Tout n’est que question de dosage, de rythme. Le passé doit changer sur certains points, c’est le progrès. Peut-on mettre la pédale douce un peu. Les politiciens et les médias n’ont de cesse de nous projeter un futur apocalyptique pour nous vendre toutes sortes de salades enrobées de sauce toutes plus idéales les une que les autres.
C’est désolant et nous empêche d’apprécier le présent. Tout n’est que peur et que risque de devenir la pire calamité. Il faut se préoccuper des avancés de la science, c’est vrai. Mais préoccuper veut dire occupés avant le fait. Il faut prendre les choses raisonnablement. Qu’est-ce que ça veut dire? Ça veut dire, vivre, respirer par le nez et réfléchir avant d’agir. Mais l’émotivité des réactions polarise les gens et nous fait vivre un enfer permanent.
Il faut se déconnecter de ces salades indigestes et voir la vie de tous les jours comme une occasion d’amélioration des conditions et non comme une révolution qui attend toujours de s’accomplir. L’Homme modifiera toujours son environnement pour réaliser ses besoins. Mais fera-t-il en sorte de rendre à la Nature ce qui lui est dû.
Nous devons tendre vers cet objectif et changer l’inconscience du passé en connaissance des effets de nos gestes.
Bertrand (@BDmoi)
La surpopulation fait peur, elle engendre bien des maux et menace notre civilisation. Cela dit, c’est l’industrie et le capitalisme insensible qui même le bal, ils adorent nos politiciens et médias . Rendre à la nature c’est Amérindien ça, on devrait l’enseigner.