La St-Valentin?

Un autre symbole qui ne veut plus rien dire. La société essaie de maintenir des symboles d’Union. Mais le taux de divorce et de féminicides et de détresse conjugale (de tous les côtés) montrent que c’est l’obligation de la démonstration de nos masques. Les marques d’amour sont souvent des bleus sur les coeurs. Les manifestations amènent des souvenirs douloureux.

Alors, fêter la St-Valentin? Excusez-moi mais j’ai 68 ans et je ne crois plus à l’amour dans cette société de “aime-moi, j’en ai tellement besoin mais, je suis incapable d’aimer”. L’amour est un don pas un cadeau….

Bertrand (@BDmoi)

Se battre contre la Nature est inutile.

Il n’y a pas de parade contre la force de la Nature. Celle-ci est toute puissante car le temps n’est pas un facteur. Tel un boa constrictor La Nature a la force du temps. Elle profite de chaque mouvement pour resserrer son étreinte. Les mouvements collectifs imprimés par les gouvernements ne sont qu’ignorance de ce phénomène. Se battre inutilement contre la Covid a démontré le problème.

Le virus est mortel, c’est vrai. Mais la parade humaine au virus sera-t-elle collectivement plus mortelle? La question se pose tellement qu’elle a fait surface dans les médias. On y parle de ces aînés qui ont perdu le goût de vivre pour ne dire que le moins pire.

Avec le temps, s’apercevra-t-on que l’espérance de vie descend? C’est ce que je crois. Cet épisode de 2 ans devra être suivi sérieusement pendant des années. On verra dans le temps, si on a laissé le boa resserrer son étreinte ou si on a réussi à se libérer un peu d’espace pour respirer un peu.

Bertrand (@BDmoi)

Prendre les gens pour ce qu’ils sont, aujourd’hui.

Il faut cesser de diviser les origines des gens. Un nom peut signifier une lignée mais pas les gens. Pourquoi les choses ne changent pas? Parce que plutôt que d’écouter les gens sur ce qu’ils disent aujourd’hui, on les filtre au-travers de leur passé, ne serait-ce que leur nom. Plein de stéréotypes filtrent nos sens et c’est dommage. Je sais que je suis idéaliste mais est-il possible d’espérer qu’un jour les gens vont écouter ce qui est dit et non pas qui le dit?

Pour se comprendre il faut s’écouter. On veut tellement aller vite que le passé perdure et on n’écoute pas ce que l’autre dit réellement. Aller vite nous empêche d’écouter ce que l’autre a à dire complètement. On l’interrompt, on pense à ce qu’on va dire, on réagit impulsivement tout pour nuire à la communication. Après on dit qu’on ne comprend pas les autres. On ne les comprend certainement pas, on ne les écoute pas.

Pour comprendre il faut d’abord accepter la différence. C’est nécessité. Mais les gens ne cherchent que la similitude, la concordance. La réalité n’est pas telle. On peut avoir un ou des points communs, mais c’est tout. Il faut bâtir sur ces points communs. Mais non! Il suffit d’un point de désaccord pour qu’on tombe dans la logique binaire: si tu n’es pas avec nous tu es contre nous. C’est le comble de la stupidité sociale où on est rendu aujourd’hui.

On qualifie les gens avant de les écouter. On a peur de l’autre et on s’en méfie. La détérioration de la société est la conséquence naturelle de ce phénomène. Partout, oui partout dans les médias, multiplie-t-on les gestes d’Horreur. (Grand H) Tout est rendu tellement horrifique que la beauté du monde n’existe plus. Les gens se réfugient dans l’univers de Disney et de Poudlard pour avoir une vue plus rêvée. Il n’y a pas urgence d’aller plis vite, il y a urgence d’aller plus lentement, prendre son souffle et son temps.

Les gouvernements réagissent promptement. Ils invoquent l’urgence pour accaparer le pouvoir de ne rien faire et de stopper tout. Mais, quand la population dit on stoppe tout, les gouvernements parlent d’Économie et d’insurrection. N’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre? Oui c’est possible. Il n’est pire sourd que celui qui a peur que l’autre lui dise sa vérité. Quelle vérité? Il n’y en a pas. Il y a point de vue de la Réalité. Point de vue de un et de l’autre. La Réalité est la même mais la vue est différente. Si on partage nos points de vue, ainsi aurons-nous une meilleure perception de la Réalité qui est vaste et complexe.

Bertrand (@BDmoi)

La vraie liberté a un vrai prix.

L’utilisation du mot vrai est superflue. Qu’est la liberté et quel est son prix? La liberté n’est pas faire ce qu’on veut quand on veut mais faire ce qu’on pense bien quand on le peut. La liberté est une valeur profonde qui a le bien de la société en toile de fond. C’est ce qui sous-tend l’importance du concept. Autrement c’est l’anarchie. Il faut s’en convaincre.

Il faut un gouvernement pour la société. C’est une évidence. Si on accepte le principe de gouvernement du peuple par la délégation du pouvoir individuel de l’électeur envers l’élu, cela devient une nécessité pour celui-ci de représenter l’électeur. Quand l’élu dépasse le pouvoir qui lui est délégué quel est le recours de l’électeur? Actuellement, il faut presque tomber dans l’illégalité pour manifester notre dissension. L’exemple des camionneurs en est une illustration bien représentatives.

Dans toute manifestation de groupe il y a des débordements. C’est malheureusement humain. Que ce soit des manifestations de joie ou pire des manifestations de colère. Actuellement, au moment où j’écris ces lignes, l’atmosphère est généralement bon enfant. Il y a bien injonction de faire taire les klaxons à Ottawa mais, ça c’est normal.

Les gouvernements qui se retranchent derrière leur pouvoir pour décréter ce qui est acceptable ou pas, amène l’obligation des électeurs de reprendre leur délégation. L’immobilisme du gouvernement Trudeau empire la situation qui dégénère de jour en jour. Geler les fonds de contributions publiques aux camionneurs ne fera que d’augmenter la pression des gens. L’augmentation de la force gouvernementale ne fera qu’intensifier le soutien de plus en plus de citoyens aux causes défendues par les insurgés. Insurgé est synonyme d’exprimer son désaccord. On parle de 30% d’appui au mouvement, ce n’est plus une exception c’est une masse respectable. La plupart des élections se décident sous la barre des 30%.

Le prix de la liberté, en groupe ou en couple, est l’écoute et la raison. La légalité n’entre pas en ligne de compte. Tout ce qui importe c’est la légitimité fondamentale. Qu’est-ce que ça veut dire en clair? Écoute et respect de la volonté de l’autre. Cela demande beaucoup de maturité. Cela est le fait des personnes pas des groupes. La foule, actuellement, se comporte en bons enfants et manifeste bruyamment sa volonté. Mais l’application de la force de la part des gouvernements fera basculer la foule en groupe. Ce groupe aura sa survie en jeu. Il y aurait affrontements majeurs et même, au Canada, soulèvement armé. C’est peu dire.

Donc le prix de la liberté est l’humilité. Savoir ce qui dépend de notre volonté et ce qui dépend de la volonté de l’autre. Quand on fonctionne en groupes distincts cela ne peut mener qu’à l’affrontement. Il faut humaniser les contacts et rendre possible la discussion terre à terre entre individus. Le gouvernement, en s’entêtant ne fait que favoriser la confrontation. Se retrancher derrière le concept d’illégalité ne fait que légitimer la désobéissance civile. C’est triste mais c’est la leçon de l’Histoire.

Bertrand (@BDmoi)

Joël Lightbound ou le symptôme d’une grave maladie.

La dissidence publique et la disgrâce qui en ressort montrent le point faible de notre démocratie. La partisannerie abolit la discussion et la représentation de la diversité dans la population. Ça fait longtemps que je dénonce les partis politiques. Certains croient que j’en fais une obsession. Pourtant je ne fais que dénoncer. Ce texte de 2017 en est la preuve: https://bdmoi.mdugre.info/a-quoi-nuisent-les-partis-politiques/

Joël Lightbound sera-t-il une fissure de trop dans la structure de notre démocratie? Il y en a eu d’autres dont Lucien Bouchard et Maxime Bernier pour ne nommer que les plus récents. Mais, ceux-ci font partie du problème parce qu’ils ont créé des partis. Joël (permettez-moi de l’appeler ainsi) lui, veut demeurer dans le parti et faire valoir le droit à la dissidence. D’autre(s) va ou vont le suivre. Il y a schisme en préparation au parti Conservateur, y aura-t-il schisme au parti Libéral? Je le souhaite presque.

La maladie ronge la démocratie, se référer encore à mon texte de 2017. La représentativité de l’électorat n’arrivera que par l’élection d’individus autonomes, responsables et imputables de leur vote en chambre. Les conditions de vie démocratique au Canada sont dans un état exécrable. Il faut absolument une réforme mais, ce n’est pas un parti politique qui y arrivera. Ce sera la volonté du peuple qui l’Indiquera. Le soulèvement amorcé par le mouvement des camionneurs sera-t-il le moment? Nous verrons. Mais les choses s’accélèrent.

Bertrand (@BDmoi)

Attendre, oui mais quoi?

On dit que la patience est la mère de toutes les vertus. C’est peut-être vrai mais encore? J’ai écrit ce texte en 2019 et il introduit bien mon sujet aujourd’hui.

https://bdmoi.mdugre.info/est-on-responsable-de-ses-attentes/ En gros j’y dit que l’On est en droit d’espérer une récolte si l’On a suffisamment semé. Dans le cas des légumes on sait ce que l’On a semé et on s’attend à des fruits précis. Mais dans le cas des humains c’est une toute autre chose.

Ceux qui attendent des autres, ou pire, qui s’attendent des autres sont appelés à être extrêmement déçus. Premièrement, l’attente est toujours trop longue et ensuite elle n’est jamais résolue de la façon dont on s’attendait. Se mettre en position d’attente est non vivable. La pandémie nous le démontre amplement. Bien des gens ont régressé sous bien des rapports par manque de stimulation. C’est l’attente qui les a ainsi diminués. Le fait de ne rien faire pendant ce temps.

Ceux qui passent bien le temps sont ceux qui s’occupent à quelque chose pendant ce temps. La télé et la radio ne sont pas de bons passe-temps car le contenu n’est pas divertissant mais déprimant. C’est triste mais les bonnes nouvelles sont rares. Les médias ne font que nous assommer avec de mauvaises nouvelles ou des actes violents ou encore pire ne nous montrent que des films ou des émissions remplis de conflits.

Donc il ne faut pas attendre quoi? Mais, il faut attendre comment? On doit s’occuper l’esprit et les sens et les muscles et l’ensemble de notre être. Pour se sentir en forme il faut s’occuper. Nul ne peut le faire pour vous. IL vous faut trouver des intérêts personnels, des gens à qui parler, des choses pour occuper votre esprit. L’attente, surtout au grand âge, est dommageable pour le corps et l’esprit.

Ne dit-on pas que tout ce qu’on n’utilise pas se détériore et déprécie? Les dégâts causés par les confinements vont exploser. C’est mon intime conviction et ce, pour longtemps. À moins d’un grand coup de barre, ce dont je doute, la vie des personnes âgées ne changera pas. IL leur appartient d’améliorer leurs conditions. Dépendre des autres, n’est pas une solution viable, car l’attente est interminable.

Bertrand (@BDmoi)

Vivre avec la pandémie.

La pandémie a évolué en endémie. Qu’est-ce que ça veut dire? Cet article de Radio-Canada l’explique bien.

https://ici.radio-canada.ca/jeunesse/maj/1859824/covid-endemie-pandemie-fin-normal

Mais on se doit de dire qu’il y a eu évolution. Parti d’un nouveau virus, absolument inconnu, à une phase endémique en 3 ans c’est grâce au miracle technologique de la pharmacologie. C’est passer au travers de plusieurs mutations grâce, principalement, à un vaccin. C’est formidable. Mais cela laisse un goût extrêmement amer dans l’esprit.

Le brevet du vaccin lui-même. J’ai soulevé le point jadis avec les organismes modifiés génétiquement. Le brevet d’un organisme vivant ou d’un vaccin nécessaire à l’humanité devrait faire l’objet d’une contribution unique et honoraire. Pas être reconnu selon l’habitude. Les profits faramineux enregistrés par Pfiser et Moderna et le secret de la fabrication du vaccin ne tient plus. C’est une contribution humanitaire qui doit être rendue disponible à l’ensemble de l’humanité. Il faut apprendre à différencier ce qui est utile de ce qui est nécessaire. Un éplucheur de pomme et un vaccin requis par l’ensemble de l’humanité n’ont pas la même portée.

Les sommes énormes dépensées par les gouvernements pour les vaccins ne tiennent pas compte des coûts. L’importance du vaccin est telle que celui-ci est inestimable. On ne peut apprécier sa valeur. Donc en mettre une, nuit à l’humanité. Il faut trouver le moyen de rendre le vaccin disponible à l’ensemble de l’humanité.

Bertrand (@BDmoi)

Schisme ou morcellement?

La société est divisée mais est-elle polarisée? Je ne crois pas. Je pense plutôt qu’elle est très morcelée. L’éclatement de la société est tel que le gouvernement démocratique n’est plus possible sous sa forme actuelle. Un schisme présuppose deux parties qui se font face mais cet état de fait n’est plus au Québec ni au Canada, ni dans le monde libre. La division est tellement grande qu’une multitude de partis ont vu paraître des positions complètement irréelles.

Dans une telle circonstance on se doit de refaire le système de gouvernement politique. On ne peut fonctionner avec de partis politiques dirigés par un chef unique. On doit parvenir à redéfinir la démocratie pour le 3ième millénaire. Celle-ci doit offrir un panorama de la société et une certaine unification des citoyens derrière un processus représentatif des courants sociaux.

Il faut, d’après moi, 2 choses importantes: élection d’individus qui représentent les électeurs et avalisation des lois par référendums populaires.

Par exemple un conseil législatif composé d’une centaine de membres élus pour une période de 6 ans, non renouvelable. Remplacement du 1/3 du conseil aux deux ans. Donc conseil composé 1/3 de nouveaux, 1/3 de vétérans et 1/3 de terminaux. Ceux-ci ont 2 ans pour laisser leur marque. Ils n’ont pas à affronter une nouvelle élection. On peut les répudier et procéder à une élection partielle si leur vote en chambre est contraire à leurs promesses en période électorale.

Pour ce qui est des référendums, idéalement, aux 3 mois il y aurait référendum citoyens pour rendre les lois votées par le Conseil, exécutives. Ça c’est une démocratie active.

L’idée globale est de rendre un vote significatif et de permettre aux lois d’être renforcées pleinement. Un vote d’un représentant qui n’appartient pas à une ligne de parti, un vote de citoyen qui n’appartient pas à un parti ou à un chef de parti, un vote de citoyen qui donne réellement une délégation de pouvoir de discussion à un individu, finalement un vote de citoyen pour les lois qui vont le contraindre.

Je ne sais si cette vue est possible socialement mais elle serait la concrétisation de l’idée de la démocratie née en Grèce. Je sais que je déroge énormément aux traditions de centralisation du pouvoir autour d’une personne ou d’un groupe restreint mais, n’est -il pas temps de mettre du sérieux dans le concept de démocratie?

Bertrand (@BDmoi)

Confondre matériel et humain est courant.

Mettre les gens dans des résidences pour personnes âgées pour leur bien-être matériel est oublier le bien-être humain. Loin des yeux, loin du cœur et bien souvent du téléphone aussi. Les liens familiaux sont ténus et fragiles. La vitesse de vie de cette société de consommation, nous a fait perdre l’essentiel de l’humanité. La famille a explosé, la tribu est chose du passé, et bientôt, très bientôt, il n’y aura plus que l’individualisme.

Est-ce un bien? Est-ce mal? Sera ce que sera. Personnellement, je crois que l’individualisme à outrance fera son temps. Le chacun pour soi ne pourra survivre au retrait des boomers qui ont soutiré le maximum de la consommation. Un logement pour chacun, des enfants laissés à eux-mêmes. Tout a un prix et celui-ci est exorbitant. Les générations séparées les unes des autres est un non sens. On frappera le mur quand la pyramide des âges deviendra un cylindre. Celle-ci ressemble maintenant à une tornade. Mais la base ne s’élargit plus elle se concentre et semble vouloir bientôt toucher terre et faire des ravages.

La raréfaction des ressources et les conditions climatiques vont mettre les humains à rude épreuve et la nécessité fera loi. Le modèle actuel poursuivi par les québécois n’a pas d’avenir. On ne pourra bâtir des logements luxueux pour des individus quand il n’y aura pas d’enrichissement personnel. L’individualité de l’utilisation des ressources est un modèle dépassé. On assiste actuellement aux premiers soubresauts d’un modèle en processus de mort. IL sera d’autant plus violent qu’on y résistera.

Il faut voir de l’avant et prévoir ce qui devrait se passer. Ce n’est pas encore ce qui se passe. On ne cherche qu’à revenir au passé. Mais il est révolu. La pandémie nous en donne un exemple édifiant et nous donne le temps de réfléchir à la suite des choses. Mais en profiterons-nous?

Les manifestations des citoyens, bien que pacifiques et joyeuses, même s’il y a des exemples de débordements sporadiques, dans ce climat nordique, ne peuvent que dégénérer si on ne les prend pas au sérieux. Les gens, naturellement, ont tendance à s’agglomérer. Les vieux sont ignorés, les jeunes sont délaissés, les autres sont essoufflés de courir à gauche et à droite. Quand tout ce beau monde cessera de se désoler d’être seul à se battre contre la vie, peut-être verrons-nous un rassemblement des personnes en groupes familiaux ou en communes.

Je semble désolé mais au contraire je crois qu’il y aura rassemblement des personnes. Sous quel modèle? Je ne saurais dire. Mais l’individualisme actuel ne peut perdurer. La nature a fait l’Homme grégaire et les ressources limitées l’Obligeront à respecter la raison. On a une crise à passer, mais tout passe, pourvu qu’on dure.

Bertrand (@BDmoi)

Les commèrementateurs se désolent et déchirent leur chemise.

Une division des gens n’est pas ce qui se passe. Une division de Montréal est le problème. Les médias sont concentrés à Montréal et détruisent l’atmosphère du Québec. Il faut absolument se détacher de l’ambiance délétère imprimée par les médias Québécois. La polarisation extrême des médias est d’abord et avant tout créée par la concentration idéologique des propriétaires réels ou supposés des médias.

Le 4ième pouvoir cesse d’exister quand il est harnaché au pouvoir politique. Idéologiquement, ils sont alignés à une vision. Celle-ci n’est pas de présenter une image réelle de la société mais de poursuivre un but de propagande et de formation des opinions. Les médias peinent financièrement. Ils tirent à tout azimut pour essayer de convaincre les gens de souscrire à leur option. Moi, le premier, je suis prêt à souscrire mais pas dans la forme actuelle de la propagande de tous les médias. Le pire c’est Radio-Canada qui, payé par nos impôts, nous inonde de propagande nationaliste et est de moins en moins crédible. J’en prend pour preuve le fait que l’On nous présente, à RDI, des résultats olympiques, au lieu de nous informer sur notre monde. L’information rétrécit comme une peau de chagrin.

Les gens paient par leur temps sur les réseaux sociaux, pour avoir une certaine vue du monde. Le monde est cacophonique et les réseaux sociaux le sont. Il faut utiliser son jugement et connaître qui émet quoi. C’est ce que je fais dans les médias et sur les réseaux sociaux. Sachant que la plupart des gens ont un parti pris, il faut analyser les dires et pas faire confiance à qui les dit. C’est un immense travail de concentration et de temps.

L’information sera la clé du pouvoir? Non! La désinformation guidera le pouvoir. La fin justifie les moyens et la fin n’est pas l’information mais le pouvoir.

Bertrand (@BDmoi)