Il est une chose les droits et une autre les conséquences.

La loi du Talion? Vous connaissez? Œil pour œil, dent pour dent? Ce n’est pas ce dont je parle ici. Ici je ne me dresse pas une liste de compensations mais bien une liste de conséquences à des actes contraires à la Charte des Droits et Libertés. Il est désolant que celle-ci soit enchâssée dans la Constitution Canadienne. On ne peut l’ajuster. Elle permet toutes les exactions de manipulateurs sans en apporter un soupçon de conséquences.

Ce qui me fait bondir (encore une fois) contre la charte (petit C) c’est l’absolutisme de un sur les autres. IL n’y a pas d’absolu dans aucun principe sur Terre. Tous ces droits sont relatifs à une personne vivante. Toute personne qui contrevient à un de ses principes devrait avoir une conséquence en relation avec le non respect des droits de la personne victime, peu importe les résultats chez la victime. à la base. Autrement dit qu’elle soit blessée ou morte ne change rien au fait, ses droits n’ont pas été respectés. Il devrait donc y avoir une conséquence immédiate du fait du non respect du droit d’une autre personne. Tout le reste n’est que principe vertueux sans conséquence.

L’article qui le prouve intensément est celui-ci : https://t.co/XPq6ywFtCw

Il est plein d’actions et d’exactions commises contre les droits de la personne. Mais on ne se sert de la Charte que pour exempter les coupables d’actes contraires à l’esprit de la Charte. Il faudrait que ça cesse. Ce n’est pas du droitisme (position philosophique), c’est du droit (légal et comptant des responsabilités au manquement aux lois, dont la Charte).

Il faudra un gros coup de barre pour renverser la situation. Une seule personne ne parviendra jamais à corriger le laxisme des instances juridiques. IL faut défaire la Constitution, défaire le Canada, refaire une constitution sans Charte des droits, refaire un Canada (si possible) et repartir sur une autre forme la charte des droits personnels et inviolable avec des conséquences minimales pour les contrevenants. Un fantasme, quoi?

Il faut séparer la religion de la société de droits. C’est une option comme une autre, héritée d’un passé trouble. Si on veut profiter de la diversité, il faut absolument protéger la société de La supposée prédominance d’une organisation sur les individus. C’est mon point principal contre l’écriture actuelle de la Charte.

Bertrand (@BDmoi)