Faire des liens entre des choses qui ne sont pas liées.

Faire des liens entre des choses qui ne sont pas liées. Tout est lié d’une façon ou d’une autre. Qu’on le voit ou pas. La nouveauté vient souvent d’un lien qu’on établit, par hasard ou par réflexion, entre deux choses apparemment indépendantes. L’esprit humain fonctionne en disséquant les événements et les choses. Souvent, un fait ou une activité, est jugée en absolu. Mais il faut chercher à synthétiser à notre complexité cognitive.

La mémoire fonctionnerait d’après un lien émotif, entre des choses, que l’on ressent au moment. Plus l’Émotion est vive (bonne ou malsaine), plus la mémoire en retient le souvenir. Mais il faut bien intégrer cette particularité à la complexité dont on est le siège. Alors créons nous des liens pour se faire une personnalité. Est-ce de là que toute la différence entre les gens vient? Question intéressante. Qu’en pensez-vous?

Bertrand (@BDmoi)

La division des phobes aide le racisme.

Toutes les spécificités humaines, prises une à une, divisent les gens. Que ce soient la couleur de peau, le genre, la taille, la couleur des yeux, la religion, les croyances, la nourriture…

Les ignorants généralisent et tirent des caractéristiques pour le groupe à partir d’une personne. Se sentir supérieurs, dans notre groupe, en supposant le pire chez l’autre groupe est la base du racisme sous toutes ses formes. J’emploie le mot racisme car il représente bien le phénomène. Larousse définit le racisme ainsi:

 racisme

nom masculin

  • 1. Idéologie fondée sur la croyance qu’il existe une hiérarchie entre les groupes humains, autrefois appelés « races » ; comportement inspiré par cette idéologie.
  • 2. Figuré, par exagération. Attitude d’hostilité systématique à l’égard d’une catégorie déterminée de personnes : Racisme anti-jeunes.

Donc en exagérant la race à toutes les différences, je me sens autorisé d’en grouper un élément essentiel à la solution du problème.

Plusieurs s’accordent à dire que c’est une question d’ignorance. Je ne crois pas. De ma petite expérience, je tire un fait que j’ai remarqué dans ma petite, mais grosse, enfance. Les matamores (bullies) sont des êtres qui n’ignorent pas la différence. Ils s’en servent pour essayer de montrer leur propre supériorité, justifier l’usage de force et de ségrégation.

Ce n’est pas en identifiant chaque sorte de différence que l’on mettra fin au racisme. Mais bien en combattant les formes du racismes elles-mêmes. Elles peuvent être dues à bien des facteurs mais, d’après moi, elle est due principalement à notre éducation familiale. Les enfants reproduisent ce qu’ils voient et assimilent les comportements des adultes. Le principal étant l’attitude face aux autres. Nous vivons une période de marasme collectif. Chercher un coupable est la faiblesse humaine dans laquelle on tombe facilement, semble-t-il? Mais oui!. Cette faiblesse est le talon d’Achille de l’humanité.

C’est donc, en conséquence par l’éducation que l’on arrivera à une diminution du racisme. Donc les vociférations de tous les groupes qui se sentent exclus nuisent fondamentalement à exacerber la différence dont ils sont l’exemple. Justin Trudeau en ouvrant spécifiquement un poste à l’islamophobie, fait l’Oeuvre inverse de l’intention. C’est le moyen de la nature humaine de segmenter un problème. Mais dans ce cas, segmenter c’est empirer le problème et s’éloigner de la possibilité de solution.

Donc la solution passe par une campagne sur la différence et la généralisation des traits de personnalité à un groupe. Nous sommes tous concernés. La solution passe par chacun de nous mais surtout par nos enfants. Mais nous nous serons morts mon frère.

Bertrand (@BDmoi)

Peu importe il y aura toujours pour contester.

Peu importe il y a et aura toujours pour contester. Quelle que soit la décision rendue par qui que ce soit dans quelque litige que ce soit, il y aura toujours des insatisfaits, Parmi ceux-ci il y en aura toujours des vocaux et même des très revendicateurs. Ainsi est le monde.

L’extrême sensibilité et j’irais jusqu’à dire la susceptibilité des commèrementateurs n’a d’égal que celle des agitateurs qui ont un agenda politique à rencontrer. Notre monde a perdu sa boussole. Celle qui indique le bon jugement et l’hérésie de l’extrême.

Les gens heureux commencent à avoir des histoires d’horreur. Le moral des citoyens en prend pour sa COVID-19. L’avalanche, la surabondance de mauvaises nouvelles attaquent les neurones des gens. Je crois qu’on a dépassé le seuil de la saturation. Les prescriptions d’antidépresseurs dépassent le point d’ébullition et la raison n’existe pratiquement plus dans les médias. Nous sommes assaillis, le mot est faible, par les stimuli des télécommunications de tout acabit.

Je dors, personnellement, abondamment. Je maîtrise assez bien l’usage de mon temps. Étant bipolaire j’ai un cocktail de médicaments assez relevé mais, qui me convient bien depuis des années. Mon psy est étonné de la stabilité de mon humeur. J’en suis for heureux.

Je reviens souvent sur le rôle important et infâme des médias sur le moral de la population. Tout est poussé à l’extrême et la conséquence est un manque d’Informations cruel tendant à la propagande et à la désinformation.

Je sais que je tape souvent sur le clou des médias. Mais ils ont la pointe émoussée et la tête dure. Ils prennent pour remontrance et désir de leur dire comment faire, quand tout ce que je veux c’est les conscientiser à l’effet majeur qu’ils ont sur le moral des citoyens. ILs se plaignent d’un marasme qu’ils entretiennent. Les revenus de ceux-ci sont à la baisse. Comme disent les anglais: I rest my case. (L’affaire est dite)

Bertrand (@BDmoi)

Comment tuer la poule aux oeufs d’or?

Comment tuer la poule aux oeufs d’Or? Observez Fitzgibbon et Legault et vous serez instruits. Concentrer, dans un seul homme, le pouvoir de la traiter et le devoir de vendre les oeufs est une erreur magistrale. Il faut confier les soins à la poule à quelqu’un qui l’aime et veut son bien. Ensuite il faut vendre les oeufs en ayant conscience de leur rareté et de leur importance.

Il y aura nécessairement friction entre les deux personnes en charge. Il faudra alors une personne qui aimera la poule mais saura quand assez est assez. Surcharger la poule mène à toutes les horreurs, une par une. On donne un bain à la poule pour la rafraîchir mais on augmente la chaleur du bain pour la stimuler à pondre plus rapidement. On réchauffe tant et tellement qu’On la fait bouillir et on la tue.

Hydro-Québec est un joyau pur. Mais des mains avides ont pris le contrôle. Legault n’aura jamais assez et Fitzgibbon va chauffer à outrance. Ils ont écarté la personne, devrais-je dire les personnes, qui aimaient et entretenaient la poule.

Il faudrait faire prendre conscience au duo de verrats, qu’Hydro-Québec appartient à tous les Québécois, actuels et futurs. Suis-je pessimiste? Oui! Car ils abusent de leur pouvoir et n’ont qu’une idée en tête. Faire du cash. Le BIEN SUPÉRIEUR de la Province exige plus de retenue que d’écouter les dollars. Le mieux, à court terme, est mal à long terme. La modération a bien meilleure réputation. C’est le gouvernement qui nous le dit. De grâce, qu’ils s’écoutent et nous donnent l’exemple. Transparence? Laissons les acteurs parler librement.

Bertrand (@BDmoi)

Combattre le racisme en identifiant une des causes de la division?

Combattre le racisme en identifiant une des causes de division est une sacrée fausse bonne idée. Le racisme procède du jugement de la différence de l’autre. Que ce soit la religion, la race ou couleur de peau, du genre , de l’orientation sexuelle, de la grosseur…

Deux choses me viennent à l’esprit: la peur et la reconnaissance.

Bien des personnes expliquent le racisme par la peur de l’autre. C’est très réducteur. Il y a plein de raisons humaines de se sentir mal à l’aise devant la différence. Que ce soit de la simple curiosité à la répulsion. Mais il serait très long d’élaborer sur ce sujet. Celui dont je veux traiter ici est la reconnaissance.

Bien des groupes veulent être reconnus pour leur différence. Ils exigent une place spéciale dans la société. La réalité semble que les personnes, elles, veulent passer sous silence cette différence. Autrement dit les gens se regroupent ensemble, selon leur différence, pour exiger d’être vus comme les autres. Il y a des différences visibles et d’autres pas.

Pour les différences visibles, le principe que tous sont égaux en droits s’applique et on doit tout faire pour le faire respecter. Mais pour le reste, celles qui ne sont pas visibles telles religion, orientation sexuelle, ou autre différence individuelle non visible, c’est une hérésie. Encore faut-il s’exposer comme tel pour être discriminer. Là est un grave problème. Que l’on attaque qui que ce soit, pour le fait qu’ils se rassemblent, pour quelque raison que ce soit, est mal. Disons-le en partant. Mais généraliser à outrance un fait particulier pour stigmatiser une population est une façon détournée de provoquer un mouvement contraire.

Chaque personne, pour être reconnue, doit agir de façon paisible et sociable. Provoquer les autres de sa différence appelle le racisme de certains. Ce qui met le feu aux poudres. Il nous est donné d’être différents en bien des choses. Mais, cette différence ne nous définit pas. C’est une caractéristique parmi d’autres. La mettre en évidence est le point de départ de bien des maux.

Donc luttons contre le jugement de la différence, dès l’enfance, et essayons de mettre fin au racisme sous toutes ses formes. Le respect de l’autre amène les autres à nous respecter. Puisse-t-on faire disparaître les “phobes” de tout acabit.

Bertrand (@BDmoi)