Question

J’aimerais comprendre pourquoi on ne choisit pas d’abord les objectifs et le programme, pour ensuite chercher les personnes les plus aptes à les réaliser.

Pour moi le processus actuel est complètement  inversé et mène définitivement à la situation actuelle soit:Trudeau, Couillard, Legault et Lisée.

À part de ça Mme Chose?

À part de ça Mme Chose? Comment vont les petits? Il y a plein de faits de la vie qui doivent nous occuper. On ne peut rien contre la folie des Hommes, contre les événements décidés d’intérêt par les médias et autres communications dont on est inondé.

Fermer la TV, la radio, lire des livres et s’occuper des jeunes, voilà les occupations auxquelles on doit s’astreindre. Vivre autour de nous et laisser passer les étourderies de tous ceux qui nous représentent comme des enseignes sans raison.

Alors réveillons-nous, en attendant il se peut que ce ne soit qu’un cauchemar. Et si c’est bien réel et bien alea jacta est.

Bertrand (@BDmoi)

 

Quoiqu’On dise quoiqu’on fasse

Quoiqu’on dise, quoiqu’on fasse ils sont des évidences dont on ne parle pas. Les véritables effets sont si peu discutés dans les médias.

Une arrivée massive de migrants (légaux, illégaux, réfugiés ou autres) a plusieurs effets immédiats qui doivent être pondérés en fonction de la quantité et du lieu.

Pour ceux qui ne calculent que l’argent, c’est une augmentation sensible de l’économie. Surtout où se passe l’immigration. La paie des autorités qui ont la responsabilité de recevoir les migrants, augmente. Surtout qu’il y aura beaucoup de temps supplémentaire, ce qui est à prévoir à prime abord. Ensuite ces gens consomment, peu mais ils consomment. Beaucoup donne en signe de bienvenue ou autre. Ces dons font augmenter l’économie. Il y a plein de considérations économiques à faire progresser la démographie. On peut faire le tour assez facilement.

Mais il existe d’autres considérations. Beaucoup ont peur. Toute sortes de peurs. Là ce flux de personnes, comme il s’en est passé de multiples dans l’histoire, donne à réfléchir sur l’image que les gens ont d’eux-mêmes. De tout temps il y a eu vociférations pour restreindre l’accès des frontières. Il y a des flots naturels de migration et il y a des moments où il y a “crise” pour certains. Là où le drame est le plus grand c’est dans les endroits où la population est établie. Ce qui ressemble à la majorité de la planète.

Les gens n’ont pas confiance en eux. Ils imaginent les autres plus forts et par conséquent ont peur de perdre leurs privilèges. Il faut en effet être fort, ou fortement désespéré, pour partir comme ça vers l’inconnu. J’ai pour intime conviction que tout être humain, pour bouger, doit voir un avantage à soutirer en bougeant ou doit penser éviter un inconvénient en ne demeurant pas sur place.

Donc la peur n’est pas celle des autres mais bien la crainte (ou la certitude) de ne pas être à la hauteur. Désolant mais, c’est mon point de vue. Puissiez-vous me prouver tort?

Bertrand (@BDmoi)