Fracture sociale?

Il y a fractionnement de la société, c’est une réalité visible. Mais pourquoi?

Plus rien n’a de sens. Les mots n’ont plus de rapport avec leur signification. On réinvente les mots pour cacher la réalité. On utilise les mots pour dénaturer la Nature. C’est une des étapes démontrée dans 1984 de Orwell. Quels mots sont dénaturés ainsi, il y en a une multitude dont: transparence, cohérence, gouvernement, société, démocratie, citoyen, peuple… Les nouveaux mots sont: contribuables, tolérance, diversité, équité et équanimité, multiculturalisme et bien d’autres.

Ce n’est pas la faute des gouvernements. C’est notre faute à chacun de nous. Une personne qui ne voit pas est un aveugle, pas un non-voyant, aveugle a toujours existé et expliqué ce qui est. Mais non-voyant ne fait que profiter aux fonctionnaires de réécrire les choses qui ont déjà été dites et qui n’évoluent pas. Pourquoi? Parce qu’on passe temps, argent et énergie à refaire le constat plutôt que de s’attaquer au problème ou solutionner les problèmes que la cause principale amène.

Personne ne veut plus travailler, pour rien. On n’arrête pas de parler d’argent et de valeur ajoutée. Tout est question de foutus dollars. Le bénévolat se meurt d’inanition due au manque de bénévoles.

Il n’y a pas de fracture sociale quand il n’y a plus de société qui tienne. Un ancien président des USA a dit: “ne vous demandez pas ce que le pays peut faire pour vous mais demandez vous ce que vous pouvez faire pour le pays”. Remplacez “pays” par “société” et ça s’applique parfaitement à 2022. Partout dans le monde? Je ne sais pas. Mais au Québec c’est criant.

Un aidant naturel n’est qu’une personne aimante s’occupant de la personne qu’elle aime. Qu’on les aide? J’en suis. Mais personne ne leur a demandé de le faire. Vouloir être reconnu? À qui appartient il de reconnaître ce qu’on fait si ce n’est qu’à nous de nous reconnaître.

Certains ont l’ambition d’un pays. Pourquoi? Quand nous aurons une société qui se tient, nous aurons une nation, et alors, mais alors seulement, pourrons-nous revendiquer un pays. Beaucoup ne cessent de réclamer de la société. Il faudra bien qu’un jour la société existe et ne soit pas un agrégat d’individus occupant un même territoire? C’est la grâce que je souhaite à mes enfants et mes petits enfants. Mais, ai-je peu d’espoir.

Bertrand @BDmoi)

Cassure?

Est-il un foutu moment où, conscient qu’il y a eu un passé dégradant, mais passé, on se tourne vers un futur radieux qui inspire. La seule chose qui peut unir jeunes et vieux, hommes et femmes est le rêve d’une égalité partagée. Pour ça il doit y avoir cassure de chacun.

Pour ça faut-il laisser tomber les groupements qui ne cherchent qu’à promouvoir un aspect, d’un groupe homogène de personnes, face à une problématique unique. Que ce soient les partis politiques qui divisent parce que veulent l’exclusivité, le syndicats qui veulent grossir la masse salariale sur laquelle ils sont rémunérés, les ordres professionnels qui ont la balance du pouvoir sur leur membres… Il doit y avoir une cassure. Mais… elle n’arrivera pas. Pourquoi? Parce que chacun pense à son petit soi et tire avantage de quelque groupe dont il ne veut pas se séparer. N’y aura-t-il cassure que lorsqu’un nombre suffisant de structures et d’institutions auront sombrées.

Mais ça c’est la conséquence de devenir des citoyens autonomes conscients de l’immense pouvoir qu’ils détiennent si ils se parlent et ne s’Invectivent pas. Mais où peut-on le faire? Nulle Part c’est ça le drame. Les places pour se parler foisonnent. Les moments pour y arriver sont nombreux. Pourquoi n’en profitons-nous pas?

La communication bouffe est maintenant en vigueur. On consomme de la communication comme des Big Macs chez McDo, On bouffe vite pour remplir un trou mais on digère tout croche. Mais c’est ça l’état de la communication de masse. On ne se donne pas le temps ni l’Énergie de réfléchir et d’échanger. Ceux qui le font passent pour des hurluberlus. Encore plus passent-ils pour des parvenus qui ont la science infuse. Alors que bien souvent, ils ne veulent qu’engager la conversation.

On a failli être un grand peuple, mais sommes nous un grand peuple passé date parce que les citoyens ont abandonné d’être des citoyens et sont devenus des machines à élire les exécutifs des groupes qui les manipulent à hue et à dia.

Bertrand (@BDmoi)

Confondre idéal et positivité?

Bien des gens se considèrent positifs alors qu’ils sont franchement idéalistes. Viser mieux est bien. Viser l’idéal de façon réaliste c’est bien. Y a-t-il cependant des gens pour qui est-ce l’idéal ou rien. Faut-il se surprendre qu’ils ne font que se plaindre de ce que rien ne change? L’idéal ne fait que nous faire voir les obstacles.

Dernièrement, il y a eu une invention fantastique en automobile: les freins antiblocages. Encore faut-il savoir qu’ils ne permettent pas d’arrêter plus vite, bien au contraire. Mais les gens continuent sur leur vieille habitude de se crisper sur le volant et appuyer à fond sur la pédale de frein en visant l’obstacle. Ces freins permettent de garder le contrôle de la direction du véhicule afin de contourner l’obstacle.

Sommes-nous équipés du même système dans notre cerveau mais, avons nous le même comportement dans nos actions de tous les jours. Plutôt que de détourner les yeux de l’obstacle (l’idéal) et chercher une opportunité pour le contourner et parvenir à passer l’Obstacle, on se crispe dans nos idées et on ne voit pas la multitude de possibilités par où il est possible de s’améliorer.

D’après moi, être positif, ce n’est pas ces maximes si bien dites que l’On voit passer sur les réseaux sociaux ou qu’on assène aux gens déprimés. Être positif c’est tout d’abord écouter la personne, bien important, réfléchir sur ce qu’elle a dit (tout croche) et en saisir la substance. Ensuite peut-on essayer de trouver des voies POSSIBLES de sortie de la situation. Ne jamais, mais jamais, soumettre des dictons idéalistes genre: tout vient à point à qui sait attendre. Ces dictons ne forcent que l’immobilité. Il faut donc s’asseoir à côté de la personne et essayer de VOIR des opportunités qui s’offrent à elle en attendant. L’inaction fait perdurer l’état de dépression. L’action, même si ce n’est que rechercher des opportunités, a 2 effets: le temps passe, la dépression diminue. Le cerveau occupé cesse de se désespérer.

Les maximes idéalistes sont très belles et bien dites. Mais amènent elles plus de désolation et d’inaction qu’autre chose.

Bertrand (@BDmoi)

Être moi? Vraiment moi?

Est-il possible d’être soi, vraiment soi au Québec? Il est admis que nous vivons en société. Mais faire en sorte que la plus petite partie dicte à la société ce qu’elle a droit est plus que présomptueux. La moindre complainte d’une personne suffit à ce que tous soient privés de leur liberté d’action. J’ai publié un article, hier: https://bdmoi.mdugre.info/la-deconfiture-du-quebec-commence-par/ et j’apporte maintenant des exemples concrets.

Forcer le vivre ensemble pour dire que tous doivent reconnaître à chacun sa propre originalité est absolument une hérésie. Chacun a droit à son originalité, c’est vrai. Mais la société des individus a-t-elle l’Obligation de la reconnaître? On ne peut reconnaître ce qu’on ne connaît pas. Connaît-on tout? Personne ne connaît tout. Quant à reconnaître la complexité de chaque humain, il y a tout un univers à contempler et on n’a pas de satellite Webb personnel. L’absolutisme absolument démentiel qui ronge les institutions font que la vie libre est impossible.

La liberté c’est pouvoir choisir. Choisir c’est prendre un risque. Prendre un risque c’est assumer les conséquences de ses gestes. Je suis entièrement d’accord. Mais refuser qu’un individu fasse quelque chose parce qu’un autre est offusqué. La cause de cet état de fait c’est d’être gonflé à l’hélium. Le supposé, sacro-saint dictat de la séparation de l’église et de l’état ne sera vrai que lorsque chacun sera responsable de ses choix. En société il est des règles pour le comportement des gens en société. Porter le hijab ou le turban ou le canif ou la kipa ou la croix ou tout autre signe distinctif de ses croyances est un droit individuel. Le mot clé est individuel. Dans sa vie privée. Mais pour ce qui est de l’État c’est une autre chose. L’infatuation personnelle de montrer sa croyance dans la période où l’On représente l’État est un problème majeur. Quand une société gouvernementale ou un organisme se sert de symboles religieux ou autres, dans sa publicité à la société? Une image vaut peut-être mille mots mais elle ne représente pas les même maux pour chacun. Il faut dire les choses comme elles sont. Notre société est basée sur les apparences. Aussi faut-il soigner celles que l’on met de l’avant pour illustrer notre propos.

Bertrand (@BDmoi)

La déconfiture du Québec commence par…

La déconfiture du Québec commence par la réalité impossible voulue par l’ensemble des québécois, à ce qu’il paraît: “Chaque québécois a droit au même service à la grandeur du Québec”. Ce mantra répété par le gouvernement et repris par les médias et tous les politiciens est impossible à réaliser.

Quelle est la juste mesure? Entre l’absolu adaptation à la situation de chacun et la centralisation outrancière où personne ne reçoit de service à moins que tous y aient accès?

Assumer ses choix est la voie à prendre. Mais les politiciens et les médias contrôlés de Montréal, où vit 40% de la population du Québec, est une grosse source du problème. Montréal se vide du à l’impossibilité d’y vivre raisonnablement. Le travail à la maison à fait réaliser que la ville avait beaucoup d’inconvénients pour bien des gens qui préfèrent demeurer à l’extérieur.

Le problème au Québec, selon moi bien entendu, provient que le WEST ISLAND prend trop de place à Montréal, que Montréal prend trop de place au Québec et que le coup d’oeil que l’On reçoit du Québec est absolument égocentriste et ne correspond pas à ce que l’ensemble des Québécois, qu’ils soient de la ville ou ailleurs, pensent.

Il faut absolument moduler nos institutions et nos gouvernements aux désirs réels de la population et des possibilités d’y arriver. Actuellement il y a une terrible dichotomie entre les deux.

Il faut donc décentraliser et rendre proche des désirs réels des citoyens et se détacher du principe absolu que chaque citoyen a droit au même service où qu’Il soit sur le territoire.

Il va sans dire que l’adaptation régionale fera que les services spécialisés seront en ville, c’est déjà le cas, et que les services de base seront adaptés aux besoins de la population locale. Mettre du réalisme dans les soins de santé? Ça passe par un décentralisation des objectifs?

Bertrand (@BDmoi)

AIDA ça mange quoi en hiver?

AIDA est un acronyme utilisé dans le monde du Marketing. A pour attention, I pour intérêt, D pour désir et A pour action.

Attirer l’ATTENTION, pour éveiller l’INTÉRÊT et susciter le DÉSIR de passer à l’ACTION.

C’est le mantra des publicitaires. Tout commence par attirer l’attention. Tous les moyens sont bons beauté, horreur, sentiment léger ou fort, bref, tout ce qui attire l’Oeil ou l’Oreille ou les deux c’est mieux. Attirer l’attention tout passe d’abord par là. Êtes-vous tanné d’une pub? On va vous la passer deux fois plus. êtes-vous agressé d’une pub? Tant mieux. La fatigue et l’agression marche mieux que l’attirance et le cajolement.

On essaie d’attirer votre attention sur ce qui vous intéresse ou vous répulse. Dépendant de l’objectif de la pub on veut éveiller un intérêt latent ou vous faire repousser un point qui vous tracasse.

Ensuite on veut faire gonfler votre désir pour vous motiver à passer à l’action.

Tout ça pour vous dire, qu’à l’approche des élections tous les partis vont vous en mettre plein la vue et plein les oreilles. Propagande? Publicité? Du pareil au même. C’est de la communication de persuasion.

Le processus indécent d’une CAQ surfinancée qui nous passe tous les messages avant la période électorale, on ne peut rien faire. Le DGE a besoin d’Une loi pour agir. On nous avait promis de revoir le processus électoral. On nous en refera la promesse? Probablement! Mais, en auront-ils profité avant.

Bertrand @BDmoi)

Un candidat doit-il représenter ses concitoyens ou ses propres valeurs?

Quelle terrible question. On dit que plusieurs candidats sont des visages à deux faces. Il n’y a rien de plus faux. Ils ont de multiples visages, plus d’une dizaine, mais on n’en voit pas sur les pancartes électorales. Ils ont tous le meilleur air honnête qu’ils peuvent présenter. Certains y réussissent mieux que d’autres.

Le visage qu’ils affichent dépend beaucoup de la lumière qui les projettent. Semblent-ils réfléchir à la lumière ou la lumière les fait elle réfléchir? Pour beaucoup il n’y a pas de son ni de lumière personnelle. C’est la face de boeuf et la langue de bois.

Une société individualiste ne peut produire des individus qui représentent une société qui n’existe pas. Les politiciens ont toujours raison de dire n’importe quoi. Il y en aura toujours un certain nombre pour les approuver et un autre pour les critiquer. Les critiquer sera toujours plus nombreux en fonction de la prise de position du politicien. Aucune position n’est unificatrice dans une société absolument disparate. LA SOLUTION à n’importe quel problème n’existe pas sur cette Terre. Existe-t-elle encore moins dans une société absolument gavée de facilité où l’On imagine que le bouton à quatre trous ayant été trouvé il n’Y a plus rien à découvrir.

Peut-être faudrait-il inventer la démocratie qui fera avancer la civilisation dans le troisième millénaire? La définition de la démocratie existe mais chacun de citoyens ne la connaît pas. Le pire c’est que chacun utilise le mot mais ne l’applique pas. La souveraineté appartient au peuple mais le peuple n’existe pas. Là, peut-être, faudrait-il commencer à évoluer, le reste venant avec. Tant de mots différents existent pour identifier différentes nuances de différents agrégats d’humain. Mais aucun ne dit-il plus que peuple. Ce qui n’existe pas dans la présente civilisation. Nous sommes 8 000 000 000 sur la Terre. Pour combien de temps encore?

Bertrand (@BDmoi)

Entretenir l’espoir?

Entretenir l’espoir c’est agir autour de soi. Agir comme on croit les autres capables de suivre, si ils s’éveillaient. Y a-t-il plusieurs partis à cette affirmation. Nous et les autres. Les autres n’existent qu’un par un. Ils sont dans un état de sommeil qui est le leur. Et nous, notre croyance est très volatile. Certains croient plus qu’ils n’observent. Aussi n’est-ce pas simple.

Il y a une différence majeure entre espoir et optimisme réaliste. Il faut à tout prix se guérir de l’idée que l’on ne peut discuter que de ce qui va mal. C’est l’horrible réalité de ce que l’On est admis de parler sans être rabaissé par les incultes.

Je suis fait fort et suis-je très réaliste. Me faire rabrouer en public ne m’affecte vraiment pas. Mais j’ai souvent l’Impression que les gens m’approuvent en silence. Quand je dis que les choses ne sont pas SI pire que les négatifs le disent, les gens autour semblent relativiser face à leur situation personnelle. Il est certain que plusieurs ont des situations difficiles. Mais ils sont en vie. Et, pour la plupart, la vie n’est si pire que parce que l’On ne fait que voir et parler de ce qui ne va pas.

Le seul moyen d’entretenir l’espoir est de parler autour de nous. N’y a-t-il que les irréductibles du cellulaire pour ne pas influencer. Alors prenons le temps d’être ouvert aux autres et discuter avec nuances réalistes de notre réalité, celle autour de nous. Le MOnde ne s’en porterait que mieux.

Bertrand (@BDmoi)

Les gens me font-ils rire ou pleurer?

Dire à qui veut bien l’entendre que l’erreur est humaine. Les entendre dire qu’un PM qui est content, qu’une menace réelle pour les gens soit éliminée, soit une ignominie. On ne peut contenter tout le monde c’est certain. Comment penser qu’une société qui a élu à 34% un gouvernement majoritaire peut être rayonnante de bonheur quand 66% des gens n’ont pas voté pour ce gouvernement?

Peu importe le système il y a toujours quelqu’un pour redire. C’est évident et certain. Aimer un PM parce qu’il est humain et lui reprocher ses erreurs de langage? C’est normal mais que l’on passe plusieurs jours sur une déclaration qui dit ce qu’il pense mais pas tout ce qu’Il pense? Dans notre infâme monde où l’On ne retient que 4 secondes et qu’on harcèle les gens pour qu’ils parlent honnêtement mais que l’On détruit aussitôt qu’ils le font, on s’étonne que l’on nous serve la cassette et la langue de bois.

Les gens ne parlent que de l’idéal, et veulent, que dis-je, exigent la perfection en tout temps. Le pire n’est-il que, pour faire de l’argent, les médias participent à cette orgie de négativisme et s’insurgent ensuite de l’état de la santé mentale de la population.

C’est drôle, tellement drôle que j’en pleure. L’imbécilité évidente de notre société invivable m’a pourri la vie pendant 15 ans. On ose se demander pourquoi les jeunes détèlent de la société et se réfugient dans le virtuel et ont de la difficulté à se satisfaire du réel? La drogue? J’en prends 6 comprimés par jour sous la direction de mon pusher légal. J’ai essayé une quarantaine de produits pour essayer de vouloir vivre. Ensemble, mon psy et moi, avons trouvé la recette depuis 10 ans. Mais il est d’accord avec moi et mes textes.

Définitivement, il y a lieu de se questionner. Pas à savoir si on doit rire ou pleurer mais bien sur notre état de santé mentale. Soutenir abondamment des médias propagandistes, de haine et d’insanités, de la part des gouvernements ne sert que l’intérêt de ceux-ci, les gouvernements. 1984? Essayez 2022 c’est encore bien plus effrayant.

Bertrand (@BDmoi)

Un chef des tas?

Un chef des tas? Est-ce vraiment ce que nous voulons? Une personne qui va moduler sa pensée au gré des communicateurs qui justifient leurs émoluments à la réaction de ce que certains n’aiment pas de ce qu’On a dit ou de ce qu’on pense, ou de la façon qu’on l’a dit ou encore de la forme de l’Œuf que l’on a mangé le matin?

Ce qui m’horripile le plus dans toute cette mascarade c’est qu’on élude le propos pour n’en retenir le fait que quelqu’un ne l’aime pas. Personnellement, je l’avoue, je suis heureux que l’homme ait été retiré de la circulation. Peut-être pas du procédé, du résultat ou de l’injustice de toute la situation dans la réalité qui n’est pas idéale. Mais, un fait demeure, il a tué aléatoirement 3 personnes.

Écouter les pleurnichards qui disent que ça ne doit plus jamais arriver, que le gouvernement est responsable des actes de 8 500 000 personnes me soulève le coeur tellement c’est idiot. Quand on n’est même pas capable de former une société et que l’On écoute tous les multiples sous-groupes qui tirent à hue et à dia?

Un médium qui fasse une synthèse de toutes les positions est impossible. Comment un homme pourrait-il être un homme d’état? Dans un état, y a-t-il un certain homme qui puisse répondre aux aspirations d’une certaine majorité d’individus. Là où il existe un minimum de cohérence.

J’ai écrit cette semaine: https://bdmoi.mdugre.info/est-ce-nous-ou-est-ce-les-medias/ et je crois maintenant que j’ai ma réponse personnelle. Collectivement, ayant perdus nos valeurs communes, et surtout l’usage raisonné de la langue, sommes nous tellement incohérents socialement que nous sommes ingouvernables. Voilà donc la raison qui justifie qu’une majorité de gens sont prêts à réélire un gouvernement qui, d’après eux, a fait ce qu’il est humainement possible de faire dans une société tordue et revendicatrice de tout où nous sommes actuellement rendus malgré qu’il y ait un taux d’Insatisfaction de 40% mais n’est-ce que l’inverse du taux de satisfaction.

Bertrand (@BDmoi)