Les gouvernements et les centrales syndicales outrepassent leur mandat.

Il faut un retournement de la situation. La centralisation de tout notre système est déplorable dans ses effets globaux. Les citoyens sont mal servis et les employés sont déshérités. L’étrange dynamique qui s’est développée entre ces deux géants est extrêmement pénible au climat social. C’est ce que les faits me démontrent.

Les services aux citoyens, pour être modulés selon les situations, doivent être décidés sur la ligne de feu. Les intervenants doivent avoir le pouvoir d’éteindre les feux où ils se trouvent. Il n’est pas logique de se servir de moyenne nationale pour gérer des gens. C’est pourtant ce qui est fait. Aucune personne ne représente la moyenne.

Le gouvernement, on l’a vu dans la pandémie, n’a que l’argent comme moyen d’action. Financer les organismes sociaux est dans son mandat. Là serait un élément de solution. Moins de règlementation et de standardisation et plus de financement. Probablement que ça amènerait une économie ou une meilleure distribution des ressources humaines.

Les centrales syndicales, en visant leur seule existence, au prix de services aux citoyens et du bien-être des ses membres, n’ont plus de raison d’être autre que d’aller chercher le maximum d’argent, peu importe les moyens. Tout est relié à l’argent. Le marasme des employés est en grande partie dû à ce fait. Ils ont soif de reconnaissance, ce qui ne peut se monnayer.

Je sais que je ne fais qu’effleurer le sujet, mais il est important que quelqu’un le mette sur la table. Un texte long ne sera pas lu. Alors ajoutez votre contribution à ce court texte.

Bertrand (@BDmoi)

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