Tweeter? Quoi dire?

Twitter prend de l’expansion, particulièrement chez les jeunes. Il semblerait que c’est un fait. Il y a de nombreux faux comptes qui apparaissent quotidiennement, avec l’intention de nous flouer. C’est curieux combien il y a de françaises, en Afrique pour quelque raison, qui veulent communiquer uniquement en DM. Elles ont un accent africain même en écrit. C’en est risible. Ce sont les seuls comptes que je bloque, systématiquement.

Mais pourquoi tweeter. Il est de nombreuses personnes pour exprimer leurs frustrations et décrier la frustration des autres. On penserait qu’ils sont seuls dans le désert et crient leur désespoir. Mais, Twitter n’est pas un désert. Pourquoi l’utilisent-ils comme tel.

Moi, j’ai la prétention d’utiliser Twitter pour améliorer le monde autour de moi. J’espère, en faisant part de mes réflexions et de mes sautes d’humeur, participer à l’Évolution du monde autour de moi. Élever le niveau de conscience du pouvoir que les gens ont sur leur vie.

Je passe beaucoup de temps sur Twitter. J’y lis tout ce que je peux, parfois ça va trop vite, et cela me fait surgir des réflexions que parfois je partage. Il y a cependant un phénomène que je ne comprends pas. Beaucoup de gens like ce qu’ils approuvent. Pour moi ça équivaut à un hochement de tête qui signifie que l’on a entendu.

Mais peu retweetent ce qu’ils croient être une bonne chose. Beaucoup retweetent ce qu’ils exècrent mais ne partagent pas ce qu’ils approuvent. Moi je like très peu, c’est pour dire que j’ai entendu. Je réponds beaucoup aux tweets et je retweet souvent. C’est pour converser ou partager ce qui a été dit. Cela me semble un usage tellement enrichissant sur Twitter.

Ne serait-ce pas rendre un hommage à cet outil magnifique que de l’utiliser en bonne conscience? C’est la grâce que je nous souhaite.

Bertrand (@BDmoi)

Gouvernement?

Est-il temps de se questionner, sérieusement, sur ce qu’est le gouvernement et ce qu’il devrait peut-être être? Mille choses me viennent en tête. Il y en a tellement que je n’arrive pas à saisir un seul fil conducteur. Que ce soit l’aspect de faire des lois pour régir les échanges entre les citoyens, participer à rétablir une certaine égalité de traitement à ceux-ci, trouver une méthode de répartir le résultat de la récolte annuelle entre les citoyens, offrir de services exigés par l’ensemble des citoyens, offrir le service de maintien de l’ordre et tous les autres aspects actuellement maintenus par les gouvernements.

Ne devrait-on pas scinder les rôles du gouvernement et séparer ce qui est gouvernance et services. L’appareil gouvernemental est immense et désorganisé. D’après moi il faut faire une scission. Comment y arriver?

Premièrement la gouvernance. Il faut abolir les partis politiques et faire élire des individus responsables et imputables de leurs votes. En gros un conseil qui voterait les lois et qui les feraient avaliser par les citoyens à l’aide de référendums sur internet. Leur rôle se limiterait là.

Pour ce qui est des services, de la police à Loto-Québec, il y aurait la possibilité de créer des organismes, chapeauté par des administrateurs élus sur la base de responsabilités précises, avec des pouvoirs limités et pour une durée limitée. Ce n’est pas la facilité actuelle de voter à la va comme je te pousse pour des partis politiques qui ratissent large pour une durée déterminée.

En gros, ne faudrait-il pas raviver la démocratie comme au temps des Grecs de la Grèce Antique. Du temps de l’Agora où les citoyens entendaient les discours de chacun et votaient d’une pierre dans l’urne. La technologie propice à créer des monstres comme FAcebook ne pourrait-elle pas servir à raviver le gouvernement pour le peuple, par le peuple?

Bertrand (@BDmoi)

De la différence entre religion et religieux.

Le prêt à penser est tellement en vogue de ce temps-ci. Depuis plusieurs années on est passé d’une vie collective très pressurisée pas la pression sociale à une société individuelle où l’opinion fait foi de tout. Diversité? Plutôt cacophonie. On assiste à une multitude de gourous, de coach de vie et toutes sortes de magnats de la vérité.

Les gens passent de moins en moins de temps à réfléchir, à échanger. Ils débattent de ceux en qui ils croient le plus, mais quand vient le temps de soupeser les arguments de chacun, il est souvent question de vérité et de charisme. L’un ne va pas nécessairement avec l’autre.

Nous sommes dans une société qui s’attarde plus à qui dit quoi qu’à ce qui est dit. C’est un fait que l’on peut constater sur les réseaux sociaux. Les grands médias ont saisi la balle au bond et nous servent beaucoup plus d’opinions de penseurs, dont ils font la promotion, que de faits supportés par des recherches patientes et vérifiées.

Donc l’information est devenu poussée par des religieux de la pensée. La religion de la Charte des droits et libertés est grandement mise à mal par l’interprétation des religieux auto-proclamés. Cela amène des débats qui sont loin d’être productifs et rassembleur. Mais, il n’y a pas de place pour le civisme et la temporisation des discussions. Tout n’est que j’ai raison et tu as tort.

La propagande a surpassé la religion. Les religieux, de toutes les religions ont pignons sur rue et sont libres d’offrir leur fiel à bon compte. Il faut se demander, peut-on faire confiance à quelqu’un aveuglément, aujourd’hui? Ne me prenez pas aux mots. Réfléchissez-y un peu. QUi se lève le matin avec l’idée de faire mon bien aujourd’hui? Si ce n’est que son bien passe par les miens? Il y en a,mais encore reconnait-on l’artisan à son oeuvre et pas à sa parole.

Bertrand (@BDmoi)

Pâques ou équinoxe du printemps?

Nous avons hérité de traditions fortement inspirées de la religion catholique. Celle-ci s’est historiquement inspirée de traditions païennes pour fixer des fêtes catholiques ou chrétiennes. Serait-il temps de refaire le chemin à l’inverse? En cette ère de discours de la séparation de l’État et des religions?

Peut-être pourrions-nous profiter de l’occasion et instaurer une journée mensuelle de la décision citoyenne? Instaurer une journée de Référendum d’acceptation sociale de lois votées par l’assemblée nationale et de la chambre des communes?

Wow! Quelle révolution. Régler plusieurs problèmes d’un coup. Faire une journée mensuelle du citoyen. L’agora électronique est possible. Empêcher les élus de tergiverser longuement sur des questions qui traînent inutilement, comme la question de la laïcité de l’État? Cela renforcerait-il le rôle de représentant du citoyen des élu(e)s. Ceux-ci sentiraient-ils le souffle de la population dans leur cou?

J’ai peu d’espoir que ça arrive, mais, la seule pensée d’y accéder me fait saliver d’envie. Pâques est une fête de plusieurs religions cependant il faut s’en distancer. La laïcité se doit d’être complète. On a plein d’événements de la Nature à célébrer et ceux-ci sont reliés au temps de l’année. Alors revenons à la Nature et accordons nos calendriers à celle-ci.

Bertrand (@BDmoi)

Vendredi saint ou vendredi sain?

J’ai tranquillement abjuré la religion, dont on m’a affublé à la naissance, à l’âge de 12 ans. J’ai bien continué à pratiquer sournoisement quelques rites particulièrement dénués de sens pour moi, tels Noël, la messe de minuit et Pâques, la supposé libération du péché originel. Que je le veuille ou pas, j’ai trempé dans l’esprit catholique. Mais en ce vendredi considéré saint par plusieurs, suis-je aussi perplexe que les gens devant Notre-Dame de Paris.

Il est de tous les points de vue, certains généreux et d’autres mesquins. Il y a des avis divergents sur une multitude de facettes. Un édifice de 800 ans inspire le respect. La sainteté de l’édifice est peut-être reconnue mais, la réalité matérielle est toute autre. La reconstruction ou la rénovation ou la mixité des techniques utilisées fera une longue diatribe.

J’ai la terrible impression que ce bâtiment, presque millénaire, sera une pomme de discorde planétaire. On a déjà toutes les élucubrations sur l’origine de l’incendie. Ce n’est qu’un début.

Je vais donc passer un vendredi sain, à transporter une gentille dame de 92 ans pour aller faire ses commissions et profiter de cette journée pour rendre service autour de moi, Ce sera un vendredi sain, où je n’aurai pas à me mettre debout ou à genou, mais pour mettre en valeur les enseignements de celui qui est venu, supposément pour nous sauver.

C’est à nous de faire que l’on soit sauvé. Principalement du complexe de culpabilité qui semble habiter la grande partie d e l’humanité. Alors un bon Vendredi Sain et que les bottines suivent les babines et les pratiques religieuses soient une remise en question.

Bertrand (@BDmoi)

Que dire au ministre de la santé, de l’éducation et autres?

Il est tant de choses à dire et tant de choses à faire. Mais peut-on mâcher de la gomme et marcher en même temps et parler au cellulaire? Oui c’est possible. Il est une synthèse qui doit être faite pour vivre en 2020 et après. Il faut oublier bien des choses de la manière de vivre de 2019 et avant. Je vais passer pour un déséquilibré et je le suis, mais, je me soigne.

On ne sait pas vivre. Il fut un temps, où pour la grande majorité des gens, avoir vécu son enfance sur la ferme avait préparé à l’âge adulte. On savait ce qu’il y avait à savoir sur les travaux à la ferme et on était outillé, si on avait survécu, pour accomplir les tâches de la vie. Le rythme de la vie était calqué et régulé par le rythme de la nature. Pour certains c’était une période idyllique. Mais c e n’est plus.

Aujourd’hui il est tellement de choses humaines à maîtriser, qui n’ont rien à voir avec la nature. C’est désolant parce que les adultes sont désolés. Ils n’ont pas reçu l’éducation qu’ils devaient avoir pour les années 2000.

La question est lancée, que devrait-on enseigner aux jeunes. Je ne parlerai pas de ce qui est nécessaire pour l’enseigner mais … Tout d’abord il faut enseigner à essayer. Essayer quoi? Tout et n’importe quoi. Nager, manger, s’amuser, l’exercice et tout ce qui fait que l’on vit. Bien sûr on doit enseigner à lire et à écrire et compter. Mais d’abord et avant tout il faut montrer à avoir un but, à travailler pour l’atteindre, à ne pas se sentir coupable de ne l’avoir pas atteint, de survivre à un échec, que ce n’est pas la fin du monde. Il faut apprendre à vivre en société et que l’autre peut être différent sans être menaçant, ni nous remettre en question.

C’est un cheminement et non un parcours de connaissance commune mais de connaissances personnelles. Il faut en arriver à sortir les classes de l’école et y faire entrer des pédagogues qui montrent aux enfants à cheminer. À utiliser le temps qui leur est donné pour explorer leurs talents et ainsi découvrir quelle est leur voie.

Je sais je suis idéaliste, mais c’est la voix de la Réalité. Il faut calquer notre éducation sur la nouvelle Réalité qui est plus humaine que reliée à la nature. C’est, je crois, le gros problème qui nous atteint par un haut taux d’anxiété, de déprime et de suicide. Les attentes que l’on place sur les jeunes sont irréalistes, anxiogènes et tellement pernicieuses.

Peut-on, un jour, se poser vraiment la question et ainsi essayer d’élaborer un modèle éducatif où l’atteinte de son potentiel soit non pas guidé par sa mémoire mais par ses talents que l’on a découverts. Il y a tant de travail à faire mais on peut se permettre d’espérer.

Bertrand (@BDmoi)

Un don est-il un don?

Pour les riches, on peut se poser la question. L’incendie de Notre-Dame de Paris pose crûment la question. La famille Pineault annonce un don de 100 millions d’euro. Elle se retourne et demande un dégrèvement fiscal de 90% et l’affaire est dite. Est-ce désirable?

Le fait d’être riche permettrait de choisir où ses impôts seraient dépensés. Ce serait, logiquement, le résultat de l’opération. Tous ces dégrèvements d’impôts pour les dons ne sont-ils, finalement, qu’un prêté pour un rendu. Cela fait maintes fois que j’amène ce fait. Les dons devraient être des dons. Pas un investissement, pas un dégrèvement.

Le supposés bons sentiments de personnes, je dis bien supposés, ne devraient être remis que par une plaque identifiant les donateurs. Mais les organismes de charité dépensent jusqu’à 60% des argents entrés pour aller les chercher. Les bals de charité et autres organisations devraient être déductibles des revenus des organismes et pas des donateurs. Ceux-ci bénéficient de magnifiques soirées de congratulations pour la grandeur de leur geste, appuyé par une généreuse déduction d’impôts.

Que ce soit pour les organismes religieux ou de bienfaisance ou artistiques ou autres,un don devrait être une don de la personne qui décide de donner. Point à la ligne.

Le droit de dépenser du gouvernement, n’est pas soumis à la volonté des riches et moins riches. Quand on fait un don, il faut qu’il soit éclairé et choisi, libre d’impôts n’est pas dans les critères.

Il est triste que cette distinction soit le résultat d’un événement aussi tragique que la perte de la Cathédrale Notre-Dame de Paris. Mais, ce constat n’apparaît pas souvent.

Bertrand (@BDmoi)

L’inintelligence artificielle.

De tout temps, les gens ont confondu connaissances et intelligence. L’intelligence humaine est composée de multiples facettes. Que ce soit la mémoire, l’imagination les filtres perceptuels ou autre. Mais la composante qui élude le plus la reproduction dans la machine c’est le jugement. L’aptitude à comparer et à déduire les éléments essentiels.

Mon fils et moi, on s’amuse à essayer de définir l’intelligence et d’en reproduire une partie dans la machine. C’est une occupation passionnante et qui ne coûte pas cher. Avoir le cerveau occupé, quand j’attends mes clients chez le médecin ou à l’hôpital, parce que je fais du bénévolat en accompagnement en transport, est une chose absolument fantastique. Il m’est possible de passer de longues heures à réfléchir et ce sans avoir besoin d’un abonnement ou d’un Wi-Fi.

Tout ça c’est pour en venir aux fondements de l’intelligence artificielle. Actuellement, il est mis beaucoup d’emphase sur les réseaux neuronaux et sur le fonctionnement du cerveau. Personnellement, je crois que c’est voué à l’échec. Pourquoi? Parce que la machine n’est pas un cerveau. Il faut chercher à bâtir des orthèses cervicales et non des prothèses. La différence étant remplacer la fonction de l’organe et non l’organe lui-même.

Les promesses que l’on voit dans les médias me font penser au monde des Jetson dans les années 50. La voiture volante et les robots, n’existent pas encore et n’existeront pas avant un bout. Alors, avant que l’on arrive à développer l’aptitude à juger entre plusieurs éléments différents et en tirer une signification à partir des perceptions du monde extérieur, on a des croûtes à manger.

L’IA ne me fait pas peur. Ce qui me fait peur c’est l’inintelligence artificielle. La capacité que l’homme a d’automatiser une fonction, quelle qu’elle soit de façon bête et méchante, irréfléchie, mais programmée pour effectuer le résultat désiré. Des soldats tueurs ou des machines existant pour elle-même sans conscience de son environnement. Mais, n’y a-t-il pas des gens qui sont déjà comme ça?

Bertrand (@BDmoi)

De l’usage des mots.

Il est de nombreux sens au mot usage. Il en est un en particulier qui désigne la justesse de l’utilisation. Le déferlement d’opinions dans les médias et sur les médias sociaux semble avoir amoindri le contenu émotionnel des mots. C,est comme avoir consommé tellement de piment diabolo que l’on ne ressent plus aucune sensation à leur ingestion.

Beaucoup de gens utilisent les superlatifs et les images choquantes pour des simples divergence d’opinion. Hitler est ressorti à la moindre occasion, et l’outrage est exprimé pour une simple différence. Cela est d’une tristesse. J’aime bien essayer d’utiliser le mot juste pour exprimer les nuances des émotions et des propos. C’est, je crois, un signe de pondération et de raison.

Mais, dans un monde obnubilé par la performance ultime, où il n’y en a que pour les Tiger Woods et les Céline Dion, la norme est tellement excessive que les mots doivent suivre la tendance. On se lève à la moindre performance d’un humoriste ou pour applaudir le simple fait de sortir un sacre en spectacle.

La raison disparaît du discours. Le débat fait place à la discussion sur le moindre sujet. Le monde veulent avoir raison. La Réalité disparaît, il n’y a que l’opinion et la croyance qui mènent. On pousse les extrêmes et on dénigre la normalité, le raisonnable.

La tension qui existe chez les humains est-elle le résultat ou la cause? Je ne saurais dire. Mais une des causes que j’identifie est l’usage abusif de superlatifs promu par les commèrementateurs de l’actualité. Les abuseurs d’opinions sur tous les sujets avec des mots émotifs et amenant le débat. La polarisation des médias est vraiment nuisible au climat sociétal. Tout ça pour de vils motifs économiques de rentabilité. Le lectorat et l’écoute diminuent et les médias s’arrachent les abonnés. On ne cesse de nous harceler avec des campagnes de publicité nous offrant des rabais pour s’abonner.

Commencez par nous donner une raison de suivre vos propos. Cessez de nous donner des opinions toutes faites de superlatifs et donnez-nous de l’information, des faits et des nuances. Peut-être serons-nous plus enclin à débourser pour une information stricte et véridique, exempte de prêt à penser. C’est la grâce que je nous souhaite.

Bertrand (@BDmoi)

Croyance ou crédibilité?

Il est dans La presse de ce matin https://t.co/mxpdLAzuME Je le pense.

Toute cette litanie du “Je” et contre le phénomène cité provient de l’orientation des médias. Ils nous proposent une série d’opinions de personnes qui libèrent leur opinion pour un pécule, que d’aucuns pensent plus que respectable.

Les reporters et les journalistes d’enquête ne font pointer des individus ou des groupes. On ne relativise aucun des arguments ou presque. On croit le commèrementateur ou on ne le croit pas. Tout est question d’opinion ou de confiance. Faut-il se surprendre que les gens n’aient que des opinions et pas de réflexions?

Mon opinion est aussi valable que celle d’un autre. C’est écrit dans la Charte. Et j’ai le droit de l’exprimer. Tirer sur le messager plutôt que d’expliquer les tenants et aboutissants d’une situation est rendu tellement usuel que l’on se passe aisément du temps nécessaire à digérer les messages, qui sont bien souvent éludés des discours.

Est-ce dû à la faible concentration des lecteurs, du faible espace entre les publicités, de la clip de 7 secondes à la tété et à la radio? 280 caractères sur twitter est bien peu pour bien des gens. Tout est dans l’instantanéité et la réaction.

J’écris des blogues pour prendre des situations et essayer d’expliquer ma vision de la Réalité. Ce n’est pas LA Réalité mais ma vision, ou du moins ma perception de celle-ci. Vous êtes libres d’avoir votre opinion mais, si je peux faire surgir un peu de réflexion, j’aurai atteint mon but.

Bertrand (@BDmoi)