Différence entre inclusion et exclusion?

Il y a une extrême différence entre inclusion et exclusion. La société peut exclure mais ne peut inclure. C’est une réalité individuelle. Une personne peut exclure une autre personne de ses relations, elle peut aussi décider de l’inclure, mais n’est-ce qu’un personne. On peut empêcher l’exclusion dans un groupe ou une équipe par une loi. Mais ne peut-on forcer l’inclusion de qui ne veut pas ou ne peut pas s’inclure. Là le bât tue. Il brise la nuque de la société.

Beaucoup individualise ce qui appartient à la société et socialise ce qui est individuel. Tout est dans la Nature. IL y en a pour tous les goûts. En est-ce des gens comme des légumes (pourquoi cet exemple? pourquoi pas?) La plupart des gens aiment bien certains légumes et détestent d’autres. Pour quelles raisons? Autant de raisons sur chaque légume que de gens pour s’exprimer et juger.

Ceci étant dit revenons à l’exclusion et l’inclusion. On peut, individuellement, aimer ou ne pas aimer une personne. Aimer est pris dans un sens large ici. Mais la majorité des gens sont insipides pour la majorité des gens. Aussi partent-ils du principe que tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Ainsi la paix sociale a droit de cité ici. C’est différent dans nos relations interpersonnelles. On doit passer du général au spécifique.

Peut-on inclure ou ne pas inclure dans nos relations personnelles. Il semblerait, selon certains, et je suis de ceux-ci, que chacun peut choisir avec qui frayer. Le faire est une chose , le dire ouvertement en est une autre. C’est là qu’intervient la folie de l’Inclusion et de l’exclusion. On peut dire ce que l’on veut et ce n’est pas l’affaire des autres. Ainsi va la liberté d’expression. Mais tout a une limite.

Là où le bât tue c’est au niveau individuel. Chercher l’inclusion est un problème majeur chez ceux qui se sentent, pour une raison ou une autre, exclus. Ne le sont-ils que parce qu’ils ne participent pas et attendent qu’On leur demande de participer. Est inclus un participant et est exclus quelqu’un qui ne participe pas sans son consentement. Il y a des choses, et des gens, qui s’intègrent et d’autres pas. Peut-on imaginer une équipe de football qui représente, statistiquement, la grandeur dans la société. des individus moyens avec quelques grands et un super grand et des petits et un nain. Ridicule? Mais c’est l’essence du wokisme. Ce la implique NÉCESSAIREMENT l’obligation de résultat. A-t-on l’obligation de moyens pris pour la sélection mais, le résultat, doit être cohérent avec le but de l’organisation. Tout doit, quantitativement, ressembler à la dispersion individuelle dans la société. Établissements de quotas et d’exclusion de la majorité des candidats? Folie.

On ne choisit pas d’inclure des éléments productifs mais, des apparences sociales. Peut-on se surprendre de l’inefficience? Le critère n’est pas la compétence mais les apparences que l’on donne à l’extérieur de l’organisation. On a beau crier à compétence égale mais, n’y a-t-il que les apparences qui comptent quand la société se permet de juger des choses qu’elle ne connaît pas. On a beaucoup de commèrementateurs, des gens qui s’expriment sur tout et n’importe quand, selon l’actualité qu’ils décident de mettre de l’avant. Des coachs de galerie qui savent comment s’est terminé la partie, après la partie. Le monde en est plein.

À ceux qui m’opposent que j’ai écrit plein d’articles sur internet, je leur dirais: vous avez raison. Faut-il regarder le lien commun qui sous-tend mes écrits? On est puissant et on est maître de l’utilisation de notre pouvoir ou pas. Encore faut-il en être conscient. Là est le but de mes écrits. Conscientiser les gens sur le pouvoir dont Ils disposent. N’est-on exclus que si l’on se sent impuissant et inclus quand on démontre une puissance quelconque. L’atermoiement n’amène pas l’inclusion ni l’exclusion. Celle-ci est de fait mais tout ce qui compte c’est qu’on se désintéresse de qui se plaint constamment et surtout de la même chose. Le film “Rudy” a coûté 22millions de $ et raconte une histoire du rêve américain. Ce n’est qu’un film. Pour un Rudy, qui a joué 3 minutes, il y a des milliers qui ont trimé toute leur vie contre la réalité.

Je vous avise par écrit, ce que l’on veut on peux, est faux. Quand on SAIT ce qu’On veut et POURQUOI on le veut, alors on peut si cela CORRESPOND À UN BESOIN. Un besoin est irrépressible. C’est cela qui donnera l’Énergie nécessaire pour atteindre le but. Un désir n’est qu’une vue de l’esprit facile et n’amène aucun sursaut d’énergie pour affronter la tâche.

Ruminez ça un peu et on s’en reparle. Demander à soi est plus facile que d’exiger des autres. Mais plus exigeant de soi.

Bertrand (@BDmoi)

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