J’aime pas, je ne veux pas.

Pourquoi tant de désillusion dans notre monde. Ouvrez les yeux et ouvrez les oreilles. Vous entendrez presque seulement des voix vociférer je ne veux pas , je n’aime pas, tu es stupide ou idiot de dire…

Les gens sont obnubilés par les stimulations externes. Ils réagissent à l’hyper-stimulation de la société. On ne peut s’en échapper, qu’en s’isolant et en ce mettant en mode spectateur. Pour ça il faut un temps d’arrêt. Mais, beaucoup sont sur la lancée et l’inertie ne les fait que continuer ainsi. Bien souvent faut-il une catastrophe ou une terrible maladie pour l’immobiliser et lui faire prendre du recul sur sa vie.

On fait le tri dans ce qui nous est proposé. Choisir demande de la réflexion et des objectifs clairs. Ces deux conditions sont rarement réunies. Le pire c’est qu’on a un gouvernement qui est au même diapason. Tout le monde cherche la solution à leur marasme. Elle est bien simple. Il faut changer. Mais on ne peut tout changer en un instant. Il faut prendre des mesures immédiates, temporaires pour infléchir le mouvement. Il faut prendre des mesures pour faire durer le changement. Il faut plein d’actions concertées. En bref, il faut un train de mesures à mettre en branle pour changer la situation.

Donc il y a une méchante différence entre immobilisme et prendre un temps de réflexion. On peut réfléchir en bougeant. Il ne faut pas attendre d’avoir LA solution. Elle n’existe pas. Ils existent, les éléments de solution. Ne pas aimer une situation n’est pas une solution valable. Il faut avoir une idée du monde que nous voulons une fois la situation changée. On appelle ça gérer, gouverner. Mais, ce n’est pas la réalité vécue.

Bertrand (@BDmoi)

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