Vivre des apparences.

Bien des gens vivent des apparences. Est-ce une explication de ce que bien du monde pense que le monde tourne mal? Oh la la ! J’ai écrit ceci il y a quelque temps: https://bdmoi.mdugre.info/nier-quoi-que-ce-soit-est-vain/ et je pense toujours que c’est juste.

Le système d’éducation actuel faillit à ses devoirs et au défi de produire des citoyens équilibrés et équipés d’un solide gros bon sens. J’en ai la profonde expérience. Le but d’un système d’éducation est de permettre un usage nuancé de la langue et un usage précis des mathématiques. Tout le reste n’est-il que croyances que l’on balance dans l’univers des enfants. Il n’y a pas à dire, nous sommes dus pour une profonde réévaluation de ce qu’on enseigne et de comment on l’enseigne. Dépense-t-on une fortune pour où l’On enseigne mais pas pour l’essentiel de l’enseignement. Il faudrait dépenser beaucoup beaucoup moins d’argent et beaucoup beaucoup plus d’imagination et de salive pour changer cet état de fait.

Parler pour parler est populaire. Réfléchir avant de parler ne l’est pas. Parler contre les réseaux sociaux est une gloire de certains chroniqueurs. Mais n’est-ce que leur vue d’un monde qui leur est personnel. Ceux-ci ne voient que le résultat de ce qu’Ils projettent dans l’ensemble de leurs publications dans l’ensemble de la population. Considérant les approbations comme normales, ne voient-ils que les récriminations de CERTAINS (dont un paquet d’olibrius) que comme une dégradation de la profondeur de leur pensée à eux. C’en serait presque risible si ce n’était de l’effet dévastateur qu’ils ont sur ceux qui ne savent ce qu’Ils manquent, n’étant pas sur les réseaux sociaux.

Les réseaux sociaux sont un outil formidable qui nous renseigne sur l’état du monde autour de nous. Comparer ce qu’on voit passer de gens (une minorité) qui sont sur les réseaux sociaux avec les gens que l’On côtoie dans la vraie vie, est un exercice salutaire. Ainsi comprend-on qu’il faut douter de presque toutes les communications émises dans les télécommunications. N’est-ce qu’un énorme bruit ambiant qui nuit autant au bien-vivre qu’à la sérénité de l’existence.

Alors faites votre expérience propre et balayez donc un ensemble de croyances que l’on vous a instillées. Faire un grand ménage de biens des croyances libère l’esprit et l’âme. Ce n’est pas une question d’argent mais une saine question d’utilisation de ses facultés et de son temps.

Tant qu’on vit on a du temps.

Bertrand (@BDmoi)

le penser ou le dire

  • J’ai dit ce que je pensais
  • N’était-ce qu’un souhait
  • Loto Québec est imparfait
  • Tout le monde le sait
  • Je l’ai dit à la radio
  • on m’a pris pour un idiot
  • J’ai réalisé que je m’étais fait avoir
  • par le jeu sans le savoir
  • J’ai acheté en une semaine
  • 10 billets de tirage folie inhumaine
  • Car je sais très bien
  • que la quantité n’est rien
  • Faut-il un seul billet
  • pour gagner l’effet
  • Blâmer l’individu qui tombe dans l’excès
  • S’est révélé être parfait
  • Parler de l’extrême sans le dosage
  • Est comme le nez dans le visage
  • C’est une évidence
  • dont il faut prendre conscience
  • TRouver ridicule que je m’inquiète
  • pour une dizaine de tickets
  • N’a pas la faveur de l’animateur
  • parce que ce n’est pas provocateur.

SE laisser porter par la musique des mots.

Il est stupéfiant de voir combien de gens se laissent porter par la musique des mots et laissent passer le sens précis de ceux-ci. Plein de sentiments se produisent sous l’Influence des mots. Une expérience à la radio m’en a fait me rendre compte.

J’ai fait une déclaration contre Loto-Québec. L’animateur a démonisé mon intervention mais s’est tourné de bord pour ériger le sujet libre en sujet de dépendance au jeu et aux autres possibilités comme l’alcool, le sexe ou la cigarette.

Mettre l’accent sur le fait que Loto-Québec harcèle les gens avec de la publicité et toute l’optimisation possible des techniques de marketing est déplorable, selon l’animateur. Mais faire brailler le monde sur le fait de la décrépitude humaine est un bon sujet de radio. Mettre le blâme sur la personne qui souffre est populaire. Mais parler et souligner le coupable ne l’est pas.

Entendre que les autres sont faibles nous fait nous sentir meilleur. L’animateur de radio est un sépulcre blanchi car il essaie de tirer profit d’Un sujet plutôt que d’écouter ce qui est le problème et de permettre aux gens de taper sur le véritable coupable. Loto-Québec a la possibilité d’OFFRIR la loterie. Je lui reconnais que c’est une chose louable pour le gouvernement. Mais, en aucun temps est-ce que j’excuse ce même gouvernement de profiter de la faiblesse de certains citoyens.

IL faut se le dire mais, ce n’est pas populaire. Parler de raison et de dosage n’est pas un sujet qui porte les gens à parler. Parler contre les autres ou pour brailler sur son sort est très populaire. Aussi jouons des mots et non avec les mots. Les télécommunications nuisent aux communications. L’omniprésence des médias est un problème plus grave encore que celui de Loto-Québec. Mais, ce n’est pas populaire de le dire. L’animateur ne veut pas parler tout seul mais il s’écoute beaucoup :-)))

Bertrand (@BDmoi)

Qu’est-ce que le spasme de vivre.

Pour beaucoup vivre est mouvement. N’est-ce qu’un spasme. La vie est beaucoup plus que mouvement., si on est humain. L’existence est le propre des animaux, la conscience de vivre est le propre de l’humain. Bien des gens ont plus d’animal que d’humain. Se contentent-ils d’exister, tout simplement. L’humain est doté de deux éléments absolument fantastiques qui n’ont de moyens de s’exprimer autres que les mots.

L’imagination et l’intelligence, qu’On ne peut définir positivement et adéquatement, et encore moins mesurer, font la différence entre vivre et exister. Souvent, devant une évidence, nous exclamons-nous béatement comment se fait-il qu’on ne l’ait pas vu avant. La réalité est tellement vaste que 8 milliards d’humain ne peuvent la cerner complètement. N’est-ce que par l’Intelligence et l’imagination qu’On arrive à en extirper quelques secrets, pourtant bien évident quand on les a identifiés.

La vie, d’après moi, c’est ça: extirper les secrets de la réalité pour satisfaire nos besoins. Les besoins sont simples à définir mais ce qu’ils exigent pour être satisfaits est à la fois d’une simplicité désarmante et d’une complexité inhumaine. Faut-il beaucoup d’intelligence pour se connaître et identifier nos besoins et beaucoup d’imagination pour ramener les solutions à des proportions raisonnables.

J’ai mis beaucoup d’années et je crois y être arrivé pour moi. Ça fait une dizaine d’années que je suis bien et que je vis dans l’abondance de la satisfaction de mes besoins qui sont, somme toute, assez peu nombreux. Je ne sais pourquoi mais, il est plus admissible, dans notre société, de parler des problèmes que des causes de ces mêmes problèmes. Parler des causes amène des éléments de solution qui ne peuvent régler un à un les embûches. Mais tous les éléments de solution ont un point en commun. Ils exigent un changement d’habitude et un effort de réflexion. La réflexion est un mélange d’intelligence et d’imagination. Est-ce pourquoi c’est si peu répandu? Je ne sais pas et cela demeurera un secret que je ne peux percer.

Bertrand (@BDmoi)

Bisounours? Savez vous ce qu’est un bisounours?

Un bisounours vous dites?

C’est quoi un monde de Bisounours ?

“On ne vit pas dans le monde des Bisounours”. Cette expression utilisée à tort et à travers par les personnages publics signifie que l’on ne vit pas dans un monde idéal. La formule fait désormais partie du langage courant.16 févr. 2013

Je vis une vie de Bisounours dans un monde imparfait. Essayer d’améliorer le monde autour de moi est mon objectif. Suis-je atypique? Je vous le concède. Mais je suis moi et je suis bien. Et si on parlait un peu de vous? Les lucides?

Vous pourrissez un monde qui ne demande qu’à changer. Pour le pire, selon vous. Tout comme une maison se bâtit en commençant par la fondation il faut modifier la base. La culture de la guerre et de la confrontation est la base actuelle de la culture. On transmet aux enfants la haine et la détestation de la différence. Produit-on des hordes d’asociaux.

Un monde meilleur est non seulement possible mais, facilement réalisable. Il est plus facile de se taire et ne rien faire que de montrer sa haine et parler contre les autres. Les enfants apprennent par l’exemple. Aussi faut-il diminuer les exemples de frustration personnelle et d’exécutoires futiles et dommageables.

Bisounours, vous dites? Et fier de l’être, je vous réponds.

Bertrand (@BDmoi)

Ma parole vaut de l’Or en barre.

Je vais vous conter un fait vécu. Il vaut 25$. Je mets la table:

  • une dizaine de personnes sont assises autour de la table
  • on discute d’une réunion d’une centaine de personnes pour un événement festif
  • Le repas est fourni gratuitement(gracieusement) par un organisme
  • Quelqu’un suggère qu’il devrait y avoir de la musique et que ça coûterait 450$
  • La discussion tourne autour du fait que nous devrions demander de 4 à 5$ par personne pour la musique.
  • Certains objectent (avec raison) que l’on a annoncé que le repas serait gratuit.
  • Une longue discussion s’ensuit.

Pour faire court j’ai pris la parole et j’ai dit que l’on devrait exiger 5$ par personne. Et dire à tout le monde qui est invité que le coût total de l’activité est de 5$. Tollé de protestation on a dit que le repas était gratuit. Encore discussion. Y aura-t-il 90 participants? Y en aura-t-il 110? Oh là à quelle incertitude. J’ai dit que si il n’y avait pas 90 personnes, je paierais la différence pour combler le coût du musicien.

Le problème? Il n’y en a pas. Ça va me coûter 25$ pour combler le fait que 110 personnes se sont inscrites et seulement 85 se sont présentées. Ouais pis? ça me coûte 25$ pour respecter ma parole. Je m’en fous éperdument. Les gens se battent pour des principes ridicules. Ma parole est de l’or en barre. Des gens se posent des questions à savoir si je vais respecter ma parole.

Ma conclusion? Je ne me fierai pas à la parole de ceux qui doutent de la mienne. Les mots représentent des concepts. Mais les gens ne font pas le lien. C’est malheureux. Les principes sont des mots. Des millions de personnes sont mortes pour des principes. Mais on n’apprend pas. Les mots ne tuent pas. La stupidité des gens qui utilisent des mots tue. Plus ils montent dans la hiérarchie plus ils devraient être conscient du poids des mots. Mais c’est plutôt l’inverse qui se produit. Plus ils montent plus ils jouent avec les mots pour laisser entendre ce que les gens veulent entendre. Mais font-ils à leur propre entendement et utilisent d’autres mots pour vous faire croire que c’est vous qui avez mal compris leur parole. Cas classique.

Pendant ce temps des gens meurent seuls, des enfants se font engueuler vertement par leur prof, des élus pleurent leur vie…

Bertrand (@BDmoi)

Du rôle d’un gouvernement.

Du rôle d’un gouvernement dans une démocratie réelle et représentative. Dans un monde où l’Offre et la demande sont supposées régner et où la démocratie existe pour la réalité, on doit baliser le rôle des gouvernements démocratiques. Il est évident que les représentants des citoyens, au gouvernement, doivent être élus démocratiquement. Mais pour quel but et sous quelle légitimité?

Il faut se le dire, le système actuel ne répond pas à ces critères. Les partis politiques prennent toute la place des mérites et des blâmes. C’est une aberration d’un système désuet. Désuet parce que la société a changé, elle n’est plus soumise à la pression sociale à la conformité, imposée par la rigueur du climat social religieux.

Il faut, sous le règne d’un individualisme grandissant, en venir à un gouvernement qui légifère sur le comportement individuel en société qui respecte les différences individuelles. Cela pourrait se réaliser avec un collège d’élus, responsables et imputables de leur vote, non pas dirigé par un chef mais par un directeur des débats.

Le rôle de ce collège? Légiférer donc, exprimer de l’imagination pour améliorer les relations entre les individus, en discuter (voir les implications) et voter pour une loi applicable et qui sera appliquée suite à l’avalisation des citoyens lors d’un référendum trimestriel. Idéaliste? Vous dites? Mais je soutiens possible dans un monde raisonné.

Toutes les mains des élus doivent être tenues loin de l’assiette au beurre. Il ne faut, pour le gouvernement, que le pouvoir de soumettre les lois votées au gouvernement à un aval des citoyens et aussi l’immense pouvoir et responsabilité de faire appliquer lesdites lois. Donc le pouvoir de poursuivre les contrevenants en justice. Que ce soit d’ordre civil ou criminel il n’y a pas de contradiction au principe de faire appliquer la loi.

Tout ce qui a trait au domaine financier doit être remis à des corporations publiques bien spécifiques avec un conseil d’administration élu pour 5 ans. Des changements? On en a besoin. Les aura-t-on? J’en doute. L’inertie de la population n’est pas d’être en mouvement mais en stagnation. La polarisation des débats ne fait qu’ajouter à l’inaction à cause de la division. Où peut-on s’unir? Il fut un temps où c’était l’église mais, ce n’est plus le cas. De quoi inventer du nouveau.

Bertrand (@BDmoi)

Qu’est l’Impôt?

Qu’est l’impôt en ces années du troisième millénaire? Ce qu’Il est et ce qu’il pourrait être. Un dicton dit: qui trop embrasse, mal étreint. C’est ce que fait l’Impôt actuellement. Premièrement se doit-on de dire qu’Il y a plusieurs sortes d’Impôts. Les taxes, les droits, les permis,…, et bien sûr l’impôt sur le revenu. Même celui-ci doit être divisé en deux soit les individus et les corporations. Réglons celui des corporations en premier. Payer de l’impôt sur ses profits est payer pour ce que la société nous permet: du personnel instruit, un système d’éducation assez performant et une pré-classification du personnel. J’en passe beaucoup mais est-ce l’essentiel du point de vue de l’entreprise. La personne morale a autant de responsabilités sociales qu’un individu.

Parlons maintenant d’impôt sur le revenu des particuliers. C’est un fourre-tout de plein de choses disparates qui servent plutôt à contrôler les comportements que de répartir la richesse. L’impôt est un langage de programmation des citoyens. Suffit-il de jouer avec les déductions et les permissions non-imposables. L’impôt est le plus bel outil de propagande du gouvernement. Aussi je vais élaborer non pas sur ce qui est mais sur ce que je crois que l’Impôt doit être dans les années 3000.

Le gouvernement ne doit plus intervenir financièrement dans la vie des citoyens autrement que pour répartir la richesse de la récolte annuelle. Deux moyens doivent être synchronisés: le revenu minimum garanti et l’impôt sur le revenu. J’ai résumé le fonctionnement dans un texte de 2020: https://bdmoi.mdugre.info/sil-metait-donne-limpot/

C’est un début de réflexion mais il faudrait en parler.

Donc l’Impôt est le moyen à utiliser pour répartir la richesse. L’éducation est le moyen pour permettre aux gens de réaliser la satisfaction de leurs besoins. Ainsi faut-il mettre des boeufs sur chaque charrue et faire que chacune atteigne sa propre destination.

Bertrand (@BDmoi)

Affirmer que le français est une cathédrale est imbécile.

Richard Martineau a franchi le pas. Il l’a fait. Ne suis-je pas surpris. Simplifier la langue pour augmenter la communication est louable. S’en tenir à la forme plutôt qu’au fond est renier le but de la langue. Parvenir à la compréhension du message est le but de la cathédrale. Elle occupe un espace restreint et doit partager la place avec le reste. Comme il y a des érudits de l’ancien français, il y aura des érudits de culture contemporaine.

S’en tenir aux cathédrales est une hérésie de la population. On peut les visiter mais doit-on vivre entretemps. Le monde à l’envers c’est le passé. Il est révolu et c’est un bien. Peut-on envisager un futur vivant et agréable, libéré des affres du passé. Les absolus conservateurs sont des dinosaures et on se doit de les cibler.

Toutes les idées ont droit de cité. C’est vrai et on le célèbre trop abondamment. Faut-il une langue de communication plutôt qu’une langue d’exceptions. À ce prix, atteindrons-nous un niveau acceptable de civilisation? C’est la grâce que je nous souhaite. Mais il y a beaucoup de Martineau encore.

Bertrand (@BDmoi)

Parle-t-on du scepticisme face aux politiciens?

Parle-t-on du scepticisme face aux politiciens? J’ose en parler. Mais sommes-nous les premiers responsables de ce foutu scepticisme. Nous avons la terrible habitude de croire ce qui fait notre affaire et de craindre ce qu’on ne connaît pas. C’est “normal”. Nous avons une attitude que des enfants de 3 ans se font réprimander. C’est le niveau de raisonnement que les médias nous accordent.

Prendre les choses une par une toujours et ne pas voir l’ensemble du portrait, jamais. J’ai une partie du blâme à assumer. J’écris de courts textes qui, je l’espère peuvent amener la discussion. Mais, je n’ai pas un auditoire suffisant. De plus la chambre d’écho fait que les gens qui lisent mes textes sont presque tous d’accord . Ne voyons nous le scepticisme des gens que dans les médias ou dans la vie réelle. Il y a réellement scepticisme dans l’idée des personnes que l’on rencontre. Cependant la plupart croient en leur député. C’est du moins mon regard sur ce que je vois et j’entends. Aussi le cynisme est-il face au gouvernement et aux ministres. Le problème n’est pas facile à cerner. Mais je crois personnellement que la faute est aux partis politiques et au système de représentation de la population.

Ceux qui me suivent savent que je blâme souvent la partisannerie des gens. Ce système, d’une autre époque avant les outils de communication, est révolu et devrait faire l’Objet d’un changement. Il faut changer le système de représentation des citoyens. Les partis politiques effacent la personnalité des députés. La partisannerie et l’Infâme ligne de parti empêche la représentation des citoyens par des élus responsables et IMPUTABLES de leur vote.

J’ai soumis des textes où j’explique comment changer les choses. Mais pour y arriver, faudra-t-il des individus suicidaires politiquement qui prendront les choses en main. Je ne suis pas souverainiste mais je vote pour la séparation pour qu’Il puisse y avoir discussion sur la Constitution et le changement possible du système politique. C’est d’après moi le point de départ d’une nation du troisième millénaire. En 2000 ans il y a eu peu de changement à cause d’une certaine homogénéité de la population. La pression sociale à la conformité était absolument intense. Les temps ont changé. IL faut changer le système de représentation des citoyens pour arriver à une certaine démocratie véritable.

Bertrand (@BDmoi)