L’irréalité du monde.

Pour mon 400 ième essai, j’aimerais vous entretenir de l’irréalité du monde. Celui dans lequel nous existons, je n’ose dire vivre, par rapport au monde qui nous est constamment présenté par la prolifération démentielle des médias de toutes sortes. Il y a une dichotomie telle que c’est surprenant de ne pas être pris d’une hystérie collective. Mais le serait-on sans le savoir?

On nous assène continuellement de concepts qui sont tous plus farfelus les uns que les autres. Que ce soient les émissions(violentes et dramatiques), que ce soient des amours impossibles dans des lieux supposément paradisiaques, des publicités vantant des produits qui ne remplissent pas la moitié de leurs présumés bienfaits, et bien d’autres représentations de ce qui pourrait être mais n’est pas. La température qui met du sien par dessus tout.

On a beau dire, on a beau faire, il faut un moral à toute épreuve pour garder une certaine zénitude. Les jeunes laissent tomber, en bonne partie, ces représentations frauduleuses du monde. Ils se réfugient beaucoup dans des mondes qu’ils savent irréels. Ils jouent à des jeux de rôles et c’est la raison du si grand succès des jeux vidéos. Tant qu’à désespérer de la réalité ou de l’irréalité du monde où l’on est supposé vivre, on passe son temps et son énergie à établir record sur record. Chose qui se constate et se mesure objectivement.

Donc. Continuons à rêver notre vie et bonne chance aux jeunes qui suivront. Pendant ce temps, il y aura une commission qui se chargera de structures systémiques pour supposément s’occuper du bien-être des enfants et des aînés.

Bertrand (@BDmoi)

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