Qu’en est-il?

Qu’en est-il? Qui se fait des mourons? Qui ne se préoccupe de rien? Qui vit sa vie sans interférence de ce qui se passe autour? On est submergé de communications toutes plus contradictoires les unes que les autres.  Alors que fait-on de cette vague immergente? La subit-on? La surfe-t-on? Sommes-nous submergés comme je l’ai dit auparavant?

Il est très difficile de vivre en ce siècle de communications innombrables et de différentes nuances, du plus sombre à la plus invitante. Il existe un phénomène appelé complexité cognitive chez les psychologues. Cela serait la somme consciente de toutes nos connaissances et de toutes nos émotions.

Les psychiatres parlent des fluctuations de l’humeur. Ils essaient de quantifier celles-ci pour en tirer des normes en dehors desquelles on entre dans le domaine des maladies mentales.

Subir une dépression, de plus en plus répandue et médicamentée, n’est-elle pas justement une marque de santé mentale? Une réaction adéquate au tumulte des communications qu’on subit? Il faut vraiment se poser la question. Certains parlent du déclin du quotient intellectuel en Occident(QI).  N’est-ce pas un effet direct de l’accélération fabuleuse des interactions entre les individus par médias interposés?

Qu’en est-il exactement? Nul ne le sait. Mais suis-je le seul à me poser la question?

Bertrand (@BDmoi)

 

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