Le bonheur n’est pas une chose que l’on acquiert

Il faut conquérir le bonheur, pas l’acquérir. Le bonheur n’est pas une chose. Il n’a pas de prix? Oui, il en a un. Il faut absolument abolir les préoccupations. Les préoccupations sont les premières causes de l’éloignement du bonheur de la vie des gens.

Préoccupé veut dire occupation avant le fait. Les préoccupations sont comme une dette. Plus elle est importante, plus elle prend du temps disponible à l’action. C’est mathématique. Les préoccupations sont une des causes majeurs de procrastination. Donc on prend du temps pour tergiverser sur des choses plus ou moins importantes et surtout sur lesquelles on ne peut agir immédiatement.

Le meilleur remède c’est de s’occuper durant l’instant présent. Une des choses que l’on peut faire,  c’est régler ce qu’on a remis au lendemain. En plus de chasser les préoccupations, l’occupation donne un sentiment de satisfaction, de résultat obtenu. Par conséquent on laisse de côté des sujets de préoccupations donc on diminue la dette.

C’est facile à dire mais, plus on le fait moins on a de dette, de préoccupations, et plus on est satisfait. L’autre morceau de la dette est le matérialisme. Là c’est une autre manche. Il faut cependant savoir que l’outil de base pour s’en défaire consiste à faire la différence entre un besoin et un désir. Mais là, c’est une autre histoire.

Bertrand (@BDmoi)

 

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