Individu et société.

On parle d’un balancier qui se promène dans un sens puis dans l’autre. C’est le reflet de notre stupidité commune. On n’a pas le dosage requis pour équilibrer le poids d’un individu et celui de la société, dont nous faisons pourtant partie. Le problème n’est pas le balancier mais la perception qu’on en a. On dit qu’il faut savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va.

À mon avis c’est faux, en partie, même en grosse partie. Premièrement on doit choisir où l’on veut aller. Quel dosage serait approprié? Deuxièmement il faut éviter de commettre les erreurs que l’on estime avoir faites dans le passé. Après le passé ne compte plus. Il n’y a que le présent et le futur. Il faut choisir le chemin à suivre, en fonction de notre situation actuelle. Tout ça semble évident et rempli de gros bon sens.

Mais, il y a un mais. Nous ne sommes pas un mais, une multitude. Cette multitude n’est pas faite d’êtres conscients de vivre en société. Là est le gros problème. Le poids de un est mis en évidence dans les propos des médias. Les anecdotes fusent et les avis pullulent mais les synthèses de la globalité de la réalité, ne sont nulle part. Quand on dit qu’il y a une meute d’âmes perdues sur les réseaux sociaux, c’est faux. Il y en a bien quelques-uns mais ils ont peu nombreux et surtout sont hyperactifs. Ils sont de dobermans des réseaux sociaux, quand ils attrapent une proie ils ne la lâchent pas.

On doit viser l’équilibre entre le droit individuel et la stabilité de la société. Il faut s’en parler, mais pour ça il faudrait s’écouter.

Bertrand (@BDmoi)

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