Je ne suis pas désespéré de twitter. Je suis stupéfait, estomaqué et désespéré de ce que je vois de l’Humain sur la toile. Il y a du bon et du méchant. La réalité est telle qu’elle n’est pas visible sur twitter parce que la compagnie, Elon MUsk en tête, est une ordure. N’y a-t-il pas d’autre mot pour le qualifier. Je n’ai pas perdu espoir de mieux mais faudra-t-il un milliardaire vertueux pour que ça se produise.
J’ai écrit 1600 textes que j’ai publiés sur twitter. Bien que je sois vu par beaucoup, j’ai des chiffres pour le prouver, très très peu vont les lire. DE plus les gens opinent sans partager leur pensée. ILs acquiescent ou cessent de lire. C’est tout. Là est le malheur. Ainsi acquiescez vous parce que vous continuez à lire. Ils végètent dans l’apathie et font que twitter est amorphe. Alors qu’il pourrait être un lieu où fourmillent les pensées les plus diverses. Il n’y a plus d’endroit où bouillonner de culture. Même les universités sont motus et bouche cousue.
Ce monde est ce qu’on en fait. Partagez ou pas je m’en fous. Réagissez ou pas, je m’en fous. Mais la vie intelligente, sur Terre, apparaîtra peut-être avec l’Intelligence artificielle quand celle-ci aura la possibilité de se poser des questions. Elle sait répondre aux questions actuellement mais, un jour, si elle se pose des questions, lesquelles seront-elles? Pourquoi j’existe? La seule et unique vraie question est celle-ci: comment en suis-je venu à exister?
Peu de gens se la posent et pire encore, beaucoup moins, se pose la question suivante: qu’est-ce que j’en fais?
Bertrand (@BDmoi)