N’en ai-je que pour parler du pouvoir des gens et de la puissance humaine.

Bien des personnes sont concentrées sur la vision à court terme de la vie. Elles ne prévoient pas et gèrent leur vie, affligées d’une myopie extrême. Socialement ou individuellement, n’en avons nous que pour le passé récent et ses problèmes passés.

J’écris beaucoup pour essayer de faire réaliser aux gens la grande force de l’imagination et le grand pouvoir de sa mobilité. Il y a tant d’opportunités qui existent autour de nous. Mais en n’ayant à l’esprit que les problèmes du présent on ne voit pas ces opportunités. Je ne suis pas un chantre de “vas-y t’es capable” mais bien un promoteur de dosage d’énergie qui passe par une imagination sollicitée de temps en temps et aussi bouger notre masse musculaire pour changer un peu le passé. Oui on peut changer le passé, dans le présent, en se projetant dans un futur différent.

Tout n’est que question de dosage de temps. La plupart des problèmes ne se résolvent pas complètement et immédiatement. La peur qu’ils se reproduisent occupe une grande partie de nos pensées. En éludant cette peur, en se projetant après la solution du problème, on libère notre pensée pour imaginer des contrées non explorées qui sont à notre portée.

Encore faut-il bouger sa carcasse pour que l’Imagination puisse être mise en réalité. En exemple, citons le fameux mode d’élection au Québec et au Canada. Nous parlons du problème de représentation des citoyens depuis des lustres. Le système électoral est dépassé. Il faut une plus grande représentation d’une plus grande partie des citoyens qui eux ont évolué. Le monde s’est complexifié et on n’a plus des institutions qui sont soumises à la volonté du peuple.

Il est maintenant temps de faire quelque chose. Quoi? Tant de possibilités s’offrent à nous. Il y en a tant que l’on ne fais que maugréer sur le système actuel. Personnellement je suis pour la disparition des partis politiques et des chefs de partis. Ça personnalise les débats et polarise la diversité de pensées. Une collégialité de talents, représentant les différentes couches de la société, serait d’après moi plus profitable à la démocratie.

On n’y arrivera pas d’un coup, mais une succession de pas peut nous y amener. Le premier pas serait d’avoir des coalitions pour pouvoir gouverner. Des représentations proportionnelles, selon le résultat populaire et non selon le nombre de comtés, serait un point de départ. Le mouvement pour une démocratie nouvelle est parti. Allons nous bouger pour le faire devenir un début de nouvelle réalité?

Encore faudrait-il essayer d’envisager les possibilités offertes par le changement. Mais ce ne sont pas les politiciens élus du système actuel qui nous y conduirons si on ne les pousse pas.

Bertrand (@BDmoi)

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