Semaine de la persévérance scolaire :-)))

Faites moi rire. Ânonner des idéaux et des comportements que l’On n’adopte pas soi-même. Notre monde est tellement superficiel que c’en est ridicule. Le monde se mentent et se croient. Plutôt que la semaine de la persévérance scolaire, où il serait opportun de multiplier nos connaissances et notre culture, on devrait plutôt l’appeler semaine du non savoir vivre.

Vivre c’est interagir avec son environnement, sa réalité. Pour cela il faut la connaître et savoir agir. Agir passe par une décision quelconque, réactionnelle ou réfléchie. Mais on n’a aucune idée de ce qui se passe. Aussi, ne sachant écrire et décrire la réalité avec des mots, sommes-nous condamnés à réagir émotivement.

Faites ceci ou faites cela? Qu’à cela on fait comme vous, RIEN!

Bertrand (@BDmoi)

Écrire est la base de tout.

L’article dit que lire est la base de tout. https://t.co/6QkvAm83Ja Le Soleil et l’auteur oublient que pour lire quelque chose, il faut qu’elle ait été écrite. Écrire est donc la base que l’on passe tellement sous silence dans les problèmes du système d’Éducation. La structure de pensée et le vocabulaire sont des nécessités pour écrire. Mais on passe l’essentiel sous silence. L’écriture est une technique et quand on la maîtrise un peu elle nous ouvre toutes grandes les portes de la lecture et de l’absorption de la réalité qui nous entoure. Ne pas être capables de mettre en mots, suivis les uns des autres, ce qui nous entoure et nous frappe, est la cause principale du désarroi de la société occidentale actuelle.

En cette semaine de persévérance scolaire, j’estime de la plus haute importance de mettre l’accent sur l’écriture, et la lecture. Connaître les mots et savoir les utiliser, préparent à tout le reste, de la connaissance et ce, pour toute la vie.

Peu importer le médium, ces aptitudes s’appliquent partout. Autant dans la sociabilisation que les relations humaines. DONC, savoir écrire, prédispose au bonheur. Ai-je tort?

Bertrand (@BDmoi)

Avoir voulu mourir pour son pays et …

Avoir voulu mourir pour son pays et se faire dire qu’on est un problème et que la solution est l’aide médicale à MOURIR? Au monde à l’envers et à TLMEP on parle de 2 drames connexes qui expliquent où on est rendu socialement. L’isolement provoqué par les individus envers les autres individus. Nous sommes envahis par des raccourcis intellectuels soumis par les gouvernements et surtout propagés par les médias.

Le meilleur de l’être humain s’exprime dans les tragédies. On se réunit pour aider les gens victimes de choses immondes. Mais, ne se réunit que lorsque la souffrance est palpable (autobus dans la garderie) ou quand on établit un lien, même ténu, de sympathie ou même d’empathie (vétérane brimée par le gouvernement). L’insensibilité de base est tellement rendue la norme, qu’il faut que les points soient mis sur les i et les barres sur les T pour qu’un début d’intérêt soit mis.

J’écris ce texte et je suis totalement déçu de notre société qui n’existe pratiquement plus. Tout n’est que problèmes immenses auxquels on ne peut rien individuellement. DE là l’irresponsabilisation individuelle. Les médias ne cessent de nous harceler avec toutes les histoires d’horreur et l’impossibilité de trouver UNE SOLUTION unique à chacun des problèmes. Il existe des tas d’éléments de solutions, qui commencent toutes par l’Implication individuelle de gens émus.

Qu’est-ce qui fait bouger? Je n’en ai aucune idée. Les gens tournent en rond dans une dynamique autodestructrice ou sociodestructrice. On se replie sur soi et on accorde beaucoup d’influence à ce que les autres pensent et on se sent minimes. Les gens semblent avoir tellement peur des résultats possibles que L’immobilisme les ronge.

On me traite de bisounours, souvent, mais suis-je une personne heureuse et empathique qui voudrait aider les autres à progresser. Je réussis modestement autour de moi, par mon bénévolat et la livraison de la pharmacie. En utilisant mon temps à parler avec les gens, je mesure mon bonheur et j’essaie d’en donner la possibilité aux autres. Nous sommes peu nombreux à le faire. J’ai l’impression que nous sommes de moins en moins. Ai-je raison ou tort?

Bertrand (@BDmoi)

Être différent, ouais pis?

Être différent sur un point n’est pas être différent sur tout. Qu’on mette cette différence de l’avant pour la mettre en évidence et généraliser le comportement d’un être différent à ceux qui partagent cette caractéristique est idiot, sinon puéril. Ceci étant dit, s’arroger des droits selon cette différence est aussi idiot et puéril. Se grouper, en fonction d’une différence, pour faire reconnaître cette différence est de l’Intimidation pure. On vous défie de dire que l’On n’existe pas.

Tout ça est bien beau mais on vient de résoudre la majorité des problèmes de l’humanité. La guerre naît de l’opposition d’individus qui diffèrent par une caractéristique bien souvent virtuelle. La plus stupide de différences qui mène à la guerre est celle de la culture. Qu’elle soit culinaire, religieuse ou nationale, cette culture est quelque chose qui est transmise de génération en génération. La guerre est omniprésente. On n’a de cesse de célébrer la culture locale.

S’il faut prouver par A+B=C que la culture que l’On transmet c’est la culture des particularités locales, nous créons un monde invivable en établissant que nous sommes tous différents à cause de nos origines. Nous transmettons à nos enfants, par la fierté de leur origine ou l’Infamie de celle-ci, toutes les graines pour faire pousser la violence.

Nous devons mettre de l’avant les similitudes qui nous unissent et bannir du comportement des enfants la stupeur de ce qui est différent. Instaurer que la différence est usuelle et que chacun en a une ou plusieurs par rapport à un autre.

Mais le comportement des adultes prouve le contraire aux yeux des jeunes. Aussi, avons-nous droit à des millénaires de luttes et de guerre. Si nous étions évolués et que, depuis l’Empire Romain, nous avions évolué en civilisation, les choses seraient peut-être différentes.

Nous sommes tous humains et nous traitons collectivement (en groupes) inhumainement. Vous aurez beau dire si ou ça dépend, la réalité c’est que nous transmettons les germes de discorde et les arrosons par ce que l’On fait circuler comme communication, verbale mais surtout comportementale.

La Terre est ronde et nous supporte encore. Le fera-t-elle encore longtemps? Nostradamus est mort depuis longtemps alors qui donc le saura? Chacun de nous le sait. Mais il a peur de la réaction de l’autre s’il le disait. La peur est la mère de toute les guerres et sa source est la différence individuelle. Mais, de quoi avez-vous peur?

Bertrand (@BDmoi)

J’ai peaufiné ma vision de Twitter.

Hier, un internaute, m’a permis de raffiner ma perception de Twitter. J’ai longtemps pensé que Twitter était un réseau social ou bien des gens criaient des choses comme dans un désert. Mais je crois maintenant que d’émettre sur Twitter est plutôt comme jeter une bouteille à la mer. J’ai longtemps pensé aussi que j’émettais mes textes à tout vent et que les graines pousseraient éventuellement. Mais encore là est-ce une erreur. L’instantanéité de la réception fait que l’effet n’est pas durable comme une graine.

En conséquence, émettre sur Twitter, est-il un compromis entre les deux. Jeter une bouteille dans une rivière qui éventuellement se retrouvera à la mer. Donc, ne pas attendre de résultat et patienter aussi longtemps qu’il faudra. Même s’en remettre presque au hasard.

Peu de gens lisent tout ce qui passe sur leur fil. Encore moins utilisent Tweetdeck et suivent plusieurs fils. Aussi c’est plus un hasard d’être lus, sauf par quelques personnes qui vous voient jeter la bouteille, parce que près de vous.

Dorénavant, je ne dirai plus merci mais, bouteille lancée.

Bertrand (@BDmoi)

DE l’inconséquence individuelle et par conséquent de l’humanité.

De l’inconséquence des gens et par conséquent de l’Humanité. Ne pas avoir de mots pour décrire la réalité est un manque évident de connaissance de la langue. On n’a de cesse de rendre les émotions tributaires des événements. Mais la réalité c’est que nous sommes inconscients du monde où l’On vit.

Inconscients:

Qui n’a pas conscience de quelque chose, qui ne s’en rend pas compte, par insouciance, légèreté d’esprit, etc. : Enfant inconscient de ses actes. 3. Se dit d’un acte qui se produit sans que celui qui le fait en ait conscience : Mouvement inconscient. 4.

N’étant pas conscients de l’état du monde réel et vivant dans un monde imaginaire idéal tel que suggéré par les médias? Nous ne pouvons pas être conséquents dans nos actes. L’idéal n’existant pas en ce monde, il est impossible d’être conséquent avec ce qui est répandu dans notre société de personnes déconnectées.

Il n’est pas nécessaire de connaître un tas de choses pour écouter les autres. Il est cependant nécessaire de s’effacer pour entendre et explorer ce qui est dit par l’autre. Là est toute la source de notre inconséquence. On n’écoute pas, parce que l’on ne sait que dire. Les médias étirent la sauce à outrance et même au niveau de la morbidité. Ne sachant que dire et ne se fermant pas le clapet, ils ânonnent des stupidités, de présomptions et des déclarations d’impuissance et de non connaissance du sujet. La réalité est la réalité et doit être dite et pas redite ad vitam aeternam.

Chercher à épiloguer sur le pourquoi, qui est impossible à savoir, est une stupidité que l’on perçoit des gens. On maintient, les gens dans l’inconscience et on n’arrête pas de poser des questions dont personne n’a la réponse.

J’enrage de la situation, mais, je ne peux rien y faire d’autre que d’essayer de vous conscientiser. Alea jacta est.

Bertrand (@BDmoi)

Les gens veulent-ils se parler?

Les gens veulent-ils se parler? Je crois que non! Les gens veulent s’exprimer mais nient le droit à l’autre de le faire. C’est une affirmation grave mais, j’aimerais bien que l’on me prouve le contraire. La tâche est ardue, je vous avertis, j’ai plein de faits et pas seulement des anecdotes pour me le démontrer.

Les médias et les réseaux sociaux foisonnent de gens qui s’expriment sur des sujets absolument hors du réel de la moyenne des ours. Se fout-on de la position de Justin Trudeau ou de François Legault quand vient de temps de décider et préparer le souper. Les gens se laissent stimuler l’esprit et perdent leur temps sur une pléthore de chimères virtuelles, saupoudrées par les médias. La télé, le soir est d’un vide absolu. Toutes les promesses des télécommunications ont été rompues. Diversité, communication, éducation et tout le reste passent sous la lorgnette de la facilité et de la rentabilité financière.

J’ai l’impression que l’hibernation cybernétique est voulue parce qu’on a le mauvais but en tête. On cherche des auditeurs et non des personnes humaines. Je suis désabusé des utilisations des télécommunications. Elles sont utilisées pour le contrôle des gens. Contrôle des puissants sur la population, contrôle de personnes manipulatrices sur les autres, tout est rendu statistique où l’individu disparaît.

Ceci est un appel à l’aide. J’espère qu’il y aura une personne qui me répondra et encore pire qui voudra en discuter. Je jette ma bouteille à la mer, comme les 1400 autres bouteilles que j’ai jetées. Une de plus? Et pourquoi pas?

Bertrand (@BDmoi)

Les télécommunications nuisent?

Les télécommunications nuisent au moral de la population. Provoquant un isolement grandissant, les rencontres sociales sont de moins en moins aléatoires. Si on recule de 100 ans, la ville était un lieu de rencontres. Les rues commerciales étaient animées, et les parcs étaient courus des citadins. Il n’y avait pas de télécommunications mais il y avait beaucoup de communications. Le contraste entre la campagne et la ville était énorme. La ville était trépidante et la campagne calme. Était-ce là le succès de la vie citadine.

Les gens aujourd’hui se rencontrent de moins en moins. Les gens, cherchent semble-t-il, énormément l’âme soeur. Cherchent-ils l’âme soeur ou cherchent-ils une béquille pour se supporter eux-mêmes. Je suis totalement désolé de le constater. Bien des gens, beaucoup, tolèrent d’être seuls. Ils s’en désolent de plus en plus. Qu’attendent dont ils tant des autres. Comment fait-on aujourd’hui pour rencontrer? Question épineuse. Le problème, d’après moi, c’est qu’on cherche à rencontrer pour pouvoir vivre une vie à deux. Là est tout le problème.

Cherchons à vivre pour nous. Les télécommunications font surfacer les notions d’idéal et de suprême. N’y a-t-il que L’EXTRAORDINAIRE qui ait place dans les télécommunications. L’éloignement est la norme et l’isolement en résulte. ON se compare à ce qu’on perçoit des autres et on passe tant de temps dans les télécommunications structurées ( télé, radio, journaux, réseaux sociaux) que nous n’avons plus de relation intime avec nous-mêmes. Comment trouver l’âme soeur quand on n’a même pas contact avec sa propre âme?

Donc on ne se rencontrent plus aléatoirement, on ne veut que le résultat immédiat et satisfaisant, on n’a pas de temps à perdre. Aussi perd on toutes les chances de rencontrer en cherchant un résultat plutôt qu’en vivant notre vie. Métro, boulot, dodo? Ennui garanti et isolement résultant.

Comment rencontrer? Vivez de grâce. Bougez, arrêtez de vous enfermer. Trouvez vous des intérêts, alors peut-être pourrez-vous être intéressant pour quelqu’un. Il y a si peu à dire et tant à faire. Les télécommunications ne produisent rien. Elles nous arrêtent de faire ce qui pourrait être fait et occupent notre temps tellement? QU’ON N’A PLUS DE TEMPS POUR NOUS.

Bertrand (@BDmoi)

La technologie exige beaucoup de nous.

La technologie exige beaucoup de nous, trop? La science et la technologie font que nous sommes dans un monde de moins en moins naturel et de plus en plus structuré. On veut mettre tout le monde au pas, en moins de temps. On fait ingurgiter aux jeunes et aux vieux, des changements rapides et arbitraires.

L’éducation, la santé, la justice et toute la société peinent à suivre la cadence. Elles n’y arrivent tout simplement pas. C’est un constat que je fais ce matin, et me trouble énormément. La santé coûte des sommes faramineuses, l’éducation est au bord extrême du gouffre, et la justice elle, on n’en parle pas. Plus on en apprend sur le monde, plus on se découvre inapte à le surmonter. Personnellement, je me suis déconnecté de cette vision remplie d’attentes envers les autres. Vivre est simple, c’est respirer, manger, être au chaud, dormir ce dont on a besoin, et métaboliser de façon réaliste.

La technologie nous impose des contraintes évidentes. Besoin de routes parfaites, loin de l’être, besoin de personnes formées spécifiquement pour les différentes technologies, aptitude à lire et comprendre des textes de plus en plus hermétiques, et j’en passe.

Plus de technologie pour combattre les exigences de la technologie? Peut-on se le permettre? Est-il adéquat d’essayer de le faire? Un temps d’arrêt est nécessaire et doit se faire individuellement. La synthèse du portrait global doit s’opérer chez chacun. Y penser est dément, le dire? Complètement insensé. Le réaliser? La triste réalité.

Je sais qu’on me trouve moralisateur et c’est probablement vrai. Mais mon but est simplement de faire que les gens réalisent tout le pouvoir dont ils sont investis. Le pouvoir d’agir sur leur vie propre, compte tenu de la réalité. Nous avons succombé, collectivement, aux chimères des promesses de visionnaires déconnectés de la réalité. Ils ont créé des attentes irréalistes et doivent en assumer la responsabilité. Mais, sachant ceci, que faites vous de vous même?

Bertrand (@BDmoi)

Disséquer divise.

Disséquer divise, chacun donne son opinion. Certains apprennent d’autres non! Une chose me hante et c’est celle-ci: on a essayé de plaire et de faire pour tous. Mais on n’entend parler que de ceux qui n’ont pas. On parle abondamment des exceptions, et pas suffisamment des adéquations. Il est absolument impossible de faire tous et chacun.

Entretenir une ambiance d’échecs, à plaire à tous, est un tort qui fait mal au moral des gens. À beaucoup de personnes. Des gens profitent des avantages que le milieu leur apporte, d’autres pas. Qu’en est-il de la majorité, comment se débrouillent ils? On ne le sait pas. On n’en parle pas. Les gens heureux n’ont pas d’histoire extraordinaires mais ils ont des histoires de vie hors de l’ordinaire.

Il est dommage qu’on ne laisse passer que les plaintes. Il faut parfois faire la synthèse de l’ensemble pour rétablir les faits. Je me fais souvent traiter de bisounours quand j’essaie de le faire. Souvent, quand on m’interpelle, on me dit que les autres ont ci ou ça. Je leur demande alors, mais pour vous, est-ce le cas? On me répond presque à tous les coups: “mais il faut penser aux autres”. Non! Il faut offrir les conditions et respecter le choix des autres pour eux-mêmes. On ne doit pas penser POUR les autres selon ce que l’on conçoit pour LEUR bien.

Peut-on faire la juste évaluation des efforts de tous pour le bien-être de chacun. Là d’après moi est le gros problème de notre société. Tout le monde en parle mais personne ne le fait. La juste balance morale est de faire de son mieux pour soi et nuire le moins possible aux autres. Mais, qui s’y arrête. Quel est l’état de la balance? Nul ne le sait. Le verre est à moitié, les jeunes pensent qu’il est à se remplir et les vieux pensent qu’il se vide. Là est le choc des générations, d’après moi. Le rendre de notoriété publique serait-il opportun? Je crois que oui. La réalité le verre est à moitié. Ce que nous en ferons est à voir. La société évolue-t-elle ou régresse-t-elle? Nul n’est expert en ce domaine. Peut-on s’en parler? Simplement s’en parler?

Bertrand (@BDmoi)