Les médias ont une mémoire courte.

Les médias ont la mémoire plus courte que celle des proverbiaux poissons rouge. Ils se délectent de leur merde qu’ils changent à tous les jours. C’est peut-être ça que veut dire “la saveur du jour”? La presse en général, la radio parlée et la télévision ont sapé le peu de moments de réflexion des gens. Ceux-ci ont cessé de penser par eux-mêmes. Y a-t-il quelques irréductibles qui ne prennent pas ce que disent les médias pour la réalité pure. Depuis Caton le censeur, la guerre fait rage entre les deux puissances qui vivent sur ces terres du Moyen-Orient. Les médias nous servent la même rengaine depuis des lustres.

On vilipende l’adversaire pour nous faire paraître juste, de le combattre. Rien ne justifie la violence, point barre. Mais on ne nous fait que la voir, jour après jour, heure après heure. Comment se fait-il que le malheur des autres nous conforte dans notre misérable vie de tous les jours. C’est un mystère que je n’ai de cesse de décrier tous les jours. Je suis absolument satisfait de qui je suis et j’exhorte les gens à vraiment être eux.

C’est triste de voir que c’est moi le méchant dans l’histoire. J’ai gardé mon esprit d’enfance et ce n’est pas une figure de style. Vous savez, l’histoire du roi nu? J’étais cet enfant et à 70 ans le suis-je encore. S’il y a une chose qui m’horripile, ce sont les apparences. Plutôt que d’apporter des faits vérifiés, oui mais, complets devrait être l’objectif des médias. Mais n’en ont-ils que pour l’argent et la notoriété.

Panem et circenses (du pain et des jeux du cirque) Juvénal a dit ceci, et voilà ce que ça veut dire : Du pain et des jeux est une expression qui décrit comment le peuple peut être gelé, endormi par le divertissement et un accès aux premières nécessités. L’Empire romain disait du pain et des jeux et le peuple sera content. Il suivra aveuglément les lois des dirigeants. Aujourd’hui suffit-il de répéter ad nauseam: économie et emploi, afin d’obtenir le même résultat en apportant le pain et les jeux d’abord.

Je tiens les médias, et les gens des médias, pour responsables de la situation. Les politiciens sont des bouffons que l’On fait apparaître selon notre volonté. Mais, car il y a un mais, 1984 passera peut-être un jour. Et à ce moment, y aura-t-il encore des gens pour voir le roi nu?

Bertrand (@BDmoi)

Y a-t-il de quoi de plus stupide?

Piétiner un drapeau? Signe d’intelligence? Non, mais le montrer dans les médias non plus. On a le droit d’exprimer son opinion mais ne dit-on pas que ce qui compte c’est l’intention?

Il ne peut y avoir de bonne intention à faire volontairement ce geste. C’est un geste de provocation pur. Les médias ne ratent pas une occasion. Quelle est leur intention de le montrer? Pas leur justification, leur intention? On ne nous montre pas l’horreur des guerres, on ne nous l’explique pas, non! On nous la montre pour des raisons purement et absolument vénales. On cherche à survolter l’audimat pour augmenter nos revenus, c’est absolument abject.

Nous présumons, suite à un certain passé, que les médias sont là pour informer. Mais il n’en est rien dans les faits. La liberté de presse vient avec l’obligation d’informer. Pas de se servir des émotions des gens pour augmenter notre influence. Que ce soient les journaux, la radio ou la télévision, il n’est de réalité qui nous soit montrée. Ne sont-ce que des anecdotes que l’On monte en épingle pour faire exploser notre indignation. Il y a de la laideur dans le monde et les médias nous en éclabousse le visage continuellement.

Les médias agissent de façon stupide et nous y participons. J’ai arrêté de croire aux médias et je les suis pour les pourfendre. Mais leur influence est terrible car elle affecte les dires et les faires des politiciens qui modulent leur agenda en fonction de ce qui est repris par les médias. Démocratie?

Bertrand (@BDmoi)

OH la la! Un génocide ou l’autre, lequel choisir?

OH la la! Un génocide ou l’autre, lequel choisir? En se rangeant derrière une position, les pays internationaux choisissent un génocide. Tous ceux qui parlent d’éliminer une population, quelle qu’elle soit, font partie du problème. Les jeux de pouvoir et des égos humains des dirigeants, précipitent la planète dans une guerre qui a de plus en plus des allures de fin du monde, tel que nous le connaissons. Je n’ai pas peur de mourir. J’ai peur pour le Monde. Il est immonde et faut-il choisir qu’il disparaisse? Comme pour le climat, où l’humain pourrait faire preuve de sagesse, les paroles volent mais les choses n’évoluent pas.

Plein d’appels à la violence circulent sur les réseaux et dans les médias. Je suis stupéfait que personne n’appelle au calme et à la compréhension. La situation du Monde est complexe. Pas qu’elle soit compliquée elle est complexe. Ce qui n’est pas compliqué c’est de comprendre la bêtise infinie à laquelle un individu peut croire. Et le fait qu’un génocide a été tenté dans le passé, n’est pas un passe-droit pour en accomplir un autre. Ce qui est complexe est la conduite que l’on doit adopter avec ces individus. Je ne parle pas spécifiquement des arabes ou des israéliens, mais bien de tous ces gens qui disent en vouloir aux autres parce qu’ils sont différents. Bien des gens parlent de justice mais, elle n’est pas. Tout a un prix et celui de la justice est la mort de l’Injuste. Mais il n’y a personne pour juger du juste. L’Humanité est foutue? Le climat d’un bord, la guerre de l’autre? La bombe au milieu de tout.

Non, j’ai longtemps espéré mais je déclare forfait. Comme j’ai dit, je n’ai pas peur de la mort, j’ai vécu avec l’idée de celle-ci pendant des années. Mais, Les télécommunications ont amené une guerre planétaire parce qu’au lieu de permettre aux gens de discuter de leurs différences, elles n’ont fait qu’exacerber le fossé entre les individus, poussés par des gens insensés qui se réclament de savoir quel sens il faut donner à nos pensées et à nos actions.

J’en suis à mon 1697ième article sur WordPress. Dans presque tous mes articles j’ai parlé du sens de la vie, du bonheur possible et de la raison. Bien des gens imaginent, jugent, que je le fais pour des raisons de glorification personnelle. Sont-ils comme ceux qui regardent le doigt au lieu de regarder dans la direction où il pointe. J’ai fait mon effort pour la paix mais la raison n’est pas dans la tête des gens. Je ne sais ce que chacun pense dans sa tête quand il est seul, mais, en groupe, les discours des gens ne volent pas haut. Publiez des histoires toutes plus horribles les unes que les autres, des photos et des paroles de beauté bien dites, mais au final, n’est-ce que la folie qui règne. Folie: déconnection de la réalité et évasion au pays de l’imaginaire. L’idéalisme de chacun est le cauchemar des autres. Le monde n’est pas idéal et viser l’idéal est folie car il est irréel.

Bertrand (@BDmoi)

Peu importe l’Intention du créateur

Peu importe l’Intention et la bonne volonté du créateur d’une quelconque technologie, elle sera d’abord et surtout utilisée pour le mal. C’est quoi le mal? Le mal c’est la personne qui utilise la technologie pour son bien personnel aux dépends des autres pour profiter du fait que la technologie existe et est à ses débuts.

Prenons le cas de Bill Gates. Il fallait un standard pour que les ordinateurs fonctionnent et communiquent entre eux. Le mal du siècle est la standardisation. Qui dit standard, dit tous pareils ou du moins compatible. Notre monde de télécommunications repose sur une quantité de standards et ceux-ci, bien qu’intentionnés honorablement ont conduit à une technologie utilisée majoritairement pour exprimer tout ce qui va mal dans le monde.

On croyait que plus de télécommunications amènerait plus de communication entre les gens. Mais le contraire se produit. On n’a jamais été aussi isolés dans la foule. La bassesse des motivations individuelles surpasse les promesses d’amélioration des inventeurs et des concepteurs. La plupart cherche à régler un problème. Mais l’utilisation, par des individus qui ne sont pas évolués civilement, est réduite à une série de réactions puériles (naïf) en se disant que pour moi, ce n’est pas pareil. La notion de généraliser n’est valable que pour dénigrer les autres et non pas pour voir les effets monstrueux que produit une petite incartade.

Quand il y aura cohérence entre discours et actions individuelles, le monde aura péri depuis longtemps. N’est-ce que le silence qui parviendra à pacifier la planète?

Bertrand (@BDmoi)

La logique binaire n’a pas sa place

Nous ou eux, coupable ou innocent, pile ou face… Même une pièce de monnaie a plus que deux surfaces. Il y a la surface de la tranche qui délimite la superficie de chaque côté de la pièce. Le monde est en trois dimensions et pas en deux. Il est certain qu’il y a des extrêmes mais la réalité est toujours (98%) entre les deux. La logique binaire de BUSCH nous amène à la fin de l’humanité.

Il nous faut sortir des extrêmes dans nos opinions. Quel que soit le côté que nous choisissons c’est le milieu (98%) qui écope. Les extrémistes sont des terroristes, de chaque extrême. Le droit international? On s’en fout dépendant du côté où l’On se trouve. Les opprimés le réclame et les opprimants n’ont aucune réprimande.

Il nous faut, réalistement nous défaire des catégories binaires, elles sont irréelles. Donc, cessons de regarder la planète comme divisée en deux camps. Chaque partie de la planète s’est divisée en trois. Ça en fait donc des milliers. IL y a les assoiffés de pouvoir (1% de chaque extrême opposé), ceux qui les supportent(5% de chaque côté) et la grosse majorité (90%) prise entre deux feux et ne sachant utiliser leur pouvoir. Les chiffres sont là pour indiquer les proportions et ne sont pas à discuter.

Donc où vous situez-vous? Moi, je suis de centre (extrême) et j’essaie de conceptualiser la situation en fonction de la tranche du temps immémorial. À mon point de vue, les extrêmes ont tort et sont très loin d’avoir raison. Leurs actions sont abominables. La guerre est en faits. Il faut que la majorité se lève et conspue tous les belligérants. Mais, la plupart des gens (98%) essaient de ramasser ce qu’ils peuvent des miettes laissées par les conquérants s’opposant.

Bertrand (@BDmoi)

Essayer de mobiliser est dur

Essayer de mobiliser est difficile. Pourquoi? Soit que:

  • les gens ne se sentent pas concernés
  • ils ne savent la différence entre un j’aime et un retweet
  • ils sont égocentriques
  • ils ne voient que ceux qui s’adressent directement à eux
  • ils sont en état d’hypnose larvaire

Je suis méchant? Pas du tout je suis interrogatif. 29 personnes ont lu mon texte d’hier qui appelait au retweet.

https://bdmoi.mdugre.info/vivre-et-laisser-vivre-3/

Il concernait les affres de la guerre, des politiciens et des religieux et leur rôle dans celle-ci.

L’action à laquelle j’aspirais était, pour une fois, que les gens manifestent à leurs abonnés de lire le texte et le soumettre à leurs abonnés. 4 l’Ont fait. Je n’ai de cesse de dire que Twitter est un merveilleux outil dont on se sert très mal. Blâmer Musk est futile car il n’a pas d’influence sur ce qu’on dit à nos abonné(e)s. Nous sommes responsables de nos actions et de nos inactions. Ce ne sont pas les autres qui nous empêchent d’agir, mais nous.

Alors si vous lisez ceci, ce message s’adresse aussi à vous. Faites circuler, par un retweet, les messages valables à la même vitesse que vous partagez vos frustrations sur le net. Ni plus, ni moins.

Bertrand (@BDmoi)

Vivre et laisser vivre.

Vivre et laisser vivre ou vivre et laisser mourir? Les politiciens, tous, ceux qui parlent et prennent position et ceux qui se taisent et accumulent leur pension, c’est ridicule mais c’est mon impression, ont plus le talent de s’Ouvrir la bouche que de dire quelque chose d’intelligent.

Ce matin des visions d’Horreur me hérissent les poils sur les bras et me font resserrer à l’extrême les organes. Tous ces conflits qui durent et perdurent et qui seraient absolument résolus si on faisait se battre entre eux les religieux, les politiciens et les têtes chaudes. L’horreur de ce monde est utilisée pour anéantir les volontés de révolte des gens qui en ont assez.

Faut-il vivre et laisser vivre? Tout le monde, ou presque, le dit. D’un côté de la Terre à l’autre, du haut en bas. Pourquoi les peuples ne se soulèvent pas? C’est incompréhensible. IL y aura une foutue guerre mondiale et on l’aura vue venir. Les médias nous ont tout montré, la stupidité des diplomates et des politiciens qui jouent à un jeu qui ne profite qu’à eux. Pendant ce temps des militaires et des civils, des innocents et des coupables, des soeurs et des frères souffrent et meurent des paroles insensibles de gens qui se croient inestimables. Effectivement ils ne valent rien. La planète est réunie par un réseau de télécommunication et il pourrait signifier la communion de ceux qui ont leur raison.

Mais, les gens ont peur, ils ne vivent pas et n’utilisent pas leur pouvoir. IL faut débarquer de tous les médias et prendre la rue. Séparer les belligérants de gauche et de droite, de religions, de sexe, de couleur et de tout ce qui divise. Des gens intelligents et des gens de coeur le feraient, mais, il faut croire que…

Bertrand (@BDmoi)

P.S. retwitter et répandre le message un max. À faire suivre à tous vos abonnés.

Faut-il pleurer? Faut-il en rire?

DE tous temps les jeunes générations ont été fantasques. N’est-ce que dernièrement, les Z et les milléniaux, que ceux-ci sont désabusés. Désabusés de quoi? OK BOOMER, est la réponse. De tous temps, il y a eu des jeunes entreprenants, vigoureux et énergiques et une majorité de jeunes nonchalants.

Qu’y a-t-il de nouveau aujourd’hui?

La proportion de chaque camps, la réalisation de la futilité du système social dans lequel on vit mais, surtout, la réalisation de l’échec total de la génération des boomers (dont je fais partie).

D’après moi il y a de nombreuses causes à ce qui s’est passé. La principale étant la facilité avec laquelle les boomers ont trouvé de l’emploi, des conditions économiques favorables (après guerre reconstruction), avancement de la production de masse, et bien d’autres choses ont contribué à l’essor mais, l’embourgeoisement individuel, le contentement et les conditions de vie ont précipité les idées de révolution des jeunes vers la rigidité de pensées des personnes âgées et satisfaites, qui n’ont pas affronté de périodes difficiles.

Le principal point de différence entre les temps immémoriaux et maintenant? La présence totale des médias de masse. (Journaux, radio, télévision, réseaux sociaux) Tout cela contribue à l’illusion que nous ne sommes rien et que nous n’avons qu’une valeur symbolique parmi la multitude. Le pouvoir de l’Individu a disparu de la démocratie pour asseoir le pouvoir du groupe, même extrêmement minoritaire. Les médias, tous, n’en ont que pour les clics des réseautistes. Il y a une saveur du jour, choisie par qui, que l’On exploite à l’extrême et ce absolument rapidement pour écrémer la nouvelle et passer à une autre pour continuer à subjuguer les gens. Créant ainsi un effet d’isolement personnel.

J’en ai énormément contre les médias, je l’avoue. Mais, si on regarde l’évolution des choses et des gens, quelle autre explication, même partielle, peut-on y trouver? Les télécommunications et la communication de masse a suivi la tradition de Goebbels et ont été utilisés pour manipuler l’individu et le rendre impuissant, personnellement. 2023 est plus près de 1984 que l’On pense. Est-il trop tard? N’est-ce qu’une étape vers la révolte?

Bertrand (@BDmoi)

IL est une chose terrible et indescriptible

L’envie de mourir.

Bien des gens évitent de penser ou de parler de la mort. Beaucoup en parlent et ne l’ont pas expérimenté. Beaucoup ont essayé de mourir et aussi, beaucoup ont réussi. C’est un sujet inépuisable. J’ai passé par des années de pensées suicidaires et j’ai un immense respect pour la mort, cependant j’ai fait la paix avec elle.

Mais on ne parle pas de la vie. Certains philosophes se sont prononcés sur le bonheur ou sur des manifestations de vie. Le sens de la vie, je l’ai trouvé: c’est de la naissance à la mort. Ce que l’on fait dans la vie n’a pas de sens. Ce que l’on fait dans la vie, pas par pas, détermine le sens que l’On donne à la vie. L’issue en est la mort, c’est certain. Cessons de parler d’elle, elle arrivera comme elle arrivera. Soyons plus circonspects au prochain pas que nous faisons.

En projetant la direction des 3 derniers pas que l’On a faits on peut voir le sens que l’on a donné à notre vie et où elle mène à terme. Très peu de gens le font. Les gens fonctionnent à l’aveugle et ne se projettent pas dans le temps et l’espace. On peut voir, en extrapolant le passé, si on marche en ligne droite ou non. Dans un cas comme dans l’autre ce n’est pas important, l’important c’est de savoir si on en est satisfait ou non. A-t-on vécu et expérimenté la vie? A-t-on simplement fonctionné selon l’habitude, d’une semaine à l’autre? En se demandant quoi de neuf, quand chaque pas que l’on fait est le même que la semaine précédente. Qu’il s’effectue dans les mêmes traces?

Cet écrit se veut seulement un rappel de s’arrêter, de faire un état des résultats et planifier le restant de sa vie jusqu’au prochain moment d’arrêt et de validation du passé depuis la dernière réévaluation.

Bertrand (@BDmoi)

P.S. Il n’y a aucune morale dans ceci, n’est-ce qu’une sonnerie de réveil.

Sommes nous tous des vivants?

Sommes nous tous des vivants et non pas des gens âgés différemment? Généraliser que ça soit par n’importe quelle identité personnelle, est terriblement courant et nous expose tous au découragement. Que ce soit l’âge, le sexe, la religion ou quoi que ce soit qui soit envisagé comme dénominateur commun pour catégoriser et appliquer une caractéristique s’appelle stéréotype. Le cerveau humain, tel qu’on a développé sa culture, fonctionne par catégories. Tous, basons nous notre impression sur les apparences évidentes et cherchons nous à classer la personne devant nous.

Le pire de toute l’affaire est qu’il n’y a pas beaucoup de gens qui correspondent, en tout point, à la moyenne. Tous sommes nous différents dans l’ensemble. Pour connaître un individu il faut dépasser les apparences et essayer de voir la personne. Mais, nous sommes trop pressés. Nous nous fions souvent à notre première impression qui, souvent, est fausse. Bien des belles relations sont démarrées sous une fausse première impression.

Essayer de comprendre le monde en catégorisant chaque personne c’est comme essayer de confectionner l’image d’une pomme à partir d’un bol de compote. Tous nous sommes différents dans nos similarité et aucune similarité ne peut prédire qui on est. On le sait mais, on a été éduqué à partir d stéréotypes. Fais ceci ou cela, ne sois pas comme ceci ou cela… On nous déforme à nous former.

Les gens sont ils mêlés de toute la culture où ils sont nés. La civilisation s’améliorerait beaucoup, d’après moi, si on élaguait bien des choses dans la culture qui ne sont en fait que des préférences et non des dictats.

Au train où vont les choses, la polarisation des gens est une phase de transition de laquelle émergera ou bien la tolérance ou bien l’intolérance et la guerre. Sommes nous mal partis? Je vous laisse en vous portant à réfléchir sur le sujet.

Bertrand (@BDmoi)