Ce matin un article de journal m’a ému.

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Ce matin cet article de journal m’a terriblement ému et a réveillé un questionnement qui me taraude depuis longtemps. Où est la place de la société, de la famille, de l’humain, du père et de la mère, de l’enfant et tout.

Il existe des valeurs intrinsèques à la vie. Nous avons une multitude de rôles à jouer selon ces valeurs. Mais qui a le droit de juger? Sur quels principes peut-il se baser? De quel autorité peut-il s’insurger contre les actes de quelqu’un?

Bien des questions auxquelles chacun a ses réponses. Mais j’ai l’impression que les nombreux questionnements autour de l’aide à mourir nous permettront d’avancer dans l’aide à la vie. Il faut absolument définir positivement la place de chacun et l’autorité qui doit lui être reconnue. Nous sommes dans une période où la bien-pensance prend énormément de place. C’est une réalité.

Dans nos réseaux sociaux, chacun émet, et c’est peut-être valable, son opinion. Mais peut-on réaliser qu’on ne peut imposer son opinion à une autre personne. Surtout pas quand il est question de sa vie à elle ou à ses dépendants. On peut déconseiller, ne pas vouloir agir personnellement, mais, en aucun cas, avons-nous le droit d’intervenir quand on essaie de préserver la vie. On peut intervenir pour empêcher des gens de pourrir la vie de quelqu’un, c’est peut-être même un devoir. Voilà pourquoi existe la DPJ que l’on décrie si fort actuellement. Il n’est pas question de ses responsabilités mais des moyens risibles dont on les équipe.

Donc, poursuivons notre questionnement. Il arrivera peut-être une amélioration notable dans les relations humaines, du genre de celle qui met à sa place, la responsabilité personnelle et sociale. Où se situe l’équilibre?

Bertrand (@BDmoi)

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