J’en ai contre les notes au bulletin!

Quand on se fie aux notes d’un bulletin c’est qu’on n’a pas vérifié les connaissances de l’individu. On a vérifié son aptitude à répondre à des examens ponctuels et normalisés. C’est faire confiance que les connaissances sont acquises et que les aptitudes sont là. Mais c’est tromperie. Un diplôme ne vaut que ce que l’évaluation ponctuelle des connaissances, vaut.

Quelle en est la synthèse que l’individu en a faite. On a le résultat de la normalisation des emplois et de l’usage de formulaires pour appliquer à des positions. Tout comme la notoriété et l’habileté à se faire élire est essentielle en politique, l’habileté à répondre à des questionnaires est la seule norme à l’emploi, surtout au gouvernement.

Faut-il se surprendre que l’effet combiné de cette façon de procéder et des dictats woke de quotas de représentation des employées et de promotion à l’intérieur de la fonction publique nous amène une dysfonction de plus en plus évidente de l’organisation gouvernementale. Traditionnellement c’était une plaie partisane qui se renouvelait ou pas aux élections. Maintenant c’est le hasard génétique qui règne.

Je vais être brusque mais la façon dont on corrige les erreurs du passé est la même que d’essayer d’équilibrer quelques gouttes d’eau dans deux verres en utilisant un baril de 30 litres porté à bout de bras. Peu importe la minutie on ne fera qu’un gigantesque dégât.

Nous avons délaissé l’approche humaine pour prendre l’approche binaire et sans évaluation nuancée. Aujourd’hui on élague selon des critères qui sont nécessaires à l’emploi ce qui laisse un nombre grandissant de personnes inaptes à l’emploi mais qui conviennent aux dictats des politiciens dont tout est dans les apparences.

Bertrand (@BDmoi)

Quand les élus font ce qu’on ne fait pas.

Les élus, élus pour gouverner, font des choix difficiles et les médias prennent tous les commentaires de tout le monde, mais ne publie que les très en faveur et les très contre. Le sort des citoyens réels, la majorité, est ignoré. Les médias parlent de cynisme de la population envers les élus. Je crois plus que le cynisme des gens du centre est dirigé contre les médias. J’en prend pour preuve le taux de vaccination des gens. 44% après un mois de début de vaccination est très bien.

Qu’il y ait un effet de ras-le-bol est certain. Mais de combien est-il? Les gens veulent être entendus? Ils le sont. Ils veulent être compris? Ils le sont. Mais les élus protègent, du moins essaient-ils fortement, la population dans son ensemble. Je suis plutôt du genre fataliste. J’accepte ce qui est, la Réalité, dans ce qu’elle a de plus agréable et ce qui est le plus désagréable. Qu’est-ce ça veut dire? Ça veut dire que l’on n’a pas le portrait réel de la situation et surtout qu’on se refuse à assumer les décisions du passé.

Il y a une optique de base que les élus poursuivent, la sauvegarde du système de santé. Vaccination, mesures sanitaires et tout ne visent qu’un objectif et c’est de suffire à la demande médicale. Mais elle ne suffit pas. Les cas s’empilent et les retards s’accumulent. La Réalité, les élus la connaissent. Je soupçonne les journalistes de la connaître, ils ont les faits en main. Mais on garde la population sous-informée. On reçoit plein de propagande de tous les côtés.

La Vérité n’existe pas. Il n’y a que les croyances des uns et des autres. Il est certain que dans le doute, plusieurs agissent au meilleur de leur connaissance. C’est ce qu’il faut faire, chacun pour soi. La liberté d’agir est là. Les élus utilisent tous les moyens en leur pouvoir pour essayer de contenir la marée. Ce n’est pas une vague, mais une marée de fond.

Nous sommes à un tournant historique où l’homme moderne perdra de sa superbe. Est-ce que ça se fera suite à une hécatombe suite à des causes de la Nature? Suite au monde virtuel qu’on essaie d’imposer aux humains par des humains déconnectés de la réalité par les richesses immondes qu’ils ont amassées? On verra.

Il y aura survie de l’humanité c’est certain. La vie est très forte. Mais il y aura une surmortalité sérieuse, tout d’abord parce qu’elle et prévue et inéluctable vu le vieillissement de la population, ensuite parce que la parade ultime au virus n’a pas été trouvée. Viendront les changements climatiques dans l’état où ils seront.

Les prochains 10 ans vont être terribles. J’en ai la conviction. Comment se préparer? Il va falloir choisir entre se battre individuellement, ce qui semble la voie actuelle, ou collectivement. La situation politique et celle des médias ne m’encouragent cependant pas dans ce sens. Nous sommes une société où les liens interpersonnels sont ténus et faibles. Y a-t-il la famille, et encore? Les vieux sont abandonnés dans des mouroirs, chacun essaie de tirer le maximum de la situation.

Je l’ai dit, je suis fataliste. Mais tout concoure à l’être. Je passe des heures à regarder autour de moi et à réfléchir sur ce que mes sens perçoivent. Je fais un usage intensif de la technologie pour ressentir le maximum des échanges que j’ai avec les gens. Le train est lancé par l’ensemble des choix qui ont été faits dans le passé. Le résultat de ce train est que l’on devra assumer l’ensemble des décisions qui ont été prises par les gens, ou n’ont pas été prises. On a cru les vendeurs de rêve? On croit les vendeurs du monde virtuel? Il va s’effondrer c’est certain. Les gens de la ville vont particulièrement écoper. Pourquoi? Parce qu’ils sont déconnectés de la Nature réelle. Ils sont extrêmement spécialisés et ne vivent que grâce au travail des autres.

Je suis très optimiste pour la suite des choses. Je considère la période actuelle comme la période d’élagage des gourmands sur un plan de tomates. Après cette période il y aura recentrement de l’humanité. Mais la période sera difficile. Vous pensez que la première vague a été dure? Je prévois un tsunami fort et dévastateur. Une force sourde de toute la puissance de la Nature. La superbe de l’Homme en prendra pour son rhume. Le cerveau humain est puissant mais n’est rien contre les lois de l’Univers.

Bertrand (@BDmoi)

Les fausses impressions ont la vie dure.

On associe facilement ce qui nous déplaît dans ce qui est différent mais très difficilement apprécions-nous ce qu’on s’est approprié des différentes culture et qu’On considère nôtre. :-))) Et C’est humain.

Rendre à César ce qui appartient à César est difficile. Mais en ce monde de télécommunication nous sommes heurtés par différents stimuli. Deux phénomènes sont apparus plus récemment et plus insidieusement: l’appropriation culturelle et l’amalgame des caractéristiques.

Dans le langage courant il est très dommageable que les gens utilisent indifféremment des mots à consonnances similaires. Commençons par le phénomène d’appropriation culturelle. Quand on expose sa culture, c’est d’abord pour la partager. Le phénomène d’appropriation est une hérésie de la religion woke. La culture n’appartient à personne. Ce n’est pas une caractéristique héritée mais plutôt subie. Nous avons été formés selon une culture qui est de plus en plus générale et planétaire. Donc se déclarer propriétaire d’Une expression ou d’une certaine culture est idiot. Tout au plus peut-on avoir été à l’origine mais après n’est-ce que son originalité qui essaime.

De l’autre côté l’amalgame, le fait d’attribuer à une collectivité une caractéristique quelconque est aussi farfelue, c’est l’inverse des stéréotypes qui agit. Attribuer à une personne une caractéristique qui se retrouve chez plusieurs à une personne ou attribuer à un groupe une caractéristique d’une personne à ce groupe est aussi dément et contraire au fait que chacun est différent individuellement.

Nous sommes prompts à cataloguer et discriminer sur la base d’une caractéristique. C’est très dommage et très dommageable. On juge les gens sur une apparence ou quelques traits caractéristiques. Juger les gens, à la base, est néfaste et hérité d’un passé lointain. Celui de juger si menace ou sécurité. On a transformé cet instinct en processus semi-conscient où l’on catégorise les gens. Plutôt que de discuter avec les gens on se fait une idée de base, rapidement et elle a la vie dure. Il faut, pour que la personne soit classée différemment, un geste bien souvent anodin pour nous alerter. Des mots utilisés innocemment démontrent ces faits. “Les”, “tout”, “chaque” et bien d’autres mots sont à la base de ces phénomènes. Il est très rare que les groupes désignés soient homogènes. Les jeunes, les vieux et tout le monde n’existent pas. Il y a DES jeunes, des vieux, et quelques-uns.

L’humain se portera un peu mieux quand il aura évolué dans son comportement. Mais il faut perdre cette habitude de juger au premier coup d’oeil.

Bertrand (@BDmoi)

Quand le gouvernemaman essaie de jouer à la superwoman.

Vouloir être parfait, en ce monde, est impossible. On veut tout mener et tout gouverner. Là est un immense problème entretenu par les commèrementateurs qui possèdent des réponse virtuelles et idéales à des problèmes réels vécus par les gens. Bien des gens ont des réponses simples à des problèmes de plus en plus complexes. Mais ce sont des vues de l’esprit.

Dans les années 50 et 60 ,une cohorte de jeunes s’est mise en route. On n’avait pas beaucoup et on a bâti un rêve. L’universalité de tout. On a bâti plein de choses qui font l’envie du monde. Mais maintenant on peine à les entretenir. Il est facile de partir de rien et de tout bâtir mais le temps nous rattrape.

Nous sommes maintenant rendus à l’heure des choix, dans une société qui s’est permis de nombreux excès. On doit choisir ce qu’on veut maintenir, dans les conditions actuelles. Choisir est difficile dans notre cas. On n’est pas habitué à ça. On demande toujours plus et les gouvernants essaient de contenter les électeurs. Nous n’avons plus le but d’une société juste et meilleure. Ce qui donnait une orientation aux désirs de la population. Maintenant c’est chaque citoyen qui piaille pour recevoir sa pitance. Au plus fort, la poche.

Les jugements des générations suivante seront durs. Car pour survivre, il faudra faire des choix. Choix veut dire abandonner des possibilités et opter pour ce qu’on veut. Mais on veut tout et ne rien abandonner. Un exemple est le cas des maisons ancestrales. Il y en aurait 3000 qui ne trouveraient pas preneur. Ce classement apporte des immenses charges aux propriétaires. Ceux-ci ne peuvent plus suffire.

Personne ne veut prendre la pelle pour entretenir le passé. Ce n’est ni bien ni mal, C’est un fait. Nous devons vivre aujourd’hui, il faut donc faire des choix en ce sens. Le premier choix à faire est de se demander qu’est-ce qui nous unit? Pas qu’est-ce qui nous divise? Mais pour ça, il faut choisir.

Bertrand (@BDmoi)

Des pensées destructrices quand on y pense.

Attention, attention. La phrase qui suit n’est pas de moi. Je l’ai lu sur twitter.

La vie est courte. Arrête de perdre ton temps avec les mauvaises personnes qui ne te permettent pas de vivre heureux.

Perdre son temps est une notion qui implique le profit. Être heureux ne dépend pas des autres, mais, de nous. Tout dépend de nos perceptions. Cette pensée positive entretient un négativisme populaire, celui que notre bonheur est une course où l’On a besoin d’appui. Suffit-il de dire que le bonheur c’est personnel.

En voici un autre exemple que je décortique.

Parfois, il vaut mieux faire semblant d’être un âne… Pour éviter d’être embêté par ceux qui font semblant d’être intelligent !!!

Nier la réalité n’est jamais s’approcher du bonheur. Celui-ci transcende l’instant. Il fait partie du bonheur, d’être ennuyé à l’occasion. Renier ce qu’on est est la principale source du manque de bonheur. En prend-on trop souvent l’habitude, car il est plus facile d’être un âne qu’intelligent. On veut éviter les troubles passagers, alors on se prémunit constamment. Cette pensée est négative à tellement de principes, comme celui qu’on ne doit pas juger les gens, qu’on ne doit pas inférer d’une personne sur une seule parole, et bien d’autres aspects négatifs que l’on pose souvent inconsciemment.

Les pensées positives, en général, n’exposent qu’un idéal irréaliste et surtout préjudiciables à notre image de soi. Personne n’est idéal, jamais. Encore peut-on s’améliorer mais, de quoi? De n’être pas franc avec nous-mêmes. Nous sommes ce que nous sommes et non pas ce que nous faisons. Les gens, pour projeter une image, disent des choses qui n’ont pas de réalité.

Pour être heureux il faut être près de soi, être le plus vrai possible. Une dernière pensée positive très négative?

Mieux vaut un mensonge qui fait rire qu’une vérité qui fait pleurer.

La vérité finit toujours par sortir. En suivant cette maxime il y aura 2 moments de pleurs et beaucoup plus graves: quand la personne va savoir la vérité et quand elle s’apercevra qu’on lui a menti. Les effets peuvent être catastrophiques.

Bertrand (@BDmoi)