Le temps presse.

La lumière pointe au bout du tunnel. Il y a un vaccin contre la covid. On dispose d’un arsenal pour combattre les variants. On pourra s’adapter comme on le fait pour la grippe à tous les ans, s’il le faut. Prenons-en la perspective. Il faut se voir après. Pas comme avant , mais, après.

Laisserons-nous encore l’argent et le temps dicter notre manque d’humanité? La pandémie a révélé combien les contacts humains sont nécessaires. Pas seulement le contact de ceux qu’on aime proche de nous, mais tous les contacts humains.

J’ai des doutes à ce sujet. J’aimerais qu’on me prouve que j’ai tort mais l’avenir le dira. Il reste peu de temps pour avoir le temps de réfléchir au futur. Qu’on le prenne ou pas, il sera ce qu’il sera.

Selon Nostradamus (le grand roi d’effrayeur durera 7ans) il y aura 3000 ans de bonheur qui suivront la défaite de ce terrible temps. Sommes-nous prêts à relever le défi? Aurons-nous appris de ce 7 ans ( si ça dure 7 ans) et ferons-nous les choses autrement que dans les millénaires précédents? Peut-être? Mais, comme l’a chanté Raymond Lévesque, nous serons mort mon frère. L’important n’étant pas que nous soyons mort mais que nous ayons vécu assez pour préparer activement ce temps.

Bertrand (@BDmoi)

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