Avant de regarder en arrière!

Parmi les regrets les plus amers que le temps risque d’incruster dans ta mémoire, pourraient bien figurer ces deux côtés de la même monnaie : n’avoir pas eu l’audace de dire OUI quand tu aurais pu ; n’avoir pas eu le courage de dire NON quand il l’aurait fallu.

François Garagnon 

Cette citation dit bien ce qu’elle veut dire. On ne regrette que ce qu’on n’a pas fait. Ce sont les véritables regrets des personnes qui s’interrogent sur leur passé. Pour les choses que l’on a faites c’est une autre affaire, cela s’appelle la culpabilité, on en reparlera.

Chacun admire le passé, regrette le présent et tremble pour l’avenir.

Esprit Fléchier

Ces deux citations, misent ensemble, veulent tout dire. Mais encore…

Encore, s’il est nécessaire de le dire, faut-il agir selon ce qu’on sait. Pouvoir, n’est pas aurait pu faire, mais faire. Ne pas faire ce qu’on peut est la cause de la plus grande impuissance sur la Terre. Les gens ont des regrets parce qu’ils n’ont pas fait, ce que, par après, ils admettent qu’ils auraient pu faire.

Il est une chose qu’il faut réaliser. Que l’on ait pensé ou pas, sur le moment, est très important. Si, on a réfléchi à la situation et qu’on a élu de ne rien faire, tout dépend du pourquoi, on n’a rien fait. L’excuse la plus répandue et la plus facile réside dans le fait de dire:je n’y avais pas pensé. Mais ça c’est pour déculpabiliser. Dites que vous n’y avez pas réfléchi, c’est plus exacte. Le cerveau et la logique sont des outils très importants mais faibles. Ils n’entrent en action que si l’on s’en sert.

Alors en cette période des Fêtes, faut-il se préparer à changer de vie. Beaucoup accusent un tonne de regrets pour le passé. Que ce soit le signe du réveil de votre pouvoir. Vous pouvez faire beaucoup, si vous réfléchissez un peu. Beaucoup s’ennuient, c’est qu’ils ne font pas en leur pouvoir. Alors si vous trouvez la vie ennuyante? Réfléchissez à ce que vous regrettez et faites-le. Le temps passera et la satisfaction de vos actions vous remontera. Joyeuses et productives Fêtes.

Bertrand (@BDmoi)

Pourquoi j’écris?

Pourquoi j’écris? Pour tant de raisons. La principale étant que j’ai un talent pour écrire. J’ai souvent les idées claires et les mots pour le dire viennent aisément. Je me lève très tôt le matin (2-3 heures). J’ai du temps à revendre car je me couche très tôt (6-7 heures). Je dors donc mes 8 heures par jour et plus (un petit somme l’après-midi) quand je n’ai pas de transport bénévole à effectuer.

Donc je profite de ces heures matinales pour m’inspirer de ce que Twitter, la radio et les titres de journaux m’envoient. Bien sûr je regarde à RDI le bulletin de nouvelles du soir et LCN. Je suis une éponge à communications. J’en fait ma substance et j’essaie, au travers de mes valeurs, de régurgiter des textes qui appellent à l’élévation de la conscience et du libre-arbitre des gens sur leur vie.

Je ne me sens aucunement supérieur. Je ne le suis pas. Mais, je suis absolument différent du commun des mortels. Alors j’ai récemment pris la décision, oui la décision, d’agir à la longueur de mes bras et de continuer d’utiliser les moyens qui me sont donnés. En conséquence, je vais continuer d’écrire le matin et de vous envoyer des textes que vous aurez le loisir de lire ou non. Le but en étant de vous éveiller à la puissance de votre pouvoir. Il est énorme, c’est dommage que vous n’en ayez conscience.

Alors J’essaie de vous éveiller et, ce faisant, me sens vivant parce que je retire de l’environnement ma substance et que j’exhale mon parfum comme toute vie. On me dit moralisateur. Effectivement il y a souvent un aspect moral dans mes écrits. Mais, si je suis moralisateur, peut-être est-ce parce que j’atteint un peu de votre culpabilité?

Bertrand (@BDmoi)

Une explication du pourquoi de la chose?

Je n’ai pas la prétention de savoir mais j’ai une question qui me tracasse depuis longtemps. Le non-respect de la personne est-il dû au respect total de la Charte des Droits et Libertés?

Cela semble tarabiscoté mais en y pensant longuement, j’ai des doutes que cela soit vrai. Si, on doit accepter tout comportement lié à toutes sortes de croyances et de connaissances? Comment des lois peuvent-elles exister?

Je ne reviendrai pas sur le cas du voile, suprêmement médiatisé. Mais, je vais prendre le cas d’un violeur exempté parce que sa religion permet et même demande le viol. Je doute que les écrits soient si spécifiques, mais étant donné que la plupart des pratiquants ne savent pas lire, le texte sacré, est-il usuel que les croyances soient diluées par la nature humaine des transmetteurs.

Il faut absolument prioriser, mettre en ordre de priorité, les dictats de la charte. Comment se fait-il que le principe de base de l’égalité de tous soit ainsi bafoué? Parce qu’on lui oppose le principe de liberté de croyance. Nul n’est censé ignorer la loi et l’égalité de tous sont deux principes de base que l’on oublie constamment.

Le laxisme juridique et politique des dernières années (50 ans) nous laisse une justice dans le même état que notre planète. À tort ou à raison, les duex sont dans un état pitoyable. Saurons-nous y remédier, ne serait-ce qu’un petit peu?

Bertrand (@BDmoi)

La réalité nuancée.

Il n’est de recette miracle. La réalité est et, n’est pas ce qu’elle n’est pas. Facile à dire mais extrêmement difficile à appréhender. Prenons un entonnoir et illustrons ce que je veux dire en prenant la population comme exemple.

Si on part du bas de l’entonnoir il faut raisonner chaque étape comme suit: il n’y a pas plus de monde qui

sont vos amis, qu’il n’y a de personnes qui vous aiment.

Il n’y a pas plus de monde qui…
-vous aiment que de personnes qui vous reconnaissent
– reconnaissent ______________rencontrées
– rencontrées _______ _______connaissent
– connaissent que dans la Province
– dans la province dans le pays
-dans le pays que sur la planète.

Selon le point de vue envisagé il y a toujours un entonnoir et il peut y avoir une grande quantité de niveaux. C’est ce qu’on peut illustrer comme un monde de nuances. Ici les nuances sont facilement chiffrables et identifiables. Il est dans toute chose et tout aspect un entonnoir. Il faut, bien souvent, y réfléchir pour identifier les nuances.
Il est de la réalité ce qui est et n’est pas ce qui n’est pas. Il y a une quantité de réel qui est plus grande que la quantité perçue. Il n’est plus de perçu que de connaissance. Il n’est plus de connaissances que de croyances. Il n’est plus de croyances que de savoir et le savoir est selon notre point de vue et notre vision. Donc, de nos perceptions.
C’est la réalité. Mais, tout ça pour vous dire que l’on ne connaît vraiment qu’une partie des autres. Pour les comprendre il faut percevoir leurs perceptions à eux. Donc on a les filtres de la communication, et des perceptions. La Vérité? C’est qu’il n’y a pas de Vérité. Il n’y a que la Réalité et la vérité de chacun. Alors plutôt que de se confronter, essayons de nous accorder. Essayons de voir le point de vue de l’autre, de discuter de notre vision et non de nos croyances. Nos croyances ne sont que des croyances et divisent tellement les gens.
Prenons la résolution, au terme de cette année qui approche, de chercher à voir ce que l’autre semble voir. Il se peut qu’il ait tort, mais, il le voit. Donc, dans le temps des fêtes qui vient, soyez de bons auditeurs et de bons orateurs. De quoi? De ce que les autres disent qu’ils voient et de c eque vous voyez vous même. Il est essentiel de savoir qu’on ne verra jamais avec les yeux de l’autre et vice versa. Mais l’important est de partager, pas de convaincre.
Pour cela il faut être nuancé et ne pas chercher à avoir absolument raison. Mais on n’a pas été élevés comme ça.
Bertrand (@BDmoi)

Ai-je besoin des médias?

Je n’ai pas besoin des médias pour me faire une opinion mais, on m’offre beaucoup de prêt à penser. J’ai besoin des médias pour me faire une opinion mais, les faits sont rares et noyés dans une mer de points de vue divergents. Toutes ces opinions, de gens plus préoccupés par leur abonné(e)s, que par la réalité me portent à penser que c’est un fait avéré. J’ai beaucoup de difficulté à trouver des faits nuancés et vérifiés dans les médias. Chacun tire sur sa ligne éditoriale. La course aux mesures médiatiques est le seul fondement des médias. C’est triste mais, c’est la réalité. Du moins est-ce mon opinion? :-)))

Bertrand (@BDmoi)

Ma cote de crédit…

Ma cote de crédit n’est pas si pire. J’ai donc décidé d’économiser plus d’un million de dollars, je n’ai pas acheté une lamborghini neuve et rouge. Cela c’est sans compter tous les tickets que je vais éviter au fil des ans.

Vous riez? C’est pourtant ainsi que nous parlent nos politiciens et nos médecins. En économie je suis donc millionnaire sans prendre un billet de loterie. Alors félicitez-moi et je vous féliciterai à mon tour pour tout ce que vous n’achèterez pas de l’année. Au moins 10 millions de $.

Bertrand (@BDmoi)

Des monstres ou des imbéciles?

Sommes-nous des monstres ou des imbéciles? C’est la question que je me pose sérieusement. Mike Ward a fait une histoire de la vie d’une personne. Sa vie à elle a été bouleversée à jamais. Il n’a pas rit d’un handicapé mais, nommément, d’une personne. Si on ne perçoit pas la différence sommes-nous des monstres aveugles ou des imbéciles? Une longue tirade, sur mon fil twitter, me fait me poser sérieusement la question. Il est à remarquer, et c’est surement un hasard, que ceux qui défendent le point de vue de la personne sont inscrites avec leur nom et leur photo. Les autres sous un avatar anonyme et fabriqué. Donc, en conséquence, les monstres nous prennent pour des imbéciles. Mais c’est Twitter? Oui, parce qu’on l’endure ainsi.

Bertrand (@BDmoi)

Et si l’enfer…

Et si l’enfer c’était vraiment les autres (Sartre), ceux qui croient à l’enfer? Si il n’y avait pas d’enfer, la bonté serait toute due… à la bonté. Beaucoup de charité ne sont dues qu’à la peur de l’enfer. On N’assiste pas à la charité mais à la rédemption. Alors posez-vous sérieusement la question, partage-t-on l’abondance ou fait-on acte de commisération pour nous épargner un séjour sulfureux?

Bertrand (@BDmoi)

Polytechnique un devoir non-remis.

Les mots :”un devoir de souvenir”, est totalement faux. Ce n’est pas le devoir qui nous est donné. Le devoir qui nous est donné c’est d’agir, en réalité, sur la réalité. Mais personne ne remet le devoir. Tout le monde sait où, à peu près, ils étaient lors de ce jour. On ramène tout à soi. On se rappelle ce qui nous a marqué.

Que faisons-nous pour équilibrer la réalité? Protéger les personnes, hommes et femmes, que nous rencontrons? Il faut se souvenir oui, c’est vrai. On espère que les choses changent alleluhia. On ne fait rien. On parle, on parle, on parle… Que faisons-nous pour qu’il n’y ait plus de tuerie. Ce fut la première au Québec et il y en a eu d’autres. C’est beau nommer les choses, mais qu’on ne me dise pas qu’on fait nos devoirs. C’est triste, à la mort, mais c’est ça.

Bertrand (@BDmoi)

De la liberté et des implications.

Si la liberté s’exprime par la liberté de choix, pour soi, nécessairement, dans notre société est-il la liberté de choix de l’autre. Si on enlève une brique tout l’édifice tombe. Nous assistons à une pyramide inversée. La liberté de tous dépend de la liberté de chacun.
Cela implique donc que la liberté ne peut être qu’individuelle. Elle ne peut s’exercer par personne morale interposée. La seule logique qu’il y ait c’est que le regroupement nuit à la liberté individuelle. Curieusement, l’association crée des divisions. Ces divisions ne font que donner des pouvoirs supplémentaires aux gens qui dirigent ces organisations. Ce n’est pas, supposément, le but mais, dans les faits c’est le fait.
Pour respecter le principe d’égalité de tous et de la liberté de croyance, il devient donc évident qu’on ne doit pas respecter les regroupements religieux. En conséquence, rien ne supporte les supports financiers offerts à ces organisations. Respecter la liberté d’existence des groupes, c’est tricher sur l’égalité de chacun. Il faut donc arrêter à la fois la déduction des dons sur l’impôt sur le revenu et la non-imposition des organismes religieux.
C’est radical, mais logique. Un don c’est un don, pas une déduction d’impôt. Tout organisme doit payer ses impôts selon ses revenus. Ah! Il est bien l’exception des OBNL, mais cela devrait s’adresser seulement aux organismes qui redonnent aux citoyens. C’est dur de changer la tradition mais, il y a beaucoup d’injustices et de privilèges à corriger dans la loi de l’impôt. En commençant par là, peut-être, ferons-nous un ménage dans toutes les incongruités de notre société.
Bertrand (@BDmoi)