Nous n’appartenons pas au monde et le monde ne nous appartient pas. Sommes nous totalement déconnectés des autres personnes. Il appartient à chacun de faire selon les conditions qui LUI sont données. Chacun compare les actions de l’autre aux conditions qui sont les siennes. Suivre les ordres d’un autre, au détriment de nos conditions personnelles, est la cause du grand isolement social dans lequel nous baignons, actuellement. Personne, non personne n’a le droit de nous traiter comme on nous traite. On nous traite de personne moyenne. Il n’y a pas de moyenne qui tienne, il n’y a qu’individus face à des situations diverses avec des connaissances limitées et un temps de vie limité. On essaie de rendre la vie illimitée pour essayer de vivre plus longtemps. Mais vivre pour quoi? Pour qui?
JE N’AI DE CESSE de dire, d’écrire et de proclamer que ce qui est bon pour pitou, seul pitou peut arriver à le savoir s’Il s’Interroge lui-même. Minou devra faire la même chose pour lui-même. Le monde n’est pas une possibilité d’idéal, il est une réalité impossible dans la conformité. Tout le monde cherche les ingrédients de la recette du bonheur. IL n’y a d’ingrédient qui soit dans la recette de bonheur de chacun. La méthodologie est la même pour tous. Il n’est de salade qui convienne à chacun. Tout ce que l’on cherche à uniformiser divise.
En conséquence, les médias sont le fait de quelques personnes qui pensent détenir la vérité et pensent pouvoir la répandre. Ne répandent-ils que leur point de vue précis sur un sujet vague. Un exemple? La voiture électrique, poussée par les médias et les politiciens, n’est pas idéale. Tout au plus est-elle adéquate pour certains individus dans des conditions précises. Au Québec on a de l’électricité relativement propre. C’est une rareté dans le monde. Ce n’est pas vrai ailleurs. Trudeau, Legault et tous les politiciens ne font que parler que tous ont droits à rien, si l’autre ne l’a pas. Est-ce la façon dont ils sont élus, à nous dire qu’ils donneront à tous la même chance. Mais la chance n’existe pas. Il y a ce qui satisfait un mais déplaît à l’autre. Chercher à faire l’unicité? En 2023? Utopie que les médias propagent à plein.
Nous ne formons pas une maison isolée, réchauffées par la chaleur humaine de chacun qui y habite. Sommes nous des êtres isolés frileux et même frigorifiés par le froid que ne cessent de souffler les gens avides de pouvoir. En nous divisant ils nous empêchent de nous soutenir les uns les autres et d’arriver à un environnement personnel d’acceptation de l’autre.
Je ne veux pas me suicider. CE que je viens d’écrire est la lettre que je laisserais dans l’éventualité. Mais je serais mort et ça ne changerait rien. Alors je vis et vous ne lisez pas.
Bertrand (@BDmoi)