Égalité n’est pas similitude.

Égalité n’est pas similitude, ni la liberté de chacun la liberté de tous. Les gens confondent aisément le “je” et le “nous”. Ils généralisent un trait particulier à un groupe quelconque et c’est ainsi que naissent les stéréotypes et par conséquent les préjugés.

Dans le mot préjugé décline le mot jugement. Un vilain défaut répandu dans notre société de bien-pensants. On présume que chacun vise l’idéal parce que les médias ne cessent de distiller cette manière de penser. En ne nous montrant que ce qui fait ombre à l’Idéal, on en vient à vivre sombrement et dans le déni de réalité. La réalité est telle qu’elle est. Ce qu’en rapporte les médias n’est que la moindre anicroche. En ne diffusant que, et je dis bien que, l’exceptionnel les médias dépeignent un sombre portrait de la Réalité. Celle-ci n’est qu’un univers de possibilités qui constellent notre vie. On n’en saisit qu’une très petite portion et on l’applique à l’ensemble. Tout est dans notre tête.

Donc pour vraiment être libre et se faire une idée personnelle de la vie, il faut savoir la prendre avec une bonne intention. La vie est belle et ne demande qu’à être vécue, simplement et allègrement. Elle dure un temps et n’a pas de début ni de fin mais simplement une existence vérifiée. Les éléments qui nous composent sont et seront toujours mais pas ensemble. Ce qui était n’est plus et retournera à ce qu’il était. Pendant le court temps de la vie, on s’imagine la quintessence de l’existence.

C’est au soir de ma vie que je vois la vanité humaine qui accomplit tous les malheurs des humains. À ne pas prendre les choses telles qu’elles sont on essaie de les idéaliser comme étant une vérité. Mais la vérité est STATIQUE, CE N’EST PAS UN FLUIDE QUI SE RÉPAND. La vérité est personnelle et ne s’applique qu’à un élément distinct.

Donc, les stéréotypes et les préjugés sont le fait d’un esprit simple et qui n’est pas évolué. Peu de gens comprendront cet article. Mais peu m’en chaut. La réalité c’est que les gens rêvent leur vie et passent à côté d’immense possibilités qui, si prisent une à une, révèlent un monde fantastique.

La mort? Un retour aux sources et à l’éblouissement de la Réalité. On ne quitte pas la vie, la vie nous laisse après qu’On a vécu. Elle ne nous abandonne que si on a rêvé notre vie.

Bertrand (@BDmoi)

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