacun dans sa vie. L’idéalisme, on laisse cela aux chantres et aux poètes.

Bertrand (@BDmoi)

L’humilité est une vertu surévaluée

L’humilité est une vertu surévaluée dans notre société. Elle est perçue comme qualité mais n’est en fait que moyen de se déculpabiliser, de ne rien tenter. Se dévaloriser est bien vu. Bien souvent est-ce pour attirer la pitié d’autrui. Je suis qui je suis, je possède les qualités et les talents que je possède mais, j’ai aussi les défauts qui vont avec. Je suis un tout et je suis l’égal de chacun, ni plus ni moins, en droit. Qu’on ne me reconnaisse que mes défauts est à la mode et je ne m’en plains pas. Tout au plus ai-je pitié de ceux qui me sous-évaluent ou me surévaluent, c’est leur problème. Évaluer ce qu’ils ne connaissent pas est courant.

La réalité est telle, dans notre société, que tout un chacun met une valeur à tout et n’importe qui. L’arrogance est souvent un prix donné à l’autre parce qu’il assume ses dires, dans le succès comme dans l’échec. Je ne suis pas humble ni arrogant. Suis-je affirmatif, honnêtement, dans le succès comme dans l’échec. Mais vous pourrez être certain que j’ai essayé tout ce que j’ai pu imaginer pour atteindre le but. Certains me considèrent tenace, d’autres borné. Je suis un individu de résultat et je juge ceux-ci à mon aune, pas la leur qui est fausse parce qu’incomplète.

Aussi, n’ai-je pas la prétention de tout savoir mais d’avoir une grande et vaste connaissance de base de bien des sujets. Et c’est, à mon point de vue, bien ainsi. Quoique vous en pensiez, ne laissez jamais quelqu’un vous forcer à vous déprécier. On peut échouer sans être vaincu. Il suffit de s’essayer d’une autre manière. D’en imaginer une à défaut de savoir. La fortune sourit aux audacieux, on peut produire tout ce que l’On peut imaginer, il faut laisser au temps le temps de produire ses effets.

Ne dit-on pas que l’on n’est reconnu qu’après sa mort, est-ce pour cela que je ne m’attends pas à être reconnu autrement que par le fait que j’existe.

Bertrand (@BDmoi)

Il y a une immense différence

Il y a une immense différence entre possible et probable. Bien des gens n’en font pas consciemment la différence. J’utilise souvent ces deux mots mais les gens n’en font pas usage souvent. Ils pensent probable ce qu’ils croient et impossible et insoutenable ce qu’ils voient. À court terme, peu de changement est possible, Il est même improbable que les choses changent dans le monde humain. La Nature elle, est en perpétuelle réaction aux changements sur la planète. Tous les changements, quels qu’Ils soient.

Tant de choses à dire mais si peu de possibilité de transmettre les pensées. Il faut vraiment faire effort de conscience pour vivre. Agir sciemment sur son environnement en sachant les conséquences de la faiblesse humaine.

Ne devient-il possible que ce qu’On envisage probable. À bien des choses problématiques, il existe une infinité de solutions possibles. Mais il n’y a qu’une chose qui manque. L’imagination et la persévérance de l’imagination. Je suis doué d’une imagination débridée et d’un sans-gêne presque arrogant. J’ai réalisé bien de choses, jugées impossibles par les autres. Mais j’ai survécu. N’ai-je pas réussi beaucoup de projets mais au moins ai-je donné tout ce que j’avais.

Peu importe le jugement des autres, pardonnez-leur car ils ne savent ce qu’Ils font (Jésus), ne faudrait-il inverser la vision des gens pour qu’ils se regardent et voient leurs propres besoins et problèmes. Quand on a une vision claire du problème, les solutions surgissent de notre imagination. Ne faut-il qu’un peu de jugement pour élaguer l’ivraie du bon grain.

Pensez-y un peu et essayez de faire porter votre regard sur votre intérieur plutôt que sur l’extérieur incohérent des autres. Les autres sont différents les uns des autres mais vous, essayez d’atteindre la cohérence de vos pouvoirs.

Bertrand (@BDmoi)