Quand on pose une question?

Quand on pose une question la répartie n’est pas toujours pour répondre à la question ou une rebuffade. Bien souvent une question précise reçoit-elle une réponse qui en fait répond à une question plus large ou a juste fait surgir une réflexion quelconque. Les gens semblent avoir l’impression qu’on répond directement à leur tweet. Ils ne sont pas prêts à discuter. C’est triste. Mais il y a pire, ce sont ceux qui veulent débattre et avoir absolument raison.

Twitter a un potentiel de communication extraordinaire. Discussion en temps réel ou par messages différés dans le temps, les possibilités sont immenses. Cependant on gaspille tout ce potentiel pour sombrer dans les déchets de propagande et de harcèlement que certains, très actifs, sèment dans le média.

La réalité finale est pauvre en compréhension et forte en émotions négatives. Est-ce la faute de Twitter? Absolument pas. C’est notre faute à nous qui n’occupons pas la place et qui laissons passer tant de conneries sans rétorquer. Si on était un lieu de discussion sensée peut-être, dans un futur lointain, se souviendrait-on de l’âge d’or de la technologie où la nouvelle société a pris son essor. Mais comme disent certains, on n’est seulement humains. Au fait qu’est-ce qui distingue l’humain? Ne pas se servir de ce qu’on a.

Bertrand (@BDmoi)

La classe est-elle pour les connaissances ou la formation de citoyens?

La classe est-elle pour les connaissances ou la formation de citoyens? La pandémie a démontré que les connaissances ne valent pas grand chose. Quand on veut décrocher la Lune il faut cesser de contempler le doigt et on doit s’astreindre à considérer le parcours entre celle-ci et le doigt. L’élève se doit de parcourir le trajet pour atteindre la pleine puissance d’attraction de la Lune. Ainsi la poussée initiale est-elle la lecture et l’écriture qui se doivent d’être puissamment enseignées. Bien entendu une base de mathématique aussi. Mais pour la terrible poussée de départ il faut injecter une masse importante de vocabulaire. Nommer les choses et les actions. Pour élargir la langue.

Ensuite faut-il maintenir le Momentum de l’intérêt des élèves le temps d’arriver au champs d’attraction de la Lune. Autrement dit il faut maintenir la vitesse de fonctionnement dans le système. C’est là que prend l’importance des activités parascolaires. Dans un voyage de la Terre à la Lune, la poussée initiale fait foi de tout. Ainsi devrait-il en être de l’éducation. Pendant le temps que dure le voyage il y a plein de travail à vérifier que tout va bien. Ainsi en est-il de l’Éducation. C’est la période où il faut offrir le maximum d’exposition aux choses de la vie sociale. Pour que l’élève trouve la position qui lui est confortable dans la société.

Ainsi arriverons-nous avec des citoyens aptes à fonctionner et à prendre leur place dans la société. IL faut revoir le programme d’acquisition des connaissances et passer à un programme d’acquisition d’aptitudes. Il faut revoir l’utilisation scolaire du temps. Faire d’une journée à l’école une journée complète d’où l’on sort quand on retourne à la maison. Est-ce un programme ambitieux? Tellement que bien des gens en ont le vertige. Aussi faut-il que l’on ait qu’une seule préoccupation et une seule priorité, l’éducation des futurs citoyens. Mais ce temps est loin de nous car ça prend des citoyens formés pour former d’autres citoyens. L’œuf ou la poule?

Interdire est-elle la seule voie au Québec?

Interdire est-elle la seule voie au Québec? Il semblerait que oui! Éduquer et faire évoluer est passé de date. La répression, étant le fait de réprimander après le fait est d’une autre génération.

Un article de LaPresse du 27 août: https://plus.lapresse.ca/screens/0872ab46-2266-497e-aff7-836d1a327ced__7C___0.html?utm_content=twitter&utm_source=lpp&utm_medium=referral&utm_campaign=internal+share lève un voile sur la pensée qui existe au Québec.

Parce que certains ne savent se tenir, il faut empêcher tous de se servir de ce qui existe. Interdire n’arrête pas le fait de quelques-uns. La loi, on n’en a beaucoup, régit bien des choses auxquelles la majorité obéissent. Mais il y a des récalcitrants pour bien des raisons. Le système de justice ne répondant pas aux besoins, il y a demande de cessation des comportements illicites. Mais les policiers eux sont occupés à faire du travail social ou administratif (paperasse), pendant ce temps les travailleurs sociaux sont dans des organismes sous-financés (communautaire ou publique) qui sont soumis à des normes de plus en plus inaccessibles.

Je pourrais continuer ainsi mais c’est trop désolant. Pour paraphraser Kennedy, qui a permis d’envoyer des hommes sur la Lune : Ne vous demandez pas ce que la société peut faire pour vous mais, demandez vous ce que vous pouvez faire pour la société.

Il semblerait que ce soit très répandu sur la planète. De ça je n’en ai comme preuve que ce qu’en disent les médias. Chercher l’erreur? Et si changer les médias changeait le regard de la société?

Bertrand (@BDmoi)

La désillusion est-elle due à la hauteur de nos standards?

La désillusion est-elle due à la hauteur de nos standards? Nous avons un des, sinon le plus haut, standard de vie au monde. Il est peut-être, certainement, absolument possible d’en avoir un meilleur. Mais on appelle ça l’idéal. Mais en ce monde, est-il nécessaire de le rappeler, rien n’est idéal. C’est certain qu’on peut chercher à s’en approcher mais, on ne l’atteindra jamais.

Est-ce que nos standards sont trop élevés. Je ne crois pas. IL y a beaucoup de standardisation due à la quantité de biens et services rendus. Là est une partie du problème car on a hérité de standards du passé alors que l’On découvrait bien des choses nouvelles. C’est semble-t-il la seule façon que l’on a pu remplacer les esclaves par des machines. Certains diront que ce n’est pas si vrai mais, il y a eu une grande révolution sociale.

Mais, le moral des gens semble très affecté. C’est certain qu’il y a eu l’épisode de la Covid-19. La désillusion de bien des gens n’est-elle que la constatation brutale de la force tranquille de la Nature et la puissance très relative de l’humain, qui est un élément de la Nature. La Nature a horreur du vide mais elle a aussi horreur du trop plein. Sommes-nous rendus à cette phase?

Il est certain que l’on s’habitue au luxe et que celui-ci n’est jamais assez luxueux à notre goût. Aspirer à ce que chacun soit également pourvu est noble mais idéaliste. Est-ce la plus grande source de malheur dans le monde. Habiter un territoire vient avec des avantages, et des inconvénients. Prenons l’exemple de vivre à Montréal et vivre en région éloignée. À Montréal tout y est fait pour faciliter la commodité de la vie urbaine. Proximité des biens et services mais, cela vient avec la proximité des gens et même la promiscuité. Ce qui déplaît à bien des personnes qui préfèrent vivre plus loin de la ville. Préférer est un mot que j’aime bien. Préférer indique que l’On choisit pour le meilleur.

Tout n’est que balance d’avantages et d’inconvénients. Mais, beaucoup veulent le beurre et l’argent du beurre et tout le reste aussi. Là semble notre raison d’être déçus. On ne sait pas choisir et assumer ses choix. On ne peut avoir tous les plus hauts standards sans avoir aussi tous les coûts nécessaires à les réaliser.

Les conditions sont telles. Il faut s’en rendre compte. Nous sommes à la veille d’une élection éclair et il est fort à parier que tous les participants que ce soient les politiciens, les sondeurs, les journalistes et les partisans joueront la joute politique. Il est triste de constater, ce que je fais ce matin, que le sort des citoyens passe en dernier. Tout n’est que lutte pour le pouvoir et tous les moyens sont bons. Loin de solliciter la synergie des partis politiques on ne fait que diviser indument le pouvoir dans les mains d’une petite partie des individus intéressés à la chose publique. Tout n’est finalement qu’un jeu. La désillusion ne vient-elle pas, d’abord et avant tout, de la bassesse de nos standards en matière de politique. Réduire la politique à la joute électorale est le plus grand tort que les intéressés nous encouragent à perpétuer.

Bertrand (@BDmoi)

Y a-t-il vraiment pénurie de quoi que ce soit???

Y a-t-il vraiment pénurie de quoi que ce soit? C’est une question et je crois sincèrement que oui il y a pénurie mais pas de biens ou de services, il y a pénurie de solution aux problèmes que soulèvent les médias. Des milliers de personnes cherchent pendant des millions d’heures LA SOLUTION au problème de décrochage scolaire. Mais personne ne cherche à améliorer sa propre situation linguistique ou professionnelle. Les médias n’ont de cesse d’ânonner ci ou ça qui ne va pas bien.

Le principal problème, celui qui surpasse tous les autres, l’infâme réalité c’est le mot “qualifié”. Tout est-il trop normé et spécialisé? La triste réalité c’est que vivre n’est pas être spécialisé. Il faut savoir un peu de tout et savoir apprendre de ses erreurs. Mais, le gros mais, on n’accepte plus que les gens fassent des erreurs. Pour faire quelque chose de réel il faut commencer par essayer. Mais on s’attend que l’Individu réussisse tout du premier coup. Découvre-t-on un talent chez un enfant? On le gratte, on le pousse, on le soumet à une intense spécialisation. L’enfant n’est plus, il est son talent.

Il est une chose d’avoir un talent et une autre d’être un individu. Idéalement on peut faire les deux mais en pratique faut-il se rendre compte que ce n’est pas la réalité. Je vais vous parler de mon expérience et je crois que c’est valable dans bien des domaines. J’ai enseigné la comptabilité au CEGEP. Je prenais une classe de 32 élèves et la descendait à 24, en moins de 4 semaines. Tout ce qu’on voyait c’est que 8 élèves avaient abandonnés. SE posait-on la question pourquoi? Non! On ne faisait que constater. La comptabilité est une matière logique et arithmétique. Il n’y a qu’une réponse valable et justifiable. C’est l’opinion que la plupart des gens en ont. La réalité est toute autre car on peut justifier bien des choses. Tout dépend-il de l’Objectif poursuivi et du raisonnement qui supporte l’action.

La comptabilité c’est l’art d’enregistrer des données de manière structurée qui servent à produire des états financiers significatifs pour les utilisateurs et les gestionnaires. Aussi est-ce un ensemble de processus et de notions très bien documentés. C’est d’abord et avant tout une matière de principes et de jugement.

Est-il donné à tous de l’assimiler? La réponse évidente est non! Est-il donné à tous la possibilité de s’essayer? Oui! Donc la conclusion logique est que quelques-uns vont échouer à maîtriser la technique et le jugement logique. Dans notre foutue société, il est de bon ton de féliciter et porter aux nues ceux qui réussissent particulièrement de façon extraordinaire. Mais n’est-ce que l’exception de l’exception. N’en avons nous que pour Céline Dion et quelques autres. On ne veut que le meilleur du meilleur en tout temps. La vie est trop courte. On est tellement pressé de vivre que l’on ne vit pas. On meurt et la vie est passée.

Non! On l’a vraiment tout faux. La vie n’est pas en devenir, elle n’est pas plus en expérience passée. Elle est ce qu’on vit en ce moment pour résoudre un problème qui se pose à nous actuellement. Saisissons la seconde, pas le jour. Il y a 168 heures dans une semaine. On en dort à peu près 56, plus ou moins, Moi j’en dors 60-62. Mais le reste du temps, suis-je éveillé. 100 heures par semaine consacrées à vivre. Vivre c’est échanger avec les autres. Personne, ou en fait très très peu de personnes, peuvent vivre seules. Pour vivre il faut être capable d’essayer et d’essuyer des échecs pour parvenir à se découvrir. Aussi n’y a-t-il aucun professeur de qualifié pour chacun des humains qui lui sont confiés. Quand on les groupe en classe? Encore moins.

Il y a une grave pénurie et cette pénurie est une pénurie de bon sens et de pragmatisme. Si je vis 80 ans à raison de 52 semaines par année et 168 heures par semaine cela fait à peu près 700 000 heures. Si J’en dors à peu près 250000 il me reste 450000 heures à vivre dans une vie. On a donc tout le temps de vivre. Mais qu’en fait-on? On perd son temps alors qu’il y a tant d’opportunités qui pullulent autour de nous et de nos possibilités et talents.

Faites le calcul pour vous et estimez si les résultats obtenus justifient l’utilisation du temps que vous avez fait de votre vie? Je ne vous parlerai pas de moi et de mes conclusions. Ce n’est pas important pour vous comme cela a été important pour moi. Mais… Faut-il réaliser que nous avons plein de temps à utiliser, tellement qu’on a tout notre temps pour le faire?

Bertrand (@BDmoi)

Je ne combats pas pour le français.

Je ne combats pas pour le français. Mais j’essaie de le parler et de l’écrire le mieux qu’il m’est possible. Je me bats pour éveiller les gens à leur pouvoir. S’en remettre à blâmer les autres ( politiciens, journalistes et autres individus) pour ce qui nous arrive personnellement? C’est avouer son impuissance.

Nous, chacun et chacune de nous, sommes personnellement responsables de l’état de la société. La société, vous dites? Existe-t-elle encore? À écouter les gens, ils sont le jouet de forces externes, mais la société n’est pas synergique de ce temps-ci. Plains-toi et personne ne va te plaindre. Il semble qu’il est plus payant de faire pitié que de se démener pour aller chercher ce dont on a besoin.

Il y a des obstacles dans la vie. C’est un fait. Il en arrive toutes sortes, à tout le monde. Mais se désoler sur son sort et espérer que les autres vont le régler, c’est exactement se remettre dans des mains externes, ce dont on se plaint constamment. Notre société, s’il en est une, est composée d’individus qui ont démissionné de leur pouvoir.

Alors ceux qui disent se battre pour la langue, bien souvent, tiennent rigueur du mauvais français de la majorité des gens. Tapez leur sur la tête. Ça c’est bon pour l’ouverture d’esprit. Mais qui essaie de comprendre l’autre? De l’accepter comme il est? De chercher à améliorer la perception que l’autre a de lui-même? On cherche des solutions simples à des problèmes complexes. On se conforte en disant que le système est inadéquat. Il n’est pas de système qui vaille, il n’y a que les individus qui le font fonctionner.

Soyez donc conscients que les autres ne sont pas meilleurs que nous et que nous ne sommes pas meilleurs que les autres. N’arriverons-nous jamais à quelque chose comme un peuple si on ne fait que de se plaindre de l’autre. Éveillons nous à ce fait et agissons pour nous améliorer nous mêmes.

Bertrand (@BDmoi)

N’en ai-je que pour parler du pouvoir des gens et de la puissance humaine.

Bien des personnes sont concentrées sur la vision à court terme de la vie. Elles ne prévoient pas et gèrent leur vie, affligées d’une myopie extrême. Socialement ou individuellement, n’en avons nous que pour le passé récent et ses problèmes passés.

J’écris beaucoup pour essayer de faire réaliser aux gens la grande force de l’imagination et le grand pouvoir de sa mobilité. Il y a tant d’opportunités qui existent autour de nous. Mais en n’ayant à l’esprit que les problèmes du présent on ne voit pas ces opportunités. Je ne suis pas un chantre de “vas-y t’es capable” mais bien un promoteur de dosage d’énergie qui passe par une imagination sollicitée de temps en temps et aussi bouger notre masse musculaire pour changer un peu le passé. Oui on peut changer le passé, dans le présent, en se projetant dans un futur différent.

Tout n’est que question de dosage de temps. La plupart des problèmes ne se résolvent pas complètement et immédiatement. La peur qu’ils se reproduisent occupe une grande partie de nos pensées. En éludant cette peur, en se projetant après la solution du problème, on libère notre pensée pour imaginer des contrées non explorées qui sont à notre portée.

Encore faut-il bouger sa carcasse pour que l’Imagination puisse être mise en réalité. En exemple, citons le fameux mode d’élection au Québec et au Canada. Nous parlons du problème de représentation des citoyens depuis des lustres. Le système électoral est dépassé. Il faut une plus grande représentation d’une plus grande partie des citoyens qui eux ont évolué. Le monde s’est complexifié et on n’a plus des institutions qui sont soumises à la volonté du peuple.

Il est maintenant temps de faire quelque chose. Quoi? Tant de possibilités s’offrent à nous. Il y en a tant que l’on ne fais que maugréer sur le système actuel. Personnellement je suis pour la disparition des partis politiques et des chefs de partis. Ça personnalise les débats et polarise la diversité de pensées. Une collégialité de talents, représentant les différentes couches de la société, serait d’après moi plus profitable à la démocratie.

On n’y arrivera pas d’un coup, mais une succession de pas peut nous y amener. Le premier pas serait d’avoir des coalitions pour pouvoir gouverner. Des représentations proportionnelles, selon le résultat populaire et non selon le nombre de comtés, serait un point de départ. Le mouvement pour une démocratie nouvelle est parti. Allons nous bouger pour le faire devenir un début de nouvelle réalité?

Encore faudrait-il essayer d’envisager les possibilités offertes par le changement. Mais ce ne sont pas les politiciens élus du système actuel qui nous y conduirons si on ne les pousse pas.

Bertrand (@BDmoi)

Qu’est-ce qu’une norme?

Qu’est-ce qu’une norme? Un idéal, une marque à ne jamais dépasser, une marque moyenne… Tout dépend-il de ce que l’On établit comme norme. Ici bien des gens pensent limite quand on utilise le mot norme. Mais une norme n’est qu’une norme. Il peut s’agir d’un environnement normal (habituel), minimal, maximal, permis (au delà duquel il faut une autorisation spéciale) … Il y a toutes sortes de normes, fixées par toutes sortes d’organismes pour toutes sortes de raisons.

Pourquoi y a-t-il tant de normes? Notre monde industrialisé a un immense besoin de normes fixes de production et d’utilisation. Le cas le plus simple de compréhension est l’électricité. Il faut choisir, arbitrairement, un standard pour utiliser l’électricité à grand volume. Que ce soit un séchoir à cheveux ou une automobile électrique il faut un standard à partir duquel la production de masse est possible et praticable. Il existe plusieurs normes selon les besoins, que ce soit pour la production, le transport ou la distribution avant l’utilisation finale il y a différentes normes. Mais ça c’est pour l’électricité.

Les normes ne sont pas toutes une question de vie ou de mort. De fait, dans l’innombrable quantité de normes existantes, très peu le sont. Mais les gens les traitent en absolu. Mais la plupart des normes sont des moyennes qu’il faut nuancer. Pour reprendre l’exemple de l’électricité, le voltage d’utilisation de base est de 120 volts mais il varie de fait et de fait le système est un système de 240 volts. Aussi faut-il être prudent quand on utilise le mot norme. Le voltage réel (nominal) à un moment donné n’est pas 120 volts il peut , et il varie, d’un instant à l’autre. Aussi y a-t-il le concept de tolérance, écart entre le minimum et le maximum acceptable pour l’utilisation sécuritaire ou fonctionnelle.

Donc retenons nos humeurs et discutons de la norme et de la marge de tolérance que l’on doit y affecter. Rien n’est absolu dans ce monde. Tout est variable. Rien n’est continu en ce monde, tout fluctue d’un moment à l’autre. Aussi, pour être continuellement heureux, il faut établir une bonne zone de tolérance. Pour cela faut-il être capable de nuancer les choses et ne rien prendre en absolu.

Et si …

Et si les gens ne jugeaient pas sur les apparences, peut-être pourrions-nous être nous? Mais les apparences sont tellement rendues normées que personne ne fait l’image de l’idéal prêché par des déconnectés de la réalité.

Et si on disait ce qu’on pense, directement, sans avoir à dire ce qu’on pense que l’autre pense qu’on devrait dire? Peut-être y aurait-il plus d’interactions entre les gens?

Et si les politiciens étaient payés, non pas sur le nombre d’électeurs, mais , sur les services rendus à la communauté?

Et si il n’était pas toujours quelqu’un pour dire ce qu’on veut qu’il dise, les journalistes auraient-ils tant de choses à dire qui ne sont confirmées que par des allégations de personnes que l’On ne peut nommer?

Et si toute personne est innocente tant qu’elle n’est pas jugée coupable? NON!!! Dans la réalité? Toute personne est déclarée coupable sur les allégations d’une personne, tant qu’elle n’est pas jugée innocente, et encore…

Et si on mettait un député de chaque parti dans le même bureau au parlement? Est-ce que ça améliorerait la coopération?

Et si on cessait de répondre aux sondages? Les politiciens sauraient-ils quoi dire?

Et si vous étiez libres d’ajouter ce que vous voulez, ce serait quoi?

Bertrand (@BDmoi)

Communication en PRÉ et en campagne électorale.

Il faut normaliser les communications permises sous l’égide des partis électoraux. Les campagnes publicitaires des partis n’Ont pas lieu d’être, d’après moi. Informer les électeurs sur le programme devrait être l’essentiel des communications avec la présentation des candidats. Ça demande moins de débats et plus d’Information. Les partis politiques ne sont pas des produits que l’on peut acheter et retourner si non satisfaits. Aussi doivent-ils RENSEIGNER les citoyens sur les pour et les contre de leur programme et du choix qu’Ils offrent aux électeurs.

Pour commencer les montants alloués aux différentes communication de masse, incluant les réseaux sociaux, doivent être normés et comptabilisés. La folie qui a lieu actuellement en période pré électorale doit cesser.

De plus l’utilisation de témoignages de gens sur ci ou sur ça doit être remplacée par celle de faits réels et avérés. Pas de salade vendue par une dame payée 250$ ou 500$. Faire des élections sur le passé n’amène pas un futur radieux mais empêche de discuter sur ce qui va arriver ou ce que l’On veut qu’il arrive.

Je lance une idée qui n’a carrément pas d’allure mais je la lance pareil. Tous les argents recueillis par les partis politiques devraient aller dans un fonds tenu par le directeur général des élections. Le directeur devrait autoriser les dépenses des partis sur une base trimestrielle pour les dépenses ordinaires mais chaque publication payée devrait avoir été préautorisée par le directeur.

Ça n’arrivera jamais mais c’est quand même une possibilité si on était vraiment sérieux.

Bertrand (@BDmoi)