Première neige? Mon œil!

Attendre d’être rendu au mur pour freiner. Ce n’est pas l’intelligence artificielle qui sauvera l’Humanité. En 1970 on a réalisé un film sur le sujet et comment cela pourrai être: https://www.youtube.com/watch?v=kyOEwiQhzMI

La réaction de certains, à la première neige, somme toute bénigne, nous fait voir le vrai côté des médias et des gens. Les gens, pour la plupart, prennent le coup facilement. Soit ils ont fait poser leurs pneus d’hiver, soit ils conduisent lentement. Mais, les stupides médias en profitent pour nous montrer quelques écervelés qui réalisent qu’ils ont fauté et ce, trop tard. Mais, puisque nous sommes dans un pays absolument choyé, y a-t-il des chanceux qui s’en tireront pour une poignée d’argent.

J’ai passé la journée à l’hôpital, pas grave juste un problème de digestion, dans la salle d’attente, une télévision. À quelle station? Les nouvelles en continue. D’une abominable stupidité dans une salle d’attente d’hôpital. J’aurais mis bien des documentaires à la place. Même des émissions de variété qui démontrent bien la variété des gens. Tel: https://www.youtube.com/watch?v=DNfMs2ZWvzM&t=54s

Voir, juste pour se rafraîchir les idées et améliorer notre image du monde. 2023 est 1984 et pas dans le bon sens. Dans le sens du film qui en est tiré. Colossus serait une bénédiction? Une malédiction? Sera ce que les riches en feront parce qu’ils contrôlent en fonction de leur poche qui est très profonde. La propension à l’uniformité et la pression des médias est telle que le projet Forbin est en dessous de la réalité et nous montre l’horreur vers laquelle nous glissons lentement sans nous en apercevoir. Y a-t-il des grenouilles qui s’aperçoivent de l’augmentation de la chaleur de l’eau? Oui il y en a de plus en plus. Que font-elles? Elle débarquent de la collectivité et se referment sur le cercle familial.

La première neige est d’une beauté grandiose et quelques grenouilles nous la partagent. N’est-elle qu’une des conditions de la Merveilleuse Nature. Ce que nous en faisons nous appartient. Les gens des médias, oui ce sont des personnes, ne nous montrent que des visons stupides, d’êtres stupides, dans un contexte purement surnaturel (humain).

J’abhorre L’utilisation des médias et leurs sempiternelles ritournelles que les gens désertent l’information. Ils ont soif d’informations et désertent les médias car ils projettent une fausse image du monde. Celui-ci est au bord de l’abîme et ce n’est pas à cause de la population. N’est-ce qu’à cause de la manipulation de la désinformation dont on fait l’objet.

D’une grenouille qui s’aperçoit que les média sont ceux qui font brûler le monde dans la marmite.

Bertrand (@BDmoi)

Cette nuit ai-je récupéré ma sérénité

Petit poème de lucidité ou de questionnement?

Où suis-je ou où en suis-je
Je suis sur la Terre pour y faire quoi?
Mettre de l'ordre dans le désordre ou y participer?
Pour résoudre faut-il se questionner?
La réponse est-elle toujours une question?
La vie est résolution de questions qui mènent à d'autres questions?
N'y a-t-il jamais de: LA solution à est... ?
N'y a-t-il que les apparences qui comptent?
Si l'importance de chacun est égale, qu'en est-il du jugement?
Qui doit être jugé ou qui a le droit de juger?
Pourquoi ai-je envie de quitter ce monde où les gens sont isolés?
Comment se satisfaire des actions à la mesure de ses bras?
Quand le monde autour de soi est semble-t-il sans bras?
Pourquoi isole-t-on chaque être isolé en perdition?
La vraie réalité serait-elle qu'on est tous cons?
Et si on naissait sain et qu'On nous amenait à être des cons?
Est-ce ce qui fait vraiment du sens?
Que les gens croient l'existence des autres plus importantes?
Ou encore que l'On pense que l'autre a tort?
Quelle est la place de la tradition? 
Que donne de préciser les atrocités du passé?
Si ce n'est de créer d'autres conflits qui vont persister?
Et si on revoyait notre vison et notre version du passé?
Parler des bontés plutôt que des atrocités?
L'Histoire n'est pas que celle des vainqueurs?
Y a-t-il histoire des vaincus?
Le sont-ils vraiment vaincus ou attendent-ils plus?
Refuser l'anéantissement est-il signe d'intelligence?
Est-ce le signe de persévérance ou d'obstination?
Les gens qui ont des réponses, se posent-ils suffisamment de questions?
ON élit des gens qui semblent avoir des solutions, vraiment?
N'élit-on pas ceux qui semblent nous donner raison à être cons?
De remettre en question les actions qu'ils ont soumises à l'élection?
Lesquelles on a choisies par impulsion en regardant notre porte-monnaie?
Plus je me pose de questions plus je constate mon impuissance?
ET si pour retrouver ma sérénité il suffisait de m'extirper de la société?
N'y ai-je pas souvent pensé? 
Est-ce LA SOLUTION à toutes les questions?

Je pourrais continuer à questionner pendant longtemps.
Faut-il prendre conscience du temps.
Et utiliser notre raison pour se faire une raison.
La vie est action et non pas question.
Il ne faut pas se contenter de ce qu'On voit mais en chercher la raison.
Et faire ce que doit pour avancer la civilisation.
C'est bien de faire acte de contrition à l'Occasion
mais toujours il faut voir la véritable intention
Pour se libérer de la culpabilité
il suffit d'un peu d'honnêteté
et d'agir toujours avec l'intention d'essayer d'améliorer
et non pas de diriger
Voilà toute la difficulté. 
Mais nous ne sommes qu'humains
et titubons en chemin
Pour en arriver à se tenir droit
faut-il être reconnu après son trépas
pour voir la direction de ses pas.
C'est semble-t-il, le cas.

Bertrand (@BDmoi)

Considérations sur l’égalité des sexes.

Considérations sur l’Identité des sexes ou l’égalité des personnes? Je me dois de vous prévenir. J’ai connu avant, pendant et je vais mourir avant, après. Y aura-t-il un jour égalité? Mais que veut dire égalité? Seul un siècle de raison peut amener l’égalité: partant du principe, généralement reconnu par une grande majorité, les gens sont tous différents.

Considérations sur l’Identité des sexes ou l’égalité des personnes? Je me dois de vous prévenir. J’ai connu avant, pendant et je vais mourir avant, après. Y aura-t-il un jour égalité? Mais que veut dire égalité? Seul un siècle de raison peut amener l’égalité: partant du principe, généralement reconnu par une grande majorité, les gens sont tous différents. Alors parler d’égalité réelle est déplacé.

Pouvons nous parler d’égalité d’être acceptés tels qu’on est? La vie n’a pas de prix, nous a-t-on seriné. Mais on n’a de cesse d’évaluer celle de l’autre. Folie vous dites? Mais notre logique devenant binaire et temporaire, oscillons nous entre j’aime et j’aime pas, selon l’angle envisagé. Une personne n’est un angle mais une contradiction sur 2 jambes. Je veux dire par là qu’aucune personne ne correspond à un stéréotype. Alors? Nous ne pouvons juger d’une personne. Y aura-t-il alors égalité quand on cessera de juger des résultats et qu’on acceptera de discuter des différences et non pas de les juger face à un critère précis?

Les émotions sont les résultats de l’appréciation (de la valeur) que nous mettons sur l’autre face au résultat qui nous occupe. C’est pourquoi elles sont souvent mixtes. La situation mondiale et individuelle actuelle n’est pas pour aider à faire diminuer les émotions. J’appelle à la conscience et à la raison depuis longtemps. Me fais je penser à Caton l’ancien qui disait que Carthage doit être détruite. Suis-je le seul à ne pas faire référence à la guerre mais à la paix. Carthage étant ici les émotions. L’acceptation de la différence et non pas la reconnaissance de la différence individuelle amènera une certaine égalité de perception, sociale ou légale.

Bien des gens cherchent à comprendre. Mais, il n’y a rien à comprendre avec le cerveau ou le coeur. Il n’y a qu’à accepter la différence et en tirer parti. Vite dit, vite réfléchi mais combien loin de notre tradition guerrière et de notre éducation.

Quelle en est votre opinion? Quelle en est votre réaction?

Bertrand (@BDmoi)

On a le choix, toujours.

Ou bien on est en contact avec son être intérieur et on agit conformément ou bien on accomplit ce qu’On pense que les autres attendent de nous et on se fourvoie complètement. Les gens sont faibles extérieurement mais tellement forts intérieurement. N’est-ce parce qu’Ils sont déformés par ce qu’on a dit d’eux. Les premiers responsables sont les parents. Mais, n’ont-ils reproduit ce qu’on a fait d’eux.

Nous sommes extrêmement chanceux. Tous autant que nous sommes, d’être nés dans ce monde aisé. Où les éléments sont maîtrisés à volonté ou presque. Ne mérite-t-on que ce qu’on souhaite pour les autres. La vie n’est pas d ‘escalader toutes les montagnes ni même certaines montagnes. Ce n’est pas de nager tous les océans mais d’être vivants et conséquents. Cela peut sembler prendre du courage mais tout ce que ça prend c’est la rage d’échapper au confort relatif de notre situation et améliorer le sort de la prochaine génération. Pour cela il faut utiliser sa raison et son imagination.

Les gens, sur twitter comme dans la vie, sont en état de contemplation. Ils n’utilisent pas leur imagination et leur cervelle pour exercer le pouvoir immense dont ils jouissent. Le confort absolu de la majorité des gens qui ont reçu infiniment plus qu’ils n’ont donnés. Nous sommes absolument repus et obnubilés par note propre satisfaction que le sort de l’autre est une illusion que nous comparons à notre état. L’empathie est affaire de satisfaction personnelle et nous empêche de voir la situation réelle de l’autre.

J’ai payé l’infâme contribution à Elon MUsk puisque selon notre tradition il est propriétaire de quelque chose qui n’a jamais existé mais qui est pour le bien de l’HUMANITÉ. J’ai payé 100$ pour avoir un an le droit de voir tweetdeck et ainsi avoir la possibilité de lire els tweets de bien des TL en même temps. SUis-je un des rares qui lit presque tout ce qui passe sur son écran. Lire n’est pas seulement voir mais lire. Comprendre demande de lire et extrapoler ce que disent les mots. On dit l’enfer est pavé de bonnes intentions, n’est-il en fait qu’une suit d’incompréhension. Les gens ont le choix. C’est non pas le courage qu’ils n’ont pas. C’est la rage d’agir pour changer ce qu’ils n’aiment pas. Parler est facile, aussi s’en contentent-ils. C’est satisfaisant et pas très impliquant.

bien des gens s’offusquent de moi et de mes interventions. Sont-elles sincères et reflètent totalement mes opinions. Ai-je raison ou tort, parfois je ne sais pas, souvent même. Je discute cependant avec des arguments. C’est beaucoup plus que font bien des gens sur Twitter ou dans la vie réelle. SE cantonnent-ils dans leurs opinions sans en justifier la raison.

Bertrand (@BDmoi)

De la franchise et de notre réaction à celle-ci

Dans notre monde d’émotions exacerbées, un dicton, le pire que je connaisse, nous entraîne dans les apparences et les mensonges: mieux vaut un mensonge qui fait rire que la vérité qui fait pleurer. Je déteste ce dicton dans toutes ses implications. Savons nous interpréter les mots et les maux qu’ils amènent avec eux?

  • Au royaume des apparences le mensonge est roi
  • Choisir pour l’autre est vouloir l’aider ou, de fait, le croire incapable d’assumer la vérité.
  • En mentant, qui protège-t-on? L’émetteur ou le récepteur?
  • Le monde n’est pas beau dans sa réalité? IL est c’est tout. C’est nous qui le faisons percevoir de la façon qu’on veut.
  • SE débarrasse-t-on d’un fardeau qu’on ne veut ou ne peut assumer la suite?
  • et j’en passe et des meilleures…

Les apparences de bien, même si mensongères, créent la perception erronée de la réalité. Les beaux principes de bien du monde, sont en fait une déculpabilisation de ne pas faire face à la réalité. Le monde est beau, c’est nous qui avons besoin de lunettes et d’un cerveau pour pouvoir l’apprécier et en tirer les opportunités qui foisonnent. Mentir sur la réalité entretient un faux sentiment d’hilarité qui nous dispense d’agir sur la source d’un problème. Le temps n’arrange pas les choses, tout au plus les fait-il perdurer. On fait passer le temps mais la personne demeure avec son problème. L’état perpétuel de guerre en est la résultante.

Je suis absolument d’accord pour dire qu’il faut une ambiance sereine mais, dans l’action, pas dans le sarcasme ou la joie béate induite par le mensonge. Suis-je dans l’erreur? Peut-être. Mais, c’est ma personnalité profonde de croire que le salut est dans la perception la plus précise de la réalité et l’utilisation de son imagination pour améliorer les choses qui doivent l’être ou qu’on a à coeur d’améliorer.

Cela fait de moi un être d’une franchise enfantine et un être absolument intraitable. J’aimerais apporter à ce point, une autre réalité que je préconise. Si, et je dis bien si, je dois prendre et accepter les autres comme ils sont, ceux-ci doivent donc me prendre comme je suis. Je vois le roi nu, je le dis. La pression sociale n’a aucun effet sur moi. Que l’autre se déculpabilise, c’est son affaire, qu’il me déteste parce que je lui fais voir une partie de réalité, c’est son affaire. La mienne, c’est de pouvoir dormir le soir en me disant j’ai fait ce que je croyais juste à la mesure de mes bras.

Par ces dires, je ne me déculpabilise pas, j’assume qui je suis. À l’autre de faire pareil.

Bertrand (@BDmoi)

Peut-on être le seul à avoir le pas?

Quand on s’éloigne de la guerre? OUI!!! Quand on est frustré de la perte de vie de l’humanité. À écouter ce que les gens disent et les voir évoluer dans le monde immonde où l’on vit, est assez pour s’Éloigner de la folie collective. Alors sommes-nous le seul à avoir le pas. Non seulement avons nous le pas mais la direction du pas. Quant à avoir le rythme il faut adopter celui qui nous convient.

Il est très difficile de savoir si on a le pas ou pas. Faut-il avoir bien réfléchi, avoir bien identifié nos principes de vie, les avoir priorisés et respectés. Cette dernière partie est impossible. On est en constante évolution. La vérité??? LE pas n’existe pas. IL y a son pas et on y est conforme ou pas. Les gens sont différents, n’a-t-on de cesse de le dire, pourtant on veut qu’ils marchent au même pas dans la même direction. Folie ou raison? Je crois, à voir le résultat dans le monde, que c’est absolument folie. J’ai beaucoup de frustration en moi. Pourquoi? Je crois que tout est possible si on prend conscience de ses talents, de ses forces, de son imagination et de la direction qu’on veut lui donner. Mais, mon impression est que les gens ne vivent que d’habitudes qui leur ont été inculquées dans leur enfance et ne se remettent en question que lors de crises existentielles. C’est alors qu’ils changent de pas pour adopter le leur ou qu’ils abdiquent et suivent le courant des associations qui dénaturent l’humain. C’est ce qu’On appelle frapper le fond du baril.

Je suis absolument convaincu qu’il en va de même pour bien des gens. Ce que j’appelle cohérence est bien souvent entendu courage par les gens qui sont normaux (selon la norme sociale). La cohérence des valeurs et des actes posés amènent un équilibre sain et permet d’accéder au bonheur. Pour qu’il soit durable faut-il qu’il soit perpétué dans son intégrité.

Notre société n’a de cesse de parler de tous et d’idéal. Mais l’idéal de un n’est pas l’idéal de l’autre. L’Égalité ne sera jamais tant qu’on parlera d’égalité. L’Égalité se fera quand on cessera de se comparer aux autres et qu’on s’examinera soi, avec ses talents et ses valeurs. SE comparer amène confusion et inégalité parce que différences. Alors on interprète la différence comme une attaque à notre différence. Résultat? Jugement, incompréhension, sentiment d’inégalité et abandon de soi.

Je n’ai pas répondu à la question: Peut-on être le seul à avoir le pas? Je vous ai donné mon point de vue. Libre à vous de faire votre bout du chemin pour vous.

Bertrand (@BDmoi)

Que doivent devenir les examens en classe.

Le but de l’École est d’Instruire. C’est ce que je crois. Mais dans la manière de le faire, ne faisons nous que de détruire la majorité des élèves. Nous avons tout faux. Le système, loin d’être éducatif, est purement normatif. On se fout de ce que l’étudiant, l’élève, sait et pense. Le système de l’éducation, puisque l’on se doit de l’appeler ainsi, ne vise qu’à produire de la main d’oeuvre, pas à former des citoyens autonomes, qui peuvent penser par eux-mêmes. Dès le plus jeune âge on les forme à toute sorte de sujets de propagande plus croyances que savoir. Les élèves récalcitrants, et ils sont de plus en plus nombreux, sont médicamentés pour entrer dans le rang.

C’est un constat lugubre que je fais. Les bons enseignants, ils sont nombreux à quitter, ne peuvent que former à passer des examens pour faire monter les élèves. La hiérarchie du ministère de l’éducation brime l’enseignant et l’enseignement. Ne pensent-on qu’en terme de taux de réussite aux examens. Ceci ne peut être plus normatif, soumis à des normes. D’après moi le but de l’enseignant est de former des citoyens aptes à SE diriger et à participer à la vie communautaire de la société, pas à passer des examens.

Les examens sont loin d’être la paie des étudiants. La paie des étudiants c’est de pouvoir réaliser qu’ils progressent dans la connaissance de la réalité qui les entoure. Un examen doit servir, non pas à classer l’élève dans le système mais, bien utilisé, il sert à évaluer l’état de connaissance et de méconnaissance de l’Élève. Actuellement on n’effectue pas de retour sur l’examen. On comptabilise les résultats et on continue. Au diable l’élève, on n’a pas le temps. Le programme dicte la norme.

Nous l’avons vraiment tout faux et c’est parce qu’on fait tout pour détruire la relation maître-élève. Les dictats des penseurs du ministère ne sont pas remis en cause car ils sont produits par des diplômés reconnus. Loin de l’élève ils n’ont aucune connaissance du travail à accomplir, seulement des connaissances que l’on veut imposer aux élèves. L’État du savoir de l’Élève, de son image de soi, et de ses préoccupations? De la bouillie pour les chats. Les examens sont nécessaires pour évaluer l’état des connaissances de l’Élève, afin de permettre de corriger les erreurs d’apprentissage et permettre la conscience que celui-ci a de son avancement dans la connaissance de SA réalité. Actuellement on classe les élèves et on démotive ceux qui ont le plus conscience qu’ils ne foutent rien à l’école.

Ma théorie? On tue dans l’œuf, les gens qui seraient le plus aptes à faire avancer la société vers le but ultime de la vie, la conscience d’être vivant. On endort , l’Initiative, on brime les talents naturels et on applaudit à qui suit la propagande. Faut-il se surprendre du taux de désintérêt et du taux de décrochage? Autant celui des élèves que celui des bons enseignants? Il faut être fait fort pour être un individu aujourd’hui. Il faut continuellement se détacher de la norme. Être libre est de moins en moins possible car la pression sociale est énorme et ne sert que l’intérêt des personnes en pouvoir et non le citoyen qui, par définition, doit assurer son propre bonheur.

Les examens sont une étape pour évaluer et le progrès et les taches dans les connaissances de l’individu. N’est-ce qu’en les considérant comme des individus que nous diminuerons le taux d’anxiété qui ne cesse d’augmenter, et plus grave, d’être médicamenté artificiellement, dans notre société de plus en plus malade. Peut-être suis-je idéaliste, mais je crois, avant tout pragmatique.

Bertrand (@BDmoi)

De la carotte et du bâton

De la carotte et du bâton. J’ai écrit ceci en 2017, où j’y ai fait des prophéties, non, plutôt des conclusions. https://bdmoi.mdugre.info/rien-de-nouveau-sous-le-soleil/

La pandémie a apporté une poussée d’accélération à la situation. Donc rien de nouveau mais beaucoup plus vite qu’attendu. On se plaint du peu d’esprit d’entreprenariat dans la société actuelle. C’est d’après moi dû au fait qu’on a multiplié les carottes pour les grosses entreprises et donné des coups de bâtons au PME.

Le fait qu’on généralise les catégories et qu’on n’apporte pas de nuances dans la provenance des chiffres des catégories amène beaucoup plus d’iniquités qu’elle n’en résout. S’attaquer aux riches est difficile quand ceux-ci sont majoritairement incorporés au sein de petites entreprises. La majorité des emplois est dans les PPE et le PME. C’est un fait. Les grandes entreprises emploient relativement peu de personnes mais à gros salaires. Le gouvernement? On n’en parle pas.

Donc pour rendre l’entreprenariat plus attrayant, il faut enlever la quantité de bâtons dans les roues imposés par les fonctionnaires (tortionnaires) qui justifient leur emploi et asséner des coups de bâtons aux professionnels qui se sont incorporés pour ainsi profiter des avantages fiscaux à, ce qui est supposé être pour les entreprises et non les individus.

Le gouvernement Legault traite l’économie à grand coups de pinceaux de 4 pouces alors que le diable est dans les détails. Il trace un portrait grossier de ce qui fait leur affaire en général mais affecte grandement l’Économie réelle de la province dans un tourbillon descendant. L’attrait des gros salaires est une lubie chère aux politiciens et aux votants qui rêvent (et ils sont nombreux).

Donc il faut user du bâton contre les individus qui évitent par tous les moyens (légaux mais moraux?) l’impôt qui leur est impartie. L’économie est une toile faite de détails et non pas de gros traits. IL serait temps d’apporter des nuances à qui mérite une carotte et qui mérite un coup de bâton.

Bertrand (@BDmoi)

N’avons nous des gouvernements que pour l’argent?

N’avons nous des gouvernements que pour l’argent? Et qu’en est-il des citoyens? Sont-ils uniquement des machines à faire circuler l’argent?

C’est l’impression que nous donne les médias et les réseaux sociaux. La publicité omniprésente occupe nos pensées et répand cette propagande insensée. IL est plein de temps consacré à recevoir des messages disparates sur les milliards de façon de dépenser et la propagande du luxe accessible pour aussi peu que…

Les gens n’ont aucun recul sur l’état réel du monde. Sommes-nous en danger de périr? La réponse est oui. Mais personne ne s’interroge sur le pourquoi? J’ai écrit en 2021 ceci: https://bdmoi.mdugre.info/je-suis-a-la-diete/ Ça explique bien des choses. Chacun a délaissé son pouvoir à ceux qui vivent pour le pouvoir.

L’argent? Un veau d’Or, proverbial, mais tellement réel. Qu’en est-il de la véritable raison de VIVRE? IL y en a une. Plutôt que de sombrer dans les affres du prêt-à-penser des religions, Décrochez de votre récepteur télé et radio et essayez de syntoniser votre moi intérieur. Ça prend de la pratique et ça ne vient pas tout de suite. Aussi faut-il persévérer. Mais, en ce monde d’instantanéité, il est presque illusoire de l’espérer.

Le temps est peut-être venu de s’essayer?

Bertrand (@BDmoi)