Quand l’émotivité a sa place à l’assemblée Nationale.

Quand l’émotivité a sa place à l’assemblée Nationale, faut-il se surprendre du cynisme des médias et des citoyens? Tous ont subi les affres de Bernard Drainville à l’Assemblée Nationale. Le fait d’avoir les larmes aux yeux (prononcer zozieux) ne fait pas de Bernard Drainville un fou de lui. Les paroles qu’il a prononcées dans le passé le réalisent entièrement. Nul ne peut garantir le futur. Affirmer péremptoirement un futur réalisé dans ses pensées est une tare qu’il faut corriger.

L’Assemblée Nationale, dans toute son importance, se doit d’être un lieu de raison. Mais, n’en avons-nous que pour l’Infame périodes des questions stupides et purement émotives. Il faut faire disparaître ces manifestations débiles de la joute politique pour donner au moins une heure de délibérations rationnelles sur des problèmes sociaux.

Actuellement ne donnons-nous la place dans les médias que pour les manifestations grotesques des politiciens en période de promotion personnelle. Je suis complètement cynique. C’est, je crois, un signe d’intelligence. Le peuple est de plus en plus cynique. Cela augure-t-il d’un futur plus raisonnable? AH! que je l’espère.

Bertrand (@BDmoi)

Qu’est un mensonge?

Un mensonge: tromper délibérément. 2 petits mots qui demandent des tas d’explications. Commençons par délibérément.

Pour être délibéré il faut être conscient d’une réalité. Elle peut être actuelle mais peut pouvoir être changée. Quand on parle d’une chose dans le futur y a-t-il un monde à refaire. Tout est possible ou presque. Sait-on ce qui l’est ou pas? Il est possible que l’on croit une chose pour un ensemble de raisons toutes plus valables les unes que les autres.

Tromper? Accusation. Elle implique presque nécessairement la volonté d’induire l’autre en erreur. Ne faut-il pas un jugement d’intention pour arriver à cette conclusion. Nul ne peut juger de l’intention de l’autre. C’est un fait. Les médias n’ont de cesse de supputer les intentions suspectes derrière les actes de bien des gens. Tout est climat de confrontation et de méfiance.

Alors, suite au désistement du troisième lien à Québec, les médias s’en donnent à coeur joie et appuient fortement sur le terme mensonge.

Trois constatations personnelles:

  • le cynisme envers les politiciens va augmenter
  • Les médias vont perdre de la crédibilité
  • la polarisation va augmenter dans la population

Déjà bas dans l’opinion publique, les politiciens vont utiliser de plus en plus, pour se protéger, la langue de bois. Ils vont contourner les questions, parfois judicieuses, des journalistes, en mal de sensations fortes. Les personnes qui suivent le narratif des médias, vont être de moins en moins informées des intentions réelles des politiciens. Le pire, ceux-ci en auront-ils de moins en moins.

Ce faisant, les médias, qui ne rapportent que la foutue joute politique, n’informent pas les gens sur les tendances actuelles et futures. Ils ne font que propager des images de crainte et de peur en ce qui regarde le futur. De plus en plus en plus de gens réalisent ce fait et se détournent des médias. Les résultats des sondages montrent qu’il y a toujours des médias plus suivis que d’autres. Mais il y a une multitude de médias. Aussi sont-ils moins influents individuellement. Morcelant ainsi leur financement.

La désinformation n’ayant de contre information crédible nulle part, créera un atmosphère absolument invivable collectivement. Les sujets sont choisis, morceau par morceau, et mis en évidence pour être jugés sans contexte global. Chaque morceau est jugé en absolu à l’aune de l’idéal. On parle de principes alors que ce sont des anecdotes. On joue ad nauseam des statistiques toutes plus vraies les unes que les autres mais on n’en fait jamais la synthèse face à la réalité vécue et celle désirable, collectivement. On juge collectivement du comportement individuel que l’On généralise à toute la population. Les gens, ainsi conditionnés se prennent pour des juges et décident pour les autres des comportements qui sont acceptables, selon eux, et qui devraient être étendus aux autres.

La conséquence prévisible de tout ça? Je crois que c’est un morcellement de plus en plus prononcé de la population, et un regroupement d’individus de même pensée. Donc des groupes de plus en plus petits et isolés. La télécommunication amène malheureusement cet état de fait. Les gens sont isolés et ne peuvent plus supporter d’être contredits. Tout devient une question de qui le dit et non de ce qui est dit.

Donc un mensonge? Une question d’Intention? Une question d’attentes et d’interprétation des paroles de l’autre? DE plus en plus d’émotions et de moins en mois de raison. Impression ou prédiction?

Bertrand (@BDmoi)

Le son d’une autre cloche.

On reçoit beaucoup de récriminations des journalistes qui se plaignent de recevoir des messages haineux ou désagréables suite à la parution d’articles. Vous, les journalistes, qui aimez utiliser le mot “normal”, je vais vous dire que ces message sont normaux. Ils vont avec le travail. Tout comme les policiers ont vu changer l’objet des plaintes dans leur travail.

Ceux qui mobilisent suffisamment d’énergie pour envoyer un message, ils sont déjà peu nombreux, le font parce qu’ils ressentent une certaine émotion, pas nécessairement envers vous ou ce que vous avez émis. Se draper de l’étiquette de la personne qui a le droit d’Émettre ce qu’elle émet devrait arrêter la discussion là. Mais vous vous sentez offusqués et vous décidez d’utiliser votre plume pour pourfendre les gens qui utilisent les mots pour émettre leur réaction à des mots. Parmi les messages de haine, ressentie par les journalistes, il y a des malades mentaux. Sur une population de 8000000 de personnes, il y en a quelques-uns et ils ne sont pas tous sous médication. De plus certains émettent une impression générale qui n’est en rien reliée à ce qui est spécifiquement écrit. Vous me voyez venir, il y a autant de raisons de vous écrire qu’Il y a d’individus. Aussi, que vous considériez normal d’être applaudi par la majorité de ceux qui vous écrivent et que vous vous offusquiez de ceux qui vous houspillent est une perte de temps de votre précieuse sagacité qui est rémunérée et une plainte infondée de votre grandeur.

La notoriété a un prix normal. Cessez de vous plaindre des messages et des réseaux sociaux. Faites un portrait réel de la société qui agit continuellement pour le bien, ne faites pas que désigner le mal et, de grâce, faites le travail pour lequel vous êtes payés, nous informer, et épargnez-nous les épanchements personnels.

Une cloche qui tinte la réalité parmi le tintamarre médiatique actuel.

Bertrand (@BDmoi)

Les enfants ont toute l’intelligence.

Les enfants ont toute l’intelligence pour prendre le monde tel qu’Il est. Ils sont malheureusement très influençables pour apercevoir l’Irréalité du monde des adultes. Les adultes, par leurs comportements impulsifs, démontrent continuellement aux enfants que faites ce que je dis, pas ce que je fais. On dit que les gens sont mêlés mais c’est nous qui idéalisons les gens. On ne parle que de ce qui ne va pas, item par item. On utilise des mots comme normal ou interdit. Il faut essayer de regarder avec un regard d’enfant qui, lui, fonctionne par principes.

Avoir des lois basées sur des principes moraux est une chose souhaitable. Mais on ne parle que d’interdits et d’agir en bon père de famille (expression consacrée par la loi). Les enfants apprennent que les règles sont faites pour être contournées. Ils en ont l’exemple continuellement. Personne n’est parfait. Peut-on tendre lentement à la raison. Mais c’est beaucoup demandé. Aussi comme dirait Patrick Huard: endure et puis ferme-toi.

On n’a de cesse de houspiller les enfants. et surtout juger les enfants des autres, en fonction d’un acte innocent (non coupable) basé sur une idée personnelle. Enseigner la tolérance et la modération des réactions se fait intuitivement. Mais visuellement et auditivement en est-il absolument le contraire.

Nous traitons les enfants comme des robots que l’on dirige par la parole. Mais, de fait sont-ils des primates qui agissent et apprennent par la vue et l’ouïe. C’est une réalité que personne ne réalise totalement. Donc des principes, oui, mais de la cohérence aussi. Rien de nouveau sous le soleil parce que l’on répète ce que l’on voit. S’en sortira-t-on un jour? Pendant ce temps des gens s’entretuent pour mille raisons, toutes aussi nulles les unes que les autres (les personnes et les raisons).

Bertrand (@BDmoi)

Le conflit entre transport en commun et automobile.

Le conflit entre transport en commun et automobile est loin d’être réglé et se fait à armes inégales surtout si on tient compte des émotions. Comparer le coût du transport en commun à celui du transport personnel en automobile est une folie médiatique. Premièrement le médias sont Montréalocentrés. Il est une chose de parler de transport en commun à Montréal et une autre de parler de transport en région où le transport en commun est inexistant.

La synchronicité du problème avec la région et les décisions des politiciens est impossible. On prend le Québec dans son ensemble. On n’a de cesse de promouvoir les principe utilisateur-payeur mais on y contrevient continuellement. Mon point? On doit vivre avec les avantages et les inconvénients de l’endroit où l’On vit. Posséder une automobile à Montréal est un presque luxe et en région une presque nécessité. C’est une réalité à laquelle on n’échappe pas. Aussi faut-il en assumer toute la connaissance.

Je vis en région et je fais du transport bénévole. J’ai fait 16000 km l’an dernier en bénévolat. Je parle en connaissance de cause. Je refuse toujours des voyages à Montréal. Il y a le train pour y aller. Je suis d’accord pour amener au train mais pas plus loin. L’automobile au centre-ville est un problème majeur. Ceux qui pestent dans leur auto n’ont que ce qu’ils méritent. Subir les affres de la circulation et des détours. Les gens ne pensent qu’à leur confort immédiat et continuel.

Faudrait-il imposer la possession d’une automobile à Montréal? Oui mais pas n’importe comment. Il faut imposer les espaces de stationnements. Oui! Les bords de rues. Parcomètres partout en tout temps. Rendre le luxe de l’automobile un luxe. On peut subventionner une partie du transport en commun à cause des infrastructures qu’il commande. Mais il faut taxer le luxe.

Il n’y a aucun politicien municipal qui le fera. Rendre la ville aux gens. Ah! Ils vous en parlent mais quand vient le temps de mettre les bottines il y a une marge qu’on ne franchit pas. Il y a des gens, qui demeurent en ville, et qui ont BESOIN d’une auto pour déplacer des choses. Aussi doivent-ils payer pour leurs besoins. Qu’on établisse des tarifications spéciales pour des familles d’usagers je suis entièrement en faveur. Les villes disposent de tous les moyens pour le faire. Aussi faut-il rendre l’utilisation du transport en commun plus commun et l’utilisation de l’automobile plus dispendieuse. En somme, payer le vrai coût du vrai choix.

Des hordes de cris vont se faire entendre si on lit ce que je viens d’écrire. Mais le passé est passé et le présent est le présent. Il faut vivre avec les avantages et les inconvénients. La polarisation actuelle des gens est due aux tendances à conserver les avantages du passé et à profiter des avantages des nouveautés. C’est humain? Non! C’est animal. Un humain raisonnable est supposé utiliser sa raison pour tirer la satisfaction de ses besoins selon les ressources disponibles. Il est cependant une notion que l’On doit accepter et mesurer. Chacun cherche le maximum de plaisir et le minimum de trouble. Quand la notion de ASSEZ sera dans les paradigmes, peut-être le monde sera-t-il plus vivable collectivement.

Bertrand @BDmoi)

Payer le JUSTE prix?

Il nous faudra payer le prix juste et complet. C’est une réalité à laquelle on a échappé. Éventuellement on ne pourra retirer de la Terre ce que l’on a retiré. Il faudra recycler, de plus en plus recycler. Commençons nous à en saisir le sens. Séparer à la source de l’obsolescence ou séparer dans de vastes lieux organisés mais sales. Les compagnies de recyclage ont peine à exécuter la tâche. On a longtemps exporté nos rebuts. Mais ils commencent à nous sortir par les oreilles. On a encore l’habitude de fonctionner avec des matières pures raffinées, extraites de la Terre.

Le rythme de consommation de l’occident ne peut se transmettre à l’orient. C’est impossible. Les habitudes de surconsommation d’un milliard de personnes ne peuvent se répéter à 6 milliards d’individus. Il nous faudra ralentir notre consommation et trouver des façons de réutiliser l’inutilisable. Récupérer, recycler et réparer. Mais cela a un coût qu’il faut payer dès le départ. Donc payer le prix complet se doit d’être. Comment faire évoluer le fonctionnement des gens? Peut-on le faire doucement? La surconsommation a un prix qu’on ne paie pas au point de départ. Il faudra le payer un jour. Qui le paiera?

Bertrand (@BDmoi)

Quand être en avance est rater le présent

Tout n’est que question de dosage, de rythme. Le passé doit changer sur certains points, c’est le progrès. Peut-on mettre la pédale douce un peu. Les politiciens et les médias n’ont de cesse de nous projeter un futur apocalyptique pour nous vendre toutes sortes de salades enrobées de sauce toutes plus idéales les une que les autres.

C’est désolant et nous empêche d’apprécier le présent. Tout n’est que peur et que risque de devenir la pire calamité. Il faut se préoccuper des avancés de la science, c’est vrai. Mais préoccuper veut dire occupés avant le fait. Il faut prendre les choses raisonnablement. Qu’est-ce que ça veut dire? Ça veut dire, vivre, respirer par le nez et réfléchir avant d’agir. Mais l’émotivité des réactions polarise les gens et nous fait vivre un enfer permanent.

Il faut se déconnecter de ces salades indigestes et voir la vie de tous les jours comme une occasion d’amélioration des conditions et non comme une révolution qui attend toujours de s’accomplir. L’Homme modifiera toujours son environnement pour réaliser ses besoins. Mais fera-t-il en sorte de rendre à la Nature ce qui lui est dû.

Nous devons tendre vers cet objectif et changer l’inconscience du passé en connaissance des effets de nos gestes.

Bertrand (@BDmoi)

De l’utilisation de DES au lieu de LES.

Si on veut appliquer la logique des 0 et des 1, il faut être précis. L’utilisation de “les” pour désigner “des” est polarisante et fausse. Prenons l’exemple des drag queens. Personne n’utilise des et implique uniquement les enfants qui sont concernés. On applique à tous ce qui n’appartient qu’à quelques-uns. On généralise les principes alors qu’ils sont des cas particuliers.

Bien des dérives surviennent suite à ce mauvais usage des mots déterminants. L’utilisation immodérée de “LES” fait que le monde est polarisé. Cela vient-il particulièrement des effets de la Covid? Je ne crois pas. L’amplification des retombées est manifestement un résultat observable, cependant. La transformation de recommandations en obligations a transformé le langage des politiciens et des médias.

Les nuances sont complètement effacées. Personne n’oblige personne à quelque chose. Nous sommes libres de faire ce qui nous plaît. Mais nous devons en accepter les conséquences. La conséquence de fonctionner en généralisant les principes est l’atmosphère woke dans laquelle on baigne. Ne pas moduler les principes à ceux à qui ils s’appliquent, fait que l’On applique à tous un principe, le rendant ainsi faux. Rien n’est tous nous sommes différents à bien des points de vue.

Ainsi en est-il de l’utilisation de la logique et des raisonnements. Tout dépend de la justesse des prémisses. La plupart des gens utilisent adéquatement les principes de la logique. Le résultat dépend cependant des prémisses envisagées et agréées. Chacun présuppose bien des choses qui ne sont pas vraies. Ainsi la logique amène des résultats différents.

Donc faut-il discuter des prémisses admises avant de parler du résultat. Mais ça ne paraît pas dans un tweet de 280 caractères et encore moins dans un titre des médias. Vise-t-on à choquer ou est-ce une mauvaise habitude? Nous sommes mal élevés par des parents qui ont été élevés sous une forte pression sociale. La tendance à la conformité des temps anciens est maintenant révolue par l’explosion de la différence individuelle.

Puissions-nous en prendre conscience et ajuster nos façons de communiquer et de se parler. En ne le faisant pas, les médias courent à leur perte. En est-ce aussi des politiciens qui font des amalgames disproportionnés. Un changement est nécessaire pour le bien de chacun.

Bertrand (@BDmoi)

La liberté de quoi?

La liberté de quoi? Liberté se définit par le fait de faire ce qu’On aspire, de dire sa pensée, d’exprimer sa réalité. Liberté et normal ne vont pas de pair. Les gens n’ont de cesse de dire qu’il y a de tout dans le monde. C’est ça le résultat de la liberté. Le monde est libre d’être dans le monde qu’il préfère. Qu’il soit intéressé ou pas, d’accord ou pas, trouve adéquat ou pas, ne dépend pas de l’individu. Tout dépend de la réalité. La réalité est absolument diversifiée. Il est évident suite à ce constat que les idées préconçues sont heurtées par les modulations de la réalité.

Je suis un homme avec des qualités et des défauts. NON! Ce n’est pas vrai. Je suis un homme dont l’ensemble des caractéristiques personnelles est unique. L’existence même de quelque chose peut rebuter certaines personnes. C’est une réalité. Le problème est-il être ou juger de la pertinence? Suis-je responsable de la façon dont interprète l’autre? La liberté présuppose l’acceptation de la réalité. Mais l’hommerie c’est juger la réalité par rapport à ce qu’elle rapporte, bien souvent dans l’immédiat, à notre réalité.

La liberté est le contraire de l’imposition de pensée ou d’agir. Une personne qui s’offusque de ce que l’autre peut faire ou pas et dire ou pas, n’est pas libre. Elle est soumise à des problèmes d’ordre personnel. Aujourd’hui il faut s’affranchir des stéréotypes et des généralités. Le grand remplacement pourrait être le remplacement des religions par l’acceptation des choses telles qu’elles sont. Accepter les gens tels qu’ils sont.

Améliorer la civilisation devrait être l’objectif. Relativiser les gens et les choses à ce qu’ils sont. Pas à ce qu’on trouve normal ou pas. Pas à ce qu’on trouve désirable ou pas. Comprendre que généraliser n’est pas la réalité. La réalité est immensément diverse et ne s’exprime pas en totalité sur aucun aspect. La civilisation serait améliorée si les gens acceptaient que le soleil luit pour tout le monde. Tout le monde. S’attendre à un monde cohérent est humain. Notre éducation est ainsi faite. Faut-il revoir la réalité ou revoir notre conception de ce qui est acceptable ou pas?

Il y a des choses évidentes qui ne sont pas admises socialement, mais c’est censure de la réalité. Cachez ce sein que je ne saurais voir.- Molière dans le Tartuffe. La problématique est vieille et illustrée depuis belle lurette. On n’a pas évolué globalement. La réalité existe et ce qui nous choque est ce que l’on pense incohérent avec le monde tel qu’on se l’imagine. Le monde est le monde tel qu’il est, être un adulte accompli c’est accepter ce que la réalité est, ce qui ne peut se changer, et exprimer sa pensée sans brimer la liberté des autres.

Bertrand (@BDmoi)