La cigale, la fourmi et le gouvernement.

La cigale ayant vécue d’une paie à l’autre

Se trouva for dépourvue quand la crise fut venue

Le gouvernement sauta sur l’occasion

pour faire sa promotion

Il aida tout le monde, en double, en triple

Pour être certain que chacun le félicite…

Vous me voyez venir? Et oui! Le problème? Les fourmis qui disent j’y ai droit je le prends, les cigales qui ont tout dilapidé et les gouvernements qui se servent de l’événement.

Que l’on aide les citoyens mal pris, j’en suis. Il existe des moyens pour ça. On les appelle, l’aide de dernier recours qui vient après l’assurance-chômage. Que l’on aide les corporations ou compagnies privées, j’en suis beaucoup moins.

Que faisiez-vous au temps chaud dit-on à celles-ci

Je versais des dividendes de mon profit

Vous profitiez j’en suis fort aise et bien décaissez maintenant.

De tout temps, on a constaté le sous-financement des entreprises, petites et grandes. On a cherché le dividende ultime, optimal. Mais dans le calcul on n’a jamais pris en considération les fluctuations inhérentes à la vie.

Les entreprises ne votent pas. Les citoyens votent. Que l’on aide les citoyens, qui paieront la note un jour, je le comprends. Je l’accepte même. Mais aux entreprises qui ont été saignées de leur bénéfices, sans aucune frugalité préventive, j’ai peu de pitié.

Ai-je raison? Ai-je tort? Chacun peut se faire une opinion.

Bertrand (@BDmoi)

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