Du principe d’égalité.

Égaux en quoi? On dilapide l’importance de l’égalité des personnes. IL y a égalité des droits de la personne. Mais établir une égalité d’apparences en détruit le fondement. La pierre est lancée, voyons les vagues. Personne n’est pareille à personne. Donc il y a différence. Toute différence amène discrimination de la part de celui qui voit. C’est humain et ne contredit pas le principe d’égalité de droit.

L’extension de la Charte des Droits à des choses qui sont conflictuelles en soi détruit la valeur de ce que devrait avoir une telle charte. LE PRINCIPE absolument prioritaire de l’égalité de sexe, chose que l’on ne contrôle pas à la base, est le point crucial de la Charte. Aussi celle-ci ne devrait pas consacrer des droits à des caractéristiques qui contreviennent, dans leur existence, à ce droit.

Il y a une différence entre consacrer un droit dans une charte et reconnaître une certaine présence dans la société. Mais cette nuance est disparue dans le langage populaire. Les jugements aberrants n’ont pas aidé dans ce sens. Drainville, avec sa charte des valeurs, n’avait pas compris cette nuance. Aussi. plutôt que d’attaquer le problème à la source, la Charte des Droits, a-t-il détourné le regard et attiré l’ire de bien des gens.

Trudeau a commis l’erreur, ou la ruse, d’intégrer la Charte des Droits dans la Constitution du Canada. Sa vision d’un Canada multiculturaliste transpire dans ce fait. A-t-il été brouillon ou extrêmement sagace? Trudeau était un visionnaire. Il avait une vision du monde d’après demain. Mais il y a un foutu entre deux. Aussi le vivons nous et y a-t-il des tensions extrêmes.

En conséquence, la dérive entre le Québec et le reste du Canada ne cesse de se produire. La prédominance de l’existence suprême de Dieu, dans la Constitution du Canada est une erreur monstrueuse qui divise le Canada. Nous avons plein de conflits dans le Canada qui proviennent du concept de séparation de l’ÉTAT et des croyances, en quoi que ce soit. Pour les régler, il faudrait enlever le droit religieux de la Charte. Mais, pour ce faire, il faut ouvrir la Constitution. Un panier de crabes, vous dites? Le Québec n’est pas, par nature, pareil au reste du Canada. Chaque province a des différences, particularités, avec l’ensemble du Canada.

Il faut arriver à s’en tenir à l’essentiel et laisser tomber l’accessoire. Avoir le principe unique d’égalité des droits de la personne. Mais, cela ne se fera pas. Pourquoi? Parce que les apparences sont trop importantes pour beaucoup. Faire un ménage est impossible tant qu’on n’ouvrira pas la Constitution et ça, ça ne changera pas car on n’a pas les modalités qu’il faut pour la changer. Ruse ou oubli? Je ne sais pas. Mais c’est un fait.

Bertrand (@BDmoi)

Il n’y a que 2 genres.

IL n’y a que 2 genres et ils sont solubles différemment chez chacun.

N’y a-t-il que 2 genres absolus. Les extrêmes sont rares. Mais il y a une infinité de dissolutions(La dissolution est le processus physico-chimique par lequel un soluté incorporé dans un solvant forme un mélange homogène appelé solution. Wikipédia

Chacun a la solution. Le tout c’est d’être et ne pas chercher à se faire reconnaître. Pour se trouver des amateurs faut-il se faire goûter par un ensemble de gens. Dans le lot il s’en trouvera quelques-uns pour emplir vos journées de joie et de bonheur.

Nous tournons sans cesse autour des mêmes personnes. Nous espérons être appréciés à notre juste valeur. La réalité, c’est que nous sommes évalués selon leurs valeurs. Chercher à se faire apprécier par quelqu’un qui ne vous apprécie pas est peine accumulée et perdue.

Faut-il saisir toutes les chances d’échanger avec les gens. Votre solution plaira à certains et déplaira à beaucoup plus. Il faut se promener allègrement et profiter des rencontres que la vie nous amène. S’arrêter parfois un moment avec une certaine solution mais ne pas s’arrêter pour autant. On peut for bien se promener à plusieurs et jouir de la vie. L’amour n’est pas le sexe. Ce n’est pas ça que chantent les chantres.

Toute la rancœur que suppose et amène la pensée de l’exclusivité de SA SOLUTION est survenue par la mauvaise éducation que des parents bien intentionnés nous ont transmise par leur exemple, contrairement à leurs paroles. L’esprit est fort mais la chair est faible.

Puissions nous réaliser que notre solution est unique et que le punch de la vie vient de la variété. Aussi faut-il réaliser que le sexe n’est pas le seul élément soluble. Nous sommes le produit de chaque goutte de chaque solutions que nous pensons.

Bertrand (@BDmoi)

Pourquoi PRÉSUMER du pire?

Pourquoi présumer du pire et ne pas chercher à aller chercher le meilleur? Bien des gens, j’oserais dire la majorité, ne pensent qu’à ce qui pourrait tourner mal si on essayait quelque chose. Il faut mesurer le pour et le contre, dans un monde imparfait comme le nôtre, c’est évident. Mais il y a lieu d’être persévérant dans l’idée pour voir les avantages et les inconvénients, là est le problème. On écarte du premier jet. Mais il y a un écueil qu’il faut surmonter. C’est notre tendance à tout mettre au pire: les problèmes rencontrés mais aussi les résultats attendus.

Le phénomène est compréhensible jusqu’à un certain point. Mais est-il poussé à l’extrême. Il s’agit du doute, qui, bien utilisé, diminue les attentes et évalue les problèmes. La plupart des gens en restent là. Voilà, d’après moi, la principale cause de l’inertie. Pas que les problèmes surmontent les avantages mais. que l’On en reste là. 100 fois sur le métier, remettez votre ouvrage. Le génie est 5% d’inspiration et 95% de transpiration. Et si le génie était jumelé à la patience? Peut-être serait-il, 5% d’inspiration, 40% de réflexion et 55% de transpiration?

On écarte une idée à la simple pensée raccourcie. Prendre le temps de réfléchir à tous les avantages perçus et à tous les problèmes que l’on peut imaginer et ensuite les reprendre un à un pour les apprécier (mettre une valeur) réellement. Cela prend du temps et pas beaucoup de sueur. Là est l’importance de remettre 100 fois sur le métier. Dans le temps on me disait qu’il fallait 68 idées pour partir un seul projet rentable au bout de 5 ans. Aujourd’hui est-ce pire? Je le crois.

La résultante est qu’on laisse passer un tas, mais un tas, de bonnes idées pour se réveiller un beau jour et se dire, à la sortie d’une nouveauté, j’y ai déjà pensé ou pourquoi n’y ai-je pas pensé? C’est ça la réalité. Des milliers de personnes en ont peut-être effleuré la possibilité mais ne s’y sont pas arrêtées. Aussi, ai-je toujours mon agenda avec moi et est-il barbouillé de gribouillis. Quand je prends conscience d’une idée, je la mets dans mon agenda. Quand j’ai du temps, et j’en ai beaucoup, mais, ça c’est une autre affaire, je puise l’inspiration de mes réflexions dans mon agenda.

J’attends beaucoup durant mon bénévolat, mais j’ai donc du temps à meubler. Plutôt que de pester sur le temps perdu, je l’utilise agréablement dans mes pensées. Suis-je serein et content de vivre le moment. C’est, je crois, le grand secret de ma patience et de ma bonne humeur et surtout, de ma persévérance.

Bertrand (@BDmoi)

Le symbolisme m’écœure.

Le symbolisme m’écœure et voilà succinctement pourquoi.

Le carrosse, le cortège, le trône, l’onction d’huile, le sceptre, la couronne, tous ces symboles de puissance ne sont que des vestiges du passé. Le 13 octobre 1399, quand Henri IV fut couronné, dans l’abbaye de Westminster, avec à peu près le même fla-fla, la quiche aux épinards en moins, on glorifiait le maître absolu de ses sujets. Lui, c’était le boss. Le Souverain Suprême. Il ne t’aimait pas la face, envoye au cachot ! Il décidait de tout. Maintenant, le roi ne décide de rien. Il fait semblant. Il fait comme si.- STéphane Laporte La Presse 6 mai 2023

Celui que j’aime le plus, comme symbole, est les éperons. Il symbolise la défense des pauvres et déshérités. Bracelets de la sincérité et de la sagesse? Quand le ridicule ne tue pas. Dieu protège le roi.

Beaucoup de symboles ne signifient plus rien dans le monde. Tout cet apparat ne signifie plus rien que dans le monde des apparences. Maintenir en place des apparences qui n’ont de répercussion dans la vie du peuple (sans jeu de mots) permet de dépenser des fortunes qui pourraient être utilisées à bien meilleur escient.

Toute cette mascarade de symboles du roi, d’un royaume qui n’existe plus, me font vomir. Combien d’argent, d’énergie et de sueur, et de ressources sont consacrés à cette folie. Des gens meurent de faim et de soif, de maladie non soignée et tout le reste, pour considérer cette mascarade comme un bienfait touristique.

Ce n’est pas mon opinion, ce sont les faits qui le démontrent. Que cette cérémonie fasse le tour de la planète me subjugue et m’informe que l’On aime que les puissants, et même les impuissants, fassent étalage éhonté de leur richesse.

Personnellement, un billet de loterie m’apporte la même occasion de rêver.

Bertrand (@BDmoi)

Les ZEXPERTS?

Que produisent les experts engagés par les médias pour nous dire quoi faire parce qu’on est trop stupide pour y penser par nous-mêmes. Du moins est-ce l’Image que cela projette. Les médias ânonnent les propos de supposés experts pour nous dire ce que serait un monde idéal si, idéalement, on agissait selon un problème bien précis. Aussi ne font-ils que supporter la conclusion de ce qui a été énoncé dans la question. Chaque médium a ses experts en tout.

Je suis absolument désolé de cette situation. N’est-ce que de la propagande à grande diffusion. Cela, d’après moi, pour le citoyen moyen, amène un tas de conflits internes et amène une baisse de confiance en soi et les autres. À force de se faire dire que nous n’agissons pas comme il le faudrait, nous en venons à nous déresponsabiliser par le syndrome de l’ignorance crasse. On se croit faible et ignorant face à ces gens (les zexperts) qui savent tout et qui sont payés pour le dire bien sûr.

Plutôt que d’expliquer et informer que, bien souvent, c’est anecdotique, on généralise à outrance et entretient un climat qui divise par la confiance qu’on a face à un individu qui, somme toute, élabore des théories qui ne sont pas plus valables que celles que nous pouvons imaginer.

On se réfugie sous le terme de SCIENCE pour mettre de l’avant UNE étude, qui confirme notre point de vue. N’est-ce pas de la science mais une observation qui demande à être confirmée par la reproduction de l’étude par des pairs.

En conséquence, même si je trouve certains Zexperts charmants, je suis toujours sur ma faim en ce qui concerne l’information que l’On tente de me faire ingurgiter par le doux son mielleux de l’expertise et de la science.

Bertrand (@BDmoi)

Être libre? C’est quoi être libre?

Être libre, le rêve inatteignable de bien du monde esclaves de ce que pensent les autres. Être libre c’est se coucher quand on s’endort, c’est se lever quand on s’éveille, c’est manger quand on a faim, c’est satisfaire ses besoins et ne pas être esclave de ses désirs et de ses habitudes. Je suis un individu atypique. Je fais ce que j’ai écrit mais les gens ne me trouvent pas normal et ne me comprennent pas. Ce n’est pas grave, je m’en fous. Je suis heureux mais incompris. J’irais même jusqu’à dire que je suis un personnage qui détonne dans le décor.

SE préoccuper de ce que les autres pensent de nous est un esclavage qui prend le temps que l’On pourrait utiliser à s’occuper de ce qu’on pense, personnellement, de nous. Ai-je dit juger? Non! Percevoir ce qui est important pour nous. Nos besoins. Ses désirs, on ne cesse de les ânonner. Ils sont les symptômes de nos besoins beaucoup moins nombreux mais plus persistants.

La liberté c’est donc agir pour obtenir la satisfaction de ses besoins. Pour les désirs, regardez les voisins et essayez de les compétitionner. Vous perdrez temps et argent mais le pire vous perdrez votre liberté.

Bertrand (@BDmoi)

J’ai une auto électrique, ouais pis?

J’ai une auto électrique, ouais pis? J’en suis bien heureux. Encore qu’elle m’ait enseigné une grande leçon. La perfection n’existe pas. Assumer ses choix et faire selon sa volonté. Action amène réaction. Le monde est ainsi fait, aussi faut-il choisir ou subir? C’est je crois, une question d’ordre personnel qu’on refuse de se poser personnellement.

En Marketing on parle du doute post-achat et c’est un phénomène connu. Dans les jours qui suivent l’acquisition, l’acheteur cherche à confirmer son choix. C’est humain et les compagnies dépensent des sommes importantes, dont communiquer avec la personne, pour la rassurer sur son achat et lui faire prendre conscience qu’elle est satisfaite.

Dans mon cas, j’ai une expérience de 13 mois et de 32000 kms. Ce n’est plus un doute mais une certitude. Jamais elle n’a flanché. Il faut dire que j’avais vraiment évalué mes besoins quotidiens et les performances annoncées par le fabricant. Il faut avoir de bonnes habitudes et prévoir l’imprévisible. Aussi est-ce que je branche toujours mon automobile à la maison. Même si j’ai suffisamment d’énergie dans la batterie.

Mais la plus fabuleuse question que l’on m’ait posée est celle-ci: qu’aurais-tu fait si tu n’avais pas été satisfait? Réponse immédiate de ma part: je l’aurais vendue. Même en perdant un petit peu. Risquer amène récompense ou perte. Ça je l’ai appris tôt dans la vie. Il y a une parade au risque, la connaissance de soi. Savoir que l’on peut toujours se déprendre d’une situation doit s’apprendre jeune. Connaître la notion de risque doit s’apprendre jeune. J’irais jusqu’à dire apprendre à perdre, parfois, doit s’apprendre jeune.

À surprotéger les jeunes on les condamne à la peur de l’inconnu. J’ai subi des échecs lorsque j’étais jeune. Scolaires et financiers. Mais j’ai vu qu’on n’en mourait pas. On continue et on travaille.

Bien des gens s’arrêtent à un échec, selon eux. N’en tirent-ils pas la leçon parce qu’ils restent sur l’échec. Aussi la peur gère-t-elle leur vie. C’est déplorable et entretient un climat pessimiste.

À surprotéger la population, et particulièrement les jeunes, on nuit à leur épanouissement dans une société équilibrée. Voilà, d’après moi, pourquoi la société n’est pas équilibrée mais a peur du changement.

C’est un aspect parmi l’ensemble, faut-il ajouter que la peur de l’autre amène les pires comportements personnels? Le sujet est vaste. Mais, à 69 ans ne puis-je que le mettre sur la table pour les autres de le considérer. Mais cela ferait un fabuleux sujet d’étude approfondie.

Bertrand (@BDmoi)

Nuances, nuances.

La polarisation amène la disparition des nuances. Choisir son camp est rendu la norme. Un ou l’autre. Ceux qui parlent de nuance sont vus comme des gens incapables de se brancher. C’est un signe des temps. Il faut opinionner et surtout ne pas avoir l’air d’hésiter. La réalité n’est jamais précise à ce point. Elle se disperse selon des nuances plus ou moins prononcées et tend rarement à une extrémité. Dans la population on assiste à la réalité. Mais, dans les médias, ce n’est pas le cas. Par soucis d’égalité, supposément, on présente les deux extrêmes avec une forte tendance d’un côté ou de l’autre, dépendant de l’Orientation du médium.

Cette représentation semble farfelue mais, pensez-y bien. Il y a de moins en moins d’information et de plus en plus d’affirmations de chroniqueurs biaisés. On présente une panoplie d’opinions tranchées, souvent opposées. Ce n’est pas de l’hyperréalisme c’est de l’épandage de détritus. On jette à gauche et à droite des splash d’idées, entre lesquels on laisse traîner de ténus fils qui insinuent des choses mais n’attachent rien. Tout est projection de stimuli grossiers, qui ne cherchent qu’à provoquer émotions et réactions.

Le bien est beaucoup plus difficile à provoquer que l’horreur. C’est malheureusement un fait reconnu. Aussi est-ce la raison de la baisse de moral et de morale dans la population. Les politiciens créent des images et par conséquent des attentes qui sont déçues parce qu’irréalisables. Surtout dans les délais impartis (100 jours). Avec les communications réduites à 10 ou 15 secondes spectaculaires dans un ramassis d’éclats qui durent 10 minutes dans les bulletins de nouvelles ou 6 pages dans un journal, on n’a pas l’espace nécessaire pour nuancer. Aussi y va-t-on au plus pressé et à ce qu’On pense qui nous rapportera le plus, le plus rapidement possible puis on passe à une autre catastrophe pour faire oublier la précédente.

Nuancer prend du recul, de l’espace et du temps. Dans notre société c’est devenu un luxe dont très peu de personnes peuvent se permettre la possibilité. Ce n’est pas une question d’intelligence ni de culture. C’est une foutue question de rentabilité. La question que la grande majorité des gens se pose est celle-ci: qu’est-ce qui peut me rapporter le plus d’argent, le plus rapidement possible tout en étant aussi facile à faire que se peut. Les nuances demandent à être juxtaposées, pesées et évaluées pour parvenir à percevoir une réalité diffuse. Mais ce n’est pas, dans la société, quelque chose de récompensé rapidement. Aussi faut-il persévérance dans l’effort et patience dans l’attente de résultats.

Warhol a dit: chacun cherche son 15 minutes de gloire. La course à la notoriété aujourd’hui est intense. Les émissions d’irréalité, que l’on présente comme des émissions de téléréalités, foisonnent à travers le monde occidental. Il semble que plus ça va, plus ça accélère. Nous rendrons nous au point démontré dans le film “Idiocratie”? La question semble plutôt: n’y sommes nous pas déjà? Prendre de l’espace, du temps et du recul nous permettrait d’apprécier (mettre une valeur) sur la réalité de l’affirmation. Mais qui en a le temps?

Bertrand (@BDmoi)

Jugements d’intention

Bien des gens jugent péremptoirement des intentions des autres. C’est un fait, pas un jugement. Cette affirmation je la constate régulièrement. Aussi vais-je partir d’un exemple personnel pour élaborer sur cette idée. Plutôt que de discuter du sujet en question les gens vont s’Interroger sur le pourquoi vous avez dit ou écrit telle chose. C’est, d’après moi, une des causes majeures des problèmes de communication sur Twitter.

Beaucoup me disent faire de l’autopromotion avec les textes que j’émets. C’est tellement ridicule qu’Il faut que j’explique. Oui! Je fais la promotion de mes textes, car c’est moi qui les écrit et ce sont ceux que je connais le mieux. Si je ne le fais pas? Qui le fera? Alors j’émets à plusieurs reprises sur twitter parce que c’est une question de synchronicité de parution et de lecture de sa TL. J’écris la nuit et les gens lisent à leur rythme. Alors j’envoie à toutes les demi-heures le lien du texte que j’ai écrit. Ainsi est-ce de l’autopromotion. Mais c’est le moyen. L’Intention c’est de faire parvenir un message quelconque. Mais les gens ne lisent pas le texte. Ils présument toutes sortes de choses tel: je veux me faire aimer, me faire des amis, être reconnu comme ceci ou cela, et bien d’autres choses.

La réalité? J’émets la nuit des textes pour m’éclaircir les idées et occuper mon cerveau et mon temps. J’aime écrire et je le fais, la plupart du temps, pour émettre des idées pour améliorer le monde autour de moi. Ceci sans prétention. Mon but réel, essayer d’avoir une discussion sur un sujet quelconque. Pas un débat mais bien une discussion.

Mais c’est, la plupart du temps peine perdue. Les gens ne lisent pas les textes mais s’interrogent et se répondent eux-mêmes sur le pourquoi j’ai tweeté. Je crois que c’est la cause de tous les tourments, ou presque sur Twitter. Juger. Émettre un jugement, personnel, sur le pourquoi une personne accomplit telle chose est très suffisant. C’est se penser le nombril du monde. J’ai maintes fois affirmé que twitter est une très bel outil et qu’il est merveilleux. Ce ne sont que les gens qui l’utilisent mal.

Alors lire ce qui passe et discuter du sujet serait plus adéquat que s’interroger sur le pourquoi une personne a émis quelque communication. Mais ce serait utiliser l’outil pour ce qu’Il a été créé, communiquer. Les gens semblent l’utiliser pour se défouler ou expulser une frustration personnelle. Désolant!

Bertrand (@BDmoi)