Cette vague de haine?

Il y a de la haine partout. Mais la haine n’est pas partout. Elle a sa place surtout dans les médias. La grande majorité des gens, à la grandeur du monde, s’occupent de survivre eux, et les leurs. Y a-t-il une vague, comme celle de la pandémie? Je ne crois pas. Mais les journalistes, de tous les côtés, en remettent abondamment. Ils font de l’Infomotion (information pour susciter l’émotion). Encore doit-on mettre en doute le mot information. Je tape souvent sur le clou mais peut-être devrais-je le presser pour faire sortir le pus?

Il y a une bataille de journalistes qui se relancent l’un l’autre. Je ne comprends pas l’animosité totale qui anime (c’est le cas de le dire) la haine entre ces gens. Il ne peut être une simple question d’argent. Le dicton (parle en mal parle en bien pourvu que t’en parles) prend une place odieuse dans les médias. Les pisse-copies disposent de tribune et ils ne cessent de vilipender les réseaux sociaux. Certaines personnes, une minorité, sont très actifs sur les réseaux sociaux et répandent un fiel malodorant, mais, ont-elles droit à leur opinion.

Les journalistes, eux, sont payés, grassement, pour instiller un mal-être dans la population. Ils contribuent, par leur exemple, à la dégradation des rapports sociaux. Tant qu’à se garder une petite gêne, ne faudrait-il pas se rendre à l’évidence? Il faut arrêter de consommer des médias. La seule chose qui les fera comprendre c’est le fait de ne pas s’en procurer.

Sur les réseaux sociaux, on sait qu’il y a des survoltés, des deux côtés de quelque position. Au moins, a-t-on le pouvoir de bloquer ceux qui nous heurtent.

Bertrand (@BDmoi)

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