Si vous trouvez Twitter sale, quelle est votre contribution?

Si vous trouvez Twitter sale, quelle est votre contribution? Question folle? Pourtant une question fondamentale. Vous trouvez le monde fou? Quelle est votre contribution? Vous êtes sur Twitter car vous voyez mes interventions. Nous sommes tous participants au monde où nous vivons. Mais à première vue, les gens ne vivent pas, ils respirent. Souvent, j’ai exprimé que je me demandais si les gens avaient conscience d’être dans la vraie vie. Aujourd’hui, je suis plus perplexe que jamais. Je vis à l’envers du rythme de la plupart des gens. J’ai beaucoup, beaucoup de temps pour lire, réfléchir et écrire. Mais j’ai des 8 à 4 remplis de bénévolat. J’ai coupé la télévision du soir. J’ai un enregistreur qui me permet d’être très sélectif.

Bien des gens passent par-dessus mes textes en se disant encore lui, ce fatiguant. Je dispose de tellement de temps que j’ai l’impression de n’en avoir pas assez. J’ai une imagination débordante et des champs d’intérêts variés. Mon esprit vagabonde allègrement dans le monde de la réalité. Y vois-je ce que je veux voir ou ce que je vois, je ne saurais dire. Je crois cependant percevoir une partie de la Réalité. Laquelle? Je saurai peut-être quand je serai mort. Mais l’important est de vivre et de se questionner. IL y a beaucoup plus de temps pour se questionner que de temps pour trouver les réponses. Posons les questions et aux autres de répondre. Il y a de tout dans le monde. Notre place personnelle est spéciale et nécessaire. L’occupons-nous?

Bertrand (@BDmoi)

Quand la conscience prendra le pas sur l’émotion

Quand la conscience prendra le pas sur l’émotion aurons nous la chance de connaître les nuances de la réalité suite à l’intense réflexion qu’y mettront les individus. J’ajouterai: mais nous nous serons morts mon frère. Actuellement les gens sont tellement sous tension perpétuelle qu’ils ont les émotions à fleur de peau. La quantité d’information est telle et le temps de réflexion si minime que les croyances dépassent le savoir. Y a-t-il du temps pour vérifier les informations qui traversent nos filtres de perception?

Personnellement, et je suis une exception, je le sais, je dors 7 à 8 heures par jour et parfois plus. Je les dors de 6 heures le soir à 2 heures du matin. De 2 heures le matin à 9 heures je réfléchis à ce que j’ai vécu la veille, je lis le monde autour de moi, je cherche des informations qui me poussent à écrire et me questionner sur un ensemble de sujets qui m’intéressent. Je sais, je suis hors de l’ordinaire. De 9 heures à 6 heures je mange et je fais mon bénévolat. J’ai beaucoup beaucoup de temps éveillé, presque 16 heures.

J’ai 70 ans et je n’ai pas de temps à perdre. Regarder les émissions insipides le soir me dégoûte, aussi je les dors. Je vis intensément et je suis, je crois sincèrement, pleinement conscient de mon environnement. Je suis heureux de ma vie, j’ai fait ce que j’ai pu, et je continue. Tant que j’aurai mon esprit, je sèmerai des instants de réalité que j’ai aperçus. Les ai-je inventés ou aperçus je ne sais pas. C’est pourquoi bien souvent je pose des questions, autant pour me contre-vérifier que pour exprimer ma curiosité.

La raison prendra le pas sur les émotions, je ne suis pas M. Spock, mais prendre le pas ne veut pas dire remplacer mais surpasser, quand les gens seront reposés et sauront choisir le bonheur au lieu de la possession. Je possède tout ce dont j’ai besoin, ou presque. Bientôt je devrai me déplacer avec une marchette, mais ça ne ralentira pas ma cervelle. J’aurai moins de temps de bénévolat et plus de temps de réflexion. Un esprit sain dans un corps Sain? Pas nécessairement, un esprit sain dans un corps reposé et synchronisé à la réalité qui est la sienne.

Faites ce que vous voulez. Si vous êtes pleinement satisfait de votre vie? Continuez vous êtes bien partis. Mais, si comme votre moral et votre morale, l’indiquent, vous souffrez de carences, et, il faudrait peut-être mettre du temps de côté pour les identifier et les satisfaire. Je vous le souhaite avant votre mort.

Bertrand (@BDmoi)

La malhonnêteté appelle à l’Incohérence

La malhonnêteté de l’individu appelle à son incohérence dans ses actes. J’ai débuté cet écrit avant la lecture du commentaire. for éclairé, de Boucar Diouf dans La Presse de samedi le 21 octobre.

https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2023-10-21/empathie-et-compassion-a-geometrie-variable.php?utm_campaign=internal+share&utm_content=ulink&utm_medium=referral&utm_source=lpp&redirectedFrom=https%253A%252F%252Fplus.lapresse.ca%252Fscreens%252F4f6d19b0-264a-45ba-9d67-6f9fa177dd0a__7C___0.html%253Futm_campaign%253Dinternal%252520share%2526utm_content%253Dulink%2526utm_medium%253Dreferral%2526utm_source%253Dlpp

La lecture de ce texte m’a permis de comprendre ce que je voulais exprimer dans mon texte. Boucar y arrive sans se faire traiter de moralisateur., ni de manipulateur. Alors lisez le et comprenez l sens du message.

Donc ne pas considérer l’autre son égal, produit toutes les affres de tous les comportements inhumains que l’On observe.

Bertrand (@BDmoi)

L’amour n’est pas affaire de coeur

L’amour n’est pas affaire de cœur ou de cerveau. L’usage abusif de mots et de formes pour essayer de décrire ce qui n’existe pas de fait. Si l’amour existait, il n’y aurait pas de Dieu ni d’être parfait. L’amour c’est accepter l’autre comme il est. C’est aussi ne pas forcer l’autre à paraître ce que l’On attend. Nos attentes sont ce qui détruit l’amour. La déception crée la peur et l’anticipation du pire.

Je suis dur pour nous les humains. Nos peurs et nos attentes nous font juger sur les apparences de NOS perceptions. Beaucoup de faussetés s’y glissent subrepticement. Compliquons le portrait en mentionnant que le sujet adopte les comportements de qui il veut paraître. L’amour qui est si difficile à trouver dans le réel nous est représenté par l’Idéal que nous serinent les troubadours à cœur de jour. Non, l’amour n’est pas affaire de cœur mais tout d’abord et avant tout de sincérité.

Dans notre société d’apparences, la sincérité et l’honnêteté sont perçus comme étant naïveté et innocence du cerveau. La réalité? IL faut être très fort et se connaître abondamment pour être sincère et honnête sur une longue période sans éprouver de dépression ou d’isolement. J’ai dû éprouver 15 années de désespoir face à mes perceptions et mes attentes de la société.

L’amour des autres commence par l’amour de soi-même. S’accepter comme on est et comme on nait. Mais la société nous déforme à son image. Est-ce le pourquoi de la rareté extrême de l’amour? Paraître est hypocrisie et domine dans notre monde. L’ignorance des gens et des choses réelles est telle que les croyances prédominent.

Faut-il l’accepter comme nature de l’humain? Vous avez le choix. Vous ne pouvez changer l’autre ni ses perceptions. Mais, vous avez plein pouvoir sur ce que vous émettez. Agir par habitudes est facile, agir avec sincérité et avoir l’Intérêt de l’autre à coeur est possible, mais, après un grand travail d’introspection. C’est la grâce que je vous souhaite et que je souhaite à tout humain.

Bertrand (@BDmoi)

p.s Conscientiser et suggérer n’est pas manipuler mais, dans les faits, aimer.

Les télécommunications ne sont pas les coupables.

OHHHHH que non! Les télécommunications sont un outil pour catapulter NOS COMMUNICATIONS.

La désinformation signifie, pour moi, le manque d’information sur la réalité. La désinformation est beaucoup plus grande que l’on croit. Encore est-elle insondable. Peu importe le degré d’instruction ou d’intelligence, et de l’émetteur et du récepteur de l’information, on véhicule très majoritairement des croyances et non des faits.

Communiquer est pris à la base comme volonté d’améliorer sa situation. Là est le nœud du problème. Bien des gens ne sont pas conscients de leur situation dans la réalité. Ne font-ils qu’évaluer leur position relative aux autres, selon les perceptions qu’ils en ont. L’émission est absolument irréelle car relative. La réception est absolument irréelle parce que le canal peut être compatible mais le code du message n’est pas commun. La langue joue pour beaucoup, il y a beaucoup beaucoup d’illettrés. Mais les émotions et de l’émetteur et du récepteur créent un immense et insoutenable bruit. Donc entre la communication et le moyen de télécommunication et celui-ci et le récepteur c’est déjà tellement de sources d’incompréhension.

Donc faut-il essayer de modérer ses émotions. Les mots ne sont que des outils qui dépendent de l’émetteur et du récepteur. Les télécommunications transmettent de mieux en mieux les modulations mais les émotions ne servent qu’à brouiller l’essentiel.

D’accord ou pas c’est votre choix car de mon côté suis-je absolument calme, quoique vous imaginiez de ma situation.

Bertrand (@BDmoi)

Les politiciens se gargarisent du mot “droit”.

Les politiciens se gargarisent du mot “droit” et ils ajoutent même international. Mais la situation mondiale est croche, absolument croche. Le jeux de coulisses avec les ressources naturelles en jeu, principalement le pétrole et les matériaux à vocation énergétique, dérègle tout ce qui appelle à l’honnêteté et à la collaboration des gens sur la Terre. Les politiciens s’affublent de pouvoir qu’Ils usurpent à la population. Pour être droit, le droit, devrait avoir préséance sur les armes, mais c’est un fantasme. En période de fin de conflit, entendre qu’Il y a eu un vainqueur, y a-t-il des règles qui sont émises afin de dire que de telles horreurs, commises dans le conflit, ne doivent plus se reproduire. Comme on sait l’Histoire ne cesse de se répéter.

Le conflit entre la Russie et l’Ukraine et le conflit entre la Palestine et Israël en sont deux exemples opposés mais éclairants tous les deux. Les lois de la guerre humaine sont telles que le droit internationale n’existe pas, de fait. Le jeu des alliances temporaires et conditionnelles alimente les conflits et font passer ceux-ci pour des raisons idéologiques. Mais, la réalité est toute autre. Regardez où sont les dépôts d’hydrocarbures qui restent sur une carte et regardez où sont les conflits. Reliez ces dépôts et les consommateurs et vous verrez les alliances se former et se déformer.

Notre monde n’est pas sale, il est réel, mais notre propension à l’égocentrisme nous fait élire des personnes qui nous promettent un futur plus agréable. Agréable du point de vue économique bien sûr. Mais le côté psychologique en prend pour son rhume et la liberté individuelle aussi. Alors à qui la faute?

Bertrand (@BDmoi)

Et si le but des amendes était…

Et si le but des amendes était de ne plus en donner? Les gouvernants, la ministre de la sécurité publique en premier, semble ne pas vouloir donner d’amendes au code de la route. Tolérer un certain taux d’alcool dans le sang, et conduire. Le manque d’information de la population relève de l’obscurantisme. Pourquoi la ministre ne veut pas, scientifiquement, élaborer sur la réalité de ce qu’indique un taux d’alcool dans le sang?

On n’a que des demi-vérités et pas de discussion sur les faits agglomérés. Je suis certain que le ministère possède les meilleures données en main. Pourquoi faire de la propagande et ne pas donner l’Heure juste. Décider pour nous. Ils se sentent le devoir de nous protéger de nous mêmes. Désolé mais, énoncez clairement les règles du jeu et les raisons qui les sous-tendent permettrait de comprendre au lieu d’accepter tout bêtement. Des amendes conséquentes et un taux d’émission de tickets plus réaliste amènerait sûrement une meilleure conduite sur la route.

La situation se détériore et, semble-t-il, qu’il n’y a que le porte-monnaie qui change la donne. Donc une amende salée serait peut-être plus adéquate. De plus la répétition d’une même offense pourrait augmenter le coût sensiblement. Assumer sa façon de conduire, si la police intervenait avec vigueur, calmerait bien des ardeurs, d’après moi.

Donc en conclusion, punissez nos offenses que nous commettons en connaissance de cause. Voilà. Au début ça prendrait plus d’agents et de radars pour la vitesse, cause première des infractions, mais aussi une compréhension générale des raisons exactes des règlements. Changer les comportements serait pour baisser le nombre de tickets. Mais…

Bertrand (@BDmoi)

Quand le mot “priorité” a perdu tout son sens.

Priorité:

Quel est le synonyme du mot priorité ?

Fait de passer avant. Synonyme : antériorité, primauté, supériorité, suprématie.

Cela fait on doit planifier les ressources nécessaires à son accomplissement dans un délai raisonnable. Voilà L’explication de tout ce qui va mal dans le gouvernement et dans la vie des gens. Dès le départ le jeu est faussé. On n’identifie pas les priorités ou elles sont trop nombreuses. Il faut alors fixer un ordre de priorité pour allouer les ressources nécessaires. Quand on n’a pas les ressources pour toutes nos priorités, il faut choisir. Choisir selon l’importance ou l’urgence.

Tout ça est connu de tous. Alors? Il manque une chose importante, un ensemble de qualités nécessaires pour accomplir cet ordonnancement: cohérence, persistance et jugement. Voici dans le désordre, ce qui manque à beaucoup. Ce n’est pas le mot priorité qui a perdu le sens de la réalité, mais bien les gens qui ont perdu le sens de la vie. Le sens de la vie c’est user de ses talents pour réagir à la réalité des choses en vue d’améliorer le monde où l’On est. Bisounours? Trouvez moi une orientation plus valable du sens de la vie.

L’objectif prioritaire des politiciens est d’être réélu et respecté. Ce faisant ils veulent contenter tous les votants. N’y a-t-il aucune urgence ni importance, le délai est fixé et la période des actions est la campagne électorale. On voit tout de suite où le bât blesse. Ce n’est pas une question de mode de scrutin ou de constitution. C’est une question de motivation et d’intention. Alors quoique vous pensiez ou quoique vous votiez, le vote sera ce que vous en avez choisi d’être. Une motivation personnelle basée sur les apparences des candidats ou des partis en cause.

Il faut donc utiliser son jugement et persister dans ses actions en allouant suffisamment de ressources à ce qui est important. Choisir est terrible car on ne voit que ce qu’On délaisse, c’est humain. Apprendre à choisir devrait être le principal enseignement des personnes. Le problème? Peu de gens savent c’est quoi et comment choisir. Donc, il est impossible d’obtenir un ordre de priorité qui soit valable. ON dilapide donc nos ressources, en commençant par le temps qui nous est donné.

Faites de ce texte, ce que vous voulez. Ce n’est pas de la bouillie pour les chats, quoi que vous en pensiez. C’est la leçon que m’a donnée ma vie. N’est-ce que la mienne? Je ne sais pas. Qu’en pensez vous pour vous?

Bertrand (@BDmoi)

Il n’est de gauche ou de droite

Il n’est de gauche ou de droite. Il existe un tas de gens insignifiants qui catégorisent leurs opinions. Ils ne sont pas capable de discuter ou de justifier de leurs pensées. Malheureusement ils en sont inconscients. Je n’ai de cesse de demander à discuter. Mais, c’est peine perdue. Je sais que je suis lu, mon site me donne des comptes-rendus. Il est infiniment triste que chacun se pense unique. Ainsi se sentent-ils isolés dans la sphère publique. Mais, bien des gens ne peuvent souffrir que je me sente impuissant. Ils disent tenir à la vie et que tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir. Ne sommes nous rendus qu’au soir de l’humanité, qui n’a pas réussi à combler la distance qui sépare des différences.

Aujourd’hui on est dimanche, un jour comme un autre. N’y a-t-il une différence que par la tradition de la religion et des calendriers. Toutes les catégories qui nous divisent, qui divisent le temps, l’espace et les gens. Les stéréotypes n’existent pas. Ce sont des outils de malheur que les gens se donnent pour essayer de comprendre ce qu’ils devraient accepter comme tel. On n’a pas à comprendre, on a à être qui on est et prendre l’autre comme il est. Mais, on est dans un monde d’apparences. Les gens adoptent à première vue des choses qu’ils n’ont pas eu le temps d’assimiler. La faute en est aux gens eux-mêmes. Ils n’ont pas conscience de vivre la vraie vie. Se confinent ils dans une stupide indifférence à ce qui les entoure pour prendre en considération ce qu’On leur raconte des alentours.

Alors pour du changement, il faut changer. Le confort n’est rien c’est de l’esbrouffe. Le vrai contentement vient d’un comportement satisfaisant. Aussi rapprochez vous de vous et trouvez ainsi ce que vous êtes. Mais…

Bertrand (@BDmoi)

Je suis pour la liberté d’expression

Je suis partant pour la liberté d’expression. Mais en aucun temps y a-t-il liberté d’intention. En aucun endroit de la charte est-il écrit que la liberté d’Intention existe et peut se transférer en action. Le code criminel est basé sur le jugement d’intention des actions posées par les criminels. Aussi faut-il cesser de faire des jugements intempestifs quand on présume des intentions de quelqu’un, basés uniquement sur le résultat.

Notre société est bien mal foutue. On idéalise ceux qui ont réussi à accomplir quelque chose d’inespéré mais on n’a de cesse de critiquer, ceux qui essaient quelque chose de nouveau, sans aucune pudeur. La réussite vient presque toujours après de multiples échecs. Mais il faut être persistant pour produire ce que d’autres, pour ne pas dire les autres, perçoivent comme têtu.

Sur ma tombe, qui ne sera pas parce que j’ai décidé de me faire jeter en cendres aux poissons, j’aurais voulu qu’on inscrive: “Il a essayé, a persisté et fait ce que le monde disent attendre des autres”. Mais à la vérité suis-je satisfait de mon parcours. Je n’ai pas toujours réussi ce que j’ai entrepris mais, l’ai-je toujours fait avec la meilleure intention. Même dans mes épisodes suicidaires, tout ce que je voulais, c’est débarrasser le monde de ma présence qui ne voyait que l’incohérence des paroles et des actions des gens.

Soyez indulgent face aux gens qui essaient. Ils sont dans l’accomplissement d’une vision. Faut-il s’interroger d’abord sur l’intention de l’action et non pas sur le résultat prévu. On n’a de cesse de réclamer la nouveauté mais on estime temps perdu celui a essayer. Les gens sont maboules. Ils sont d’une incohérence grave qui mène à l’inconscience. Je préfère, et de loin, l’Inconscience à la mauvaise intention.

Bertrand (@BDmoi)